Esperia

Octyso, en fouillant dans les affaires de son esclave , trouve un papier avec deux poèmes :

Le voyage


Le premier jour venu ,
Je t'ai aperçue ,
Au clair de lune tes cheveux flottaient,
Et ton sourire charmait,
Tes yeux bleu ciel étincelaient,
Tandis que sortait de tout ton corps,
Une aura protectrice et bienveillante ,
Et dès ce jour-là j'ai su,
J'ai su que tu serais la perle de mon existence,
Et, malgré les vents contraires, j'ai toujours,
Une confiance aveugle en un sentiment,
Que je nomme l'amour avec,
Un grand A .

Longue noirceur dans une âme perdue

Des paroles perdues,
Un amour imprévu,
Un Montagnard aux mille diamants,
Et quelque dame égarée,
Dans une nuit sombre,
Un homme sanglote au bord,
D'une route sans fin,
Et n'entrevoit son avenir,
Que sous un jour mauvais,
Celui-là sait,
Qu'il ne connaîtra jamais,
Le sentiment appelé bonheur