Colonialisme caroggian

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Le colonialisme caroggian est une politique mise en place sous la République Vellabriaise et aujourd'hui la République marchande de Caroggia. Elle se divise en deux sous-courants: le colonialisme côtier et le colonialisme terrestre.

Doctrine

Colonialisme côtier

Cette politique vise la mise en place de comptoirs commerciaux tout le long de la côte du continent, soit par la création de lieux nouveaux, soit par le rachat de port existant. L'objectif de ce colonialisme est de sécuriser contre les écumeurs et autres menaces navales et faciliter le commerce naval. Ce colonialisme est à la base de l'outil des Garantiers de commerce
Trois villes illustrent ce colonialisme:

  • Uuroggia, résultat d'une collaboration entre des investisseurs et colons républicains et le Monastère Adaarion
  • Indubal, résultat d'un rachat progressif culminant en 403 à un transfert définitif de territoire.
  • Iona, résultat d'un rachat progressif culminant en 464 à un transfert définitif de territoire.

Colonialisme terrestre

Le colonialisme terrestre est en réalité la poursuite ancestrale de conquêtes territoriales déjà menée par la Terrenarchia. Selon cette politique, les régions de Medeva et de la Dione sont considérées comme appartenant à la République. Cependant, cette politique se fait essentiellement par le rachat massif de terres et la constitution depuis la réforme li alcontini de latifundio. Cette politique a toutefois connue de fréquents hauts et bas et est aujourd'hui au point mort.
Deux évènements ont fortement marqué cette politique:

Conséquences sur la politique caroggianne

Le colonialisme caroggian ne fait pas l'unanimité au sein de l'oligarchie et il existe une autre faction soutenant elle une plus grande focalisation sur la Vellabria afin de ne pas entraver le commerce. Politiquement, le colonialisme est fortement associé aujourd'hui aux Barhoran, aux Misseveni, aux li Velpucci ainsi que d'une manière plus faible aux Linsamas, Prolvo et Aligarri, les familles fortes des trois colonies. Ses opposants comptent les Amarrès au sein de l'Oligarche et les Lovoasta parmi les latifundiers.

Vision extérieure

Le colonialisme caroggian tend à être relativement mal vu par les populations locales et génère un certain degré d'hostilité. Cette hostilité est plus nuancée dans les Maahvitts où plusieurs tribus ont profité du commerce avec la colonie et de nombreux oberorbaras et tribus ont peuplé la ville. Le Temple des Sept est lui particulièrement opposé à cette implantation.
La position du Royaume Central sur le sujet a fortement évolué et dépend largement du roi en place. Elle fut notoirement opposée par Adryan II Ordain. La Grande Huratelon et la Nation adaarionne sont des soutiens modérés de cette politique mais l'Ordre Phalangiste et le Monastère Adaarion ont une position plus variable en raison des situations religieuses locales souvent houleuses, sauf à Indubal.