Le Cœurébène
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| Le Coeurébène | |
| Informations RP | |
| Nom | Le Coeurébène |
|---|---|
| Quartier | Ouest |
| Parcelle | Habitation |
| Propriétaire | |
Sommaire
- 1 Le Coeurébène
- 1.1 Description
- 1.2 Les figurines
- 1.3 Service en Argent
- 1.4 Les tableaux
- 1.5 Son Histoire
Le Coeurébène
Description
Le Coeurébène se situe sur la colline O'Rhum dominant en hauteur le quartier Ouest.
Pour y accéder vous pouvez emprunter la ruelle avant de cheminer au quartier d'Adobe, soit en prenant les escaliers dans le petit renfoncement de la falaise juxtaposant le centre-ville.
C'est une bâtisse architecturalement aérienne, mélange astucieux de bois de pin géant, de pierres et d'autres ornements.
De part sa position, on pourrait dire que cette demeure est l'habitation la plus haute placée de la ville, véritable perchoir habitable.
L'entrée au coeur d'ébène
Description:
Avant même de franchir le pan de la demeure, une grande porte s'offre à vous.
Ornée d'un mélange d'acier s'entrecroisant en entrelacs et ornements sur les coins de la porte, un bois de pin vernis domine l'ensemble de l'entroir. Ce dernier est finement sculpté, décrivant divers plants de vigne dont les feuilles s'entremêlent à travers le support. Au centre, un coeur est gravé et surmonté d'un texte : " Coeurébène ". La solide poignée de fer reste simple dans l'arrangement, avec les bords arrondis et légèrement sculptés. On constate que la porte possède trois serrures d'une grande qualité s'alignant en colonne à côté de la poignée.
L'aspect malgré son travail artistique, semble massif.
La salle à manger & la cuisine ou la salle des paroles
Description:
En franchissant le pas de la porte, vous entrez dans une pièce tapissée de tableaux et de fourrures à même le sol et les murs. De l'intérieur, vous apercevez de lourds barreaux protégeant les vitres de l'habitat, séparées de quelques centimètres.
La pièce est séparée en trois parties, une cuisine, une salle à manger et un salon de réception.
Sur votre gauche, la cuisine, semble dans un aspect presque maniaque de propreté, les instruments accrochés au mur et disposés à travers les étagères semblent en permanence récurés. La cuisine reste petite dans son ensemble mais dispose de quoi ravir le plus exigeant des queux.
La salle à manger n'est qu'une grande table ornée et travaillée sur laquelle repose en permanence un gros bouquet de violettes dont certaines tiges semblent avoir été coupé. Une fine nappe de dentelle recouvre le meuble, entourée de bancs bas dont les ornements sculptés rappellent curieusement la porte d'entrée. Plusieurs étagères sur lesquelles reposent des verroteries d'oiseaux attirent votre regard mais nul notion de logique vous vient à l'esprit quand, curieux vous remarquez que seul des canards de verre sont exposés...
A même la grande fenêtre, une petite estrade aménagée autour d'un canapé de cuir et de divers instruments semble indiquer l'endroit comme un moment de réception. L'argument est justifiée par la disposition d'une table basse centrale sur laquelle repose en permanence une carafe d'eau claire et un plateau en argent. Pâtisseries et autres gourmandises reposent en cet objet d'orfèvre.
La chambre ou salle de la passion
Description:
En écartant le long rideau, vous atterrissez dans une chambre. Un lit à baldaquin trône en son centre, entouré d'un boudoir au grand miroir et d'une armoire. On distingue une petite table sur laquelle repose divers bibelots, notamment des peluches enfantines semblant mâchouillées par endroit. Mis à part une petite plante en pot, seul un pot de chambre en argent régulièrement vidé traine dans un coin de la salle. On remarque un étalage curieux de cosmétiques et d'apparats capillaire disposés sur le boudoir.
La salle de la passion par Silnoë
Le miroir
C'est un visage de femme. Ou plus précisément ses cheveux. Ils coulent en cascade d'argent le long du miroir. Le travail est assez précis pour suivre, mèches après mèche les reflets de la chevelure. Le visage de la femme est donc le miroir. Le socle du miroir est en or et argent. On distingue un début de poitrine et les épaules. Sur ce socle est finement gravé : « Je ne mens pas. »
L’armoire
« L'amour est un tout » Des gravures ont été effectuées sur les portes de l'armoire. Surtout les rainures et les bords. Les bords ont des motifs floraux. C'est une clématite en fleur. Les quatre se rejoignent en haut et de même, leurs racines se mêlent. Des oiseaux chantant sont parsemés dans ses feuilles. Lorsqu'on ouvre les portes, on se retrouve dans un univers complètement différent. L'une des deux portes est relativement enfantine à l’intérieur. On remarque deux cygnes cote à cote. Sur le haut deux pigeons roucoulant ensemble. Mais aussi deux lapins. Des fleurs également tels qu'une Aubépine ou encore des belle Dame. L'autre versant de la deuxième porte est lui composé d'une grande oie. Elle semble hurler. C'est le seul animal présent. A ses pieds plusieurs fleurs : Une Buglosse, Ancolie et une Cyprès.
La bibliothèque ou salon du temps
Description:
La salle est divisée en deux parties, la bibliothèque et le bureau. Au premier endroit une lourde table siège au centre de la pièce, surmontée de bancs semblable à ceux de la salle à manger. Le reste autour n'est qu'instruments et objets de décoration. Un terrarium disposé contre le mur dans lequel s'anime diverses créatures aux origines inconnues, phasmes et autres joyeusetés paressent et progressent dans la végétation aménagée. Une grande bibliothèque ouvragée est disposée perpendiculairement à la table, de nombreux ouvrages sont placés dans un ordre précis.
Le bureau est aux yeux des visiteurs un amas de feuilles, de plantes séchées, de petits ossements, et d'autres études personnelles. Tout autour s'installent divers objets de décoration et autres matériels d'écriture... Une porte donnant sur le balcon vous fait face.
Salon du temps par Silnoë
La bibliothèque
Gravé sur le haut de la bibliothèque : « A chaque heure sa couleur, A chaque profil son ombre. »
Sur la bibliothèque de droite, trois silhouette d'enfant son représentés sur le haut. Celle à droite marche a quatre pattes. Elle tend un bras vers l'avant. Celle du milieu est debout les bras écartés vers le haut. La dernière, également en position verticale montre d'un doigt le sol. Les autres parties sont laissées au bois sauf à trois endroits précis où sont inscrits des mots. « Innocence ». Le I est longuement travaillé : Il représente un perroquet perché sur un bâton. Celui ci regarde le spectateur. Le suite du mot est plus sobre mais précis. « Imagination ». C'est un poulpe qui fait office de I. Il est également face au spectateur. « Education ». Le E est symbolisé par une sorte de mouton. Il est debout sur ses postérieurs. Toutes les plaques ont sont inscrits les noms reprennent le même motif florale composé de marguerites et de pissenlits.
Sur la bibliothèque du bas, ce sont trois silhouette d'adulte qui ont été apposées. Celle de droite pointe vers le haut, comme en réponse avec l'enfant qui le pointe. Celle du milieu porte sa main sur son cœur, face au spectateur. La dernière est assit en tailleurs, les mains jointent au dessus de sa tête. Des mots sont à nouveau gravés sur des plaques. « Amour » Un poisson courbé représente le A. Les traits suivant ont été appliqués avec soin et précision. « Force » Une souris avec une longue queue prend la place du F. Chétive elle reste néanmoins plus grande que les lettres suivantes mais les renifle avec appréhension. « Avenir » Une fourmi avec des antennes fait office de A. Leur plaques sont décorées par des motifs floraux composés de roses et de magnolias.
Sur la bibliothèque de gauche, trois silhouettes de personnes âgés représentées avec des canne. Celle de droite pointe d'un ton accusateur sa canne vers le bas, en réponse aux deux mains jointent. Celui du milieu est assit, semblant penser, sa canne sur ses genoux. La dernière est allongée mais un bras levé, celui de la canne, pointant la phrase gravé au dessus. « Patience » Une mouche est posée sur le P. « Réflexion » Un crabe avec une pince plus grosse que l'autre représente le R. « Sagesse » Un serpent prend la place du S. Il semble menaçant. Les plaques sont gravés à l'identique par un motif floral comprenant des patiences et des Tigridias.
La table
La table. Sur la partie plane des dorures situées lorsqu'on est assit à gauche « Je suis le cœur. » et à droite :« Je suis l'honneur. ». Les mêmes phrases sont exécuté dans l'autre sens. La table est symboliquement soutenue par des petites statuettes en argent disposées à la jonctions des pieds et du plateau. Des Scarabées fermement décidés à ne rien lâcher. Digne dans leur carapace ils soutiennent ainsi la table. Leur dos est simplement gravé par deux lettres entremêlées « HC ».
La salle d'eau ou salle du souvenir
Description:
En écartant le rideau, une grande baignoire aux proportions étonnantes vous fait face. Travaillée et ornée, s'étendant jusqu'aux murs, un travail d'orfèvre semble avoir été pratiqué. Autour de vous, deux meubles sont disposés. Le premier sert à reposer des tenues de bain et des serviettes de diverses qualités. L'autre, contient des huiles essentiels et divers remèdes pour le corps, petit endroit de coquetterie lors des bains. L'eau du bain semble régulièrement changée, une vapeur permanente humidifie la pièce.
Salle du souvenir par Silnoë
La baignoire et ses alentours
Un port. Il couvre l'ensemble de la pierre émergée du fond de la salle d'eau. C'est le Lapis qui règne. De nombreux bleus s'entremêlent pour former une harmonie. Ce port se reflète habilement sur la surface de l'eau lorsqu'elle est calme, comme un double mais plus grand. Mais, au contraire quand cette dernière est agitée, c'est le port qui reçoit des reflets, et semblent s'agiter. Un port est toujours complémentaire de son eau.
Des touches d'argent. Comme déposés au hasard, comparable à l'écume. Même si elles n’attirent pas l’œil, elles composent la plus grande partie de la structure décorative. Les quais, un navire, et deux petites barques. La suite de la ville est laissée libre. Si l'eau est volupté , elle est doucement intouchable, comme toutes les faces polies du port. Tout est lisse, bien brillant et doux. Non, la réalité n'est pas comme cela. Ce détail, par exemple, cette abeille, au milieu même du mur. Comme perdue, elle se cache sur la pierre. Elle est en or, tout comme ce poisson, tapit sous les quais. Ou même le chat qui se devine sur la toile du navire trônant au milieu. L'ensemble n'est-il pas lui aussi un papillon aillant ses ailes déployées ?
Sur une plaque en fer accrochée au dessus est gravé : « Que le monde est trouble quand on ne sait se remettre en question. » « Un souvenir est toujours plus beau, mais il faut toucher le présent. »
Sur le coté droit, secrètement apposé sur la pierre, un reposoir. Il est de la forme d'un ovale de 10cm. Idéal pour déposé un savon ou autre. Le dessous de cette pièce en argent a été gravée par un « S » de calligraphie Caroggianne.
Interprétation:
« Que le monde est trouble quand on ne sait se remettre en question. ». Se remettre en question, revient à se regarder soit même en face et se voir, pour se comprendre. On ne peux se voir dans l'eau que quand celle ci est calme, quand la personne elle même est calme donc. Et c'est seulement dans ce reflet que la port est fidèlement représenter autour de son image. A l'inverse, si agité on est, aussi agitée est l'eau et plus le reflet de ce port, de ce monde est flou, et fou.
« Un souvenir est toujours plus beau, mais il faut toucher le présent. ». Le reflet du port est plus grand dans l'eau par perspective. Il est aussi plus attrayant et mystérieux car c'est un reflet. Mais peut-on le toucher ? Est-ce que tout nos sens sont satisfait par cette ce reflet, cette vision. Non, et pire, si l'on cherche à la toucher ou autre, on le trouble, le brise. Au contraire l'art en face de soit est palpable. Il est réel. Il faut savoir voir la beauté dans le présent.
La cave ou antre des gourmets
Description:
En descendant davantage dans la cave, vous foulez une terre battue, contemplant l'amas de victuailles autour de vous. Des bêtes dépecées pendent avec diverses saucisses du plafond, divers fromages et épices reposent sur les étagères accompagnés de fut aux tailles variés. Une étagère à bouteilles est encastrée à même le mur au fond de la pièce, abritant des bouteilles aux gouts divers, certaines dans des coffrets. Des caisses sont étalées dans la pièce, les plus curieux pourront contempler diverses aliments baignant dans du sel, pour la conservation. Les réserves semblent s'épuiser régulièrement et renouvelées à la même teneur.
L'antre des gourmets par Silnoë
L'armoire de la cave
Tels deux anges gardiens, deux aigles sont disposés de par et d'autre de l'armoire. Ils sont en argent, ils sont identiques, ils reposent sur un socle simple en fer où ils sont soudés. Ce ne sont pas de grandes pièces, à peine 7cm. Mais leurs ailes étant ouvertes, ils sont imposants, ils sont menaçants. Becs clos. Symphonie de plumes. Simples figurines. Un but pour deux, une décoration.
Les figurines
Eparpillées à travers le manoir, de petites réalisations occupent les meubles présents, d'autres sont dissimulées à d'autres endroits bien plus cocasse.
Aigles
Tels deux anges gardiens, deux aigles sont disposés de par et d'autre de l'armoire. Ils sont en argent, ils sont identiques, ils reposent sur un socle simple en fer où ils sont soudés. Ce ne sont pas de grandes pièces, à peine 7cm. Mais leurs ailes étant ouvertes, ils sont imposants, ils sont menaçants. Becs clos. Symphonie de plumes. Simples figurines. Un but pour deux, une décoration.
Le Cerf
C'est un cerf en argent d'une dizaine de centimètre. De grandes ramures sont sondés sur sa tête. Il est cabré et semble hurler. Son socle est simple quelques touffes d'herbe néanmoins.
Les clochettes
C'est mariage de lapis et d'argent. Les petites clochettes bleues sont astucieusement retenue par la tige de métal. Fragile. Un large socle.
Le papillon
A nouveau une fusion du bleu et de l'argenté mais en forme de papillon. Les ailes sont bizarrement gravées. Des étoiles s'entrecoupent. Quelques rond sont vierge en leur centre. Les lapis sont disposés sur le bas des ailes pour équilibrer.
Les boucles
On retrouve à nouveau le papillon mais sur une grosse boucle en argent. Ils y en a trois. Les papillons sont relativement réalistes. Les grosse bagues servent à maintenir un rideau ouvert.
La sauterelle
Une sauterelle classique de 5cm de hauteur. Fragile, elle possède cependant des petites accroches qui piquent.
L'oiseau
Un simple oiseau taillé dans un lapis. Il semble être en train de chanter. Il est représenté sur une branche avec deux fragiles.
La luciole
Elle ne se confond pas du tout avec les vraies. Mais enfin on reconnaît la luciole. Elle est en lapis. Peu travaillée, presque brute.
Le Lapis
Une lapis taillé en ovale. Agréable à tenir en main. Il est très lisse et brillant. Bleu foncé.
Service en Argent
Service en argent par Silnoë
Cette collection a été commandée par Léoplodine
L'Oeuvre:
Chaque assiette représente un tableau de chasse. Elles pèsent respectivement à peu près 600g. Elles possèdent un large rebord gravé de motifs floraux. Chacune est associée avec un couteau.. Bien affûtes ils sont équilibrés et élégant. Enfin, le gobelet représentant un ciel. Ils peuvent contenir un peu plus de 20cl et sont relativement lourd.
Le Sanglier
Le Sanglier par Silnoë
L’assiette:
La scène se déroule dans un bois touffu. De toute part, des arbres s'enchevêtrent. Imposant buisson, branches, feuilles rien ne semble avoir été laissé au hasard si bien que cette surcharge de verdure est menaçante et trop lourde pour l’œil. Il tend alors a se concentrer sur la scène au centre : un sanglier majestueux semble hurler de colère. Furieux ou souffrant ? On remarque en effet deux mortelles flèches figées sur son flanc droit. Son pelage est alors souillé par son propre sang et tombe en trombe sur le sol. Pourtant, il est toujours debout, presque fier. Son courage ne semble n'avoir d'égale qu'en sa puissance. On comprend alors qu'il se prépare à charger et qu'il ne cédera que lorsque son sang l'aura complètement quitté. En voyant cette monstrueuse masse de volonté dans cette position effrayante, et ce, malgré ses blessures, on peut se demander si le chasseur en viendra tout de même à bout.
Le couteau:
A l'image du nom qui est gravé sur la lame du couteau : Le Sanglier, le manche possède tout du long des belles gravures imposant un certain respect. Les deux faces du manches sont décorées à l'identique. Deux jolies fleurs sont représentés sur la tranche.
Le Verre:
L'assise du verre est parcourut d'une haute forêt. Le ciel semble être en colère. Des Cumulonimbus le surcharge dans tout les sens donnant un beau relief sur le verre. Le fond du verre a également un soleil formé de forme géométrique simples. Le rebord du haut est parcouru de motif floraux.
Le Lièvre
Le Lièvre par Silnoë
L’assiette:
Le couteau:
[[Fichier:Grille Dague en Fer.png|32px]Joliment gravé sur le manche : « Le lièvre ». La Lame est laissée vierge. Une légère cascade de fleurs du bout du manche jusqu'au début de la lame.
Le Verre:
Le Cerf
Le Cerf par Silnoë
L’assiette:
Le couteau:
[[Fichier:Grille Dague en Fer.png|32px]Des ramures parsèment le manche. La lame est simplement gravé « Le Cerf ». De mignonnes petites fleurs représentées sur la tranche du manche.
Le Verre:
Le Canard
Le Canard par Silnoë
L’assiette:
Le couteau:
[[Fichier:Grille Dague en Fer.png|32px]La lame est en faite une longue plume de canard. On peut apprécier la précision de ce travail qui est d'ailleurs tout aussi bien réussi sur le manche ou est finement gravé « Le Canard ». Une magnifique fleur sur la tranche du manche.
Le Verre:
La Perdrix Rouge
La perdrix par Silnoë
L’assiette:
Le couteau:
[[Fichier:Grille Dague en Fer.png|32px]Le manche est taillé en bec. Sur la lame est à nouveau représenté une partie de la parure. Au milieu du bec est gravé « La perdrix ». Trois fleurs identiques représentées sur la tranche du manche.
Le Verre:
Le Pigeon
Le Pigeon par Silnoë
L’assiette:
Le couteau:
[[Fichier:Grille Dague_en_Fer.png|32px]La lame est légèrement cisellée par endroit, représentant le vent, ou la vitesse. On remarque de nouveau des petites fleurs sur le manche.
Le Verre:
La Carafe
La Carafe par Silnoë
Description:
Elle est gravé en deux parties superposées. Un trait fin qui fait le tour de la carafe les séparent au niveau du milieu du bec verseur. Celle du dessus comporte peu de gravures. Il y a néanmoins une banderoles de motifs floraux sur le rebord. La deuxième partie est quant à elle très complète. C'est le fond d'une étendu d'eau. La surface étant le trait séparateur. Au fond, on distingue des petits rochers, des cailloux, du sable. Sur ce sol est fixé de nombreuses plantes aquatiques. Un complexe d'algues virevolte au gré d'un courant. Elle entremêlement avec joie et couvre une bonne partie de la carafe. Il y a aussi quelques coraux dispersés. Dans ce dédale naturel prolifèrent de multiples poissons de toute sortent. Certains fins et long, en bande symétrique. D'autres plus imposant, seul, bulle dans un coin. Le sol a aussi son lot : Des crustacés s'agrippent sur les rochers laissés libre pas les algues, un crabe dissimulé, et même un oursin confondu dans les algues. Ainsi, lorsqu'on se sert de l'eau, on a l'impression de la puiser directement dans ce milieu grouillant de vie et de diversité.
Le Plat de Présentation
La Carafe par Silnoë
Description:
Large, allongé, ce plat prévoit une large place pour pouvoir acceuillir beaucoup de chose. On retrouve sur les bordures les motifs floraux de la collection. Le centre a été longuement gravé pour représenter un champ. En effet, on reconnaît une vue de haut de plusieurs champs de blé. Ceux-ci son disposé comme les champs « Lily » d'Esperia. On retrouve ainsi la disposition des champs et les infrastructures qui y sont attachés. La représentation bien que jolie est quelque peu inexacte mais l'esprit est là.
Les deux Chandeliers
La Carafe par Silnoë
Description:
Deux grands et élégants chandeliers. Il peuvent accueillir jusqu'à cinq bougies chaque. Ils représentent tout deux un arbre et ses ramures. Le pied du chandelier tient lieu du tronc : on remarque les nervures du bois et de l'écorce ainsi que sur le socle d'imposantes racines. Entre celles-ci se remarque un parterre de superbes fleurs. L'arbre s'élève ensuite par cinq ramures principales. Elles sont disposées en cercle autour du centre. Les gravures qui les recouvrent sont à nouveau de l'écorce. C'est seulement au bout qu'une explosion d'argent révèle de magnifiques feuilles. Celles-ci se relient entre elles, formant un joli feuillage. De plus, pour soutenir cette voûte de feuille, d'autres petites branches ont été rajoutés. Au bout de chaque grandes ramures est prévu une place pour y installer une bougie de taille moyenne. Lorsque que les flammes dansent au dessus du complexe assemblage de feuille, de nombreux reflets donnent l'impression que le tout est en mouvement.
Les tableaux
Quelques tableaux sont éparpillés à travers la demeure, la plupart semblent raconter divers évènements de la maison.
Leoplodine & Luka Lindèn:
Dimensions(en cubes): 2x2
Peinture: A l'huile
Style: Portrait de famille
Qualité: Toile de bonne qualité et cadre de bonne qualité
Propriétaire: Leoplodine Eleonore Elisabeth Linden Dewhell
Signification:
Cette toile a été commandé par Leoplodine Eleonore Elisabeth Linden Dewhell.
Une commande assez importante pour Djafar, il est redevable à cette Dame qui l'a aidé de nombreuse fois durant les semaines ou il vivait seul loin du Sans-fond. Il se devait de produire la meilleur toile possible jusqu'alors pour cette noble dame. Il n'hésita point a demandé la meilleur toile et le cadre le plus beau que les artisans pouvait concevoir.
Cette toile est par ailleur la premiere toile de portrait de famille qui déclenchera un certain engouement auprès du peuple d'Esperia et permettra à Djafar de décoller réellement dans son métier de peintre mais aussi de pouvoir enfin vivre convenablement de sa passion qu'est la peinture.
Ce portrait possède une similitude avec celui de Ours, l'absence de décors. En effet Djafar n'a pas pu peindre le couple ensemble. La toile devait être une surprise. Il a donc du observé attentivement Luka Linden pendant plusieurs jours en filature pour pouvoir le croquer sur son carnet et le reproduire à l'identique sur la toile
La soirée des Dames:
Dimensions(en cubes): 2x1
Peinture: A l'huile
Style: Représentation
Qualité: Toile standard et cadre de moyenne qualité
Propriétaire: Leoplodine Eleonore Elisabeth Linden Dewhell
Signification:
En attente de l'écrit de Djafar avant de remplir.
Son Histoire
Le Manoir à été commandé par Leoplodine Eleonore Elisabeth Linden Dewhell en même temps que l'agrandissement du Quartier Ouest par le biais de l'architecte Tharaën Urk. Lors de son union avec le Ser Luka Lindén, ce dernier a aménagé avec elle dans sa demeure.
Ses Événements
- Date à fixer 513 : Le manoir est bâti.
- Date à fixer 513 : Leoplodine Eleonore Elisabeth Linden Dewhell héberge et embauche ces deux domestiques, Mewenn et Ickaboth
- Date à fixer 513 : Silnoë Iramïs réalise d'importants travaux d'ornements et d'habillage sur divers mobiliers de la demeure.
- Date à fixer 513 : Arcturus Nivellon, un poète ambulant est hébergé dans le manoir en échange d'un poème par mois en gage de payement.
- Date à fixer 513 : L'artiste quitte la demeure, rentrant au Continent.
- Date à fixer 513 : Luka Lindén emménage avec Leoplodine Eleonore Elisabeth Linden Dewhell, désormais mariés.
Ses Rumeurs
- On apercevrait chaque soir une silhouette contempler la place centrale, depuis le balcon.
- On raconte que les murs et le sol sont tapissés de peaux de bêtes précieuses aux origines diverses.
- Un gros chien gris se tient souvent devant la porte d'entrée, faisant le tour de la demeure et de la place avant de rentrer.
