Tabac BourhLey

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Tabac BourhLey

Tabac BourhLey}}

Informations RP
Type Arbuste
Saison Thermidor
Biomes
Forêt
Forêt Maritime
Ancien Monde
Aon















"L'art de la coupe d'un tabac, de sa préparation au bourrage et tirage d'un bon tabac brun ."











Découverte

Croquis d'un plant de tabac BourhLey.

La petite rousse venait d’entreprendre un cursus dans les sciences de la flore et de la faune. Désireuse d’en savoir davantage et d’en apprendre un peu plus sur le terrain, elle entreprit quelques journées d’expédition au coeur de la forêt d’Esperia.
La première journée de l’expédition, se fit florissante en découverte : s’en était moult pousses, germes, racines qui étaient entreposées dans des divers récipients : bocaux, fioles, voir même des serviettes ou du papier épais dans lesquelles étaient emballées les plantes.
Au bout de quelques heures, Leoplodine et son frère, arrivèrent au coeur d’une clairière boisée dont les herbacés les entourant, attirèrent formellement leurs attentions. S’agenouillant, elle porta à son nez, une feuille judicieusement choisie et l’huma : aucun doute pour la petite rousse, ils avaient découvert du tabac.
Emplissant généreusement ces dernières dans des bocaux épais, rempli de terre fraiche, ils continuèrent leur voyage. Une fois de retour en ville, Leoplodine disposa chaque plants dans divers pots, placés contre le mur du laboratoire dans une brève alternance entre l’ombre et la lumière, attendant.






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Journal : Observation, expérimentation et résultat

Feuilles de BourhLey en train de sécher.


Extraits des carnets de recherches de Leoplodine :


01/07/513


Les plants étaient entreposés dans un grand bac aligné contre le muret du laboratoire, reposant soigneusement dans un compost bien humide. Leoplodine avait lu que le tabac était une plante assez vivace, se débrouillant bien par elle même mais qu'elle ne devait pas manquée d'humidité durant sa culture sous peine de subir un mauvais tirage lors de l'allumage. Elle décida donc de verser des proportions différentes pour chaque plant, de plus sec au plus humide, laissant cette découverte de côté pour le moment.


ETAT : Les plants semblent avoir bien supportés le voyage, les feuilles sont en bon états.


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02/07/513


Quand la petite rousse pointa son nez au dessus des plants, elle pu constater qu'une forte odeur s'en dégageait, une odeur de tabac très relevée qui semblait montrer que les plant se portait bien... Tous ? Pas vraiment... Le plant le plus sec commençait à flétrir. Elle rajouta de ce fait, plus d'eau sur les plants les moins hydratés et passa à la suite.


ETAT : Les plants se portent bien mis à part le plus sec. Réhydratation en cours.


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03/07/513 - 05/07/513


Les plants de tabac semblaient pousser paisiblement, leurs feuilles dégageant maintenant une belle odeur de tabac humide. Elle pu noter que le plant le plus sec qui avait été hydraté, reprenait de l'aile et commençait à ressembler à ses camarades.
Leoplodine se dit que les plants était prêt maintenant pour diverses expériences. Ouvrant son cahier, elle commença à noter ses observations et son avis sur ces plants avant de continuer son tour.


ETAT : Plants de tabac semblent bien installés et ont survécu. Hrp : Ils sont maintenant prêt pour une tentative de découverte.


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Elle cueilla diverses feuilles parmi les plus grandes, les rangeant dans un petit sac en toile et partit chez elle. Une fois arrivée à la maisonnée, elle se servi d’une tige de bois large dont elle se servait usuellement pour étendre le linge. Un à un, les larges feuilles de tabac reposaient tel des chaussettes, sur l’étendoir, posé au dessus du four, four sur lequel reposait un baquet dont l’eau chauffait paisiblement. Prenant le baquet rempli d’eau chaude, elle monta à l’étage et fit sa toilette, s’occupant par la suite de taches diverses tel que répondre au courrier de la mairie ou encore continuer son dernier écrit.
La journée passa et la petite rousse s’endormit, les bras enveloppés dans ceux de Vaea, d’un sommeil profond, oubliant les chaussettes végétales.
Le lendemain, elle arriva devant son étendage et constata que les feuilles avaient bien séchées, cet instant les avaient fait passer d’une couleur verte clair à un brun sec. Les prenant et les fourrant dans plusieurs pots à confiture, elle alla au laboratoire afin de ne point gêner Vaea qui la regardait passer, la tête encore endormie devant un lait chaud.
Une fois arrivée au bâtiment, elle monta un à un les marches, les bras chargés de récipients, entrant dans l’atelier.
Disposant les feuilles empilées sur le plan de travail, elle sortit son ancien couteau de cuisine et découpa un à un les feuilles, les réduisant en petite coupure. Faisant un petit tas, elle sortit sa pipe et prise une petite quantité de tabac dans la paume de sa main. Bourrant une première, retassant avec son tasse-braise, rebourrant encore un peu, elle l’alluma avec son allume-feu d’une main habituée et tira.


Toussant aussitôt, elle continua à tirer jusqu’à la combustion complète du foyer non sans une certaine grimace. Retournant la pipe, elle vida les cendres par la fenêtre et se dirigea vers les plants, carnet à la main. Pendant le temps où elle exécutait divers croquis de ce curieux tabac, elle se demanda ce qu’elle pourrait faire d’un tabac aussi sec, pauvre en arôme et surtout fort...


Songeuse, elle décida d'appeler ce tabac " BourhLey ", jeu de mots un temps soit peu extravagant de " burlesque et laid ", montrant la déception de la jeune femme.


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Définition

Feuilles de BourhLey coupées et sechées.

Les plants de BourhLey sont vert clair, les tiges et les côtes sont blanc-crème. Les feuilles sont un peu plus larges que celles du tabac classique ou « Tabac des plaines » ( environ de 20 à 50 cm de long, de couleur brunt mat) et les plants sont généralement plus hauts.


Il se caractérise par un faible pourcentage en sucres et par un goût très âcre et relevé lors du tirage.


Le BourhLey sembla voir une une grande capacité d'absorption de l’humidité, s’imprégnant de cette dernière et séchant rapidement par la suite. La couleur des feuilles traitées varie du marron clair au roux et au marron foncé.


Un plant typique porte 20-30 feuilles. Les côtes des feuilles sont enlevées après le séchage.


Propriétés :


Ce tabac semble avoir des petites propriétés médicales une fois chiqué. Contrairement au fumage de ce tabac, laissant un gout âcre, le chiquage semble de bon goût et très apprécié de la population moyenne.


Ce dernier aiderait à faire passer la gueule de bois et détendrait un peu l'esprit selon les dires.


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Le saviez-vous ?

  • Le tabac sylvestre est inspiré du tabac Burley d'où le jeu de mot. Tabac à la coupe facile, devant être saucé avec divers arômes du fait de sa faible teneur en sucre.