Utilisateur:Durzann

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Vous consultez la fiche d'un personnage décédé.

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Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille






Métier
Métier
Compléments








Origines


Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Durzann
Pseudo
Durzann
Prénom IRL
Fanfan
Âge IRL
19





Le personnage

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Apparence physique

Esquisse de Durzann

Durzann mesure 1.73 mètres, de corpulence assez faible, il n'est guère impressionnant et son physique défaillant le rend soumis a toute situation physique contre lui. Il arbore une peau mate et immaculée, son visage est raffiné, et arbore une barbichette timide sous ses lèvres. Durzann est d'une grande beauté androgyne, ses yeux sont d'un blanc pur et vides, témoignant de sa cécité. S'il ne sort jamais sans son bâton, nécessaire pour progresser dans la ville, Durzann se déplace néanmoins le dos droit et la tête haute, il avance confiant sur les chemins qu'il connais. Durzann se place souvent en tailleur, posant son bâton sur ses genoux ou à coté de lui, il s'adresse aux gens, le regard vide porté sur le sol ou dans le ciel. Il demeure inexpressif, ne se servant pas de son visage pour exprimer ses sentiments.


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Apparence mentale

Né et ayant passé sa jeunesse au milieu d'une caravane Qadrajide , il ne se souvient pas de ce passé, Durzann en garde néanmoins toutes les qualités et politesses. Il parle avec précision, choisissant ses mots avec mure réflexion, il cherche peu à peu a s'insinuer dans la méthode de pensée de ses interlocuteurs pour en révéler les absurdités. Il apparaît froid et sa voix est monocorde, Durzann est quelqu'un de bienveillant avec ceux qui le mérite même si il ne le montre pas. Il est mue d'une très bonne capacité de comédie, lui permettant de prendre des rôles clés pour ses actions. Il avoue a tout le monde sa quête de vérité qu'il nomme "Philosophie". Son long vagabondage l'a enrichis d'un savoir populaire ou noble, il épouse les différentes cultures, débattant avec lui-même du fonctionnement des différentes sociétés. Durzann est une personne prônant la liberté plus que tout, Il tolère l'esclavagisme grâce à une théorie qu'il s'est constitué.

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But et rêves

La Vérité, l’oubli de soi, le bonheur de l'autre

Durzann poursuis une quête infinie, la Quête de la vérité, Il sait pertinemment que celle-ci est dérisoire et n'atteindra jamais son but, mais il se nourris de chaque progression et de chaque débats. Se posant et posant sans cesse des questions auquel il n'apporte pas de réponse, Durzann avance plusieurs hypothèses et théories établies durant tout ses voyages. Un autre de ses rêve, est d'accomplir une thèse d'un vieux philosophe, rencontré alors qu'il approchait de ses quinze ans. Attiré par ses paroles sûres et mue de réflexion, Durzann s'approcha de lui pour écouter son enseignement, l'homme lui révéla des mots qui deviendrons bientôt le cheval de bataille du jeune aveugle :

« Le genre humain ne mettra pas fin à ses maux avant que la race de ceux qui, dans la rectitude et la vérité, s'adonnent à la philosophie n'ait accédé à l'autorité politique ou que ceux qui sont au pouvoir dans les cités ne s'adonnent véritablement à la philosophie, en vertu de quelque dispensation divine. »

Durzann poursuit alors une volonté politique, il souhaite devenir et enseigner pour les futurs dirigeant de la société, loin de désirer le pouvoir, qu'il juge néfaste pour la pratique de la philosophie, il défend que le meilleur dirigeant restera celui qui ne souhaite pas y être.

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Compétences

Endurance.png connaissance scientifiques : Tiré de sa curiosité et de son envie de savoir, il ne distingue pas de matières de s'intéresse à tout, ce qu'il lui donne une grande capacité d'adaptation dans les débats. Néanmoins ses connaissances émanent de ses rencontres et non d'un savoir venant des livres et des écrits.

Survie.png survie : Vagabond depuis ses plus lointains souvenirs, la survie à toujours été sa préoccupation première.

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Talents :

Art du discours : Durzann sait mener un débat, les mots sont ses armes et il les manient avec dextérité, il ne cherche néanmoins pas à utiliser ses mots pour persuader et écraser ses interlocuteurs, il cherche le poids de la vérité pour faire entendre raison.

Les sens éveillés : Aveugle de naissance, Durzann a développé une Ouie fine, qui lui permet d'entendre beaucoup de discussion éloignées ou faibles, son sens du toucher lui permet de reconnaître et de sentir les plus fines textures.

Comédie : Il possède une capacité à masquer ce qu'il ressent, que ce soit physique ou mental, il sait néanmoins interpréter différentes postures, pouvant passer pour un fou ou un Noble selon ses desseins.

Relations : Durzann sait convaincre et attirer des personnes auprès de lui, suscitant parfois la pitié, ou cherchant à impressionner, il à, dès sa période d'esclavage, su fréquenter amicalement , noble, citoyens et habitants pour s'entourer de puissant alliés.

Durzann parle la langue Qadjaride, il l'a apprise de part ses appartenances, Suite à un accident qui lui fit perdre la mémoire. Il a totalement oublié ce langage, néanmoins, les qadrajides d'Esperia font peu à peu remonter ses souvenirs...

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Défauts :

cécité : Le jeune homme est aveugle de naissance.

Faiblesse physique : accentué par son handicap, il ne peut faire aucuns métier demandant une pratique manuelle.

honnêteté : Mue par des principes, Durzann est un homme honnête qui respecte certains codes qu'il s'est lui même fixé

Faiblesse sociale : Aveugle et vagabond, le jeune homme fait peu confiance et n'a jamais connus l'amitié, il s'est toujours comporté de manière polie avec les gens, tout en restant en retrait, n'osant pas dévoiler ses sentiments, ce malaise le déstabilise depuis qu'il est à Esperia : Il parle de lui, et certaines personnes veulent l'écouter...

Polygame : L'aveugle aime les femmes, et se sait pouvoir en aimer plusieurs. Esperia a nourrit nombre de ses aventures, et, mal grès les réticences fortes, le jeune homme put jouir de plusieurs amantes en même temps.

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Esperia, l'heure du changement

Cette nouvelle ville à apporté nombres de changement dans sa personnalité, d'ordinaire distant et polis avec les gens, Durzann se met peu à peu à parler librement, a s'ouvrir aux gens, des débuts encore timides mais il se permet parfois de faire de l'humour, brisant ainsi son masque de glace. l'influence d'Esperia met à rude épreuve sa droiture, toujours aussi adepte de philosophie, il se surprend quelque fois a se bercer dans des affaires moins légales... Son intelligence et sa vivacité d'esprit est parfois employé pour écraser son interlocuteur.

l'Aveugle change et évolue peu à peu, nous verrons ce que le futur lui réserve.


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Les Qadjaride, le tribunal

Durzann à toujours été entre deux rochers, l'un à Esperia l'autre au sans fond. Depuis qu'on lui a appris qu'il étais qadjaride, Shahab l'a intégré au Clan du sans fond, ou il a fais tout ce qui étais en son pouvoir pour aider cette famille nouvellement retrouvée. Néanmoins, l'aveugle n'a pu s’empêcher de poursuivre ses buts, la politique et le bien de tous, ce qui l'a mené à la création d'une famille Esperienne pour commencer ses actions bénéfique. N'ayant pas prévenu le clan, il a pris cette décision seul, et lorsque Shahab l'a apprise, il l'a renié du Clan et l'a convoqué pour un ultime Tribunal en la présence de tout le clan.

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Le jugement du Chaudron

une dizaine de personnes, tous qadjarides, un homme entre, de sang mêlé, sombre et incertain, il tente de montrer tout le bienfaits qui l'anime... la mer avale ses dires et il sombre dans le néant.

• Il n'est plus, et ne sera jamais le père de l'enfant d'Horphelia.

• Il est un Kharedji qui vivra dans l'enceinte de la ville.

• Il ne parlera plus jamais Qadjaride.

• Il ne fera plus parti du clan.


Ces mots sont lourds... Si lourd.

Le jugement si ... erroné, si loin de la réalité...

Ce passé resurgis dois maintenant couler à jamais, Durzann, blessé au cœur, ne reniera jamais cette Justice qui s'est abattue sur lui, il restera droit et la respectera, qu'elle soit injuste ou non. Mais il sera toujours le père de cet enfant, et jamais il ne le niera, c'est une ... promesse de retour qui l'enflamme.

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L'Homme qui ne vis jamais la vie.

HRP : Paragraphes de candidature


Ses souvenirs de sa jeunesse, du temps ou il vivait avec sa famille sont flous. Il ne se rappelle que du fait qu'il était fils unique et que ses parents étaient riches de part leur activité commerciale. Vers 8 ou 9 ans ses parents l'ont abandonné dans une ville perdue sans explications. Durzann à pu survivre jusqu’à aujourd'hui par le seul fait qu'il suscite la pitié des gens. Toutes ses tentatives pour travailler se sont soldés par un échec, et il ne se plait pas à s'installer durablement dans une ville, il ère donc sans but, se distrayant de l'activité sonore et tactile du monde autours de lui.


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Un jours, à l'approche de ce qu'il semblait être sa 20ème ou sa 21ème années, alors qu'il arrivait dans un village de campagne en suivant une route par le contact du dallage du sol. Il fit la rencontre d'un convoi de marchand, en effet, plusieurs charrettes tractés par des bœufs (d'après ce qu'il entendait) arrivaient en face de lui. Les marchands et les quelques gardes disposés autours du convoi jaugèrent le jeune homme errant sur la route, bâton à la main et avec un petit sourire et l'un d'eux lui jeta une pierre. Celle-ci l'atteignit en pleine figure et complètement sonné, Durzann s'écroula sur le sol. Quand le convoi arriva à son niveau, l'un des marchands le prit par les pieds et le jeta dans le fossé humide où il y resta plusieurs heures avant de se réveiller.

Deux jours plus tard, il réussis tant bien que mal à atteindre un village ou il mit une semaine à se rétablir complètement, suite à cela, il quitta le hameaux pour reprendre sa route.


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Quelques semaines après, alors qu'il parcourait les étals d'un marché bruyant dans l'espoir qu'on lui donne de quoi manger. Durzann buta violemment contre un riche marchand qui passait devant lui. Ne l'ayant pas entendu, Il expliqua brièvement son handicap et s'excusa auprès de l'imposante personne. Mais celui-ci, le nez en sang ne voulu rien entendre et ordonna à ses deux gardes de l'empoigner et de le fouetter. Vingt coups plus tard, Durzann se releva péniblement, une dame qui à entendre sa voix semblait âgée lui apporta de l'eau et demanda si il avait besoin d'aide. Il bu l'eau mais déclina son offre. Une fois son bâton retrouvé il s'éloigna lentement de la place marchande si bruyante, et, sous le regard dépité des marchands pris la route de la place forte locale, pensant que celle-ci conduisait à la sortie de la ville. Une fois arrivée à l'enceinte, sur le pont levis précisément, les gardes en faction le sommèrent de s'arrêter :

_ Hop, toi là, l'encapuchonné tu va ou là ? On passe pas ici, annonça l'un des gardes.

Voyant que l'étrange homme au bâton continuait de tâtonner dans le vide, le garde continua :

_ Ah, Hykul, dit-il en s'adressant à son collègue. Je crois qu'on à un aveugle ! Eh bien monsieur ! Je suis désolé de vous avoir alpagué comme ça, mais ici c'est le chateau de notre seigneur, tu ne peux pas entrer. Dirige toi vers ta droite, tu y trouvera un dispenser, là bas tu trouvera nombre de personnes qui t'aiderons, je vais t'y conduire.

Durzann remercia le garde de la tête et pris la direction indiquée. Mais alors qu'il commençait à s'avancer, son bâton rencontra rapidement le vide, déséquilibré et instable, le garde acheva sa situation hésitante en le poussant dans la douve.

Sous l'hilarité générale des guerriers qui lui crachèrent dessus et vociférèrent des insultes. Durzann réussi à sortir de l'eau boueuse et peu profonde de la douve, puis il s'éloigna du lieu de son supplice complètement trempé et sale.

Il resta encore quelques heures en ville, récoltant quelques provisions, et il reprit sa route vers le sud sous une pluie torrentielle.


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Des années passèrent, toujours à errer de villes en villes, Durzann se retrouva proche de ce qu'il sentait être l'océan. Une routé étroite semblait serpenter le long d'une falaise, et on entendait l'eau se fracasser bruyamment contre les rochers plus bas. Alors qu'il se dirigeait vers un port, du moins d'après un passant qui l'avait renseigné. Il entendit distinctement un groupe nombreux d'hommes arrivant derrière lui, et les cliquetis de métal laissait penser qu'ils étaient armés et que certains étaient menottés. Alors que le groupe s'approchait rapidement de lui, il pu entendre la voix d'un jeune homme, complètement dépité :

_Eh boss ... Je crois qu'il y'en à un qui vient de crever.

Le groupe s'arrêta et des pas lourds se firent entendre, probablement le chef du groupe qui venait constater.

_Putain, c'est le 4ème ! On en possède plus que 9 maintenant et si j'en ramène pas 10 au chef je peu dire adieu à ma promotion... Ca vous amuse bande de larves ?! Hurla t'il à l'adresse des menottés. Après les avoir violemment frappé il reprit en s'adressant aux hommes armés : Y'a un village pas loin, et après c'est le port, là ou on doit expédier la marchandise, donc on va devoir prendre un péquenots de fermier et embrocher la famille pour pas laisser de traces. Gobert tu pass...

_attend, regarde, on pourrait prendre celui-là ! L'interrompit un de ses hommes en pointant l'aveugle du doigt.

Il y'eu un instant de silence, probablement qu'ils se concertèrent du regard, mais quoi qu'il en soit, le jeune gringalet fut rapidement écrasé et menotté, son bâton cassé gisait à ses pieds et leur chef attendit de bien cogner le jeune homme avant de l'incorporer à la chaîne commune des menottés.

_Bon allez, v'la qu'on à de la chance, c'est un beau jour ! En route pour Esperia bande de larves ! clama leur chef.

Le convoi reprit alors sa route sous un soleil étincelant, l'été battait son plein et la mer devait être magnifique.

Le jeune aveugle, complètement sonné et traîné en bout de chaîne eu juste le temps de murmurer :

_Merci...