Utilisateur:Lucie

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Vous consultez la fiche d'un personnage reparti dans l'ancien monde.

     200.png
Informations RP
Genre
Femme
Année de naissance
Rang


Famille


Quartier




Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
rosoquet
Pseudo
Lucie

























Lucie Florence Felicia d'Arsonval Cadirissa

"L’oiseau en cage rêvera des nuages." (Thème de Lucie)

Informations générales
  • Nom : d'Arsonval Cadirissa
  • Prénoms : Lucie Florence Felicia
  • Âge : ~20 ans
  • Taille : ~1m70
  • Poids : ~55 kg
  • Cheveux : Sombre
  • Yeux : Bleu
Type Choix
Métier


C. I


C. II


C. III


C. IV


Art-C

Grille Alambic.pngApothicaire

Grille Livre.pngLangue Adaarionne

Grille Selle.pngEquitation

Grille Perle d'Enderman.pngVide

Grille Perle d'Enderman.pngVide

Grille Violette.pngConnaissance de la flore

Lucie02.png


Corie Disterns

(Thème de Corie)

[Passer sa vie à regretter un amour perdu prouve que l'on a aimé vraiment et que notre existence ne fut pas totalement vaine]

  • Noms : Disterns
  • Prénoms : Corie
  • Vie : 492-513, Age: ~20 ans
  • Taille : ~1m65
  • Cheveux : Sombre
  • Yeux : Bordeaux


Corie, était... rayonnante ! Abandonnée par les méandres de la vie à Andessa l'enfant grandi ainsi en son hospice. La même journée horrible qui se répète de jour en jour, les soignants qui passent, et repassent, qui tentent de montrer leur intérêt pour vous. Mais rien n'avance, le mal est présent. Vous restez donc ici, éclairé par la simple lueur du ciel à travers les rideaux blancs de votre chambre. Des fois de nouvelles têtes se montrent en vous prétendant avoir le remède miracle à vos maux, ne désirant en réalité que le peu d'argent qu'il vous reste. De rares jours, vous avez la force de vous lever, de marcher. Vous profitez de ces rares moments ou vous pouvez vous sentir humain pour sortir vous aérer l'esprit, si toutefois vous ne chutez pas avant pour que l'on vous ramène en catastrophe dans votre chambre. Ainsi Corie vécut pendant une vingtaine d'années: "L'enfance, qu'est-ce ? et le ciel, puis-je le voir ?". Tant de questions auxquelles Corie n'arrivait pas à apporter de réponses.

Ce cycle interminable se répétait sans cesse, aujourd'hui je peux marcher, et demain ? Mon état ne fait que se dégrader selon les médecins, mais je garde la tête haute et ose sortir de ma chambre. J'enchaine les couloirs sans fin, me tenant au mur, arriverai-je à voir les jardins aujourd'hui ? Où est-ce que je m’écroulerai avant ? Je continue ma route, mais mes pas se font plus lourds, mon coeur bat de plus en plus vite, je vais rechuter. Malgré la douleur qui s'empare lentement de mon corps je fais encore quelques pas avant de m'effondrer sur cette jeune fille a la bure qui aillait me croiser. Mes paupières se font lourdes puis se ferment. À nouveau le noir, rien ne se passe, c'est pire que dans la chambre, aucun bruit, le silence le plus total, et moi qui attends, les heures passent, et je reste au milieu de ce noir.

Enfin je me réveille avec cette douleur vive à la tête. Ces rayons m’éblouissent alors lorsque je me risque à ouvrir un oeil, il fait jour. Je reste un long moment ainsi, n'ayant que faire du temps qui s'est arrêté pour moi il y a des années de ça. Agacée par la position, je me tourne, faisant dos à cette vive lumière. J'ouvre alors les yeux endoloris, et, du haut de mon lit, les pose sur mon chevet. Là, une multitude de formes, toutes faites de papier se reposent, n'attendant que moi pour vivre. Je me redresse du peu de force que j'ai et me penche alors sur le chevet ou, je bloque. La jeune fille à la bure était là, à mon chevet, la tête basse les mains jointes, elle prie semblant imperturbable. Puis comme si Arbitrio lui eut signalé mon réveil, elle redresse ses grands yeux azur vers moi, et le fixe ainsi les yeux remplis d'une profonde tristesse, laissant perler leurs larmes.

~


Cela fait maintenant quelques mois que la jeune fille à la bure vient régulièrement me voir. Que me veut-elle ? Je n'ai pourtant plus rien. Aujourd'hui encore, elle passe, elle toque à la porte, entre n'attendant pas de réponse puis s'incline de manière droite devant moi avant de se mettre a mon chevet, comme à chaque fois. Est-ce la une autre monotonie qui s'installe ? Je commence à croire que non. Elle... elle arrive à m'apporter de si grande chose qui semble pourtant si moindre pour elle, j'ai enfin mes réponses. Elle m'offre même des questions, elle m'enseigne la vie dehors, me l'apprend, ses hauts et ses bas qu'elle nous offre. Elle me conte son histoire, enfin, l'histoire qu'elle m'invente sans cesse. À chaque fois elle m'en offre de nouvelles facettes. Et puis, cela se finit, cet homme, Valter, vient la chercher, me lançant ce regard rempli de haine comme si je lui causais le plus grand mal du monde. Je ne connais maintenant pas de plus profonde déchirure que ces départs de la jeune fille à la bure.

Avec elle j'oublie, c'est comme si elle avait le pouvoir d’apaiser ma maladie, j'ai même réussi a sourire m'a-t-elle assuré, le plus beau de tous selon elle. Mais aujourd'hui rien ne va, l'orage fouette de sa pluie les vitres de la chambre. Cette journée ne put se résumer que par le ballet incessant des médecins et vacataires de l'hospice. Mais elle est restée là, a mon chevet, toute la journée, pendant que moi je ne faisais que cracher mon sang dans la bassine qu'on me tenait ou devait ingurgiter toutes sortes de remèdes aux gouts tous plus affreux les uns que les autres. Il y a moins d'une année, j'aurais préféré mourir lors d'un de ces jours. Mais aujourd'hui je ne veux plus. Je veux rester auprès d'elle ! Il est maintenant tard, mon état est redevenu plus ou moins stable même si un soignant veille toujours de l'autre côté de la porte. Il ne reste qu'elle et moi dans la pièce. Nous parlons de tout et de rien jusqu’à ce que je sente cette pression sur ma main. À l'autre bout, elle est la, elle veille sur moi ce soir, mais veillera-t-elle sur moi demain ? Elle entrouvre sa bouche, je sens ses mains qui tremblent. Elle est à bout, mais pourquoi ? Elle n'est pas malade elle, je... je ne peux lui faire du mal. Pourquoi s’inquiéterait-elle pour moi malgré ce que je suis ? Je sens alors son front heurter nos mains, ses larmes chaudes en ruissellent lentement sur ces dernières. Elle bredouille alors de sa bouche de faible mot, des mots que je n'avais pu entendre depuis des années.

Kaylane Cadirissa d'Arsonval

[L'amour d'une soeur est peut-être invisible mais tellement fort...]

Kaylane Cadirissa d'Arsonval 496 - 513

Alkymia

[Quand le petit oiseau devient grand, il faut qu’il cherche sa nourriture, et il trouve dans le désert bien des graines amères.]

Pielulu.jpg
  • Prénoms : Alkymia
  • Age : Un peu prés un an, née en aux alentours 513
  • Taille : ~50cm
  • Plumage : Noir, bleuâtre. Ventre blanc


La Pie Bavarde est de vocalisations gémissantes, de natures méfiantes elle n'hésitera pas à pousser son cri d'alarme. Elle adopte comme beaucoup de son espèce une tendance récurrente au vol d'objets brillants, extrêmement curieuse. Elle peut partir un jour comme une heure elle ne manquera pas de retrouver sa demeure.