Esperia

RolePlay :

Esperiennes, Esperiens,

En ce jour je quitte cette terre d’espoir qui a fait naître en moi de la joie et de la peine. La peine ayant dépassée la joie, ma place n’est plus en cette terre nouvelle.
Mais je ne pars pas sans rien laisser à cet endroit qui m’a recueilli, et permis d’accomplir bons nombres de choses. Esperia tu as eu vent de ma grande fortune et surement entendue parler des nombreuses possessions que je possède. Je ne pars pas avec tout, Esperia, ce soir, je t’en laisse une partie ; une partie de cette fortune maudite, un morceau de ce cadeau macabre.
Pourquoi maudit ? Pourquoi macabre ? Si tu connais mon histoire Esperia, et même plus, si tu connais l’histoire des Ahrondor, alors tu sauras que cet or n’a apporté que du malheur ; car avant la fille, le père avait déjà main mises sur cette immense fortune : Thorgan Ahrondor. Thorgan Ahrondor, mort en traître, décapité en place centrale, écarté de la politique et tombé en disgrâce car trop puissant, car trop influant, trahis par peur et par jalousie. L’on pensait son or tombé et volé par ses traîtres d’amis, jubilant au-dessus de son corps encore chaud ? Une partie peut être, une partie. Car l’homme est mort droit et fière, il est mort libre et fort, laissant derrière lui une fille, sa fille avec son plus grand secret. La cache de Thorgan Ahrondor , une rumeur ? Pas seulement…
Secret jamais révélé, cache engloutie par le passé, resurgit maintenant, mon départ annoncé. Tel père, tel fille, emmenant mon descendant direct avec moi, c’est à toi, Esperia, que je lègue une partie de ma vie, un morceau de ma fortune colossale, un pan de mes secrets également, aujourd’hui.
Certaines mauvaises langues crierons au mensonge, certains y croirons. Le choix est votre.

Pour t’aider dans ta quête, jeune présomptueux voici ce que j’apprécie le plus : une énigme.

• Mon premier patiente à l’ombre brûlante d’une de mes plus grandes fiertés, attendant de revoir la lumière du jour sur son sableux coussin. Je ne rouille pas, ne m’abime pas, mais je suis prisonnier du bois, mon geôlier se noyant lui-même dans son propre ennuis.
• Mon second est détenu par une personne qui ne peut l’utiliser, figée par une promesse de victoire dans un jeu ou seul l’esprit est maître. D’une guerre sans arme tu devras triompher, d’une bataille sans violence tu devras survivre.
• Mon troisième repose entre des mains souveraines, cachant une arme ou une solution, méthode la plus apprécié de ma personne, permettant une lutte sans contact. J’aime parader et me monter, cachant en mon sein un sombre secret.
• Mon quatrième git aux pieds du père, en quatre parties il se compose. Troubler le repos n’est pas la solution, je ne suis pas matériel.
• Mon tout est caché dans la niche du père. Après le passage de la voûte abyssale ; la voie du pêcheur t’y mènera, moult difficultés t’attendent. Emmenant avec toi mes quatre indices tu t’en sortiras avec malice.


• Indice et aide se trouve caché dans le passé et l’avenir de cette cité. Dans mon écrin doré, sous le poids d’une pierre bleue j’attends la délivrance.