Esperia

Le soleil venait d'atteindre son zénith qu'un homme gravit les marches du sénat, monta sur l’estrade puis d'une puissante voix s'élança :

Citoyens d'Esperia ! Citoyennes ! Gardes ! Marchands, Commerçants ! Qui que vous soyez, approchez et venez écoutez mes paroles.

Les villageois, intrigués, s'approchèrent.

Certain d'entre vous connaissent mon visage, en vous regardant ici, je vois les vôtres et sur vos têtes je lis les mêmes mots de désespoir que je vois dans les histoires triste. Pourquoi venir dans une ville nouvelle si ce n'est pour y trouver une vie nouvelle ?! Écoutez, écoutez ce que j'ai à vous dire Citoyens, Citoyennes... Je ne viens pas pour vous promettre des miracles, je viens pour vous assurer que moi, Alkyr, serait là ! LA ! Pour vous ! Pour le peuple ! Qu'est-ce que cela peut-il signifier ? Mise-à-part des paroles ? Encore une fois mes amis... Encore une fois certain d'entres vous me connaisse, Je ne suis pas là pour vous dire quoi faire, c'est VOUS ! c'est VOUS !!!

Accentuant la voix et amplifiant le son de cette dernière

Citoyens d'Esperia ! Je serais la Voix du Peuple ! à travers moi, vous serez écoutez ! à travers moi, vous serez ENTENDU ! à travers moi, vous ne serez plus JAMAIS ESCLAVE D'UN GOUVERNEMENT !

marquant une pause et diminuant le rythme de sa voix

Citoyens... Citoyennes... Je ne peux forcer aucuns et aucunes d'entres vous à me croire. Je vous demande juste une chose : Me faire confiance, car ensemble : Nous pouvons allez loin ! Ensemble nous pourrons donner à cette ville ! La couleur d'or qu'elle mérite !

Votez pour moi ! C'est votez pour Esperia ! Seul on va plus vite mais à plusieurs on va plus loin !

Kron écoutait ce nouveau discours discours avec attention et se demanda une fois de plus pourquoi tout ces hommes parlait de malheur et de désastre . Alors que rien de tout cela n'est sur le point d'arrivé . Sommes nous proches d'une famine ?? Manquons nous d'argent ??
Les seules événements qui attristent nos vies sont les monstre qui nous harcèlent . Kron repartit vers la taverne ,ou lui au moins ne se torchais pas la tête a longueur de journée contrairement a certains postulants sénateurs , en se disant que si lui voulait être sénateur c'était afin de participer a l'évolution de cette ville .

Boubek, qui passait par la suite à une grosse commande de teinture s'arreta et écouta l'homme. Une fois que celui-ci eu finis, Boubek se demanda:
"C'est bien beau ce qu'il dit, mais... c'est qui lui ? D'où il sort, je l'ai jamais vu moi... Qui voterai pour un inconnu... surtout avec une gueule pareil..."