Agustino Sarisson
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| Informations | |
| Nom | Agustino Sirasson |
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| Sexe |  |
| Naissance | 477 |
| Famille | |
| Famille de naissance | Sirasson |
| Père | Iago Sirasson |
| Mère | Narcissa Talrhoran |
| Fonction & Croyance | |
| Rang | Peuple |
| Fonction | Verrier |
| Religion | Monachisme |
| Origines | |
| Ville de Résidence | La Capitale |
| Ville d'origine | Tenence |
| Région d'origine | Vellabria |
| Nation d'origine | République Marchande de Caroggia |
Origine
Agustino est né à Tenence, au sein d’une famille de vendeurs d’étain. Il grandit dans les parties miséreuses du marché aux minerais de Tenence, quémandant des piécettes aux badeaux. Le jeune garçon était émerveillé à chaque passage d’un individu riche. La richesse et le faste le fascinait au-delà de la raison. Son plaisir coupable dans sa jeunesse était ainsi d’escalader les murs des manoirs locaux les soirs de fête afin d’y observer les festivités et s’immerger dans la vie de la haute société.
Dévoré d’ambition, il s’endetta auprès de la banque Kemaltar, se faisant passer pour le jeune fils d’un oligarque de passage pour obtenir le prêt. Il utilisa l’argent pour acheter un poste d’apprenti auprès d’un verrier renommé. Accepté à seize ans, il quitta la maison de ses parents pour ne jamais y revenir ou les revoir.
Le verrier ambitieux
En grandissant, Agustino acquit un savoir faire certain et prouva être un féroce commerçant en plus d’être un excellent verrier. Il connut quelques déboires lorsque les banquiers découvrirent son identité et qu’il fut forcé de rembourser avec d’exhorbitants intérêts. L’évènement décupla encore plus sa cupidité et son goût de la réussite, arrachée à la sueur de son front. Chaque humiliation devenait une motivation pour atteindre un rang auquel plus personne n’oserait le déranger.
Ne se satisfaisant pas des revenus d’un atelier de verrerie, il se diversifia. Il se découvrit d’autres talents dans l’orfèvrerie et la décoration, détournant les nombreux enseignements qu’il avait reçu concernant la fabrication de chasis de vitraux.
Il usait de son argent et de son temps libre pour se rapprocher d’artistes et de gens qui comptent dans tout Vellabria et à Caroggia où il entre sous la protection de la vieille Settima Vencesli. Grâce à son mécénat, Agustino s’employant à se faire un nom en proposant davantage que juste de beaux verres. Il en faisait des oeuvres d’art qui comptait également dorures, décorations, choix de mobilier et décoration outrageusement riche. Le nom de Agustino Sirasson devint synonyme de grand luxe, à défaut de bon goût.
Le contrat capitalin
En septembre 510, Agustino fut engagé pour organiser la décoration d’un manoir à Pendil. L’employeur se nommait Joshua Desiterre. Les deux hommes s’entendirent à merveille, développant une réelle amitié entre hommes ambitieux et amateurs de luxe et plaisirs de la haute vie. A l’issue du chantier, un an plus tard, Agustino ne ressentit pas la nostalgie du sud et demeura auprès de Joshua. Il se fit remarquer par la suite en oeuvrant sur le chantier du Palais Royal.
