Utilisateur:Eylinn : Différence entre versions

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m (Mise à jour des rôles (2020))
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Version du 29 novembre 2020 à 15:39



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Informations RP
Nom
Genre
Femme
Année de naissance
Rang


Famille






Métier
Métier
Compléments





Fonction
Casseuse de nez



Origines


Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Evalie
Âge IRL
21
Rôle













Eylinn1.jpg

Forgée dans le feu


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Ebauche

Prénom : Eylinn.

Nom : Geirrdottir.

Âge : Plonge dans une vingtaine fraîche.

Peuple : Royaume d'Eyjarfolk.


Taille : Haute, 1m71.

Silhouette : 68 kg, athlétique et pourvue de muscles.


Métier : Guerrière, oeuvre dans l'art du combat.

Religion : Monachiste aux traditions eyjarskas.



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De griffes et de lave

EylinnChignon.jpg
Eylinn a tout l’air d’un personnage aussi attachant qu'imprévisible. Haute en couleurs, le constat est simple : soit on s’y accroche, soit on la hait. Ses paroles sont à l’instar de son regard. Percutantes. Cinglantes et pétries d’assurance. La guerrière d’acier sait ce qu’elle veut et quand elle veut … la plupart du temps. Les parures ne l’intéressent guère, et son quotidien comme son mental s'affutent avec des valeurs authentiques, claires comme le bleu scintillant d’un ciel dépourvu de noirceur.

Droite et fière, honnête quoiqu’abrupte, mais également grossière, sans vergogne et colérique, Eylinn n’a à première vue guère tout pour plaire -bien au contraire. Pourtant, sa franchise n’a pas de limite. S’il faut se souder pour écarter un camarade de la crasse, ou faire preuve d’abnégation pour les siens, l’Eyjarska n’hésite pas. Elle se comporte telle une louve méfiante, dont le crin de jais se hérisse lorsqu’on s’approche trop près d’elle ou de ses proches.

Cette faculté à déployer les crocs marque autant sa force que sa faiblesse. Eylinn ne se laisse pas piétiner. Elle lève le menton haut et réplique avec l’ardeur de ses poings, ou des mots. Le monde n’est pas permis pour les couards, et cela, la combattante de fer ne le sait que trop bien. Le comportement d’une femme ne l’a jamais séduite, si bien qu’elle se complait dans celui d’un homme. Certainement est-ce une protection, un bouclier pour la préserver du mal qui peut l’encercler étroitement ; ou bien un mode de vie qui lui plaît sans détour.

Chasser la vie ou se faire chasser par elle : son choix est inscrit au fusain avec un tracé net et gras.

Et la chasse ne fait que commencer.


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De jais et d'argent

Yeux de braise, prunelles d’encre -ce sont elles qui saisissent, fendent et heurtent ce qui les entoure. Eylinn est une femme de poigne : soit elle frappe avec ses poings, soit de son regard pers. L’oeil dérive sur la stigmate qui pourfend son sourcil gauche, inscrite avec une ligne précise et polie. Elle surplombe des yeux dont la couleur, pareille à un lac bleu-vert plongé sous le baiser de la lune, évoque quelquefois un calme placide … ou un feu-follet de volonté. Des mèches de jais se plaisent à y couler. Leurs reflets légèrement argent contrastent avec la jeunesse de ses traits. De fer et d’obsidienne quelques nuances agrémentent la crinière fauve de la combattante, qui demeure lisse ou ondule sous la pluie. Sous l’étreinte du soleil, c’est un alliage noir et bis qui se découvre au regard, et au creux de la nuit, l’ébène prédomine.

La jeune femme semble goûter à une vingtaine impétueuse, à son image. Véhémente, cette force du nord ne paraît guère encline à se laisser écraser. De loin et encore davantage de près. Toutefois, en opposition avec ce caractère de feu inscrit à même les expressions de Eylinn, la douceur est réfugiée sur sa frimousse. Elle se dévoile lorsque la tranquillité s’écoule à son gré.

En outre, la silhouette de la fougueuse attire l’oeil : elle inspire un air farouche, voire peu commode. La guerrière d’acier est forgée pour le combat, et une oeillade sur sa carrure suffit pour le relater. Haute d’1m71, Eylinn ne se pare que d’étoffes masculines. Elle camoufle au plus ses formes de femme afin de donner l’illusion de la stature d’un homme. Des bandages sommaires atténuent le volume de sa poitrine, ses frusques sont trop larges et ne portent rien qui évoque la délicatesse. Seul son visage renseigne son genre, lui qu’un pinceau doux trace. Pourtant, malgré ses muscles et sa démarche, la combattante de fer porte sous les tissus la signature indélébile du genre féminin. Qu’il s’agisse de sa taille creusée ou de ses hanches et épaules alignées. Et lorsqu’on le découvre, le sacrifice de sa féminité semble évident.

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Compétences

Architecte

Combat T2

Régulier : épée à une main & poings

Architecte

Art du luth

Grille Buisson.png

Escalade


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Possessions visibles

Collier de cuir et de bois


Fourreau