Utilisateur:Märim nevio

De Wiki'speria
Révision datée du 2 avril 2014 à 18:13 par Märim nevio (discussion | contributions)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)
Aller à : navigation, rechercher


Vous consultez la fiche d'un personnage décédé.

     Märim Nevio
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille






Métier
Métier
Compléments





Fonction
Valet



Origines
Région d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
YamT
Pseudo
Marim
Prénom IRL
Marie (lel)
Âge IRL
22 ans




Description

  • Nom : Nevio
  • Prénom : Märim (dire Mèrim)
  • Âge : 35 ans
  •  : En 578, dans un petit village de la Vellabria, à quelques jours de marche de Caroggia, où il a ensuite passé son adolescence.
  • Taille : Assez grand.
  • Poids : Plutôt svelte.
  • Métier : Apothicaire et valet de Balthazar Velutti.
  • Rang social : Habitant
  • Arrivé à Esperia : Le mardi 26 juin 513.

Compétences

Märim exerce depuis de nombreuses années le métier d'apothicaire parallèlement à son occupation de domestique. Il a donc de nombreuses connaissances dans les domaines suivants :

  • Alchimie
  • Alphabétisation et Calcul
  • Connaissance de la Flore
  • Connaissances Scientifiques
  • Minutie

Märim est également très agile, se déplaçant souvent rapidement, furtivement, pour espionner. Il sait se montrer discret.

Qualités/Défauts

Märim est extrêmement poli, pieux, respectueux, toujours habillé impeccablement, présentable, galant, silencieux.

Intérêts culturels et goûts

Connaissances

Histoire

Une enfance ... normale ?

Il regardait son père se lisser la moustache avec application, tandis que sa mère préparait le repas. Märim était assis dans un coin de la pièce, observant silencieusement.
Sa mère semblait perdue dans ses pensées, touillant dans sa casserole, fixant le mélange qui tournait doucement. Son père plissait les yeux, regardant son reflet dans le miroir, observant sa barbe, l’air très préoccupé. Märim les observait avec attention.
Sa mère se retourna soudain vers lui.

- Märim, tu peux...

Märim la regardait de ses petits yeux bruns, sans rien dire.

- Oh, ajouta-t-elle après un court instant.

Märim avait déjà mis la table. Sa mère se retourna vers sa casserole, et continua de touiller, rongeant distraitement l’ongle de son pouce gauche. Märim regardait à présent son père qui se parfumait avec un liquide odorant dont Märim ne connaissait pas le nom. Le parfum lui piquait le nez, le faisant même éternuer au début, mais maintenant, il s’était habitué.
Le père se retourna, sa moustache impeccablement stylisée, esquissant un sourire satisfait. Il se dirigea vers sa femme qui se retourna brusquement dès qu’elle se rendit compte qu’il approchait.

- À table ! s’exclama-t-elle un peu trop fort.

Le père s’assit à table, posant sa serviette sur ses genoux, se frottant les mains en voyant sa femme arriver et poser la grande casserole sur une pièce de bois, pour ne pas abîmer la table.
C’était du ragoût de boeuf, le même que faisait toujours sa mère quand le père de Märim avait congé. Il en raffolait, mais pas autant que son père. L’odeur était presque enchanteresse. Märim attendit que son père soit confortablement assis pour rejoindre la table à son tour, tandis que sa mère commençait à servir son père.
Märim les observa, toujours silencieusement, son père dévorant déjà goulûment le contenu de son assiette, sa mère l’observant, sa main un peu crispée sur la spatule qu’elle tenait dans sa main droite. Elle approcha sa main ensuite de l’assiette de son fils, mais en croisant son regard, elle s’arrêta, quelque peu surprise. Märim la fixait sans rien dire. Il bougea imperceptiblement sa tête, faisant signe qu’il ne voulait pas manger. Sa mère continua de le regarder sans rien dire, puis tourna la tête vers son mari qui avait déjà presque fini son assiette. Il avait développé l’incroyable technique de manger comme un ogre sans jamais se mettre de la sauce plein sa barbe ou abîmer la sculpture capillaire qui ornait son visage.

- Ah ! Décidément ma chérie ! Tu te surpasses à chaque fois ! déclara-t-il de sa voix puissante, pleine d’entrain.

Il ne parlait pas nécessairement fort, mais il avait la voix qui portait. Il fallait bien, pour se faire entendre sur le marché où il vendait les produits de sa femme. La mère de Märim était apothicaire, elle préparait des onguents et des potions, diverses tisanes miracles, et le père de Märim l’aidait à les vendre au marché.
Ils habitaient un village de la Vellabria, à quelques journées de marche de Caroggia. Il faisait toujours beau et chaud, Märim allait jouer dehors ou alors il passait du temps avec sa mère et observait ses moindres faits et gestes, comme il le faisait toujours lorsqu’il trouvait qu’une personne avait l’air intéressante. Le travail de sa mère l’était, évidemment.
Il connaissait bon nombre de plantes et d’ingrédients qu’elle utilisait, même s’il n’en connaissait pas toujours les noms, il connaissait leur utilité et la façon de les préparer.

- Reprends-en, dit sa mère d’une voix un peu tremblante.

Elle le resservit et il continua d’engloutir son repas, n’ayant même pas remarqué que son fils n’avait pas été servi. Märim lui, par contre, avait remarqué que sa mère avait rajouté un ingrédient au ragoût, un qu’elle ne mettait jamais dedans d’habitude, un qu’elle utilisait pour faire des tisanes qui, apparemment, faisaient s’endormir les gens. Ça ne devait pas avoir beaucoup de goût, sinon son père l’aurait senti. Ou alors, peut-être que c’était pour ça que son père avait particulièrement apprécié le ragoût ?
À peine l’homme avait-il finit son assiette qu’il se relevait déjà et partait en direction de la chambre à coucher. Märim regardait sa mère, qui elle regardait son mari, qui lui regardait on ne sait où, mais pas dans leur direction.

- Chérie ! Envoie le gosse dehors et viens faire la-...

Puis un bruit de corps qui tombe lourdement sur un matelas. Et puis plus rien. La mère resta figée un instant, fixant l’encadrement de la porte qui menait à la chambre. Après quelques secondes, elle tourna la tête vers Märim qui n’était plus là. Elle regarda autour d’elle, surprise, puis reposa la spatule, laissa la casserole de ragoût sur la table, enleva son tablier, se lava rapidement les mains et entendit un bruit. Elle se retourna et vit son fils, posant un sac sur une chaise, finissant d’emballer quelques biscuits, ses chaussures mises et sa veste sur les épaules. À nouveau, elle le regarda, tandis qu’il fourrait les biscuits dans son sac, l’air tranquille.
Il releva les yeux vers elle et fit un petit geste de la tête en direction de la chambre.
La mère, éberluée, marcha rapidement en direction de la chambre, retrouvant son mari affalé sur le lit, assommé par le puissant somnifère qu’elle avait ajouté au ragoût, son oeuvre d’art capillaire complètement anéantie lorsque son visage s’était écrasé sur le matelas. Elle attrapa le sac déjà prêt qu’elle avait caché sous le lit, attrapant encore quelques affaires au passage, puis sorti de la chambre, se retrouvant nez à nez avec son fils qui lui présentait sa veste de voyage. Elle la mit, enfila ses bottes et attrapa la main de son fils qu’elle tira dehors. Il la suivit sans broncher.
Une fois dehors, elle rabattit sa capuche et se mit à avancer d’un pas rapide en direction de la grand rue. Le soleil commençait à se coucher, rendant le ciel orange et les nuages roses. Märim aimait bien marcher dans la rue le soir, surtout pendant que les gens mangeaient. L’air était plus frais, il avait la place de circuler sans risquer de se faire renverser.
Arrivés à la grand rue, la femme se dirigea en direction de la sortie du village, vers le sud. Märim la suivait tranquillement, vérifiant bien que son sac restait fermé et que personne ne faisait attention à eux. Ils sortirent du village et commencèrent à descendre la route. Märim avait un peu peur, mais pour ne pas inquiéter sa maman, il resta silencieux et continua d’avancer. Après quelques minutes, derrière une colline, Märim aperçut ce qui semblait être une charrette, recouverte d’une toile qui permettait d’abriter les gens qu’elle transportait. Il sentit la main de sa mère se serrer un peu plus sur la sienne tandis qu’ils s’en approchaient, et elle accéléra même le pas.
Un homme en descendit en les voyant arriver. Il se dirigea vers eux, regarda la mère de Märim d’un air interrogateur, mais celle-ci lui lança un regard un peu froid.

- Monte, Märim, dit-elle au garçonnet qui s’exécuta.

Il se hissa sur le véhicule et alla s’asseoir sous la toile, s’installant et ouvrant son sac pour en sortir des biscuits. Mordant dans un petit gâteau, il regarda devant lui, puis sur le côté, voyant l’ombre des deux adultes projetée sur la toile. Les deux silhouettes semblaient ne plus en faire qu’une, et lorsqu’un coup de vent fit voler le tissu devant lui, Märim aperçu l’homme et sa mère dans les bras l’un de l’autre, s’embrassant.
Gêné, il détourna le regard, regardant son biscuit et attendant qu’ils aient fini. Peu de temps après, ils montèrent sur la charrette et commencèrent à avancer.
Märim, fatigué et un peu perdu, s’était allongé derrière, tandis que sa mère et l’homme étaient assis devant. La femme se retournait de temps à autre pour voir ce que son fils faisait, visiblement troublée, tenant fermement la main de son aimant, alors qu’ils partaient en direction de Caroggia et que la nuit tombait.



Un Valet

Une fois installés à Caroggia avec l’amant de sa mère, un bien brave homme, qu’elle semblait réellement aimer, Märim et elle vécurent aussi simplement qu’avant, sauf qu’elle semblait moins préoccupée par tout ce qui l’entourait.
Märim grandissait, devenait un jeune homme, toujours serviable, apprenant finalement le métier de sa mère avec elle. La vie était plutôt calme, simple. Lorsqu’il fut en âge de se débrouiller seul, il trouva une place de valet auprès d’un bourgeois en ville. Il se montrait toujours discret, effacé, réservé, s’habillant de noir, portant un chapeau (une lubie de son maître qui exigeait que ses employés aient une certaine prestance, ou quelque chose comme ça, mais ça ne dérangeait pas Märim) et un monocle, acheté par son maître lorsque Märim lui fit part de son incapacité à voir correctement de cet oeil. Son maître avait trouvé cela absolument fantastique de voir arriver Märim, portant ses habits de valet impeccablement, son chapeau sur la tête et son monocle qui lui donnait un air intelligent, un peu hautain, presque noble.
Märim, bien que n’en ayant jamais voulu à sa mère de l’avoir arrachée à son père, décida tout de même de se laisser pousser la barbe et la moustache, en prenant soin, mais ne cherchant jamais à se faire remarquer, comme le faisait son père avant lui.
Il travailla de longues années auprès de son maître, accomplissant diverses tâches, mais lui préparant également diverses concoctions pour ses maux de corps ou d’esprit, pour l’aider à dormir ou à s’occuper de ces dames...
Il avait d’ailleurs fini par se marier avec une jeune femme plutôt jolie, fille de marchand aisé. Elle avait l’air un peu passif, mais elle semblait s’accommoder de son rôle d’épouse et le maître ne manquait pas de l’emmener avec lui partout, l’exhibant devant ses amis comme un trophée de chasse.
Märim sentait que ça finirait mal, mais comme toujours, il se contentait d’observer et de ne rien dire, il n’était pas payé pour ça, et il n’osait pas risquer de manquer de respect à quelqu’un socialement plus élevé que lui. S’il perdait ce travail, et que son maître disait autour de lui qu’il était un mauvais valet, plus personne ne voudrait de lui.
Mais un jour, Märim accompagna Madame au marché et en ville pour faire une promenade. Il resta comme toujours discret, poli, ne parlant que lorsque c’était nécessaire, et Madame rencontra ses amies, mangea quelques pâtisseries, bu un peu de thé. Il commençait à se faire un peu tard, lorsque Madame se décida enfin à rentrer chez eux. Märim la raccompagna à sa chambre, redescendant à la cuisine pour lui chercher son repas, prenant au passage des draps propres pour le lit. Il remonta dans les étages, l’esprit ailleurs, puis frappa trois coups à la porte de la chambre et entra. Il entreprit de déposer le drap propre sur le lit, tenant le plateau d’une seule main, lorsqu’il releva les yeux et vit le dos nu de Madame qui se mettait en robe de chambre dans un miroir en face de lui. Le plateau vînt s’écraser sur le lit dans un grand fracat de vaisselle, la soupe se reversant sur le matelas et éclaboussant les vêtements impeccables de Märim. Surprise par le bruit, Madame se retourna en criant, et Märim vit à nouveau le reflet dans le miroir, mais cette fois, elle était de face.
Piquant un fard, Märim décida de sortir et de laisser Madame finir de se changer.

- Je suis désolé Madame, je vais préparer la chambre d’ami pour que vous y passiez la nuit, dit-il à travers la porte, se maudissant d’avoir fauté de la sorte.

Il redescendit chercher des draps et remonta, se dirigeant au fond du couloir sombre, vers la chambre d’ami. Il ouvrit la porte et aperçu sur le lit, éclairé par la lumière de la lune qui s'immisçait par la fenêtre, son maître.
Nu.
Avec un autre homme.
Nu, lui aussi.
Ils se regardèrent tous, éberlués, le temps de réaliser ce qui se passait, et Märim referma brusquement la porte, en perdant son monocle sous la surprise. Il s’avança dans le couloir, ne sachant pas vraiment quoi faire, arrivant devant la chambre de Madame qui ouvrit la porte à ce moment-là. Märim la regarda, les yeux écarquillés, elle le regarda sans comprendre. Un ange passa.

- Märim ? Vous allez b-...

Il la poussa dans la chambre dont elle venait de sortir et referma la porte. La femme ne se débattit pas, ne comprenant pas ce qu’il faisait. Elle resta derrière la porte sans bouger, tandis que le valet restait planté droit comme un i devant la porte, tentant d’analyser la situation le plus rapidement possible.

- Märim ?

Tandis qu’elle frappait à la porte depuis l’intérieur de sa chambre, comme pour demander si elle pouvait sortir, Märim entendit un bruit de porte qui s’ouvrait à l’autre bout du couloir, et, paniquant, décida de se cacher dans la chambre. Il ouvrit la porte brusquement et celle-ci s’écrasa contre le nez de Madame qui poussa un cri de douleur.
Grimaçant, il jeta un coup d’oeil dans le couloir et vit deux silhouettes arriver en hâte, il referma alors la porte, et regarda dans la chambre. Madame était pliée en deux, son nez saignant sur ses mains et sa robe de chambre, coulant dans son décolleté, le plateau avec le repas toujours éparpillé sur le lit et le sol, tandis qu’on tambourinait à la porte.

- MÄRIM ! OUVRE CETTE PORTE !

La voix de son maître, qu’il n’avait jamais entendu aussi énervé que ça. Madame se releva, les yeux en larmes, le nez en sang, tandis que le maître ouvrait la porte et que Märim perdait ses moyens.
Se retrouvant entre le mari paniqué et la femme qui pleurait, Märim décida de sortir de la chambre, de descendre les escaliers, de sortir de la maison et d’avancer sans but dans la rue noire.

Après une nuit passée dehors à tourner en rond, il avait décidé de revenir chercher ses affaires, déposant une lettre pour son maître où il disait qu’au vu des circonstances, il valait peut-être mieux qu’il s’en aille. Il n’eut même pas le temps de poser discrètement sa lettre que déjà son maître arrivait et le saisissait au col, le menaçant de diverses choses, allant jusqu’à le tuer si jamais il révélait quoi que ce soit à sa femme ou à n’importe qui d’autre.
Märim ne dit rien, montant chercher ses affaires, laissant un calmant sur la table pour Madame, et quittant la maison dans laquelle il a vécu pendant tant d’années, ne sachant pas vraiment où aller.

Il avait finalement atterrit dans une auberge, trouvant une petite chambre où s’installer, et recommençant à chercher du travail en tant qu'apothicaire ou valet. Mais son maître avait déjà fait circuler la rumeur qu’il n’était plus bon à rien et Märim se retrouvait seul à boire dans la taverne du coin. Les jours passaient sans que Märim ne sache quoi faire, jusqu’à ce qu’un homme, la trentaine, l’air assuré, bien habillé, s'asseye en face de lui.
Märim et lui discutèrent. Il s’agissait d’un magicien, visiblement volage et qui avait besoin d’un homme pour s’occuper de ses affaires derrière lui. Märim savait très bien faire cela, et il avait besoin d’un employeur.
Parlant d’un ton théâtral, Balthazar Velutti proposa ainsi à Märim Nevio de devenir son valet et de l’assister dans ses affaires. Voyant là une occasion inespérée de retrouver du travail, Märim accepta avec reconnaissance la proposition de l’homme et le servit du mieux qu’il le put.



Une représentation extraordinaire

Märim avait le trac, comme toujours lors des représentations de Balthazar. La salle était pleine à craquer, des gens essayaient de rentrer et il avait fallut demander aux gardes de les en empêcher. C’était probablement la plus belle salle qu’il avait jamais vue.
Il regardait le magicien faire disparaître divers animaux, et les gens s’émerveiller de les voir réapparaître autre part. Le trac montait à mesure que le tour principal se rapprochait.
Et si ça se passait mal, cette fois ? Le Magicien lui avait toujours dit de ne pas s’en faire, mais savait-on jamais ? Les ratés, ça arrivaient, même aux plus grands de ce monde, et Balthazar Velutti commençait à en faire partie.
Se tenant prêt, il attendit que le magicien disparaisse derrière un nuage de fumée et d’étincelles, que le public hurle au miracle et que le brouhaha se fasse pour s’avancer.
Il apparut et leva haut les bras.Il fut acclamé par un tonnerre d’applaudissements et de hourras de toute la salle, ne comprenant pas tout de suite ce qu’il se passait lorsque des cris bien moins émerveillés se firent entendre dans un coin de la sale.

- Au voleur !

Se mordant la lèvre, il respira un grand coup et disparu à nouveau dans un nuage de fumée. Il courut en coulisse, déclenchant les explosions et autres artifices dans la salle, avant de sortir rapidement et de rejoindre son compagnon à l’extérieur, comme convenu.
Marchant d’un pas rapide, discrètement, ils laissèrent derrière eux le théâtre en proie aux flammes. Arrivés au port, ils retournèrent leurs poches. Pas grand chose, mais heureusement quand même, il leur restait les quelques pièces qui venaient d’être volée au théâtre, cause de toute l’agitation provoquée par la suite.
Discutant rapidement des possibilités de fuites qui s’offraient à eux, ils embarquèrent sur un navire en direction de Fort Lointain, se disant qu’avec un peu de chance, ils pourraient s’en tirer en arrivant à Esperia.