Utilisateur:Sybelle rivenoire

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Hors RolePlay :

Ne pas hésiter à corriger des fautes que vous pouvez voir. J'écris au fil de la plume sans corriger dans l'instant. De plus, je vois ma page wiki comme un récit et j'apprécie avoir des retours de mes lecteurs alors n'hésitez pas à me mp forum/mumble/jeu pour en discuter.
Pour rappel : sur la page wiki, le récit et les relations sont écrit du point de vu de Sybelle donc elle peut être vulgaire, crue et cruelle dans certains cas. A ne pas prendre personnellement ! Bisous <3



Vous consultez la fiche d'un personnage absent d'Esperia.

     Sybelle Phareste
Informations RP
Genre
Femme
Année de naissance
Rang


Famille


Quartier




Métier
Métier
Compléments





Fonction
Lavandière d'Adobe



Origines
Ville d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Eliadorina
Prénom IRL
Anne
Âge IRL
22ans





Vipère.png



Caractéristiques principales


En quelques mots...

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Prénom : Sybelle

Nom : Rivenoire Phareste

Aussi appelée : La Vipère ou encore l'Empoisonneuse à la Capitale. Sur Esperia les seuls surnoms qu'elle a entendu la concernant sont : L'rouquine, l'ptite, petite tête de feu, crin d'feu, boute-en-feu, la marchande de nuit.

Âge : 21ans le 11 février 515

Religion : Phalangiste

Langues parlées : Le Capitalin, l'Hura.
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Etat physique et médical

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Etat physique: dans les 1m50-55 pour 40-45kg. Menue et sans muscle apparent.

Etat médical:


---


Ombre ... Lumière

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Sybelle eau.png

Généralités

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Serpent 03.png

La vipère, l’empoisonneuse... tellement de surnoms ingrats pour ce petit bout de femme. Le vert vif de ses yeux, son regard captivant et son éloignement géographique de l'enceinte de la Capitale ont fait d'elle la proie parfaite pour des racontars aussi ignares les uns que les autres...


Particularité / signes distinctifs: La rouquine a depuis son arrivée sur Esperia reçu divers marques qu'elle gardera à présent pour le restant de sa vie.

  • Ses poignets : Fragment de son esclavage, deux cicatrices circulaires cisèlent chacun de ses poignets. Marque de ses anciens fers, les cicatrices de son poignet gauche restent discrètes et on peut réellement les remarquer au toucher. A son poignet droit, infections diverses ont fait que sa peau est bien moins net et beaucoup plus gondolée. Au toucher comme à l'oeil nue on voit nettement les deux marques entourées son poignet.
  • Le dos de sa main droite : Résultat d'un accident, une cicatrice aussi grosse qu'un anneau se trouve à présent au centre du dos de sa main droite. La peau tirée et gondolée reste bien visible d'autant plus que cette parcelle de peau à présent abîmée ne bronze pas aussi bien que le reste de sa peau. Plus clair que le reste de sa main, la cicatrice ressort généralement assez bien.
  • Le haut du crâne : Se faire frapper puis traîner dans des escaliers, cela laisse des marques. Une cicatrice de 2 / 3 centimètre de long se trouve sur son cuir chevelu.
  • Une fragilité maladive : Depuis très jeune, l'hura a toujours eu les os fragiles, se cassant aisément quelque chose à chacunes de ses chutes. Avec le temps et surtout un travail acharné de sa mère pour soit disant la rendre plus solide, elle en est arrivé à pouvoir grimper et se casser la gueule sans pour autant y perdre une patte ou deux. Néanmoins, ne comptant pas sur le fait qu'un tabassage dans les règles aura surement raison d'elle.


Origine: La rouquine est née à Huratelon, ce qui fait d'elle une étrangère et une raison supplémentaire pour ceux du Royaume Centrale de la craindre... Sa mère toujours en retrait, n'allant jamais en ville que pour de très rares occasions et mettant en œuvre une pratique non conventionnelle de la religion, soulève de nombreuses questions qui ne trouvent aucune réponse et ce, depuis des années.

Elle a perdu son père alors qu'elle n'était encore qu'une jeune enfant et n'a donc jamais eu de figure paternelle pour la guider dans l'apprentissage de la vie. Sa mère est donc devenue son seul et unique modèle, imitant petit à petit tous ses gestes, mimiques et habitudes... Consciente du phénomène celle-ci força la jeune femme à présent en âge de se débrouiller de trouver un travail en ville et de s'intégrer à la société qu'était cette cité. Ne jurant que par sa mère, Sybelle ne contraria pas les choix de sa mère et trouva en ville la cruauté des Hommes. Elle essaiera alors depuis ce jour de se faire accepter, qu'importe ses sacrifices pour rassurer la personne qui est la plus chère à son cœur : sa mère.

Son ascension : Arrivée et vendue comme une vulgaire esclave le 5 août de l'année 514, la rouquine aura bravé la mort à plusieurs reprises. Autant par la maladie, la faim, le froid et la cruauté des Hommes... Au départ fleur fragile, des épines commencent à prendre doucement leur place.
Elle sera finalement sauvée de cette condition le 1 septembre de l'année 514... Ce n'est néanmoins pas de tout repos. Elle ne trouve pas sa place au sein de cette société. Profondément marquée par l'esclavage, elle se tourne davantage vers ces parias, leur tendant la main...
Elle découvre néanmoins qu'aider des esclaves n'est pas bien vu par tout le monde et que leur donner de l'importance et les protéger peut lui être de mauvais augure... Elle compte donc bien mettre en place une manière de s'adresser à elle en public et une autre dans un cadre plus privé. Elle ne tient pas à être vue comme les autres personnes majoritaire de la citée... La bienveillance qu'elle a à leur égard est une de ses fiertés...
Son ascension continue le 07 janvier de l'année 515 où elle obtient sa citoyenneté mais cela ne reflète pas la tranquillité qu'elle aurait souhaité.
Elle devint grande électrice après son recensement, le 20 avril de l'année 515.

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Qualités

  • A l'écoute :
  • Adorable :
  • Apaisante :
  • Attachante :
  • Authentique :
  • Bonne mémoire :
  • Câline :
  • Calme :
  • Captivante :
  • Combative :
  • Compatissante :
  • Créative :
  • Débrouillarde :
  • Douce :
  • Généreuse :
  • Juste :
  • Polie :
  • Sensible :
  • Souriante :
  • Travailleuse :
  • Adroite :
  • Agile :
  • Discrète :
  • Minutieuse :
  • Souple :

Défauts

  • A du mal à tenir sa langue :
  • Besoin de reconnaissance :
  • Chipie :
  • Curieuse :
  • Désinvolte :
  • Distante :
  • Émotive :
  • Gourmande :
  • Immature :
  • Indomptable :
  • Jalouse :
  • Lunatique :
  • Méfiante :
  • Peureuse :
  • Perfectionniste :
  • Rancunière :
  • Rebelle :
  • Réfléchit de trop:
  • Rêveuse :
  • Se sous-estime :
  • Sensible :
  • Soumise :
  • Sournoise:
  • Trop franche :
  • Enfantine :
  • Peu de force :
  • Fragilité maladive :


Aptitudes

Grille Livre et Plume.png Calcul

Grille Plume.png Alphabétisation

Grille Échelle.png Escalade

Intérêts culturels et Goûts

Culinaire

Grille Chope d'Eau Chaude.pngGrille Théier.png Le thé est la boisson chaude qu'elle apprécie par excellence. En tant qu'herboriste, sa mère avait vraiment un don pour harmoniser les saveurs. Elle ne sait pas si elle trouvera un jour un thé aussi bon... Faute de ne pas avoir le thé de sa mère elle se rabat sur du lait chaud au miel.
Grille Poulet Cuit.pngGrille Pomme de Terre Cuite.png Le civet de lapin a toujours été un de ses plats favoris. Sa mère avait une façon bien à elle de le faire en rajoutant des herbes qui désenveloppaient une odeur et une saveur forte.
Grille Pain.pngGrille Sucre.png Le pain perdu ! Le premier dessert qu'elle a réussi à cuisiner ! C'est un peu le petit plaisir du pauvre ! Elle aime vraiment beaucoup ça surtout avec un supplément de sucre !


L'art dans tout ses états
Grille Papier.pngGrille Charbon de Bois.png Griffonner, gribouiller... tout ce que vous voulez mais n'appelez pas ça dessiner ! Elle adore tenter de reproduire un visage, un paysage et des fois ce n'est pas si mal... mais elle est loin d'avoir ça dans le sang. Cela reste un petit plaisir qu'elle ne partage qu'avec son carnet à dessin.
Grille Livre Écrit.pngGrille Plume.png Au contraire du dessin... s'il y a bien un endroit où elle excelle à coté des autres de sa classe sociale c'est bien son orthographe et avoir su se forger son propre style d'écriture. Elle adore écrire des petits récits ou ce qu'elle pense tout simplement.
Grille Laine Verte.pngGrille Vert de Cactus.png Le vert est sa couleur favorite. Elle fait toujours en sorte d'ajouter ce petit détail sur elle.


Autour de nous...
Grille Charbon.pngGrille Poudre de Pierre Lumineuse.png La nuit et sa cour les étoiles... Syb est quelqu'un de très nocturne. La douceur des astres qui sont au-dessus d'elle raisonne comme des protecteurs au plus profonds de son cœur. Elle s'est toujours imaginée que les morts veillaient sur les vivants à travers les étoiles... Qu'elles étaient leurs yeux; alors depuis quand elle regarde le ciel, elle pense à son père en espérant qu'il soit fier d'elle... Même si elle ne l'a que peu connu.
Grille Rose.pngGrille Herbes Folles.png Les champs de fleurs sauvages ! Voilà bien un endroit où elle aime aller pour réfléchir, écrire et bien entendu gribouiller ! Les pâquerettes sont d'ailleurs l'une des rares choses qu'elle arrive à reproduire fidèlement sur du papier !
Grille Neige (bloc).pngGrille Boule de Neige.png La neige, la nivôse... Elle a toujours étée fascinée et excitée par ces petites particules blanches qui tombaient du ciel ! Le monde qui se recouvre d'une couche de neige pour s'endormir jusqu'à la saison prochaine... Elle passerait des heures à regarder les flocons tomber par la fenêtre ou à jouer dehors comme quand elle était enfant.
Grille Rouleau Percé far.pngGrille Eau.gif Le calme, la sérénité... Même une petite musique douce, le vent dans les feuillages... Elle apprécie ce calme et cette plénitude. Ça lui permet de se recentrer sur l'importance des choses et sur ce qu'elle fait ou doit faire. C'est un peu son jardin secret.


Ses traditions - connaissances - croyances - superstitions
Grille Bougie.pngGrille Fiole d'Eau.png Le feu et l'eau... Syb a toujours était fascinée par ces deux éléments-ci. Elements contraire, elle s'y retrouve néanmoins parfaitement ! Le premier la révèle comme étant : chaleureuse, chatoyante... tout comme vive et imprévisible ! Malgré ce qu'il lui est arrivé, le feu ne l'effraye pas, bien au contraire. Sa mère lui ayant toujours dit que le feu ne blesse pas si la personne en question sait le manipuler et/ou ne le mérite pas... L'eau à coté est calme et reposante... C'est l’élément qui contrôle sa fougue ardente et il lui rend bien. Elle a toujours été très à l'aise dans l'eau. Elle n'a jamais eu de difficulté pour apprendre à nager aussi loin qu'elle s'en souvienne et elle apprécie vraiment ces moments là... La sérénité.
Grille Diamant Brut.pngGrille Herbes Folles.pngGrille Émeraude Brut.pngGrille Buisson.png Les pierres et les plantes ont davantage d'utilité pour la renarde que pour la majorité des gens. Une améthyste apaise et permet de dormir d'un sommeil réparateur et sans cauchemar par exemple... un cornaline dans la chambre d'un blessé aide à la cicatrisation des tissus... Il en va de même pour les plantes. Bien entendu elle n'a pas l'art et la manière de sa mère et elle n'ira pas se déclarer guérisseuse locale... Néanmoins elle saurait s'en débrouiller à usage personnel pour elle et ses proches...


Aversions et peurs

Médical

Grille Poudre de Rougepierre.pngGrille Chair Pourrie.png En tant que cuisinière, la rouquine a déjà vu du sang... Préparer la viande... vider un lapin... rien de tout cela ne l'a dérange mais voir un homme, un être humain se faire amputer ou blesser grièvement pourrait sans mal la faire tourner de l’œil. Elle n'hésitera cependant pas à se battre ou du moins se défendre pour sa propre vie ou celle d'un proche qui lui est très cher ! Ne prenez pas sa pitié pour de la faiblesse...


Plus général...
Grille Chaines pour Chevilles.pngGrille Chaines pour Poignets.png Ce bout de métal... D'ordinaire elle ne s'en préoccuperait pas mais depuis qu'elle sait qu'aucune loi n'interdit un homme libre d'abuser une captive... Elle les déteste... Objet d'aversion et de haine... Au moment venu, elle en fera une arme !
Grille Poudre de Rougepierre.pngGrille Bougie.png La folie destructrice que la cruauté des Hommes a réveillé en elle. Elle tente de l'étouffer avec sa bonté d'âme... L'horreur a néanmoins déferlée en elle, la changeant à jamais. Pour dernier rempart elle y plaça sa foi en l'Arbitrio et toutes ses traditions ! Une seule chose l'obsède quand elle devient vulnérable : Faire goûter aux flammes le sang de ceux qui l'ont faite... souffrir.
Grille Bâton.pngGrille Os.png Les derniers événements qu'elle a subit en Esperia l'ont en partie détruite de l'intérieur. Elle n'a pas encore reçu de coups mais rien que l'idée elle-même la terrifie. Ne levez jamais un bâton devant elle ! Elle aura beaucoup du mal à voir une personne en particulier un bâton à la main.
Grille Chaines pour Poignets.pngGrille Charbon.png Être enfermée... Que cela soit entre quatre murs ou dans ses décisions... Elle sera d'abord incommodée par la présence de limite dans son environnement, devenant pâlichonne. Puis suivant les situations, cela pourrait se transformer rapidement en une violente crise de panique !


Culinaire
Grille Bouteille de Rhum Vide.pngGrille Verre à Pied Vide.png Plus jamais ! C'est un alcool bien trop fort pour elle ! Elle en ait devenue aussi rouge que sa purée de tomate quand elle y a goûtée ! Elle se contentera de cette boisson comme d'un désinfectant à l'avenir !

Manies diverses

  • Tendance à dire ce qu'elle pense tout haut
  • Fait demi-tour dès qu'elle voit quelqu'un à éviter pour le moment
  • File souvent au milieu d'une discussion quand ça lui chante


  • Depuis le départ de la Phalange, il est rare qu'elle participe aux prières... préférant se recueillir seule au puit du monastère où dans un petit rituel qui consiste à formuler sa propre prière à une pièce de monnaie et à la jeter dans le puis. Elle se déleste ainsi aux yeux du créateur de toute avarice et de mettre en avant le don de soi dans son quotidien.

Ses activités...

La cuisine

Loin de se considérer comme une cuisinière hors du commun, elle se consacre davantage à l'entraide des autres afin de combattre la famine et permettre à ceux dans le besoin de manger pour s'en sortir. Ses plats ne seront jamais des mets digne des rois ou de la haute noblesse mais resteront bons et agréables à manger. Voici une liste non exhaustive de ce qu'elle peut produire en terme de plat :

Salé

Grille Beurre.pngGrille Poulet Cuit.pngGrille Blé.pngGrille Bouteille de Vin.pngGrille Champignon Brun.pngGrille Sel.png Civet de lapin
Plat copieux et pas forcément compliqué à faire... Un peu de beurre au fond d'une marmite pour faire cuire les morceaux de lapin, on les retire, on met un peu de farine et on gratte le beurre avec, cela servira à épaissir la sauce. Une bouteille de vin rouge (de la piquette de préférence), on remue... On rajoute le lapin, on assaisonne et voila ! Un bon plat à déguster avec les doigts !

Grille Tranche de Fromage.pngGrille Pomme de Terre Cuite.pngGrille Côte de Porc Cuite.png Truffade
Plat lourd et bourratif, pomme de terre coupée en lamelles, des lardons et une bonne quantités de fromage fondu ! Simple mais gras, il saura avant tout ravir les estomacs vides et les gens frileux !

Grille Seau d'Eau.pngGrille Pomme de Terre Cuite.pngGrille Carottes.pngGrille Laitue.pngGrille Champignon Brun.png Soupe de Légumes
Plat de Nivôse par excellence ! Considéré comme le plat du pauvre, la soupe est pourtant un plat nutritif. Une grande gamelle d'eau, au fait chauffer et on ajoute tout les légumes de saison que l'on souhaite en les coupante simplement en morceau. Pomme de terre, carotte, navet, chou, champignon... Tout y passe ! Il suffit de laisser cuire et de servir bien chaud. L'attrait principale de ce plat et quand même de se réchauffer !

Grille Seau d'Eau.pngGrille Pomme de Terre Cuite.pngGrille Carottes.pngGrille Laitue.pngGrille Champignon Brun.png Velouté de Légumes
Même principe que la soupe en plus épaisse. Un velouté est une soupe où l'on viendra écraser, broyer les morceaux pour n'en laisse qu'un liquide épais. Souvent servit aux enfants capricieux qui ne s'occupent que de trier les morceaux sur le bord de leur assiette, c'est aussi une simple préférence de goût. A servir bien chaud.

Grille Bœuf Cuit.pngGrille Pavé de Sanglier Cuit.pngGrille Sel.pngGrille Pain.pngGrille Œuf au Plat.pngGrille Côte de Porc Cuite.pngGrille Côte de Mouton Cuite.png Terrine
Souvent appelé "pâté de campagne" c'est un met généralement partagé lors d'une discussion sur d'épaisses tranches de pain. Broyer la viande et la mélanger avec quelques œufs suivant la quantité pour favoriser la liaison de la viande. Assaisonner et mettre dans des bocaux hermétiques avant de les plonger dans une marmite remplit d'eau et de faire cuire jusqu'à bouillir. Retirer le tout et les laisser dans un endroit sec. Ceux-ci pourront être conserver plusieurs semaines sans s’abîmer.

Grille Ficelle.pngGrille Larve.pngGrille Pavé de Sanglier Cuit.pngGrille Sel.pngGrille Côte de Porc Cuite.pngSaucisson
Amateur de charcuterie, le saucisson est un incontournable ! Néanmoins, long de préparation. Équipez vous de boyaux de porc, de ficelle et broyez de la viande grâce type porc principalement mais également sanglier pour un met plus "sauvage". Assaisonnez votre viande puis fourrez le boyaux de porc de façon compacte. Laissez reposer deux jours à plat puis suspendez les dans un endroit sec. Après 2 à 3 semaines de séchage, il sera prêt à être savouré !

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Sucré

Grille Sucre.pngGrille Pain.pngGrille Œuf au Plat.png Pain perdu
Rien ne se perd... Même du pain rassi, un peu passé peut se transformer en petite douceur ! Suivant la quantité de pain, quelques œufs, BEAUCOUP de sucre et on fait frire tout ça à la poêle !

Grille Sucre.pngGrille Fiole d'Eau.pngGrille Herbes Folles.png Sirop de menthe
Très sucré, à boire principalement avec de l'eau. Un fond de sirop pour l’intégralité d'un verre. Rien de très sorcier dans la préparation, une casserole ou marmite suivant la quantité voulu, rajoutez y de l'eau, BEAUCOUP de sucre et des feuille de menthe en quantité importante. Laissez bouillir une bonne heure avec de verser le contenu en bouteille (c'est chaud quand même) et de laisser refroidir.

Les travaux de la ferme

Même si cela n'est pas son domaine d'activité... Elle aime tendre la main à quiconque en a besoin et après tout... Ses voisins étaient tous fermiers ou presque... Elle sait donc plus ou moins ce qu'il y a à faire.

Les Champs

La rouquine a pendant longtemps travaillé aux champs pour aider leurs voisins à sa mère et à elle du temps qu'elle était à la Capitale. Elle ne connait rien aux périodes de plantation et serait bien incapable de s'occuper d'un champ. Néanmoins, elle aidera volontiers à porter les récoltes jusqu'à la grange lors des récoltes.

L'élevage

A la Capitale, jamais elle ne s'était vraiment occupé des animaux de la ferme voisine bien qu'elle appréciait toutes ces petites bestioles. Du plus petits au plus grands, la rouquine n'en a jamais chassé aucun avec violence et n'a jamais voulu se débarrasser de l'un d'eux... C'est à Esperia qu'elle a pu expérimenter pour la première fois. Grâce à Amalrik, un éleveur à Adobe, celui-ci accepta son aide quand elle lui proposa pour s'occuper des chèvres, brebis et autres animaux. Elle a également pu tenir et nourrir au creux de ses bras son premier chevreau. Un moment qu'elle n'oubliera pas.

Le service

Sa générosité la pousse sans arrêt à aider les autres autour d'elle. La rouquine cherche continuellement comment se rendre utile auprès de la communauté dont elle fait partie. Même si tout n'est pas parfait, elle y met du sien et essaye de s'améliorer de jour en jour.

Lavandière

Laver du linge a toujours été une activité qu'elle ne trouvait ni trop épuisante, ni trop dérangeante, il fallait le faire et c'est tout. A la Capitale, elle préférait le faire plutôt que de voir sa pauvre mère s’endolorir le dos à se pencher. Et à Esperia, après plusieurs mois passés elle réalisa qu'elle pouvait enfin se rendre utile ainsi. Le lavoir de la ville inactif mais dont la "propriétaire" ne voulait pas se séparer malgré son handicape rendait sa tâche impossible. Elle n'allait pas laissé passer sa chance pour un caprice, elle trouva grâce à des personnes qui lui donnèrent sa chance un autre endroit où pratiquer et déjà plusieurs personnalité de la cité faisait appel à ses services à son plus grand plaisir. Etre utile et se sentir appréciée était agréable... Cela continuera.

Et le reste...

Possessions...

Tenues

Grille Laine Verte.pngGrille Cuir.pngGrille Laine Blanche.png Tenue d'esclave
Celle-ci comporte : une jupe verte, une chemisette et un corset de cuir... A présent reprise par la noble dame Ahrondor, Sybelle peut remettre cette tenue pour divers travaux.

Grille Dalle de Laine Marron.pngGrille Dalle de Laine Marron.pngGrille Laine Blanche.pngGrille Dalle de Laine Bleu Clair.pngGrille Ficelle.png Robe blanche fine avec gilet bleu d'Eryka
Piquée dans le grenier de Melkyor, cette robe de Termidor est un poil grande pour elle mais s'en accommode parfaitement ! La soeur de Melkyor avait de bon gout vestimentaire !

Grille Laine Verte.pngGrille Laine Marron.pngGrille Dalle de Laine Marron.pngGrille Dalle de Laine Marron.png Tenue de Nivose / mi-saison
Une tenue chaude confectionnée par Kenesha et dont elle est très fière. un haut blanc, épais, un pantalon brun, deux bottes hautes et un corset/manteau vert et descend bas à l'arrière.

Grille Escalier en Laine Marron.pngGrille Dalle de Laine Marron.pngGrille Bottes en Cuir.png Robe brune de la noble dame Ivanovitch
Une longue robe brune à bordure blanche, elle est chaude et parfaitement adaptée à la nivôse une fois accompagnée d'une petite capeline. Celle-ci lui a été offerte par la noble dame Ivanovitch dans le cadres d'une soirée des dames.

Bijoux

Grille Pépite de fer.pngGrille Lingot de Fer.pngGrille Diamant.pngChaîne en argent avec diamant
Une chaîne fine en argent suspend une diamant rond, taillé, de couleur "bleu paon". Celui-ci offert brut par un esclave a été travaillé utilisé pour être un pendentif simple qui trône aujourd'hui autour du coup de la rouquine. C'est Gharlok qui le lui l'a remit.

Grille Pépite de fer.pngGrille Lingot de Fer.pngGrille Pépite de fer.pngBracelet en cuivre, simple
Une bracelet fin où l'on peut graver quelques mots... Il lui a été offert par Kenesha à son départ pour qu'elle y fasse graver ce qu'elle désire.

Écrits

Grille Livre Écrit.png Journal des Dames n°1
Grille Livre Écrit.png Journal des Dames n°2
Grille Livre Écrit.png Journal des Dames n°3
Grille Livre Écrit.png Journal des Dames n°4
Grille Livre Écrit.png Journal des Dames n°5
Grille Livre Écrit.png Journal des Dames n°6

Grille Livre Écrit.png Bulletin des Hommes n°1
Grille Livre Écrit.png Bulletin des Hommes n°2
Grille Livre Écrit.png Bulletin des Hommes n°3
Grille Livre Écrit.png Bulletin des Hommes n°4
Grille Livre Écrit.png Bulletin des Hommes n°5
Grille Livre Écrit.png Bulletin des Hommes n°6

Armes


Immatériels


Bric à broc

Grille Livre et Plume.pngGrille Plume.pngGrille Poche d'Encre.pngPetit nécessaire d'écriture
Un cahier, une plume et de l'encre... Le tout lui vient d'un homme de la famille S'Jet. Elle garde le tout sur elle.

Relations...

... Généralisées

EmbRCentral.png Les capitalins : ils sont tout ce que j'ai côtoyée durant 19 années. L'éventail humain le plus large que j'ai pus voir. Gentils hommes comme mécréants se confondent pour devenir le seul peuple où je ne me permettrais jamais d'avoir des aprioris positifs ou négatifs dès le départ... Trop de facettes différentes...

Ils sont ceux qui m'ont vu grandir et ceux qui m'ont vu m'épanouir. Nul n'a changé sur Esperia... Ma vision reste celle de miles et unes facettes.

~

Les caroggians : Je me l'imagine comme un peuple riche et prospère... hautain même peut-être avec tout ça mais... Mère ne m'en a dit aucun mal. Je la crois alors sur parole.

Beaucoup de Caroggians de la cité de l'Espoir ont été les acteurs de vices et d'actes punissables par un châtiment divin. Arbitrio saura le seul à pouvoir les juger à leur juste valeur néanmoins je ne serais pas en reste si on me le permet. Je resterai sur mes gardes à présent.

~

EmbNAdaarion.png Les adaars : Étrangement... j'ai toujours eu du mal avec ce peuple... Peut-être car je ne comprends pas ce qu'ils racontent et que cela m'énerve. J'ai toujours l'impression qu'ils parlent sur mon dos ! Mère ne les qualifie pas de mauvais mais... c'est pas ce qui m’empêchera de les voir d'un mauvais œil.

~

Les huras : Ma famille... Mon père et ma mère viennent tout deux de la Grande Huratelon. Mère m'a toujours enseigné d'être polie et courtoise avec eux, sauf si ceux-ci me faisaient du mal par un quelconque moyen. Mère... Je sais que votre rêve serait de me voir mariée à un hura tout en étant la plus heureuse des épouses. J'espère que cela sera le cas...

Les huras... Ma vision fut brisée par les événements d'Esperia... Ceux à qui je devais politesse et courtoisie sont ceux qui m'ont aussi volés ma liberté et mon intégrité... Le lien étroit que j'entretenais avec ce peuple s'effiloche de jours en jours...

Je me suis éloignée de cette communauté qui est censé être la mienne mais j'en garde néanmoins un avis global positif. Leurs valeurs sont les bonnes, seuls les individus sont mauvais.

~

Nord 7.png Les vaahvas : Que dire qu'autre à part des brutes qui ne sont pas même capable de s'entendre entre eux pour devenir un peuple à part entière... Je ne les hais pas ils n'ont rien qui m'attire ou leur apporte ma compassion.

Peuple dont je ne connais rien ou presque même si j'ai dorénavant certains bons contacts.

~

Les lig ocolidiens : A chaque fois que mère parlait de Lig Ocolide cela sonnait comme une insulte ou une moquerie. "Va donc à Lig, rejoindre ceux de ton espèce" qu'elle disait souvent envers les personnes qu'elle n'appréciait pas. Des roublards et une bande de débauchés, voilà comment elle les désignait !

Roublards, débauchés, opportunistes, voyeurs, soûlards, sans gène... Mais ce sont aussi ceux qui m'ont sauvé la vie... Les seuls à me faire sentir être quelqu'un sous ce titre d'esclave. Tout est à l'envers; rien n'est à sa place...

Fêtards, fêlés, profiteur mais fidèle à ceux qui en sont dignes. J'espère l'être... et j'espère pouvoir compter sur eux autant qu'ils peuvent compter sur moi.

~

EmbCanatan.png Les canatanais : Aucun avis concret...

~

Les qadjarides : A fuir comme la peste ! Des voleurs assoiffés de sang et de tueurs de rue. Mère serait folle si je m'approchais de l'un d'entre eux !

l'avis se mitige...


... Amoureuse


...La lumière

Imagemelkyor.jpg
Melkyor Aussi appelé "Poupée"
Tribun de la famille Dreher. Il est quelqu'un de juste apparemment... Bourru au premier abord mais compréhensif et juste oui... Je me sens étrangement en sécurité en sa présence.

C'est étrangement la personne que j'ai le moins envie de décevoir ou de fâcher.

Je l'ai déçu... et je le regrette énormément ! L'une des rares personnes en qui j'ai plus ou moins confiance ici... Et je l'ai déçu...

Les flammes seront ta seule issue pour ce que tu as l'intention de me faire ! mais... pourquoi m'avoir laissé prendre la fuite... Je n'y comprends rien !

Tu es l'essence de mon calme et de ma terreur... Ta présence rassurante et une torture quand celle-ci affronte l'image monstrueuse de ton être. Je te suivrais, t'apprivoiserais mais te fuirais et tremblerais lorsque tu t'approcheras de moi... Création et destruction se mélange dans ton seul être... Pardonnez-moi mes bestialités ! Pitié !

La peur bien présente mais la langue déliée par les Ocolidiens... J'ai joué la carte de la franchise, disant haut et fort ce que je pensais de chacun des membres de la famille Dreher. Quand j'en suis venu à vous... les barrières volèrent en éclat alors que je m'élançais dans vos bras pour pleurer. Plus jamais... jamais... Je vous en pris ! Ne me faites plus de mal...

Cette douce flamme, cette sensation chaleureuse et agréable... Je la retrouve sous toute la perfidie de cette histoire ! Oui... La peur ne s'est pas encore envolée mais ce sentiment de plénitude reprend doucement l'ascendant, me poussant à aller le voir encore et encore. Partager des instants complices, des ennuis, et même plus récemment... des sourires.

La maladie aura changé notre quotidien de rire. Je vais veiller sur vous... Ne me trahissez pas ! Ne vous laissez JAMAIS abattre ! Je serais là pour vous relever si vous mettez genoux à terre et si besoin est... Le coup de pied au cul est pas loin : il faut VIVRE !

Le bagne... Pourquoi y être parti ! Tu m'avais promis de ne pas y aller ! TU M'AVAIS PROMIS !! Pourquoi une telle trahison... Tu n'avais pas le droit de me dire "ça" au moment de partir...

J'entends bien des choses autour de moi... Je me fais beaucoup de soucis. Même si je suis déçue je... je ne peux m'empêcher d'y penser... Je passerai vous voir, peut importe comment.

Sentiments croisés... Messes basses échangés... Secrets révélés... Vous êtes un être des plus cher à mon coeur... Il m'est impossible de vous laisser et vous savez que vous n'arriverez pas à me repousser. Un jeu cruel se trame et nous avons tout deux besoin l'un de l'autre.

Tout est clair comme de l'eau de roche et si flou à la fois. Je sais ce que je veux, mais je ne peux pas me résoudre à le dire à haute voix et ne je vois aucun chemin pour y arriver... J'aimerai être présente, source de surprise et de joie... C'est pourtant l'inverse qui s'impose... L'approche n'est pas la bonne... Comment faire...

Tu es toujours là... me tendant la main, peu importe ce que je fais... Tu me soutiens toujours et ce à ta manière. Ta douceur, tes mots, je me sens si fragile et si forte avec toi... Je sais garder la tête haute même quand tu es emplis de doute et à l'inverse tu sais me remettre sur le droit chemin quand c'est à mon tour de perdre pied. Un chemin se dessine doucement... Arbitrio seul sait où celui-ci me mènera...

Oh Melk'... Je suis tellement désolée mais tout ça m’effraie. Attendant de moi quelque chose que je ne peux plus donner à l'heure actuelle. Je ne veux pas que tu souffres de cette impatience, que je te laisse miroiter l'amour alors que mon coeur saigne encore et toujours de sa perte. J'ai peur, de me méfie et tu ne mérites tellement pas cela.

Tu es parti en ce 9 mars 515, je n'ai pas su trouver les mots... Ma plume les trouvera peut-être un jour. D'ici-là, prends soin de toi.

... Bienveillante

Kenesha Silmäpyhä

Elle est noble de la cité... Une que je considère aussi noble de part son rang et ses actes... Elle a su me donner la chance de faire mes preuves et se montre des plus agréable à mon égard. Elle est une femme forte et de caractère néanmoins... je vois qu'elle est une forcenée de travail qui n'hésite pas à mettre sa propre santé en péril... J'y garde un oeil mais... comment dire à une noble de prendre du repos assez fermement pour qu'elle nous écoute et de façon à ne pas lui donner d'ordre pour ne pas se faire enguirlander... Une énigme...

Laissez moi prendre soin de vous... reposez vous. Vous l'avez amplement mérité ma dame. Puissiez vous vous remettre le plus vite possible.

A présent partie ce 16 janvier 515... je prie tout les jours pour que votre voyage se soit déroulé sans embûche. j'attends de vos nouvelles ! Ou alors lancerai-je une lettre à l'aveugle... Bien plus que du respect, une amitié s'est installé, une vrai déchirement s'est opéré à votre départ...

Vivante ! Seigneur Arbitrio... merci ! Vous semblez bien vous porter et mieux que tout, vous allez revenir ! Je ne suis même pas peinée de ne pas avoir eu de lettre à mon nom, je suis bien trop heureuse de vous savoir saine et sauve. Je priais le ciel jour et nuit pour que ce jour arrive ! merci... Merci... MERCI !

De retour le 19 mars 515, vous sembliez bien vous porter, je n'ai cependant pas pu vous parler.

J'espère que vous tenez le choc suite à cette épreuve... Je n'ai pas su la sauver, pardonnez-moi ma dame...

~
Personnage Gharlok.jpg
Gharlok

Je l'ai d'abord connu comme maître forgeron grâce à Hiiagara puis la sensibilité et la solitude de ce bout d'homme m'a atteint en plein coeur. Il est de ces gens à tendre la main, il est de ces gens gentils qui se font malheureusement mangés dans ce monde hostile. Je tiens à l'aider comme je le peux. De la compagnie, une oreille attentive...

On a su se trouver... Un noble de la cité qui n'en a pas l'allure mais dont la générosité est sans limite. Il sait tendre la main à ceux qui en ont le besoin et cela sans compter. Nos doutes, nous nous les partageons, tout comme nous essayons de nous partager nos joies. C'est un partenariat extraordinaire que de nous être trouver. Chacun tirant l'autre vers le haut par des conseils et des discussions sereines et pleines d'espoir. J'espère pouvoir vous redonner le sourire comme vous m'avez rendu le miens en partie.

Un homme des plus agréables, avec moi du moins ! Je remarque sans mal l'affection que vous me portez, je le sais et je le sens mais je n'ais pourtant pas envie de m'en éloigner. J'apprécie toujours nos petits instants intimes, nos échanges, nos boutades sans oublier bien entendu... nos craquages ! J'en ais dis des saloperies en votre présence, et inversement. Je me sens libre de ce que je pense et libre de le dire ! Merci d'être l'oreille qui saura m'entendre et cela, à n'importe quel instant.

... Les importants


Alam: Intendant du Quartier de Rivelame. Au début comme beaucoup du quartier il m'intimidait et même si je ne suis pas encore bien à l'aise et que je ne me sente pas à ma place il fait partit de ceux qui savent me décrocher un sourire dans les moments opportuns. C'est un bon vivant et j'apprécie cela.

je t'ai en estime, de plus en plus même. Je compte beaucoup sur toi et je pense savoir qu'une certaine confiance mutuelle s'est installée et ce, même si nous sommes tout les deux de la même famille. Je pense vraiment pouvoir compter sur vous en toute circonstance.

Homme de réel confiance, je suis ses oreilles et ses yeux et lui surveille mes arrières. Un beau petit duo qui nous permet de coexister sereinement.

La vie nous à lié d'une façon que je n'aurais souhaité. Je vais tout faire pour t'aider ! Ta vie m'est précieuse alors veille bien sur elle.

~


Natalya: Quand j'étais encore esclave de la cité, cette jeune garde m'avait menacée de me pendre lors de l'épidémie... Aujourd'hui nous sommes collègue au Rêve de Soie. Elle ne se souvenait pas de moi quand je lui ai dis ce dont je me souvenait d'elle... Elle était néanmoins heureuse de n'avoir rien fait ce jour là et j'en suis tout autant. Drôle et enfantine, elle sait me donner le sourire rien qu'en la regardant faire. Le sérieux n'est néanmoins pas absent de sa personnalité, elle ferait même presque peur par moment ! Je suis heureuse de te connaître Nat'...

Oh Nat'... Tu es en peu de temps dans ma vie devenue une des personnes indispensable de ma présence ici. Ta joie de vivre, ton inconscience quotidienne me font passé pour une grande sœur que je ne suis finalement pas vraiment. Tu veilles sur moi plus que je ne le fais et tu es l'étincelle qui me permet de garder les pieds sur terre. Juste... ne commet pas d'imprudence je t'en prie. Ou alors brûle les tous avant qu'ils ne te touchent !

Si précieuse et pourtant si détestable dans tes agissements si enfantins et irresponsables. Je comprends pourtant mieux aujourd'hui pourquoi tu réagissais ainsi. Tu es néanmoins bien changée depuis quelques temps... La Nat' que j'ai connu est caché sous un tissu de mensonge, laisse la revenir, laisse la s'exprimer de nouveau !

La distance, la peur... Je t'en veux pour être si naïve !

Tu es partie... Je suis heureuse que nous nous soyons réconciliées avant ton départ. Reviens vite nous voir ! J'attends de tes nouvelles.

Tu es repassé en ville le 19 mars 515. J'ai été très heureuse de te savoir en bonne santé ! Malheureusement beaucoup d'ennuis nous ont empêchée de profiter de ces instants...

~


Arty: Un membre de la pointe d'or, d'abord chien chien de Cain, c'est le fruit du hasard qui nous a fait nous rencontrer sous un nouvel angle. Je te remercie d'avoir été là pour m'avoir gardé éveillée et en vie ce soir là... Certains faits non-réels se sont pourtant bel et bien passé finalement... est-ce bien ou... non ? Le temps... Lui seul le dira.

Le temps passe et pourtant, je ne suis toujours certaine de rien. Je veux y croire, mais la peur me tiraille... Et aussi... Je ne sais pas quoi penser de beaucoup de chose. Je préfère laisser le temps faire et ne pas forcer les événements. J'espère que tu ne m'en voudras pas d'être la spectatrice de ma propre histoire.

Pilier et aide quotidienne, j'ai pourtant l'impression de t'utiliser et de ne jamais te rendre ce bien que tu me donnes tout les jours. Distantes et si fugace, j'ai du mal à faire un pas vers toi. Moi qui suis brisée et si douteuse de tout, tu as une infinie patience qui j'espère aura raison de tout.

~


Rorgue: D'abord un esclave qui m'aurait apparemment craché dessus... Ensuite un homme dans le besoin mais dont les manières me déplaisait. J'ai su en faire abstraction pour te tendre la main. Je t'ai nourris... Je t'ai même moi-même lavé avec tes blessures... Comme nue à coté de toi, j'avais l'estomac nouée, j'ai vu, j'ai entendu ce que faisait les gars comme toi à la Capitale mais... Tu n'en as rien fait. Tu as écouté, tu as respecté...

Tu es aujourd'hui quelqu'un que j'apprécie à aider à garder sur un sentier onduleux mais sans vraiment que tu n'en sortes. Je crois que tu as finis par t'attacher à ce que je suis et que tu souhaite me renvoyer la pareille...

Un relation des plus curieuse s'est installée, j'aime ta compagnie et ça rien ne pourra te l'enlever. Derrière ton attitude grossière, la sauvagerie que tu dégages... Ton coeur est tendre et t'étonnes toi-même parfois. Je ne sais pas ce qu'il va advenir de tout ça. Je sais rien... je veux juste voir ce que le courant du temps me réserve.

Ce 27 janvier sur le port... Ton départ... je le vie toujours aussi mal tu sais. Tu me manques, pour de vrai. Tu n'étais pas qu'un simple gars que j'ai ramassé dans la rue et qui j'ai tendu la main, ça non... Reviens moi vite.



... Les esclaves

... positives ou neutres


Aarfal Rae'Ka: Un esclave de la reine que je garde sous mon aile. Au début je le prenais pour un simplet mais il s'avère utile et plein de bonne volonté.

Serviable et calme, il n'a jamais crée d'embrouille. J'espère que tout se passera bien pour toi à présent.

~


Mélisandre: Esclave prisée de la cité pour son métier... Son achat s'éleva à 3 diamantins... Elle n'en reste pas moins farouche, et saura compter sur elle-même pour s'en sortir. On ne vient pas du même milieu toi et moi... je le sens bien mais nous sommes de la même trempe. Savoir se taire sera notre plus grande arme, j'espère que tu le comprendras bien avant moi dans ta situation.

Je ne sais quels intérêts tu sers, puisses-tu bien te porter tout de même Lena.

~


Alan Selin: Phalangiste, il est le Praefectus et l'homme d'action... Comme tout les phalangistes j'ai encore le coeur emplit de doute les concernant.

~


Alfred de Guevrac: Membre de la famille Phareste, un frangin... Quelqu'un de peu discret mais qui est de confiance pour bien des choses.

Ton attitude me laisse perplexe...

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Lutkar Dulas: L'ancien d'Arty... Il est quelqu'un que j'apprécie vraiment mais que pour sa propre sécurité, je ne lui dis pas tout. J'espère qu'il ne lui prendra pas mal cependant... C'est pour sa propre sécurité.

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Arild: Membre fondateur de la famille Vuhori. De tout les phalangiste je crois que celui-ci est celui à qui je ne désire pas faire confiance avant de n'avoir de véritables actes qui prouve son vrai visage.

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Enockh: Rais des Qadjarides. Sans lui je serais déjà morte je crois... je luis dois beaucoup.

Tu n'aurais jamais du finir comme ça... je m'excuse de ne pas avoir pu te sauver.

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Hagen: Moine Phalangiste... je ne sais pas quoi en penser réellement.

~


Hirad: Qadjaride, froid et surement stratège de ce que j'ai pu voir... Pardon

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Ilmiya: Qadjaride qui n'apprécie pas les huras. J'ai eu l'occasion de partager une conversation avec elle qui m'a permis de commencer à établir un lien je pense... Néanmoins, pardonne moi pour tout cela... je n'ai rien pu faire de plus.

Partie le 12 mai 515...

~


Ishtar: Qadjaride froid et à la limite de l’agressif. Pardon de n'avoir su aider les tiens.

Cela fait quelques temps que l'on partage quelques soirée à l'abri du bruit et du reste. Un échange de vision et d'histoire. L'apprentissage de la lecture n'a jamais été si effrayant qu'en ce moment. Qadjaride menaçant et très protecteur envers les siens.

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Joris Tenkor: Aumonier de la Phalange et du monastère... J'ai eu une bonne impression mais est-ce vraiment la vérité... j'en sais tellement rien...

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Mariska: Soeur d'Ilmiya, une qadjaride à première vu calme.

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: Un frangin sur qui on peut visiblement compter. Un plaisir de le croiser. Ce n'est pas un ingénu mais il est loin d'être stupide.
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Seth Nessgui: Lig envers qui j'éprouve une certaine affection néanmoins je ne peux pas me fier entièrement à lui.

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Elyse Ladirus: Une esclave blondinette à qui j'ai pu présenter mon projet. Elle a tout de suite était intéressée pour me rendre service et m'aider. Elle a de la bonne volonté et ça me plait beaucoup !

Depuis sa libération nous nous sommes que peu vu et c'est recemment que nous recommençons à partager certaines choses ensemble. Des projets et surtout une amitié. Elle a fait partie des rares personnes m'ayant tendu la main quand je déambulais en ville à la recherche de choses à accomplir. Merci ma douce. Puisse ton mariage à la Capitale s'être bien déroulé et ton mari Svengal être bienveillant à ton égard.

Fais attention à toi... Tes proches ne sont pas forcément ceux à qui il faut faire confiance... Mais je pense que tu le sais à présent. Par pitié, prends soin de toi, je ne peux pas être sur tout les fronts...

Je t'adore sache le bien, tu es une amie, une vraie mais... Ton mariage avec le Ser Ladyrus : es-tu certaine qu'il ne te montes pas trop à la tête ? Oublies un peu ton rang et ta notoriété... J'ai besoin que tu restes qui tu es, vraiment.

Tu es devenue bien trop matérielle... Dévorée par l'argent et ton obsession de t'enrichir. Je garde un bon souvenir de toi mais cela n'est plus la même chose. J'en suis navrée.

~


Aaron: Cette homme... sa main qu'il a posé sur ma cuisse... qu'il a glissé tout du long en la remontant... Plus jamais je ne souhaite le revoir ! J'aimerai... qu'il souffre.

Mais... quel... CON !!!

Hum... je suis pas certaine de vouloir dire merci mais... est-ce nécessaire ?

Je ne sais jamais sur quel pied danser avec toi. Un gros con finit ou un allié précieux... Que je te suive ou non... je t'ai toujours à l'oeil, on ne sait pas quand tu peux retourner ta veste, tu es ce que j’appelle un sans visage. Tu changes de masque quand cela te chante. Comme tu le dis... Tu es un escroc avant tout.

Seul garde actuel en qui j'ai une certaine confiance. On a toujours été tout les deux à servir nos propres idéaux et c'est en ça que je confiance, jamais tu ne te laisseras acheter une conduite. Du moins c'est ce que je pense. Réfléchis à tout ce que je t'ai dis... S'il te plait.

Tiens le coup... Je suis là si tu as besoin ne l'oublis pas. Jamais...

~


Blaise De Guevrac: Un bon vivant ? Il en est l'illustration même dans une encyclopédie ! J'ai du mal à le prendre très au sérieux souvent mais c'est un bon gars et ça je ne l'oublis pas !

~


Ernst: Membre des phareste qui je crois me met le plus mal à l'aise encore... Allez savoir pourquoi. Il est pas méchant, enfin je crois pas mais... il dégage quelque chose que j'ai du mal à déceler...

Parti le 27 janvier 515 en même temps que Rorgue... Il a dit que tu l'aiderais, j'espère que c'est vrai. Même si nous nous étions peu parlé, j'aimerai te revoir et rattraper ce que j'aurais du faire : apprendre à mieux te connaitre.

~


Lübos: J'ai du mal à le cerner encore mais comme les autres de l'équipage, il reste quelqu'un de... sympathique quand on sait comment les prendre bien qu'il ait visiblement le sang chaud.

Si tu as besoin... de quoi que ce soit, sache que je suis là. J'ai beau être de ces continentaux comme tu dis, je serais plus qu'une simple alliée si tu me le permet.

Tu aurais du avoir une médaille bordel de merde et pas cette sentence ! Je ne sais pas si c'est toi qui l'a tué... Je ne crois plus la justice Esperienne, aveuglée par ce qui l'arrange et manipulée mais si c'est vraie... Tu as fais ce que ce chevaliard de marde n'a pas su faire : protéger la reine et sa famille de sa propre femme. J'espère que tu auras des jours meilleurs, en attendant, rétablis toi ! Reviens nous en bonne santé.

~


Olrick: Alors toi ! Mais toi ! ton gourdin à pique là ! Laisses le donc à ta ceinture ! Ma gorge n'est définitivement pas un endroit pour ce truc... Outre cet incident... Il reste jovial quand le moment s'y prête. Et contre toute attente, il est aussi l'un de ceux qui sait aligner deux idées sans pour autant se cogner la tête contre un mur... Ça reste tout de même un barbare, à ne pas oublier...

Dangereux mais utile... Voici deux mots qui te vont à ravir. Je t'apprécie mais tu as le sang bien trop chaud pour bien des choses qui demande de la délicatesse.

~


Yenova: D'Esclave qui ne sait tenir sa langue tu es devenu un bout d'homme sur qui je pensais compter... Mais tu ne sais toujours pas la fermer. Même si tu n'es pas méchant, on ne peut pas te faire confiance. Je suis désolée...

Tu reste quelqu'un que j'ai apprécié sois en certains. Je ne t'oublis pas mais ne m'oublis pas non plus d'accord ? Tu es partis ce 27 janvier 515 mais j'espère avoir de tes nouvelles rapidement.

~


Blanca Derosa: Ancienne esclave de la reine, j'ai appris qu'elle avait déjà été relâchée... Tant mieux ! Mais est-elle vraiment préparée à vivre ici...?

Partie ? Je ne te vois plus en ville.

~


Ezequiel Novella: Un pseudo-inconnu qui me sauva du froid à celui qui m'offrit protection et repères au bagne. Mon statut ne t’empêche pas de me traiter comme une femme à la fois fragile et pleine d'émotion. Je suis navrée de vous trouver ou plutôt retrouver dans cet état néanmoins. Je serai vos yeux et votre voix. Je prendrai soin de vous autant qu'il m'ait possible... Nous partageons bon nombre de point de vu et j'espère que cette relation ne se basera pas essentiellement sur une nécessité de survie commune.

Votre responsabilité me concernant n'a été que de courte durée mais sans vous... Je serais loin d'être là encore aujourd'hui. Merci, tout simplement merci. En espérant ne jamais vous causer d'ennuis ou... pas trop.

Je sais que je peux compter sur vous. Vous êtes de bons conseils et que vous veillerez à ce que rien de mauvais de m'arrive sous votre juridiction. Je vous confie beaucoup de chose et j'espère que jamais on aura à se retrouver l'un contre l'autre dans une affaire quelconque. Merci pour... beaucoup de chose.

Je suis heureuse d'avoir retrouvé un brin de complicité avec vous. Je vous apprécie toujours autant mais je sens que vous désirez autre chose ? J'ai peur de savoir quoi et de devoir vous blesser pour vous préserver comme je vous l'avez promis. S'il vous plait...

Parti le 20 janvier de l'année 515, tu es retourné retrouver ta promise. J'espère que l'on se reverra et que tu ne m'oublieras pas. Je pense à toi mais de nombreux regrets me bercent aujourd'hui de façon quotidienne... Pourquoi être parti sans le moindre mot ?

~


Eryka Deglass: Soeur de Melkyor... A travers ses lettres j'ai pu voir et sentir une profonde gentillesse de sensibilité. Maintenant que je vous vois en vrai, je me rend compte que même ces mots sont encore bien loin du compte.

J'ai tâché de ne pas vous décevoir... j'ai failli et je le sais... J'aimerai réparer cela, de tout coeur ! Mais comment ? Comment je pourrai me permettre de le faire. Montrez moi le chemin !

Je n'ai su faire ce que je vous avais dis... mes excuses...

~


Khoratan Néméris: Je t'ai rencontré dès mon premier jour et j'ai pu profiter d'un repas avec toi... On s'est perdu de vu et finalement je t'ai retrouvé à une vente hebdomadaire d'esclave sur le port. J'ai eu le malheur de te voir dégainer à l'Abbaye pour faire sortir les habitants de la cité qui n'étaient pas les bienvenue à un moment donné... J'ai longtemps hésité avant de revenir mettre les pieds dans l'enceinte... J'espère ne pas me tromper quand je dis "je pense pouvoir vous faire confiance" suite à l'explication que j'ai eu...

Une relation de confiance et de respect s'est instaurée entre nous. Elle nous permet de parler de beaucoup de chose et de jouer carte sur table. La franchise n'a jamais été une mauvaise chose et certainement pas pour nous. Sans cela... Tout aura pu moins bien tourné. Il partage mon goût pour la générosité et m'aide à entreprendre les premiers vrais efforts que je fournis pour les esclaves de la cité.

La confiance que nous nous portions s'est effritée, du moins pour ma part. Je ne te fais plus autant confiance qu'avant pour ma part. Toi à qui je confiais certains de mes maux, tu as su me montrer que ton jugement était biaisé voir manipulable...

~


Giulia Giudizio: Une magnifique jeune femme qui semble m'avoir prit sous sa protection. Le peu de temps que j'ai passé elle est le meilleure instant passé jusqu'à présent depuis mon arrivée... J'ai vraiment eu l'impression d'être considérée... J'apprécierai vraiment que ce dont nous avons parlé toutes les deux se réalise...

J'ai vraiment l'impression de devenir sa protégée... et ça me plait. Peu importe ce que les gens en disent... Elle a été bonne envers moi. Je saurai l'aider en retour !

Qu'ai-je dis de mal...

Elle a besoin d'aide... Je lui tend la main. Rien n'est difficile, tout est naturel. Je ne dirai pas que c'est une amie mais veiller sur elle au bagne me pousse à la considérer autrement que comme une femme en qui je dois le respect. J'oscille entre le tutoiement et le vouvoiement depuis nos retrouvailles au bagne... j'attend la suite.

Cela fait longtemps que je n'ai pas entretenue de bonne entente avec vous... Je garde un souvenir ému de tout ce que nous avons partagé et je vous tendrez la main si nécessaire... Mais je crains que votre intérêt ne soit que matériel. Je commence à réaliser que vous ne choisissez vos compagnons que par égoïsme ou soucis qu'il ne vous apporte quelque chose... L'amour par intérêt n'est pas réel vous savez... Mais j'ose espérer encore que vous trouviez l'amour... le vrai.

~


Adelina: Ancienne esclave de Hiiag, je lui demande comment elle va quand je la croise. Venant de Lig, je devrais me méfier d'elle comme le voudrait mère mais sa présence est d'un rare apaisement. De la voir, ça me rassure et cette impression n'est pas sans raison. Elle a su être présente et se montrer dans certains cas où j'avais besoin d'aide. Merci Adel'...

Elle est partie il y a longtemps.

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Amalrik: Un éleveur que j'ai rencontré au moulin d'Adobe... Il a été des plus agréable et est de bonne compagnie. J'ai bien aimé pour donné un coup de main ce soir là... Je continue à le voir de temps en temps et c'est tant mieux !

Il est parti il y a longtemps.

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Aiden S'Jet: Fils de Hiiagara... tout simplement... Le gamin est d'une nature insupportable au premier abord, n'ayant aucune réelle politesse ou courtoisie et vit dans le "luxe". Il reste néanmoins quelqu'un de sensible qu'il faut apprendre à apprivoiser. Cela reste un sale gosse...

Un enfant que j'ai perdu de vu depuis que Hiiag... mmh... Il reste toutefois très poli avec moi désormais, s’inquiétant de moi quand nous nous croisons.

~


Fio Linden: Une gamine que j'ai rencontré et avec qui j'ai partagé un câlin des plus tendre pour la consoler. En manque d'affection, tes parents te manquent... Sache que je serai toujours une peluche si tu en a besoin.

Tu n'as pas beaucoup de chance dans la vie... et trop peu de personne t'entoure alors que tu en aurais grand besoin. Même s'il est vrai que tu ne sembles pas m'apprécier énormément, sache qu'en cas de réel besoin, mon épaule sera là pour sécher tes pleurs.

La fillette a eu beaucoup de haut et de bas, néanmoins, je pense que toutes les deux nous avons pu établir un lien de confiance entre nous. J'espère que tu sais que tu peux compter sur moi... J'espère.

~


Svengal Ladirus: Je t'ai connu en tant que Raev et maintenant comme étant le fiancé d'Elyse. J'espère que tu la rendras heureuse et que tu veilleras sur elle.

Vous m'avez montré être quelqu'un en qui je peux avoir confiance lors de ces événements... Même si vous savez resté distant, en cas de dernier recours je sais vers qui me tourner.

La confiance que je gardais pour vous était davantage par respect pour Elyse mais je ne sais que penser de vous réellement.

~


Azer Merilio: Je ne te connais pas bien... Croisades diverses dans les rues, discussion auprès du Tribun Dreher... Je me méfie... simplement. Mais je ne te hais pas... On m'a dit de ne faire confiance à personne ici.

Je n’oublierai pas ce jour où vous m'avez permis de fuir de la fine planche en bloquant Malbjorn et Yokor pour me garder hors d'atteinte... Merci.

L'impression désagréable d'être exploiter s'est révélée vraie... Il n'est finalement pas si agréable que je ne le pensais... Il agit pour ses intérêts à ce que je comprends bien !

Un début de réconciliation... Quelques tentatives de taquineries de sa part... Je le sens néanmoins menaçant à mon égard. Je me fais peut-être des idées et que les événements passés ne me brouillent la vue mais... Je m'en méfie grandement.

J'aimerai effacer le passé et repartir de zéro. Nous avons tout deux fait des faux pas... je pense que je peux faire ça... Oublier ma rancœur et ma méfiance pour établir un lien d'une nouvelle sorte. Seul l'avenir me dira si j'ai eu raison.

Tu es quelqu'un de sensible Azer... Qui semble vouloir multiplier les conquêtes malgré la famille que vous aviez fondée. Je n'aime pas votre sotte de femme et vous le savez m'enfin... Votre enfant ne mérite pas un tel déséquilibre dans sa vie. Si vous teniez un temps soit peu à lui... Vous sauriez quoi faire. Et s'il vous plait ! Laissez donc un peu vos sous tranquille ! Vous ne les emporterez pas auprès du Créateur sachez le !

~


Argon: Un homme qui aide la garde lors de cette épidémie... Il n'a pas hésité à se mettre entre Malbjorn et moi pour me protéger. Je lui en suis reconnaissante. Il a l'air de... me respecter ? malgré mon statu...

Disparu ? Je ne vous vois plus en ville...

~


Hadyran: Je le pense de confiance avec ce qu'il s'est déjà passé... Je l’entraîne dans pas mal d'aventure ! j'espère que rien de mauvais ne lui arrivera !

Soutient psychologique, je n'ose pas l'impliquer davantage dans mes ennuis et je ne lui confis donc que peu de chose. Mon âme est suffisamment lourde à porter seule. C'est un fardeau que je me dois d'assumer seule.

Cela fait... des semaines que je te dis ce que j'en pense ! Tu préfère jouer la sourde oreille... tu préfère simplement trahir les espérance que j'avais. Tu n'es pas le complice que j'espérais il faut croire... Bon courage et bon vent !

Que faire...

Le Pardon et le départ précipité début février.

~


Scipio (Syrus Syppio): Je ne lui fais pas confiance... Mais mon estime pour lui est plus ou moins importante. Il a su écouter et comprendre la rage que j'éprouvais. Néanmoins, je ne te dirai merci qu'une fois que je serai libre ! Pas avant...

Il est parti il y a longtemps.

~


Djamshid: Un homme qui m'a offert une gorgée de rhum et un supplément au pitoyable repas (en terme de quantité) que j'ai eu au corsair le 7 août... Je n'y avait pas fait bien attention mais en y repensant cet homme était assez... mat... Un Qadjaride ?!

Qadjaride sonne pour moi comme une insulte néanmoins je reste persuadée de tes bons sentiments.


... négatives


Luna: Couturière visiblement prisée de la cité elle n'a pourtant pas bien eu de chance... Si je peux te tendre la main, je le ferais. N'oublis pas ce que je t'ai confié sur ceux qui t'ont acheté ce fameux jour...

Aujourd'hui Phareste, je ne sais pas trop si tu as toujours bien conscience de ce qui nous tourne autour... Tu restes une femme auquel j'apprécie parler et que je ne tolère que l'on fasse du mal. Tu es une frangine après tout.

Je ne voulais que ta sécurité ainsi que la notre et ton bonheur... Tu n'as pas voulu croire en moi. Tu n'as pas voulu avoir confiance. Je ne te déteste pas, je ne te hais point... mais je ne peux plus t'apporter ma confiance pour l'instant. Pardonne moi, mais reste loin de moi.

Le monde ne tourne pas exclusivement autour de toi, sache le. Tu ne penses que trop peu à la vie des autre et bien trop à ta petite personne pour que je ne t'accorde une réelle importance aujourd'hui.

~


Séveryne: Esclave de la reine, elle fut trouvé au fond de la cellule des enchères au départ de l'esclavagiste... Mais... Refusant les conseils et n'en faisant qu'à sa tête je la laisse se débrouiller jusqu'à qu'elle décide de se racheter. A toi de me prouver que tu peux apprendre.

Libérée pour ne plus à m'en sentir responsable, je me suis délivrée d'un poids.

Disparue.

~


Solypso Alducci: D'abord un esclave ayant une certaine présence d'esprit, puis ensuite un marchand hors paire travaillant dans bon nombre de commerce de la ville. Quelqu'un d'aplomb mais auquel je ne vois pas énormément d'émotion...

Oubliez tout ce que j'ai dis avant... Maître de la manipulation du mensonge, tu es loin de ce que je prédestinais pour toi. Tu es la gangrène de cette cité.

Tu as tenu à me faire taire par la menace, à me faire taire par la force en t'en prenant à mes proches... Et tu as également tenu à me faire taire de façon définitive. Saches que la partie n'est pas terminée.

~


Valdteri:

~


Traya: Soeur de Sakya... A mon sens plus droite mais... aussi dangereuse. Une manipulation est vite arrivé. Ouvre les yeux...

Finalement tu ressemble de plus en plus à ta soeur... le sens de l'honneur ne t'ai pas vraiment familier. Tu restes une barbare... Pourquoi cela ne m'étonnes pas venant d'une nordache ? J'espère pouvoir t'écraser pour ma jambe. Chienne.

~


Edelweiss Menso: Je ne connais pas personnellement cette femme... Mais comment apprécier celle qui vous a prit celui pour qui votre cœur battait.

~


Elyo: Le voisin de bagne... une agréable compagnie mais... QUEL CON !!

Merci de votre protection...

Beaucoup parle... beaucoup de on dit... hum... Même si tu n'es pas parfait, même s'il se peut que plusieurs choses soient vraies... Moi je n'oublis pas. Tu m'as sauvé la vie et tu as toujours été très correct avec moi. Je n'ai que faire de ce que les autres racontent. Vous êtes quelqu'un de bien à mes yeux. C'est la seule chose qui compte pour moi.

La aussi... oubliez... pion ou étincelle du désastre, je ne veux plus rien savoir... Mort ou vif peut importe... mais fais toi oublier vermine.

Disparu ou parti... un soucis en moins.

~


Akiro Blanche-Lame: D'abord un esclave... Puis aujourd'hui un habitant aux yeux de la cité. Néanmoins je ne pensais benêt... Il a l'air plus manipulateur que bête. Délaissant ses anciens compagnons pour se tourner vers l'or de la ville. Je n'aime pas ça... sache le bien.

Je t'ai toujours à l'oeil... Tu as trop traîné avec la garde pour être réglo... sache le bien.

Disparu ? pas plus mal...

~


Ilse: Je n'ai rien de spécial contre elle juste que... de garder un bâtiment dont on ne s'occupe pas... je n'en vois aucun intérêt. De plus... pour laver des tâches... Faudrait-il déjà commencer par les voir !

Traînée qui se fait passer dessus par tout un équipage avant de pointer les autres du doigt... L'Arbitrio pourrait te rappeler à lui plus tôt que prévu tu sais... Tâche de la jouer plus silencieuse, radasse.

~


Cain Keryah Vuhori: Cela ne fait aucun doute ça place est bien plus légitime à la tête du quartier Ouest que ne l'était cette bouchère... Néanmoins j'ai un doute sur la logique de son esprit...

Etre malsain dont le créateur jugera certainement bon de laisser de coté lors du jugement final... Servir ses propres intérêts en écrasant les autres n'est pas digne d'un croyant tel que vous !

J'en ai toujours pas terminé avec vous et votre petit manège. Je ne serais en paix que quand vous aurez quitté la ville pour ne plus jamais revenir. Sinon nous pouvons imaginer des faits plus... définitifs ?

Vous n'êtes finalement qu'une marionnette... Je tâcherais de ne pas l'oublier à l'avenir mais tu reste en travers de ma route.

~


Astalmo Von-Herbert: Des mots vifs, des mauvaises impressions... Mais je ne l'en tiens pas forcément rigueur non plus... Je ne sais pas trop sur quel pied danser.

Espèce de chien ! Vas donc changer tes pots de chambre plutôt que de jouer l’intéressant. Tu n'es rien... un insecte et tu le resteras. Restes à ta place !

~


Philip Androix: Un dreher que j'apprécie. Fait Exceptionnel pour le souligner ! Il a prit ma défense et je l'en remercie de tout coeur !

Merci pour les vivres.

On retourne sa veste ? On rejoint la meute de chien galeux ? Pourquoi ?

~


Eija: Une jeune femme aux cheveux d'ivoire. Elle est douce et craintive mais n'a pas l'air méchante... Elle me donne envie de prendre soin d'elle. Nous verrons ce que l'avenir nous réserve à toutes les deux...

Elle nous met tous en danger ! A t'elle seulement conscience de ça ! Folle !

Si toi ta place est celle d'une chienne obéissante, ce n'est pas la mienne. Et merci de rester loin de nous à Hiiagara et moi ! Tes pleurnicheries m'insupportent !

Partie pour ne plus jamais revenir j'espère.

~


Henrry: Il ne m'a rien fait... mais... Je l'ai trouvé effrayant ! Je... Je ne sais pas si j'aimerais le recroiser seule. J'ai peur de ce qu'il peut avoir derrière la tête.

Jamais je ne l'aurai pensé aussi benêt...

Disparu ? Je ne te vois plus en ville.

~


Anya: Une femme a l'allure étrange et terrifiante ! Elle semble néanmoins gentille et encline à me tendre la main et a m'aider.

C'est votre faute !

En plus d'être la reine de connes, vous êtes une cinglée bonne à être enfermée ! Vous et votre citoyenneté pouvez aller vous faire mettre ! Vous ne savez qu'exiger l'obéissance, des réponses et vous plaindre ! Vous ne savez pas encore à qui vous vous frottez visiblement... Après m'avoir séquestrée, ne vous attendez pas à un seul traitement de faveur !

Mmh... mmh... la donne a changé, c’est certains. Un ennemi commun rapproche forcément ceux qui ne s'entendent pas. Vous restez néanmoins quelqu'un que je ne compte pas parmi mes proches. Vous avez su vous montrer autrement, mais cela ne rachète en rien vos fautes passées. Et puis... Bordel ! J'ai jamais vu quelqu'un dont le pouvoir monte aussi vite à la tête ! Ah si pardon... Astalmo... Pire, lui voit du pouvoir où il n'y en a pas.

J'ai bien fait de rester méfiante. Le poison a mit longtemps à agir mais nous voyons enfin ton visage. Penses-tu l'emporter ?

~


Kylian: Au début un simple esclave à qui je voulais donner une meilleure chance de départ... Tu m'as trahis. Tu as osé te retourner contre celle qui t'a nourris et aidée ! Sache que si je tolère que l'on obéisse pas... je ne tolère en aucun cas la trahison ! Ne m'approche plus sauf si je te le demande !

~


Hisato Kironoko: Un albinos avec de mauvaises fréquentations pour commencer... Voilà ce qu'il est ! Tss... Malbjorn... sérieusement ? Comment osez vous vous mêler de cette histoire ?! Vous n'y êtes pas concerné ! Alors occupez vous donc de vos trucs d'homme "libre" et fermez là !

On verra qui ferra nager l'autre... Idiot !

La salope vous salue bien bas... Connard !

Disparu ? Je ne vous vois plus en ville. Par contre... là... c'est tant mieux !

~


Izaac: Un esclave des Drehers, comme moi. Il est assez froid et distant de ce que j'en vois mais il m'a quand même sortit de quelques mauvaises passes... Je pense qu'on se renvoi sans arrêt la balle au niveau des services et cela me plait bien...

Quel est ton rôle dans tout ça... Tu as l'air si détaché des événements et pourtant tu as été prêt à prendre des coups pour moi... Je n'arrive pas à savoir si je dois te considérer comme une véritable aide ou si je ne suis qu'un simple passe temps dans ton existence. Tu as cependant été là quand il a fallu me secourir. J'ai l'impression de ne pas tout savoir, qui es tu ? Quel est ton rôle ?

Finalement... je sais plus ou moins pourquoi tu fais tout cela pour moi. J'accepte d'être ta rédemption auprès de cette jeune fille brune. Après tout... Pourquoi je refuserai, Lig Ocolidien ou pas, tu m'as sauvé et ce... à plusieurs reprises.

Je veille sur toi comme un trésor... Paria de mon passé, toi aussi tu as su te tenir au sommet de mon présent. Je t'en supplie... Survie ! Je n'admettrai aucune autre option possible !

Je te croise de temps en temps mais on s'est perdu de vu. Je sais que tu es en bonne santé et que la vie n'a pas l'air trop douloureuse pour toi au vu de tes accoutrements. Je tâcherai de venir prendre des nouvelles.

Tu as bien changé, jouant les chiens d'aveugle, tu ne sais aujourd'hui que remuer la queue et lui obéir au doigt et à l'oeil. Soit. Qu'Arbitrio sauve ton âme avant qu'elle ne te fasse commettre l'irréparable.

~


Kaprasius Hagenstak: J'ai eu un peu de mal avec elle dès le départ... Des petites réflexions qui ne m'ont pas plu et à présent je sais qu'elle fait parti de ces personnes qui traitent les esclaves comme des objets... Après m'avoir ennuyée au chat, je demande juste à ce qu'elle me laisse de l'air quand j'y travaille. Rien de plus, rien de moins.

Une ratée qui n'a pas su s'occuper du quartier qu'elle convoitait... Je n'arrive pas à croire qu'Azer est avec une ratée comme elle... En plus de cela... cette "dame" a un très mauvais fond...

Je ne l'apprécie toujours pas mais elle me casse plus les pieds pour le moment. Que cela reste ainsi.

~


Stelio Volturno: Un homme effrayant ! Ces deux termes suffisent.

Malgré tout Dame Giulia le présente comme un bon parti... Je dois comprendre qu'elle veut me pousser dans ses bras ? J'en frisonne d'avance... mais l'excitation n'est pas là, je vous l'assure.

Il est prédisposé à être d'une rare cruauté ! Je vais me méfier de lui.

Tu as voulu attenté à la vie de personnes qui me sont proches. Tu n'as rien d'un chevalier.

~


Valérion Antor: Un homme... effrayant... Ces deux points soulevés, je n'ai rien d'autre à ajouter.

Malgré ça Dame Giulia essai de le présenter comme quelqu'un de bon et de confiance envers qui je peux me tourner en cas de problème... Je ne sais pas si j'ai envie de lui faire confiance !

Lieutenant corrompu ! Un véritable chien parmi les chiens ! Un pourri ! Il cherche l'autorité par la peur et la force plutôt que par le respect ! Il n'est pas digne de faire parti de la Justice ! Il est néanmoins un homme sensible derrière son masque de cruauté. Le perser ne sera pas chose aisé...

~

Blason Dreher.jpg Les Drehers : La famille qui m'a acheté tout simplement... Je n'ai pas de mauvaises pensées à propos des membres qui la composent. Ils ne m'ont pas frappée ni insultée et je ne leur ai pas manqué de respect... Rien de tout cela ne devrait donc arriver en toute logique... Mon éducation devrait faire la part des choses et je devrais m'en sortir sans casse. Un point positif quand même ! La majorité parle Hura et ils ont donc été éduqués comme ma mère l'a fait pour moi... Cela facilitera les échanges j'imagine.

Que les flammes vous ronge !!

Famille déchirée... c'est ma faute. Les membres qui sont resté ne sont pas les plus mauvais... J'en garde néanmoins un mauvais souvenir...

Famille éteinte depuis longtemps maintenant.

~


Escanij: Toujours à jouer le bon chien chien à ses maî-maîtres ! Il me sort par les yeux !!

Disparu.

~


Eradan Dior: Après Melkyor, la personne vers qui elle ira en cas de gros pépins... Elle sait qu'elle l'a déçu récemment... Mais elle remarque également que son tempérament de feu l'amuse. Au moins... il ne l'a frappera pas pour quelques chipignoneries.

Les flammes seront ta seule issue pour m'avoir trompée !

Quoi en penser...

Un monstre ! Rien de plus qu'un monstre a qui je prendrais volontiers la vie !

Pourri au bagne ! Et n'en reviens pas !

Je te vois, je ne t'entends pas beaucoup... c'est pas plus mal remarque si tu veux garder ta langue.

~


Saltan Androix: Le frère de Philip... Ancien Dreher... Je ne l'ai vu que très rarement et la seule fois où je me suis réellement confrontée à lui, c'était quand celui-ci à rejoins les chiens que sont Daviel et Malbjorn dans leur projet de famille et a tenté de voler les esclaves Drehers... J'ai néanmoins, à titre personnel, rien contre lui... Je suis juste déçue d'une telle attitude envers ce qu'il appelait avant : des amis...

Un sens de la logique très réduit finalement... Je n'étais déjà pas très encline à lui parler et lui faire des politesses... Je me forcerai juste davantage encore...

Les anciennes bonnes résolutions ne sont plus, l'heure est à autre chose. Nul homme est intouchable et les exigences n'y feront rien.

~


Yokor Dreadan: Membre de la famille Dreher avec qui je n'ai pas plus d'affinité que cela...

Les flammes seront ta seule issue pour m'avoir piégée !

... L'ombre, la déception, la tristesse, la haine, la rancœur...

Personnage Hiiagara.jpeg
Hiiagara S'Jet
thème de la situation relationnelle actuelle. (Merci Hiiag oui je te pique la musique)


Un homme étrange au premier abord, fou, extrême... beaucoup d'adjectif lui vont... On me l'a désigné comme étant un "bon gars" et que d'être bien vu par sa famille pourrait m'ouvrir des portes... Je n'ai donc pas l'intention de le décevoir.

Comment qualifier cet homme... Il m'a été d'une grande aide... Je ne sais pas à quel point mais j'ai la sensation que je lui dois énormément. J'en apprendrais davantage... plus tard...

Je ne saurai pas dire s'il est effrayant ou amical finalement...

Il est de bon conseil mais d'un naturel agaçant ! A la fin homme et enfant j'ai l'impression de me revoir sous des traits plus masculins. Il est néanmoins plus dérangé que moi et encore... Je ne passe simplement pas à l'acte tout ce dont j'ai envie de faire. Lui, la mort ne lui fait pas peur, à moi si. Je le remercie néanmoins de tout ce qu'il fait pour nous... Je me mise même à veiller sur lui durant son sommeil. Après tout, il avait lui aussi beaucoup d'ennuis...

Je me sens si impuissante en ta présence... Manipulable, un petit jouet entre tes mains expertes. Je déteste cette sensation ! Je la hais ! Mais... j'ai... confiance. Je laisse faire, j'y prends même goût. Ça me terrifie presque mais je me laisse aller, laissant les choses venir comme elles veulent. Ocolidien, avant je t'aurai pris pour une personne à éviter par tout les prétextes, tu es aujourd'hui à la fois protecteur et source de joie. Merci...

Sinistre, tu n'en reste pas moins l'homme qui à su faire de moi ta captive. Homme de l'ombre, paria de mon passé tu es mon présent, la source de ma chaleur, la source de ma survie, la source de ma lumière. Tu m'as fais tienne, je t'ai fais miens... Puisse l'avenir ne jamais nous déchirer !

Doux, calme, patient... Un trésor que je n'aurai jamais pensé trouver. Captive de tes sens et captif des miens... On se complète et s'associe pour une idylle pleine de surprise.

Cela fait des semaines maintenant que la mort ravagea notre cœur chacun à sa manière. On ne se parle aujourd'hui que très peu... se refermant chacun loin l'un de l'autre. Mais également... Depuis le retour du monachisme en ville, ta croyance te pousseras à faire un choix, je ne suis pas prête de toute manière... Des doutes et des peurs font surfaces sans nul doute... Et te parler m’effraie encore plus encore. Je ne veux pas le découvrir.

Le secret est dur... synonyme d'angoisse et de peine... mais aussi de colère. M'a t'il trompé... s'est il joué de moi... s'est il-- "oh ma tête". Un jouet, un passe-temps, un lot de consolation tout au plus... Voila à quoi j'ai été résumé?

Nos coeurs sont bien loin l'un de l'autre mais je n'ai pas oublié. Je pose les yeux sur toi, sur tes yeux d'or sur ces marques sur ton visage. Je me souviens et je souffre... encore.

Maîtres du noir

Visage-de-Malbjorn.png
Malbjorn

Je ne veux plus jamais avoir à le croiser ni à lui parler !

Même s'il est effrayant... je ne peux pas l'ignorer. Je fais néanmoins preuve de compassion à son égard...

Les flammes seront ta seule issue pour m'avoir détruite !

Continuer à me menacer ne te mènera à rien de plus... sache le. Ah si... je serai surement plus encline à laisser ma cruauté s'exprimer.

Cette soudaine sympathie cache quelque chose de plus malsain encore... Sachez que votre sort est entre mes mains et celles du Créateur.

Je le savais ! Tu n'es qu'une ignoble raclure ! Essais donc de me porter le moindre coup !

On a pu partager la même tente pour un marché et même si nous nous ne sommes pas entre tués... Nous aurions dû garder le silence. Je n'ai aucune envie d'être agréable avec lui, et il a du le sentir. Le marché a manqué de finir en insulte mais je me suis pincée la lèvre et ais remballer boutique.

~


Daviel: Après m'avoir fait cuisiné en étant morte de faim... J'ai bien l'intention de lui faire payer cette torture ! Tout commença par un cracha dans sa soupe !

Il est le monstre qui hante mon âme... et celui qui m'a jeté dehors alors que Melkyor, son tribun, m'avait donné refuge suite à mes blessures.

Les flammes seront ta seule issue pour m'avoir brisée !

Une pourriture ! J'ai appris que tu étais au bagne ! Puisse la maladie et la mort t'emporter ! Je savais qu'Arbitrio allait punir ton âme souillée ! Puisses-tu crever comme un chien !

Je ne t'ai pas oublié...

... mortes


Klaus Ershell Mark: Un homme un peu étrange mais sympathique qui m'a permis de manger à ma faim à l'Abbaye... J'imagine que je lui dois un service mais... Cela ne me dérange pas !

Cet homme est mort... Je ne le connaissais que peu mais je le regrettai déjà.

~


Edouard: Le Lig le moins "sauvage" de la troupe je crois. Quand on les côtoie, ils sont tous... hum... agréable ? Mais lui plus que les autres.

Ta mort... violente et cruelle. En ce 02 février, jamais je n'aurais voulu apprendre ta mort. Tu n'étais pas ce que je pouvais appeler un proche mais... Je t'ai pleuré, sois en sûr. Ta perte m'a frappé de plein fouet ne rajoutant qu'un trou béant dans ma poitrine déjà bien vides...

~


Sakya: Honneur et cette femme ne vont pas ensemble. Elle est aussi perfide qu'un serpent. Apres tout... au même titre que les mercenaires disent se battre pour l'argent vous vous battez pour l'honneur... Dans les deux cas, on se bat pour ce que nous n'avons pas. Tout est dit...

Morte à ce que l'on dit... Si vous saviez comme cela m'enchante ! Je l'aurais su un peu plus tôt j'aurais même organisé une fête pour cela !

~


Cormac Longfore.: Un traître... tout simplement.

Mort ? Un soucis à me préoccuper en moins !

~


Caterina: Cette femme n'a pas l'air d'être une tendre... Déjà complice du bordel au Tharkier je l'avais à l'oeil... Mais le récent incident de rue confirme mes impressions. Je ne louperai pas une occasion de vous rendre la pareille.

ça une garde... un ramassis de connerie tout au plus ! Pas capable de suivre un ordre en plus. Grognasse...

Une garde, une milicienne... non... un catin de l'Ouest ? Oui ! Elle a une grande gueule et casse bien les noix. Cependant son impacte réel est.. inexistant ? Elle est une erreur à mettre de coté ou mieux... à supprimer.

Morte... hehe... Morte ! Catinrina n'est plus et c'est tant mieux !

~
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Illina Signaro

La Reine d'Esperia... Comment j'ai pu être si stupide et manquer de tant de chance... Pourquoi a il fallu que je me confis à elle pour dire que je ne savais pas qui était la Reine. Je suis vraiment passée pour une sotte ! Néanmoins... sans elle je serai dans un mauvais état... Merci.

Voila des mois que nous nous étions pas parlé, ni réellement vu. Pas depuis le bagne mais je n'ai pas oublié et encore aujourd'hui et même plus aujourd'hui je vous considère comme quelqu'un de généreux et de bon. J'ai pu voir d'autres facettes de votre personnalités et je suis fière de vous compter comme une personne proche.

Je ne le dirais jamais assez, je suis fière d'être à vos coté et jamais je ne ploierai genou devant un quelconque autre prétendant au trône de la cité de l'Espoir. Vous êtes à mes yeux l'unique capable d'endosser ce rôle et nous avons su le prouver. Ma reine...

Bout de femme sur lequel mes yeux sont sans arrêt tournés. Protectrice, et bienveillante ne sont plus des mots suffisamment fort pour décrire ce que je ressens je crois... Je ne vous le dirais jamais surement... qui sait mais... plus qu'une reine, j'aimerais vous appeler autrement. Seulement, je ne me le permettrais pas. Muette je resterais.

Soutient incroyable, vous êtes aujourd'hui un des principaux piliers qui me permettes de rester debout et surtout droite dans ce que je crois. Me considérant plus comme un fardeau que comme une véritable aide, je jure de me racheter à l'avenir de vous être plus utile que je ne le suis actuellement. Pardonnez moi mes erreurs, mes défaillances et surtout mes faux-pas. Figure d'autorité, vous êtes un modèle que je vois progresser chaque jours.

Vous vous êtes éteinte ce 19 mars de l'année 515. Une reine parmi les reines, vous avez lutté pour votre fille et votre cité et ce... jusqu'au bout. Trop peu le reconnaîtront, bien trop peu... Je ne vous oublierez pas et cela jusqu'à mon dernier souffle. Je continuerais à vous demander conseils, j'espère que vous me répondrez. Puisiez-vous trouver la paix, mon amie.

~


Rebecca Ivanovitch: Femme de noble, je respecte cette femme par la prestance qu'elle impose et sa générosité à mon égard. Je sais qu'en cas de questionnement ou de doute... je peux potentiellement me tourner vers elle suivant le sujet de celui-ci...

Noble dame toujours aussi agréable. Nos discussion me conforte souvent dans ce que je pense et j'apprécie ces échanges qui nous appartiennent.

J'ai du mal à cerner ce que je dois comprendre de vous...

J'avais confiance, je pensais avoir trouvé une femme à qui me confier, mais non. Vous avez été de ceux qui ont fait toutes ses horreurs visiblement... Je n'entends plus parler de vous non plus, j'ai vaguement entendu dire que vous avez fuit avec votre bateau et votre mari. Si la ville de l'espoir ne vous a pas fait tué, c'est donc l'océan qui l'aura fait.

~


Sergueitov Ivanovitch: J'avais eu de l'estime pour lui fut un temps... Il aurait ensuite été à la tête de toute une organisation qui lui permit de prendre le pouvoir en ville. Le peuple se fit entendre néanmoins. L'impie et son amant prirent alors la fuite de ce que l'ont m'a dit mais soyons honnête... Son grand âge ne pouvait pas lui permettre de manier un navire seul, même avec l'aide de sa femme. Et encore aurait-il pu le faire... le bateau ne semblait vraiment pas fait pour fuir l'archipel... Le fond de la mer a donc une nouvelle carcasse de navire à son actif...


Son Passé...

La misère mais pas que...

Beaucoup de rumeurs circulent… Je n’ai jamais compris cet attrait pour le malheur d’autrui… On aime entendre raconter les pires horreurs sur telle ou telle personne… On aime détester et on aime faire détester… Tout ces racontars trouvaient souvent refuge là où je travaillais d’ailleurs… l’auberge du moine endormi. Un nom qui lui allait à merveille d’ailleurs ! Quand les religieux ne sont pas là pour prodiguer leur bonne parole… le peuple oublie vite que nous sommes tous sur le même bâteau, à voguer pour la survie. Bon nombre des clients du coin avaient une ardoise aussi longue que mon bras. Et plus l’ardoise s’allongeait… plus ils consommaient pour oublier… Un véritable trou sans fond. Je me demande parfois si mon patron y trouve vraiment son compte… c’est bien beau les impayés mais qui règle la note quand ceux-ci ne peuvent vraiment plus payer… J’avais droit au même spectacle tous les soirs alors que j’essuyais calmement quelques verres au comptoir. Les ivrognes qui hurlent leur désarrois, des jeunes filles assez jolies pour tenter de tirer quelques pièces contre bons services, les plus pauvres qui nous servaient leurs yeux les plus larmoyants pour qu’on leur offre une miche de pain même rassis : que je donnais dès que le patron avait le dos tourné même si je pense qu’il savait… il me réprimandait pour la forme quand il me voyait le faire…

On poussa la porte de l’auberge, personne ne fit attention à lui… sauf moi… Un homme bien habillé, droit et fière avec un brin de compassion au fond des yeux pour ceux se trouvant dans la pièce. Il ne jeta qu’un bref regard sur la misère et s’avança vers le comptoir. Le cliquetis de quelques pièces tintèrent à mes oreilles quand il les déposa face à moi alors que mon patron vint se poster derrière moi.

“Bonsoir Ser… On vous sert quelque chose ?” lança t’il au-dessus de mon épaule.

Il regarda brièvement le responsable puis ses yeux s'attardèrent sur moi. “J’étais juste venu régler les dettes d’un de mes domestiques chez vous… mais je vais me laisser tenter par une coupe de vin…” Lâcha t’il finalement.

Je me mis à lui sourire doucement, touchée par son attention envers son domestique. Il nous donna son nom et son ardoise fut effacer dans le même instant. Je lui servis son verre alors que je sentais mes joues s’empourprer de rouge quand je reviens face à lui pour lui donner sa coupe. Il dégageait un réel charisme et une réelle prestance. Il ne resta néanmoins pas bien longtemps, peut être incommodé par les regards envieux de lui lançaient les autres clients… Après une ultime gorgée, il déposa le triple du prix sur le comptoir.

“Pour la serveuse… On m’a toujours appris à récompenser les bonnes choses.” Je relevais les yeux des pièces mais… il passait déjà la porte de la sortie.


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Au clair de Lune

“Bonne soirée Bel’ rentre bien !” me lança mon patron alors qu’il fermait boutique. Je lui rendis sa politesse d’un sourire et c’est les bras remplient de reste que je rentrais à la maison. Il fallait que je sorte de la ville et que j’aille à une petite ferme au-delà d’un ruisseau. Les gens appelaient là où j’habitais “Rivenoire” et nous avons finalement fait de cette appellation notre nom. Ma mère voulait oublier son passé à Huratelon et se reconstruire. Malheureusement… nous n’étions pas très apprécié, ma mère était très discrète et son activité était souvent mal interprétée. Herboriste de profession elle était souvent prise pour une sorcière ou vendeuse de mauvais sorts… J’étais la progéniture maléfique et ceux qui ne me connaissaient pas, me qualifiaient de vipère ou d’empoisonneuse… L’auberge avait un peu souffert de mon embauche mais le patron ne m’en avait pas blâmé. Il disait que c’était des imbéciles et qu’un jour ils verront…. J’attendais ce jour avec impatience !

“Votre service est enfin terminé ?” La voix me fit sursauter et j’en fit tomber mes provisions. L’homme de bonne famille qui était venu à l’auberge, sortit au même instant de l’ombre, l’air désolé. “Veuillez m’excuser ma dame !” ne cessa t’il de répéter alors qu’il s’accroupissait pour ramasser ce qui était tombé. Embarrassé et maladroit, il me fit sourire et je finis par lui donner un coup de main.

“Vous êtes pardonné… Il n’y a pas mort d’homme après tout.” J’étais sincère, ce n’était pas de sa faute. J’étais juste tendu par ce qui pouvait se passer en ville une fois la nuit tombée.

“Je tiens à me faire pardonner. Permettez-moi de vous accompagner un moment.” Ma tête s’inclina d’elle même à ces simples mots. Il me gratifia d’un sourire et souleva le paquet où se trouvait mes provisions. “Vous travaillez ici depuis peu je me trompe…? Je ne vous avez jamais vu.” Il était donc habitué à venir payer les dettes de ses domestiques à l’auberge? Cette idée fit naître un sourire qui ne quitta plus le coin de mes lèvres. Je ne regardais du coin de l’oeil alors que je lui contais que jusqu’au mois dernier j’aidais ma mère et quelques fermiers prés de chez nous. Mais que celle-ci m’avait poussé à trouver du travail en ville pour que je me familiarise avec la population et que je me fasse un petit réseau de connaissance. Au fil de la conversation, il me confia qu’il sortait souvent comme ce soir pour échapper aux obligations de sa famille. Leur dernière lubie était de le marier. Il savait bien que cela était nécessaire mais il aimait rêver et trouver la jeune femme de ses songes au coin d’une ruelle. Il avait de ses mimiques qui me faisaient beaucoup rire et le trajet ne fut jamais aussi court pour arriver aux portes de la ville. Je repris mes provisions et il me fit un baise main avant de nous quitter ce qui allait devenir notre quotidien pendant quelques semaines…


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La présentation

Des semaines que j’avais commencé à travailler à la taverne du moine endormi et cette vie me plaisait déjà beaucoup. J’avais fait une très belle rencontre et ma mère en était ravie, je me demande d’ailleurs parfois si elle n’est pas plus heureuse que moi à propos de cette nouvelle. Edward Lemant voila le nom de cette fameuse rencontre. Un homme de la haute société qui, lassé de vie toute tracé que ses parents lui faisait s’était mit à côtoyer un bout de femme du peuple. Nous nous étions trouvés beaucoup de points communs mais le rempart qui se dressait entre nous était immense ! Il m’avait cependant dit qu’il comptait bien me présenter à sa famille avant que celle-ci ne décide pour lui une nouvelle fois. Il espérait vraiment que je fasse bonne impression, que mes manières douces bien que très maladroite plaisent à ses parents… J’avais peur. On entrait pas si facilement dans les hautes sphères… Je continuais à me demander où se trouvait le piège mais j’étais bien trop haute dans le ciel pour penser à cela avec lui. J’étais sur des nuages, portée par des centaines de papillons qui logeaient dans mon ventre. Le regard vague, rêveur, un petit sourire niais aux coins des lèvres… Voila comment on pouvait me voir tous les jours au travail. Le patron disait que j’étais un petit rayon de soleil mais qu’il ne fallait pas oublier de baisser le nez de temps en temps pour faire la plonge. Il riait fort et moi aussi même si j’étais très gênée de la situation…

Les jours continuèrent à s’écouler et je ne vis pas se moment arriver. Une femme des plus élégante entra à l’auberge, peu après son ouverture et s’entretint directement avec le responsable. A peine quelques minutes après, elle vint à ma hauteur et me sourit. Clignant des yeux, ne semblant pas comprendre, elle enchaîna pour me mettre les idées en place. “Je suis Marie Lemant, la soeur de Edward et nous avons peu de temps pour te rendre aussi présentable que possible !” Pas le temps de dire “ouf” qu’elle me prenait par la main et me tirait dehors. Mon patron se contenta de me faire un petit signe de main alors que je remarquais une nouvelle bourse à sa ceinture. La famille Lemant n’avait donc aucune limite en terme d’argent ?

J’ai été tiré dans tous les sens et dans toutes les boutiques pour trouver une tenue, une coiffure et toute une toilette convenable avec pour seule juge : Marie Lemant. Des paquets plein les bras on se dirigeait vers les hauts quartiers mais en passant devant un petit banc de fruits et légumes, un gamin venait de se faire attraper à voler une pomme… Vu sa corpulence j’imaginais que trop bien son attention et le vendeur me fendis le coeur quand sa grosse main claqua contre la joue du gosse. Marie me prit de court quand elle s’approcha du banc et fit tomber une énorme caisse sur l’un des pieds du vendeur. “Oups” marmonna t’elle en même temps “Pardonnez moi… elle a glissé.” Le marchand poussa un crie mais se retint néanmoins de répondre autrement à cette douleur… Je cachais mon sourire derrière mes paquets alors que Marie achetait un petit sachet de pomme. Elle croqua dans l’une puis s’accroupit prés de l’enfant. Il était paniqué, effrayé… Elle lui tendit le sachet, un grand sourire accompagnant son geste. “C’est pour toi… tu n’auras pas de problèmes avec celles-là. Promis !” La main du gosse tremblait mais il se saisit rapidement du paquet et détala aussi vite que ses jambes lui permettaient. Elle semblait satisfaite à présent… Nous reprîmes alors notre marche, visiblement plus légère. Elle me fit ensuite entrer chez elle par la porte des domestiques : direction sa chambre avec sa salle d’eau pour mettre en oeuvre tout ce que nous avions fait et vu dans la journée. Un véritable marathon ! J’étais exténuée de tout ce qu’il fallait faire pour pouvoir être vue par les grands de cette ville. J’étais très intimidée par les domestiques qui prenaient soin de moi même dans le bain. Des crèmes, des huiles, on me brossa les cheveux, on me massa les mains avant de s’occuper de mes ongles comme une vraie princesse… Tout était si… parfait. Après avoir affilé la robe, et mettre regardé dans le miroir, je vis Edward dans l’encadrement de la porte. Il me détailla de haut en bas, plusieurs fois, et sourit visiblement très satisfait. Il était temps de faire mon entrée… Il m’offrit son bras et sa soeur nous suivit de quelques pas…

Devant la porte de la salle à manger, il me souffla “Ne t’inquiète pas. Tu es parfaite.” J’étais si angoissée… je voulu lui répondre mais on ouvrit la porte. Je m'efforçais de sourire et Edward entama la présentation alors que je faisait une petite révérence comme me l’avait montré sa soeur. Je venais de mettre les pieds dans un monde où je n’avais aucune prise, aucune connaissance… On venait de me lâcher dans une fosse au lion et j’allais m’y faire dévorer ! On me fit signe de m'asseoir sans autre cérémonie mais je pouvais ressentir la gène voir l’agacement palpable de la mère. Elle avait néanmoins la retenue d’une grande dame pour garder ce qu’elle pensait pour elle. Le père était en bout de table, sa femme à sa droite, sa fille à sa gauche. J’étais à coté de Marie, une jeune fille silencieuse en bure était assise entre Edward et sa mère. Le repas commença alors ou plutôt devrais-je dire le supplice.

Heureusement que j’avais les indications discrètes de Marie pour m’en sortir avec l’argenterie et la manière de déguster les divers mets pour une dame de la haute. On me regardait beaucoup et j’avais l’impression de glisser peu à peu sous la table pour vouloir me cacher. Je voulais disparaître… retourner dehors au bras d’Edward qui me raccompagnait chez moi… On se mit alors à me poser des questions sur ce que je faisais, sur mes parents… Je voyais bien que les réponses ne convenaient pas. Pire que cela, quand on engagea le dialogue sur ma mère et qu’ils réalisèrent qui elle était, je pus facilement apercevoir une soudaine crainte traverser les yeux de la marâtre. Je le savais que ma mère n’était pas très appréciée pourtant…

Le repas se termina calmement sans vague. Marie me proposa gentiment de me changer dans sa chambre pour être plus à l’aise pour rentrer. J’avais le moral au plus bas mais elle me redonna vite le sourire en m’apprenant que Edward m’attendait pour rentrer. Qu’il avait réussi à fausser compagnie à sa mère et qu’il avait un petit cadeau pour moi !

Quand je vis enfin le ciel je tombais au même instant nez à nez avec un belle rose rouge que l’on tendait à quelques centimètre de mon visage. Toujours aussi élégant et charmeur il me tendit son bras et il m’accompagna jusqu’à la sortie de la ville. Aux portes, il se saisit de mon poignet gauche et y accrocha un petit lien de cuir fin. Un bracelet où trônait au centre un petit coeur d’argent. On s’embrassa pour la première fois…


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La rage naquit des flammes !

“Sorcière ! Assassin ! Perfide ! Traitresse !” J’eus à peine le temps de relever les yeux qu’on m’attrapa par les cheveux pour me faire tomber au sol en pleine rue ! Sonnée par la chute et ma tête qui avait tapé sur le sol, je ne saisis pas bien les évènements qui se déroulaient… Je me sentais faible, lourde… si lourde…

Je sentis mon corps partir en avant, on venait de me jeter aux pieds de deux personnes si je pouvais en croire les ombres que me projetait le soleil couchant… On parlait autour de moi mais je ne comprenais pas le sens de leurs mots… Je sentis approcher quelqu’un, une des deux ombres était près de moi, le bout de sa botte frotta mes genoux puis une douleur vive me fit sortir de ma torpeur. On me tira si fort les cheveux qu’on me souleva, je m’entendais hurler, je me sentais m’agiter puis plus rien… Je retombais, retenu par les bras de deux hommes forts. Des mèches courtes retombèrent sur mes épaules alors que mes yeux se posèrent sur la main d’un homme face à moi qui tenait fermement une longue tignasse de cheveux roux coupés nets… Le flou embruma mon regard, des larmes chaudes coulèrent le long de mes joues… Je cherchais le visage de celui qui m’avait fait ça… Ses traits fins, ses yeux torturaient par des larmes semblables aux miennes… : Edward… Non…

“Qu’on l’emmène… qu’elle paie pour ses crimes ! Puisse son âme être secourue par les flammes !” La moine du dîner s’approcha aux cotés d’Edward en criant ces mots affreux ! “La traîtrise de cette créature qui a voulu duper Ser Lemant ne mérite que la clémence divine !” Ma gorge se noua à chaque mots… tout aussi pesant les uns que les autres… Mon corps ne répondait plus… la lourdeur des mots… des faits que l’on me reprochait me cloua sur place… Je… Qu’avais-je fait ? On me traîna sur quelques mètres avant de nouer des liens solides autour de mes poignets. Je tenais à peine debout, les yeux dans le vide, j’entendais à peine le brouhaha autour de moi… La foule… La plèbe s’était entassé pour l'exécution de cette sentence religieuse…

Le soleil était couché à présent… seuls les flambeaux offraient assez de luminosité à présent… C’est d’ailleurs un homme battis tel une montagne qui s’approcha de moi cette fois… Tenant le manche de ces bâtons de feu, il sourit, l’objet se pencha sur moi jusqu'à toucher les ballots de petits bois et de paille à mes pieds… Je voyais déjà le feu s'agripper à chaque petites parcelles qui lui étaient offertes… Je le voyais se mouvoir sous la brise… avancer vers moi puis grandir ! Les flammes lapèrent doucement l’espace autour d’elles jusqu’à s'immiscer au coeur des ballots, provoquant de grandes fumées, irritantes, aveuglantes, brûlantes ! Ma peau, elle aussi se faisait doucement lapait par les flammes… dévorant petit à petit mes vêtements, je sentis également le petit bracelet de cuir lâcher sous la chaleur et tomber dans ce début de brasier. Je sentais la chaleur, ma peau hurlait sa douleur alors que mon coeur s’assombrit de rage ! Cette rage chaude… tenace… cette rage de l’injustice… cette rage de la volonté de vengeance, je voulais la hurler… Je visualisais nombre d’horreurs alors que la place devenait rapidement intenable… La vue était brouillée et cela pour tout le monde. La fumée avait envahi les rues alentours déjà ! Personne ne se rendait compte de ce qu’il se passa alors…

Mes liens se desserrèrent, des mains fortes, masculines m'empoignèrent dans la confusion des flammes et de la fumée. Aucun son suspect, ni craquement, ni crie ne trahissait les faits. On se faufila maladroitement à travers une foule aveugle jusqu’à disparaître dans une ruelle. L’adrénaline finit par me faire perdre l’équilibre et j’ai ainsi terminé le trajet dans les bras de mon sauveur qui de ce que je pouvais voir n’était pas si grand et si fort de corpulence avant que je ne tourne de l’oeil.

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“Par Arbitrio…” La voix féminine me tira doucement de cette fatigue latente…

“Je n’ai pas pu intervenir plus tôt Dame Lemant… La fumée n’était pas assez dense… Je vous prie de me pardonner…” Précipitée, gênée, presque tremblante… La voix était masculine sans nul doute mais…

“Tu as fais ce que tu as pu… elle est en vie c’est ce qui compte…” coupa la femme… J’avais déjà entendu cette voix. “Passe moi le linge humide… Il faut la rafraîchir !” l’instant d’après le froid s’empara de mes mollets, de mes bras, de mon visage… “Oh mère… qu’avez vous été demandé à cette garce de moine… Tout cela pour un stupide mariage !”

“Je vous en prie mademoiselle… Calmez vous… ne vous mettez pas dans de tels états…” Essaya de bredouiller l’homme.

“Balivernes ! Sybelle était parfaite ! Elle ne méritait pas de souffrir autant !” Je sentis une goutte d’eau tomber sur ma joue… Elle coula jusqu’au coin de mes lèvres. Salée… Une larme ? Je me forçais à ouvrir lentement les yeux alors que je mettais péniblement un nom sur sa voix…

“Marie ?” Marmonnais-je.

“Sybelle? Oh Sybelle ! Tu es consciente ! Tiens bon… Nous allons te faire quitter la ville ! Mon domestique va te faire quitter La Capitale. Il a un ami qui travaille comme matelot sur un navire. Juste… Ne reviens… jamais ici. Jamais tu m’entends? Edward a était complètement manipulé par cette femme ! Je t’en prie reste en vie simplement. Tu as étais une merveilleuse rencontre.” Elle se mit alors à sangloter.

“Nous devons l'emmener ma dame.” Je n’entendis pas de réponse mais je l’imaginais acquiescer entre deux sanglots. Elle aussi, l’injustice l’écoeurait… Marie Lemant venait de me sauver la vie alors que sa mère m’avait condamné à mort… J’étais entré dans un univers bien étrange… et j’avais hâte d’en sortir… La manipulation est un art que je ne maîtrisais pas assez à coté de tels maîtres !

Mes vêtements étaient lambeaux, noircis par le feu, troués par ce même feu… Dans quel genre de bateau j’allais être emmené dans un tel état de médiocrité…


~ direction… Fort lointain ~

Durant le voyage...

Vers l'inconnu - La solitude

Le navire en direction pour Fort Lointain.

29 juillet 514…

Cela faisait à peine quelques heures que le domestiques de Marie m’avait confié à cet homme… Il m’avait placé dans la cale avec un peu de nourriture et de quoi le couvrir. Le Capitaine toléré ma présence mais ne voulait pas me voir dans les dortoirs… Que je serai rien d’autre qu’une distraction futile et dangereuse pour ses hommes… Comment en étais-je arrivé là… Je poussai un long soupire alors que je fixai la petite fente lumineuse dans le plancher au dessus de moi… Je ne comprenais pas pourquoi Edward m’avait fait subir cela… Marie m’a dit que sa mère était derrière tout ça… Peut-être que je pourrai lui écrire où je vais… Avoir des réponses… Oh ma tête… Je vais me reposer pour le moment. Dormir… oui dormir me fera du bien…



30 juillet 514

J’ai dormis une éternité… Le matelot qui m’a fait monté ici m’a apporté de l’eau. C’est ce qui m’a réveillé d’ailleurs… j’ai la tête en miette encore. Je commence à tousser aussi, la fumée doit y être pour quelques chose. Il faut vraiment que je me repose… que je n’attrape pas la mort durant ce voyage. Je n’ai pas demandé où nous nous dirigions… Je l’apprendrai bien assez tôt j’imagine…



31 juillet 514

“Mère !” criais-je en me redressant de mon sommeil. Je posais ma main sur mon front, instinctivement… J’étais brûlante… La fièvre ne m’avait pas loupé ou alors était-ce un contrecoup de la chaleur des flammes ? Je ne saurai le dire… Mais la seule chose qui m’occupait l’esprit c’était… : Mère. Occupé à ma propre survie je n’ai pas pensé à elle… Marie y aura t’elle pensé ? Après ma fuite, je doute que l’on ne laisse ma seule et dernière famille en paix… Je sais qu’elle a de la ressource mais…

“Vous êtes en train de tomber malade… le capitaine m’autorise à venir vous soulager un petit peu.” La voix du matelot qui descend les escaliers… Je sèche rapidement mes premières larmes. “Il m’a même autorisé à prendre dans sa réserve personnelle pour un alcool fort pour éviter de l’infection ne se propage. Ce n’est pas de la médecine… mais c’est ce qu’on donne à un gars d’ici quand il attrape froid” Il me tendit une petite gourde. “Tenez, prenez en plusieurs fois par jours.” Un simple hochement de tête lui suffit pour lui faire comprendre que j’avais saisis. Il hésita un moment puis tourna les talons en m’annonçant qu’on arriverait à destination d’ici un jour ou deux… Que d’ici là il fallait vraiment que je sois en forme… Dormir… toujours dormir… La fièvre aussi me la préconisait.


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Fort Lointain

La rouquine alors que l'esclavagiste l'examine.

2 août 514

Oh ma tête… Combien de temps j’ai dormi… J’ai l’impression que le décor tourne autour de moi. Hum…

“A l'intérieur” lança une une voix féminine, visiblement très autoritaire. “Elle n’a quand même pas l’air en bon état votre “marchandise spéciale”…” dit-elle dans un soupire. j’entendis quelque chose traîner au sol, une chaise? Un cliquetis… des pièces ? J’arrive à peine à ouvrir un oeil, la luminosité de la pièce m’agresse terriblement et accentue encore davantage cette horrible migraine !

“Nous vous l’avons dis ! Nous l’avons drogué pour qu’elle ne pose aucun soucis. Après tout nous ne sommes pas aussi équipé que vous pour le transport d’esclave. Vous avez de sacrés équipements.” La voix du capitaine résonna dans ma tête. Lui je le reconnais bien pour l’avoir entendu crier des heures et des heures !

Je cru que je m’étais rendormie car le silence s’était installé, pesant et palpable… Peut-être jaugeait-elle la marchandise dont il était question. “Bon ! Disons que je vous crois… Qu’est ce qu’elle faisait à La Capitale ? Elle doit bien servir à quelque chose.” J’entendis le son particulier d’une plume tapotant sur le bord de son encrier et l’écriture vive de cette femme visiblement bourrue.

“L’un de mes hommes dit qu’elle était cuisinière dans une auberge de la cité. Je ne saurai pas vous dire personnellement la véracité de cette information.” Je retentai d’ouvrir le yeux, faiblement, la tête basse j'aperçus brièvement entre deux clignements, mes mains liées, menotées… La marchandise en question… Oh non.

La femme fit claquer sa langue. “Ça suffira bien ! Je vous la prend.” Des pièces tintèrent de nouveau. “Tenez, maintenant dégagez d’ici si vous n’avez rien d’autre à me vendre !” Les intéressés ne se faisaient pas prié visiblement… Pas un regard envers celle qu’ils venaient de vendre… : moi. Je frissonnais devant tant de désintérêt. “Bon… à nous deux.” La chaise grinça de nouveau et je la sentis s’approcher. Mes membres étaient encore engourdis mais je ne pus passer à coté de fait qu’elle me souleva violemment pour me mettre sur mes jambes et me traîna vers un geôle où elle me dépouilla de tout ce que j’avais sur moi jusqu’à ma tenue pitoyable. Elle m’inspecta plusieurs minutes, silencieuse. “Hum.. ouais, remet ça ! dépêche toi.” Elle me lança mes fripes et me laissa me débrouiller alors qu’elle préparait d’autres fers derrière moi.

… C’est après m’avoir mit de nouveaux fers qu’elle m’emmena dans une nouvelle geôle avec d’autres esclaves… J’avais peur… très peur… Mais ils semblaient être aussi effrayés que moi, quelque part c’était rassurant. J’entendais de nombreux murmures à propos de notre destination finale : Esperia, la cité de l’espoir… Un beau nom pour les tristes gens que nous étions… Espérons que cette cité est à hauteur de sa réputation !



5 août 514

Le voyage est difficile depuis notre départ de Fort Lointain, la femme qui nous tenait prisonnier dans la cale n'avait lancé que quelques morceaux de pain pour tenir le voyage. On avait tous faim et ceux qui avait la chance d'attraper quelque chose ne partageaient pas... Normal j'imagine... J'entendais les autres marmonner tout le voyage à propos de notre destination jusqu'en fin de soirée du troisième jours de mer où l'on posa le pied sur le nouveau continent... Je n'ai aucune certitude pour la suite.

En Esperia...

L'esclavage - Commencement

La vie d'esclave est souvent emplie d’embûche...

5 août 514

Je connaissais rien de cette citée et durant la vente aux esclaves, j'ai pu être achetée par la famille Dreher au prix de 50 espers d'or... La monnaie d'ici j'imagine... Cette famille m'a alors confié une couette et montré un endroit où je pouvais dormir. Pas de coup... pas de gestes ou mots désobligeants, j'aurai pu tombé sur bien pire j'imagine mais ça va. On me montra également ou me décrasser sommairement suite au voyage ! A par cela je suis plus ou moins indépendante vu que personne ne m'a donné de travail à faire... Je vais tenté de m'en sortir quitte à me servir moi-même. Alors que la faim tiraillait mes entrailles après des jours en mer, j'ai pu rencontrer un esclave qui m’emmena vers son maître, Messer Klaus, un homme un peu...étrange mais visiblement compréhensif et gentil. Il me donna l'autorisation de me faire quelque chose à manger avec ce qui était disponible à l'abbaye et partit ensuite s'occuper d'un homme blessé à qui il venait d'ôter un oeil... Suite à tout cela je trouvais une place plus adéquate au sommeil que ce que m'avait montré un membre de la famille Dreher et m'endormie.



6 août 514

Rien de bien palpitant... la découverte de la ville dont quelques maisons aux portes enfoncés et où je peux sans mal me cacher du froid qui approche. J'ai pu partager une discussion avec un esclave de la citée de Henrry. Je me familiarise petit à petit avec les différents grands noms d'Esperia... Dreher, Linden, Vuhori, Raev... Bien des choses auxquelles il faut que je m'habitue... Cependant celui-ci était... très... effrayant... J'ai vraiment cru que cet homme allait abuser de moi sur son lieu de travail ! Je suis partie dès que j'ai pu ! Je ne suis pas certaine de vouloir le recroiser seule... Bien plus tard dans la journée, j'ai fait la connaissance de dame Giula, celle-ci avait été avertie de mon existence par Henrry. Très douce et gentille, elle m'a emmené le laver dans une source chaude et m'a ensuite coiffé dans son atelier de couture... On discuta un moment avant que l'un des membres de la famille Dreher ne passe me chercher pour aller manger. C'est dans la soirée que je tombais nez à nez avec un homme dans le quartier de Rivelame. Il me posa quelques questions simples seulement... mon corps tout entier me hurlait de fuir ! Par le fruit du hasard, Yokor, un membre de la famille Dreher passa par la et me tira de ce mauvais pas ! Je fuis mais celui-ci me retrouva dans ma cachette. Il me raconta une petite histoire à propos de lui et me fit sortir de ma cache, sous prétexte qu'il ne voulait pas attirer d'ennuis à la famille... Jusqu'en place forte, nous nous fîmes filer par deux hommes et un dernier les rejoignit au coeur de la place. Prise de panique, je saisi les clefs à la ceinture de Yokor avant de m'enfermer chez lui. une foie les trois inconnus partis, le tribun de la famille se joignit à nous pour une petite discussion... Ils finirent par me porter dans un lieu mieux sécurisé pour dormir que ce que je leur avais décris... Dès qu'ils auront le dos tourné... j'y retournerai !



7 août 514

En journée, à part un cache cache perpétuel avec les gardes et les hommes en générale... Je n'ai rien fait d'autre... Ah si ! j'ai trouvé pas mal de pièce en place forte. J'hésite encore à les donner ou à les cacher quelque part pour les retrouver quand je pourrai... C'est en début de soirée que l'activité commença. Déjà, il y a eu ces deux hommes arrêtés par la garde, l'un d'eux a été tué si j'ai bien écouté... J'ai cru comprendre qu'ils auraient attaqué une femme du nom d'Emeraude pour la dévorer... Il est vrai qu'on meurt de faim ici bas... tellement de bâtiment de restauration et si peu sont ouverts... Mais de là à vouloir dévorer quelqu'un de vivant... Je préfère encore me rabattre sur des rats. Plus tard j'ai pu retrouvé deux membres de la famille Dreher en place centrale... On m'apprit qu'on m'avait sans doute trouvé un endroit où travailler ! Enfin... On ne pus même pas terminer la conversation qu'un homme en armure vint nous annoncer un couvre feu... Cela devait être dû aux événements des cannibales. On alla donc Place Forte pour terminer de discuter. Et c'est en haut de la tour d'observation que je me retirai quand on nous donna plus ou moins quartier libre. Deux des membres Dreher se joignirent à moi et nous nous sommes mit à discuter comme des... "connaissances". Cela m'a fait un grand bien ! J'ai même répondu à une boutade par un léger coup dans le bras sans retour de bâton ! C'était très agréable. L'un d'eux m'a également confié une écharpe pour ne pas attraper la mort. Mais, j'ai du trop me relâcher... Un homme avec un gros chien, faisant parti lui aussi de la famille Dreher m'interpella pour descendre. Après ce qu'il c'était passé et surtout que je n'avais pas envie de descendre je lui ai tiré la langue... naturellement. Quelle bêtise je n'avais pas faite... Quand on descendit finalement... Celui-ci m'attendait au tournant et essaya de me corriger, méfiante comme toujours, je réagis dans l'instant pour éviter une gifle et m'enfuis. Sur le toit intermédiaire de la tour, je me cachais dans un coin et quand je le vis arriver c'était avec un marteau ! C'est alors prise de panique que mon corps réagit presque de lui même : je sautai du toit ! Je me suis mise à me cacher dans l'une de mes planques. je ne voulais jamais revenir, jamais les revoir ! Après une bonne dizaine de minutes à rester caché... je ne pouvais m’empêcher de me dire que quand il me retrouverait il me briserai en quatre. Il fallait que je trouve quelqu'un qu'il respecte... C'est donc sans attendre que j'ai foncé chez le tribun de la famille. Juste aprés avoir tambouriné à sa porte comme une désespérée, je vis le chien de cet homme arriver et je me jetais dans la maison pour me cacher. Arrivée au grenier... je poussai un meuble sur les trappes pour que jamais on ne vienne me chercher. Seule, alors que le tribun cherchait à démêler ce qu'il s'est passer, je voulu me calmer. Je me mit alors en quête d’élément me permettant de faire une bouteille de protection... apprise de ma mère... j'avais tout... sauf... de la terre et de l'eau... Bocal, pierre, plume, cendre, pièce, lien et cheveux de l'occupant étaient en ma possession mais ce n'était pas complet. Une fois seul à seul, le tribun Dreher du nom de Melkyor me fit une petite morale et me força à aller m'excuser... On retrouva le concerné à une taverne où je pu man--... Non pas manger... picorer ! par la même occasion... En rentrant, une longue discussion s'en suivit avec Melkyor où je fini la réalisation de la bouteille de protection... En fin de compte je m'endormie sur la table, épuisée...



8 août 514

Première vague de grand froid ! La famine en ville, aucune tavernes d'ouvertes pour se réchauffer ! Heureusement que j'ai pu croiser le chemin d'un homme un peu... extrême mais efficace ! Un homme de la famille S'jet qui, pour se réchauffer n'a pas hésité à vouloir allumer un feu à même un arbre... malheureusement... celui-ci n'a pas prit.. On se dirigea finalement au manoir S'jet pour se réchauffer... Au fil de la discussion, une proposition fort intéressante se présenta à moi ! Travailler pour le compte de cette famille, dans cette demeure... Il n'avait pas l'air d'être aussi exigent que c'est gens trop bien pour le peuple... Bien qu'un peu étrange tout de même ! C'est donc avec un but que je sortis de ce manoir ! En me baladant vers Adobe, Valérion et Stelio [comme me les avait désigné Dame Giulia] me tombèrent dessus. Nettement plus terrifiant que les fois précédentes, ils me bloquèrent dans un coin... Dame Giulia me sortit de leur griffe en prétextant un travail à faire avec elle... Le tribun Dreher passa à son tour et m’interpella pour une soit disant tâche à faire... Arrivé place forte, il nous fit déblayer la place forte de la neige qui était présente en guise d'occupation. Je réussis à fuir le travail manuel en me cachant dans un coin de la place forte et une fois le travail terminé, je sortis comme les autres. Je me mise à attendre dame Giulia devant son échoppe... Après plusieurs minutes, Stelio vint me voir et à peine quelques instant plus tard, Izaac vint me sortir de ce nouveau mauvais pas en prétextant que Melkyor avait besoin de moi... Histoire inventé bien sur... Même si j'ai finalement terminé la soirée avec lui à discuter. J'eus une nouvelle fois l'autorisation de dormir sur la table du salon, en sécurité... Néanmoins, curieuse je grimpais discrètement au grenier et me suis mise à l'espionner une bonne partie de la nuit une fois endormi, Je lu alors à mon tour la même lettre qui l'avait ému avant de m'endormir moi aussi sur un canapé de sa chambre...



9 août 514

Cela faisait longtemps que je n'avais pas dormit dans un endroit si confortable ! Me réveillant bien avant Melkyor, le tribun de la famille Dreher, je restai là, profitant de ce petit brin de confort. Bien entendu ce qui devait arriver arriva... Le tribun se réveilla et me vit sur son canapé, dans sa chambre ! J'ai à peine cru voir une lueur assassine dans son regard que je filais déjà au sous-sol ! Je me faufilai sur le balcon et sautai ! La neige amorti sans mal la chute et après tout j'avais l'habitude de ce genre d’acrobatie... seules ces chaines me faisait défaut ! Plus tard, j'errai sans réel but en ville, cherchant un moyen de ne pas me faire battre, encore une fois... Je me proposai à rallumer les lanterne de la ville suite au vent qu'il y avait eu. Je reçu quelques pièces pour ma peine et je les déposais alors devant la porte du tribun lors de mon retour place forte. Dans le début de soirée, on nous emmena manger à la taverne, mais pas le temps de manger que Daviel m'envoya cuisiner pour le compte de la taverne du Corsair... J'avais le ventre vide et je devais cuisiner pour d'autre... Il ne l'emportera pas ! Alors qu'il commanda un plat... je crachai dans son bol de soupe, qu'il dégusta copieusement ! La prochaine fois je serai moins clémente ! Je ne me suis néanmoins pas gênée pour me faire réchauffer une bonne part d'omelette la manger en cuisine pendant que je servais des plats. C'est encore en cherchant un moyen de me faire pardonner que je gardais une pièce ou deux des ventes de la soirée au Corsair... non pas que je pensais à mal mais... voilà... j'avais l'esprit occupé ! A la fin du service on m'offrit encore quelques pièces pour ce que j'avais fait. Je regrettai un instant d'avoir piqué dans la caisse mais je balayai ce songe d'un revers de main. En revenant de la taverne... nouvelle tentative je dépose quelques pièces devant la porte du tribun mais celui-ci ne semble pas comprendre qu'elles viennent de moi... Essayant de trouver davantage encore... je commençai à partir mais Daviel et Malbjorn tiquèrent sur l'écharpe que j'avais autour du cou... Ce dernier se leva et s'approcha, touchant le tissu, j'avais peur d'un nouvelle tentative de gifle... Mais rien de tout ça. Il me confia que c'était l'écharpe de son fils... Au vu de son regard je compris qu'il l'avait perdu où quelque chose du genre... je lui mise autour du cou et filai avant qu'il ne me la rende. je trouvai dame Giulia à sa boutique où l'on parla quelques minutes. Elle me tendit quelques pièces suite à ça en me faisant une petite proposition que j'étais heureuse d'entendre ! Une fois partie, je retournai une dernière fois place forte et arracha une feuille de mon carnet avant d'y inscrire quelques mots. Je déposai cette même feuille devant la porte du tribun avec ces dernières pièces... Je me met alors à contempler l'horizon, rêvant de liberté, pendant presque une heure avant qu'Eradan ne vienne me parler... Et là... je lui balançai tout. Que Malbjorn avait voulu me briser en quatre, que l'esclave mineur m'énerver à jouer le bon chien chien à ses maî-maitres ! Et la meilleure ! Que Daviel m'avait fait cuisiner alors que je mourrai de faim sans me donner une seule bouchée de pain ! Je lui dit que j'avais craché dans sa soupe pour cela ! Il commença à me réprimander verbalement... c'était normal j'imagine... mais j'en pouvais plus de ces trucs ! Ces chaines, ce merdier qui m'entravait jour et nuit ! e n'étais pas un animal ! Encore moins un meuble sans âme !!! Je me suis mise à crier, alors qu'il voulait me toucher, je m'écartais vivement avant de sauter de la muraille... Je la pensais plus haut que ça, je ne ressentit même pas la douleur au moment d’atterrir... l'adrénaline ? Peut importe, j'étais déjà loin. Je me réfugie à la porte de la boutique de dame Giulia où je me recroquevillais pour pleurer, en espérant l'attendre. Un homme s'approcha et tenta de me parler, je me mise à crier une fois encore, en hura, une langue qu'il ne connaissait pas apparemment. Je voulais qu'on me laisse ! Je ne voulais voir que dame Giulia. Je finis par m'enfuir, trouvant refuge dans un propriété de l'abbaye où la porte était défoncée. Après m’être un peu calmée, je pris une pierre dehors et me dirigeai dans un endroit calme. Ce même homme me suivi jusque sous un arbre où je commençai à frapper ma menottes avec la pierre à plusieurs reprises ! N'y arrivant pas je plaçais mon pied sur la chaîne qui reliait mes deux poignets avant de pousser avec mon pied jusqu'à me blesser plus grièvement aux poignets. L'homme intervient alors et me bloqua plus ou moins au sol pour me calmer... Néanmoins... prise de panique par ce contact, je finis par perdre connaissance. ... ...


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Le monde des songes... - Prisonnière




Légère... Je vole... Je me vois dans la neige, inerte... Cet homme que je ne connais pas m'emporte avec lui. Je le suis un temps et je le vois me ramener place forte où Melkyor récupéra mon enveloppe... C'est alors que je réalisais ce que j'étais : une âme. Invisible aux yeux des mortels... Mon regard se porta directement vers la lune : Arbitrio... Avez-vous répondu à ma détresse... mon inquiétude? Sous cette forme je vais pouvoir retrouver mère et m'assurer de son état ! Je me mis à flotter, plus haut, mon déplacement était intuitif, fluide, agréable... La morsure du froid ne m'atteignait pas, une douce et chaleureuse couche me protégé du monde. La direction ? Une brise me l'indiqua. Je n'avais qu'à la suivre. Tout en me déplaçant je regardais la citée de l'Espoir glisser en dessous de moi, elle était beaucoup plus belle que comme je l'a voyais sous mon enveloppe mortelle... J'allais dépasser le mur de la citée à présent !

"Où crois-tu aller comme ça !?"


Une force immense me tira en arrière ! Une fumée épaisse entourait ma gorge et le forcé à retourner en arrière. Celle-ci vient également autour de mes poignets et de mes chevilles, tirant ici aussi avec la même force. Je me retournai pour faire face à mon opposant mais je ne vit que fumée ! La ville de l'espoir avait presque entièrement disparue sous mes pieds, ne laissant qu'une obscurité menaçante autour de moi. Seule la place forte était encore visible et illuminée. On me tira sèchement une première fois.

"Tu nous appartiens !"


On me tira une seconde fois et je compris où l'on voulait me ramener ! Mon corps... non... Non... NON !! Je me mise à tirer dans l'autre sens, sauvage, enragée, limite possédée ! Plus je tirai, plus la force inverse devenait puissante et plus la fumée devint opaque... Je vis alors la fumée prendre forme autour de mes membre et devenir des menottes et des chaines qui devenait de plus en plus visible à mesure que je tirai. Je devais me libérer ! Je tirai aussi fort que ma volonté me le permettais, dévoilant un peu plus de mon opposant à chaque secondes ! Puis je vis son visage, je perdis pied alors qu'un souvenir résonna dans ma tête...

"Tu demanderas à ton maître au chapeau de paille combien il te vendrait ma belle"
"Je ne la vend pas !"


Cette voix... On me tira une dernière fois alors, brisée...

J'avais perdu...



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L'esclavage - La catastrophe

Les fils de ma vie à présent tranchés, je me dois de les rafistoler...

10 août 514

Il était temps de mettre un peu d'ordre dans mon esprit chaotique... Je me réveillai seule sur le canapé de la chambre du tribun... Je ne tenais même pas debout... Que s'était il passé exactement...? Le tribun vint me parler alors qu'Eradan resta en retrait. Je le sentais déçu par ce qu'il s'était passé bien sûr... mais pire que ça... Après un moment à me montrer sa profonde déception, le tribun s'en alla. je comprit mon erreur bien sûr... mais je savais aussi que jamais de ne serait une femme obéissante. je les entendis s’asseoir en bas... Ils allaient surement parlé de moi... Je voulais entendre ce qu'il allait advenir de moi. Je cru entendre qu'Eradan voulait me donner aux deux gardes qui me terrifié... Que je leur apportai plus de merde que de profit. J'entendis Melkyor hésitait sur ce qu'il savait de moi. Il narra la raison de ma venue ici comme je lui avait contai. Et finalement Eradan finit pour monter pour discuter. On en vint à la conclusion qu'on enverra une lettre à la Capitale pour éviter à l'avenir ce genre d'incident. J'allais enfin avoir des réponses. Plus tard on fit venir une soignante pour les soins et nom d'Arbitrio ce que ça fait mal ! Ce n'était pas les écorchures que je me faisais en grimpant dans un arbre et que mère soignait avec ses plantes ! J'ai cru vouloir lui sauter à la gorge et lui dire d’arrêter... Moi qui suis si peu douillette en temps normal... On m'envoya finalement me reposer à l'étage le temps que Melkyor et Eradan discutent, une fois de plus. Je me mit à somnoler alors que Daviel vint me mettre à la porte. Je vais vraiment me charger de lui... Après avoir été toqué à l'atelier de dame Giulia, je revint à la place forte pour trouver refuge dans la tour... Yokor me mit la main dessus avant que cela n'arrive et m'annonça que je devais me cacher de Daviel et Malbjorn. Mais alors qu'il me communiqua l'information, les deux intéressés pointèrent le bout de leur nez. C'est après un "enfuis-toi" que je détalai aussi vite que mes chaines me le permirent. Zigzagant entre les ruelles du Quartier Ouest je trouvai l'homme qui m'avait payé pour allumer les lanternes de la ville... Je le suppliai de me cacher, de m'aider... Dans le doute on s'isola et je lui expliquai brièvement. Il me permit de rester cacher alors qu'il couvrit mes arrières en sortant chercher le tribun. On me cacha ensuite dans un endroit sûr... J'étais perplexe sur ce que j'avais fait... j'avais compris avoir fait une erreur... jamais j'aurai du le mordre alors que Daviel me mettait dehors... Seulement, j'entendis résonner dans ma tête les mots de Melkyor disant que je n'étais pas fautive... J'allais donc surement passer la nuit là... Après plusieurs heures... je demandais à sortir... l'enfermement me faisait tourner la tête... Ou alors était-ce les bandages à présent complètement imbibé de mon propre sang... je sentais que quelque chose clochait... mais la fatigue et la faim devait me faire divaguer... Yokor m'autorisa a sortir par derrière pour me ressourcer... Une fois dans ce qu'il ressemblait à une arène d'entrainement il dû s'absenter. Peu importe... j'avançais au centre de cette place avant de tomber à genoux dans la neige. Je laissai la fraîcheur s'emparer de moi un instant. J'entendis alors brusquement quelque chose hurler en moi. C'est par automatisme et à demi consciente que mon rituel débuta... Prenant de la neige entre mes main, je me mit à doucement me balancer d'avant en arrière et récitant plusieurs dizaine de fois la même phrase. Je caressai la neige la neige de mes pouces, les yeux clos telle une fanatique. On me sortit néanmoins de ma transe. Eradan vint me chercher au milieu de cette arène en me tendant la main, paume ouverte vers moi... Je n'hésitai pas un instant, confiante. Je remerciais l'eau de me prêter sa force et saisie la main que l'on venait de m'offrir. C'est comme pour sortir de l'office du Quartier Ouest que je me mise à agripper tendrement à son bras. Une fois dans les sous-sols de la "cachette", on fit une halte vers le feu à qui je présentait mes mains glacées. Il m'apprit que les membres présents de la famille avait débattue de plusieurs choses. Je ne serai pas donnée ou vendue et quelques part cela me soulagea... Je commençais à aimer leur compagnie, à certains du moins. Que Daviel et Malbjorn me laisseraient à présent en paix... Je souris à cette simple affirmation mais celle-ci n'était pas terminé. En contre-partie, je devais me voir infligé dix coups de triques. je clignais des yeux, me laissant parcourir par un frisson. Rapidement, je devins blême, n'osant à peine tourner la tête pour regarder Eradan. Je sentais le monde tanguer sous mes pieds, seul la chaleur de l'âtre me maintenait debout et accrochée à la réalité. J'entendis alors quelqu'un descendre... Je me tournais finalement pour voir Melkyor la fameuse trique à la main ! Non ! Pas lui ! J'étais tout bonnement terrifiée, brisée ! Mes jambes finirent par lâcher alors que mon corps glissa le long de diverses caisses... Mon dernier refuge était la prière... la rage s'empara de moi... une rage vive, sulfureuse, brûlante ! Je brûlais littéralement de l'intérieur ! Le feu en moi voulait les voir brûler... tous ! Mon corps ne répondait plus à ma volonté... je n'en avais plus. J'avais tout perdu en venant ici et voici que des hommes brisèrent ce que je tentai de construire maladroitement en moi ! On finit par me lever et simplement m'ordonner de suivre le mouvement. Mon corps le fit pour moi, je n'étais plus aux commandes. Sonnée, je traînai les pieds tel un condamné à mort. Dix coups de triques... je visualisais ma carrure et celle de Melkyor... Il allait simplement me briser les os dans le pires de cas et me tuer sur le coup dans le meilleure... celui-ci fit plusieurs haltes me murmurant des phrases. Je n'arrivai pas à suivre le fils de sa pensée... Je n'arrivai pas à suivre le miens non plus ! Arrivée place forte on m'ordonna de cuisiner un poulet. Cuisiner... un poulet...? Ils comptaient me faire battre pour le dessert ?! Des larmes ruisselèrent sur mes joues tout le long de la préparation alors que le tribun me donna une dernière fois des instructions. Je finis de servir le repas, sans manger moi-même contrairement à ce que l'on m'avait dis de faire. J'obéis néanmoins à la dernière chose ! Me trouver un coin tranquille. Une fois là-bas... je me jurai de leur faire payer... tous... Les flammes seront leur seul et dernier refuge !!!



11 août 514

Qu'allais-je faire... rester enfermer ici ? Combien de temps ? Pour toujours ? Non... Il fallait que je bouge... mais... A peine je me relevé que le sol tangua sous mes pieds. J'avais froid et j'étais pourtant transpirante... Non, il ne fallait pas que je tombe malade. Surtout pas ! Marcher... il me fallait de l'exercice, oui voila de l'exercice ! Je sortis de ce petit appartement et grimpais les escaliers... à quatre pattes dans la neige. Je traînais les pieds... piétinant plus que marchant. Oh ma tête...

"Eh toi, qu'est ce que tu fais là?"

Un garde... et son chien... à l'aide... ces mots restèrent coincer dans ma gorge... incapable de les prononcer... et à peine quelques pas après...

Noir...



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Le monde des songes... - Vision du futur



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L'eau... l'apaisement...
Je reconnais cet endroit... Le forge où l'on m'a caché. Oui c'est ça, on pousse ce petit portillon, cette porte et : l'arène ! Ah l'eau... je savais que je l'entendais, cette pluie douce, réconfortante... Je m'avançais au centre de la place de sable, pieds nus, le visage face à ciel. Au fur et à mesure de ma progression vers le centre de l'arène, je retirai un à un ce qui me servait de vêtement. Je m'offris entièrement à cet élément, source de protection, source de vie, de paix. J'étais seule, débout au centre de ce cercle de sable, l'eau gouttant de mes cheveux, ruisselant le long de mon corps. J'étais seule, en paix, sereine...

Avant qu'un éclair ne fendit le ciel, brisant tout harmonie !


Deux poteaux de bois, solidement plantés dans le sable se dressèrent à ma gauche et à ma droite... le son significatif d'un emprisonnement résonna en moi ! une menotte à chacun de mes poignets me lièrent au bois. Les chaines me retenant passaient dans une fente aux pied de ses piliers de bois que je me mis à regarder fixement... Qu'est ce que tout cela voulait dire...? A peine la question formulait dans mon esprit, la réponse vient s'imposer à moi.
On tira de part et d'autre sur les chaines, me forçant à tomber à genoux. Face à moi, une ombre... Mon corps frissonna de lui même et l’instant d'après un nouvel éclair fendit le ciel, révélant l'ombre dans son intégralité.

...Melk...yor...


Il me fixait, immobile, froid, sévère, impassible... Un véritable roc en soit... infranchissable ! Je captai néanmoins une petite lueur d'espoir au fond de son regard ! Je l'imaginais alors tendre, protecteur, rassurant. Il s'avança vers moi. Allait-il me libérer ? Me cacher quelque part et attendre tout les deux que l'orage cesse ? Il passa derrière moi et j'entendis alors cogner sur les poteaux de bois. Quand il revient devant moi... je levais la tête et tout espoir disparu, arrachant par la même occasion ma volonté. La trique à la main, il tourna, encerclant sa proie. Il guettait le moment opportun...

Le ciel se déchira alors


Et je me mise à hurler en même temps que lui. La douleur était rampante, présente sur ma peau et s'infiltrant