Utilisateur:Zark : Différence entre versions

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Version du 31 mars 2017 à 19:29


     200.png
Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille


Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
guippet
Pseudo
guippet
Prénom IRL
Guillaume
Âge IRL
18












Fiche d’identité :
  • Nom :
  • Prénom : Zark
  • Âge : 25 ans
  • Taille : 1m80
  • Poid : 80kg
  • Cheveux : Blonds
  • Yeux : Bleux
  • Religion :
  • Langues Parlées : Capitalin
  • Nation d'Origine : Krelm
  • Rang Social : Citoyen
Une représentation assez fidèle de Zark

Description

1m90 pour 95Kg, ce jeune homme blond aux yeux bleus possède des muscles saillants. Sa coupe de cheveux est particulière, il est rasé sur les côtés et a l'arrière de la tête, tandis qu'au dessus il porte de longs cheveux tirés vers l'arrière.

Qualités

  • Intelligent
  • Courageux
  • Serviable
  • Amusant
  • Appliqué

Défauts

  • Impulsif
  • Arrogant
  • Impatient
  • Rancunier


Aptitudes

  • Grille Marteau de Guerre Serti.pngChoix 1: Forgeron
  • Grille Livre et Plume.png Choix 2: Education


Histoires de l'ancien monde.

Première partie



C'était à l'aube d'une belle journée je me rendais à la forge comme tous les matins pour continuer mon apprentissage prêt de mon maitre. C'était un homme bon est juste qui avait une fille. Mais celui-ci était malade depuis quelque temps, et ne pouvait exercer ses fonctions. Par conséquent, ne pouvant pas travailler aujourd'hui il m'ordonna de rentrer chez moi. Sur le chemin pour rentrer à la maison, je tombai nez à nez avec mon frère ainé Sreyord qui partait à la chasse. Il ne me ressemblait pas du tout. Que ce soit physiquement ou moralement nous étions fortement opposés. Mais nos différences faisaient naitre entre nous une entente fusionnelle. Il était brun avec un regard ténébreux. C'était le portrait de mon père, il était d'une bonté remarquable et d'un don pour comprendre les gens. Il était calme et savait écouter, une qualité rare pour les hommes de nos jours.

-Voudrais-tu m'accompagner? me lança-t-il.

J'ai accepté sa proposition, nous avions peu de temps pour nous voir, lui était pris par son éducation pour remplacer notre père à la tête de la tribu, et moi je consacrais toutes mes journées à l'apprentissage de mon métier. Mon frère était le meilleur chasseur du continent ! Moi j'ai toujours voulu me battre comme lui, mais le maniement des armes était seulement inculqué à l'ainé des familles d'Indrammet. Nous partîmes donc tous deux dans la forêt. Il ne lui fallait qu'une seule trace de pas pour pouvoir traquer et retrouver sa cible. Ce fut le cas ce jour-là, après avoir vu les traces d'un cerf nous l'avions traqué et il l'avait tué. Nous profitâmes de la fin de cette première traque pour faire une pause et allumer un feu. Après quelques minutes assit à regarder les flammes, il me posa une question qui, je sais, lui brûlait les lèvres.

-Alors petit frère, c'est vrai que tu t'es épris de la fille de ton maitre ? demanda t-il avec un petit sourire.

-Épris est un bien grand mot, nous avons jute tout deux prit le plaisir là où nous le trouvions.

Mon frère n'éprouvait pas la même envie insouciante que moi de conquérir sans cesse de nouvelle femme. Il aimait Selena depuis quelque temps mais il faisait preuve d'une timidité et d'une maladresse qui ne l'aidait pas. Soudain, alors que nous parlions de choses et d'autres, un homme encapuchonné sorti de derrière un arbre. Mon frère se leva immédiatement et dans un réflexe banda son arc. L'homme continuait d'avancer en murmurant des paroles dans une langue inconnue. Sreyord le somma plusieurs fois de s'arrêter et de décliner son identité, mais il n'en fit rien. Une fois arrivé à bonne distance, il sauta sur mon frère le désarma et le mit à terre. Puis il prit une corne blanche accrochée à sa ceinture de cuir, il souffla dedans ce qui eut pour effet de produire un son strident qui résonna dans toute la forêt. Suite à ce son des dizaines d'hommes sortirent de derrière les arbres, mon frère profita du fait que son assaillant soit distrait pour le déséquilibré et le mettre à terre. Une fois debout il m'ordonna de courir le plus vite possible vers le village. Je m’exécutai, j'aurais voulu me retourner et affronter ses ennemis, mais nous étions 2 contre des dizaines. Après plusieurs minutes de course, nous arrivâmes en plein sur la place où se déroulait le marché durant cette matinée ensoleillée. Une matinée qui s'assombrit bien vite par la suite, puisque notre village était attaqué.

Seconde partie



Les ennemis arrivèrent par les grandes portes et commencèrent à massacrer hommes, femmes et enfants qu'il trouvait sur leur passage. Mon père sortit de notre maison qui était en face de la place du marché, il avait l'air déterminé et comme à son habitude il donna des ordres à tout le village. Tous les hommes étaient déjà équipés prêts à défendre la patrie et à sauver leurs familles. Mon frère était toujours à mes côtés tirant des flèches sur des assaillants qui essayer de rentrer chez Rasbruk la taverne de la ville où des familles avaient trouvé refuge. Nos ennemis possédaient tous des marques étranges sur les bras et le visage, comme des peintures de guerre. L’ennemi avait l'avantage de l'effet de surprise, et de la supériorité, cela faisait des années que nous n'avions plus eu de conflit sur nos terres, les hommes n'étaient pu prêt à se battre et avaient repris l'habitude de vivre de leur métier premier qui était pour la plupart de miner. Les cris et le bruit des combats résonnaient dans toute la ville. Mon frère me lança une arme qu'il venait de trouver sur une de ses victimes.

-Va chercher mère, dit-il, et emmène la à l’abri, je reste ici avec père pour protéger les nôtres.

Je me frayai un chemin jusqu’à notre grande maison ou à l'entrée se dressaient deux magnifiques statues. J'ouvris la porte et je montai directement à l'étage dans la chambre de mère. Elle était là à la fenêtre près du lit, vêtue de sa robe blanche. Ses longs cheveux blonds lui descendaient jusqu’au bas du dos. C'était une belle femme ma mère. Elle aurait voulu sortir, mais père lui avait ordonné de rester ici. Je pense que c'est d'elle que je tenais mon courage. Elle aurait été prête à donner sa vie pour protéger l'intégralité de notre peuple. La convaincre de me suivre ne fut pas une mince affaire, elle ne voulait pas quitter la maison où elle avait passé toute sa vie. Mais le feu que les assaillants avaient allumé commençait à se répandre et brûlait vif des habitants, des amis coincés dans leur demeure. Nous devions partir et vite. Après l'avoir enfin convaincu de me suivre, nous descendîmes les marches menant au rez de chausser, puis une fois dehors nous avons assisté à un spectacle que jamais je n'oublierais. Mon père venait d'être déséquilibré par un opposant qui semblait être leur chef, il avait le crâne rasé et une marque noire sur le bras qui lui remontait jusqu'au visage. Tous les hommes s'étaient arrêtés de combattre pour regarder cette scène. Puis l'ennemi profita du fait que mon père soit au sol pour lui asséner un coup d'épée mortel. Aveuglé par la rage je fonçai tête baissée vers cet homme qui venait devant moi, devant notre peuple tuer la personne qui nous dirigeait depuis tant d'années, qui veillait sur nous, je serrais mon épée de toutes mes forces mais, à quelques mètres de mon objectif deux hommes surgirent, et me plaquèrent au sol. L'un d'eux me donna un coup de botte au visage qui me fit perdre connaissance.

Dernière partie



Je ne sais combien de temps je suis resté inconscient, mais je sais en revanche qu'après que notre père soit tombé, l'envahisseur a fait décapiter tout homme qui s'opposait à eux, et ceux qui acceptaient de se rendre étaient faits prisonnier et était envoyés sur un bateau dont le cap était inconnu de la plupart. Je n'avais aucune idée de ce qu'étais devenu ma famille. Quand je repris connaissance, j'étais attaché dans la cale d'un bateau, je ne portais sur moi qu'un pagne blanc troué et salis. Je reconnu Vlorke et Krugni deux fidèles hommes de mon père. Ils étaient en piteux état. Les marins nous donnent une fois à manger par jour, histoire que nous ne mourrions pas de faim. En effet ça aurait été malheureux pour eux que leur cargaison perde la vie et qu'il ne puisse en tirer des bénéfices. Il refusait de nous révéler notre destination. Lors de ces longues journées de navigation, nous fîmes plusieurs escales, et à chacune d'elles les marins prenaient au hasard des hommes attachés, comme moi, dans les cales du bateau, pour les décharger comme des vulgaires marchandises. Je ne sais ce qui était le sort réservé à ces malheureux. Il me semble que c'était lors de notre deuxième escale que les deux fidèles de mon père furent débarqués. Le bateau s'était arrêté à l'aube, et en début d'après-midi, plusieurs hommes basanés et aux cheveux bruns vinrent les chercher. Les pauvres hommes essayaient tant bien que mal de se défendre quand leurs oppresseurs venaient les prendre dans leurs cellules, mais ils n'avaient aucune chance. Ils avaient l'estomac vide et devaient faire face à des marins qui mangeaient plusieurs fois par jour et qui dormaient dans de meilleures conditions que nous. Le regard de Vlorke me revient en tête, un regard rempli de détresse et d'inquiétude. Mais je ne pouvais l'aider, les chaines rouillées et accrochées à mes chevilles me faisaient horriblement souffrir, et entravaient mes mouvements. Je ne pouvais rien faire pour les aider. J'étais un témoin impuissant de la souffrance de mon peuple. C'est à ce moment-là que je me suis juré de les retrouver, je ne savais pas où l'on m'emmenait, où je devrais moi aussi, à mon tour, descendre de ce bateau qui me gardait captif depuis plusieurs jours. Mais un matin, je surpris une conversation de ces personnes qui nous tenaient captif. Elles se situaient juste au-dessus de la cale. J'arrivais à voir à travers un petit trou le visage de l'une d'elles. Il était barbu, un homme avec une grande barbe noire et de longs cheveux bouclés.

-Nous somme proches de notre dernière escale.

-On dit que cette île a été fondée au tour d'une mine d'or.

-Oui, mais je me méfie des "on dit"! Moi tout ce que je souhaite ce sont des femmes et à boire ! répondit l'homme dont j'avais aperçu le visage.

-Apparemment les hommes de là-bas payent cher pour avoir des esclaves, dit le second.

C'est là que je compris enfin, ce que me resservait ce voyage. J'étais destiné à être vendu. Vendu à des gens qui étaient imbus d'eux-mêmes et qui avaient besoin de personne pour faire leurs tâches ingrates. Le lendemain nous étions arrivés. Comme à leur habitude, les marins sont venus nous chercher et nous firent débarquer. Le bateau avait accosté à un grand port luxurieux, il y régnait une forte activité. Des marchands étaient là en vendant des poissons, et divers autres mets qui semblaient plus appétissants les uns que les autres. Un fort parfum se dégageait de la ville qui se dessinait derrière ce port. On nous fit ranger les uns derrière les autres, tous les derniers hommes prisonniers avaient été débarqués. On nous rattacha les chevilles et les poignets, et on nous fit avancer vers une ruelle sombre. Face à nous se trouvait une pancarte indiquant "--> Marché des esclaves".