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| − | Zarrin est une femme exotique, à la peau dorée par le soleil et à la chevelure bouclée. Elle n’a pas pour autant si belle allure aux yeux des carrogians qu’elle a côtoyé, la pensant sorcière ou mendiante à cause des grigris et de ses origines incertaines. Ces diverses commodités se suivent par les estafilades plus ou moins anciennes de ses aventures tumultueuses. Griffures, renfoncement, bosses… sa peau est un djebel d’histoires à raconter devant un bon feu et du bon tabac. | ||
<br/>Les lèvres pulpeuses, le nez dominant et les tâches de rousseurs profondes ne sont que les marques communes de sa race, alors que ses yeux, d’un vert pâle, illumine son faciès avec originalité. | <br/>Les lèvres pulpeuses, le nez dominant et les tâches de rousseurs profondes ne sont que les marques communes de sa race, alors que ses yeux, d’un vert pâle, illumine son faciès avec originalité. | ||
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Il y a tant à se perdre dans ce dédalle mystique… Soleil noir, couteaux tirés, formes célestes et brumeuses dont la signification échappe aux moins érudits, ocelots féroces et autres bêtes exotiques… Comme les plaies, à chaque goutte d’encre son histoire. | Il y a tant à se perdre dans ce dédalle mystique… Soleil noir, couteaux tirés, formes célestes et brumeuses dont la signification échappe aux moins érudits, ocelots féroces et autres bêtes exotiques… Comme les plaies, à chaque goutte d’encre son histoire. | ||
<br/>Enfin, outre sa tenue d’esclave absolument banale, on peut remarquer à son cou une ficelle ou pend une figurine de femme. Sa lance brandie sur une créature monstrueuse indique qu'il s'agit de Lédine, la Magenetas de la chasse. Zarrin ne se sépare jamais de cette figurine de bois d'apparence anodine et sans valeur... mais profondément importante pour elle. | <br/>Enfin, outre sa tenue d’esclave absolument banale, on peut remarquer à son cou une ficelle ou pend une figurine de femme. Sa lance brandie sur une créature monstrueuse indique qu'il s'agit de Lédine, la Magenetas de la chasse. Zarrin ne se sépare jamais de cette figurine de bois d'apparence anodine et sans valeur... mais profondément importante pour elle. | ||
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Version du 5 octobre 2019 à 23:15
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Portrait physique
Zarrin est une femme exotique, à la peau dorée par le soleil et à la chevelure bouclée. Elle n’a pas pour autant si belle allure aux yeux des carrogians qu’elle a côtoyé, la pensant sorcière ou mendiante à cause des grigris et de ses origines incertaines.
Ces diverses commodités se suivent par les estafilades plus ou moins anciennes de ses aventures tumultueuses. Griffures, renfoncement, bosses… sa peau est un djebel d’histoires à raconter devant un bon feu et du bon tabac.
Les lèvres pulpeuses, le nez dominant et les tâches de rousseurs profondes ne sont que les marques communes de sa race, alors que ses yeux, d’un vert pâle, illumine son faciès avec originalité.
Autre habitude chez la Manarade : la constellation d’encre qui court sur ses bras.
Il y a tant à se perdre dans ce dédalle mystique… Soleil noir, couteaux tirés, formes célestes et brumeuses dont la signification échappe aux moins érudits, ocelots féroces et autres bêtes exotiques… Comme les plaies, à chaque goutte d’encre son histoire.
Enfin, outre sa tenue d’esclave absolument banale, on peut remarquer à son cou une ficelle ou pend une figurine de femme. Sa lance brandie sur une créature monstrueuse indique qu'il s'agit de Lédine, la Magenetas de la chasse. Zarrin ne se sépare jamais de cette figurine de bois d'apparence anodine et sans valeur... mais profondément importante pour elle.
Compétences
Chasse : Il est assez évident que Zarrin est chasseuse, la demoiselle trimbalant toujours un arc sur ses épaules. Outre cet attirail visible, la Manarade, conserve dans ses habitudes les traits d’une trappeuse… le regard toujours curieux, attiré par le mouvement, les muscles tendus, les sens aux aguets… et une odeur familière de cuir et de fourrure qui s’accroche à sa peau. On peut ensuite apercevoir de longues balafres, parcourant son corps, reliques de combats bestiaux.
Combat : Zarrin est certes petite, mais pas assez menue pour passer pour une simple commerçante. Les épaules droites, les bras musclées par la maîtrise de l’arc et les jambes solides, apprivoisées à la course en milieu hostile, on reconnait la une combattante. Pour ce qui est de sa maîtrise, il est difficile d’en juger à l’œil nu, la jeune femme ne venant que très rarement à l’affrontement. Seul son arc demeure sur son dos comme une promesse de conflit à qui viendrait l’agacer.
Relations
(WIP)
Crédits
- Série télévisée : Salem : Tituba
- Ulvar
