Dans les confins des Terres désolés
Posté : mer. 18 janv. 2012 14:23
"La guerre, la guerre ne change jamais.
Cette phrase, les habitants de Paris l’ont bien comprise…
75 ans après la grande guerre et la chute des bombes, les batailles dans les terres désolées ont toujours lieux. Certains cherchent à survivre par leurs propres moyens, d’autres ont fondés des "villes" pour se sécuriser. Mais reconstruire une société stable et civilisée est infaisable... les attaques des psychotiques, les assauts des mutants… tous cela ne peux permettre à l’humanité qui réside encore dans cette ville de se relever. Les Hommes et femmes, désespérés, sont livrés à eux mêmes dans un Paris devenu une véritable jungle urbaine où prime la loi du plus fort et… la mort du plus faible...
De plus, depuis quelques temps maintenant, d’étranges soldats parcourent les rues de l’ancienne capitale équipés d'armes de guerre et d'armures assistées de l'ancien temps. Beaucoup de rumeurs tournent autour d’eux, mais aucun ne connais vraiment leurs objectifs.
Entre temps, dans les terres désolées de Paris, un étrange personnage a fait son apparition. Personne ne le connait ni ne sait d’où il vient. Ses intentions restent un mystère, tout comme son nom…
Qui pourrait donc sauver l’humanité ? Personne ne le sais, mais par contre le monde sait que la guerre, la guerre ne change jamais…"
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Devant les grandes barricades de fortunes faites de plaques de taules et de barbelés de la ville du « Nouveau-Paris », terre promise des terres désolées, s’est fabriqué un étrange village... une sorte de bidonville. Il a été fabriqué par tous les gens espérant pouvoir rentrer dans la ville de la FNF. Tout le monde s’est vue refuser l’entré... ils se sont donc installés devant les portes de la ville en attendant une chance d’y entrer un jour.
Ils ont construit ce village avec ce qu’ils ont pu trouver au alentour, pas loin dans les ruines. Ainsi, des plaques de taules rouillées, des gros morceaux de plastiques ou même des bouts de cartons servent de maison, ou plutôt d’abri, au peuple vivant ici. Les pseudos maisons sont très collés entre elle, du au manque de place, car ici, tout le monde veut se mettre au plus près des portes, juste au cas où elles s’ouvriraient…
De petites allées de boue et d’excrément, d’animaux ou d’autre chose, traversent le village de toute part. Ces allées sont continuellement emprunté par des centaines de gens.
Dans ce village règne en maître la violence et le manque d’hygiène. Beaucoup de maladies se répandent dans le village ce qui en font peut être une menace plus grande que les différents gangs qui gangrènent la cité. Une odeur de pourriture et de choucroute englobe tout le village si bien que l’on se demandecomment des gens peuvent vivre dans une telle crasse.
Toute l’entré pour rejoindre le « Nouveau-Paris » est donc obstruée par les « maisons » de fortunes et, au fur et à mesure que les gens se font refouler aux portes, le village s’agrandit, si bien qu’il forme aujourd’hui une véritable société à part entière que l’on appel « Village de la Porte ».
Ici, ils reposent tous sur un espoir que la FNF ne réalisera jamais, à savoir entrer dans le « Nouveau-Paris »
Hors Rp : Pub pour le forum Fallout Renaissance ~
Cette phrase, les habitants de Paris l’ont bien comprise…
75 ans après la grande guerre et la chute des bombes, les batailles dans les terres désolées ont toujours lieux. Certains cherchent à survivre par leurs propres moyens, d’autres ont fondés des "villes" pour se sécuriser. Mais reconstruire une société stable et civilisée est infaisable... les attaques des psychotiques, les assauts des mutants… tous cela ne peux permettre à l’humanité qui réside encore dans cette ville de se relever. Les Hommes et femmes, désespérés, sont livrés à eux mêmes dans un Paris devenu une véritable jungle urbaine où prime la loi du plus fort et… la mort du plus faible...
De plus, depuis quelques temps maintenant, d’étranges soldats parcourent les rues de l’ancienne capitale équipés d'armes de guerre et d'armures assistées de l'ancien temps. Beaucoup de rumeurs tournent autour d’eux, mais aucun ne connais vraiment leurs objectifs.
Entre temps, dans les terres désolées de Paris, un étrange personnage a fait son apparition. Personne ne le connait ni ne sait d’où il vient. Ses intentions restent un mystère, tout comme son nom…
Qui pourrait donc sauver l’humanité ? Personne ne le sais, mais par contre le monde sait que la guerre, la guerre ne change jamais…"
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Devant les grandes barricades de fortunes faites de plaques de taules et de barbelés de la ville du « Nouveau-Paris », terre promise des terres désolées, s’est fabriqué un étrange village... une sorte de bidonville. Il a été fabriqué par tous les gens espérant pouvoir rentrer dans la ville de la FNF. Tout le monde s’est vue refuser l’entré... ils se sont donc installés devant les portes de la ville en attendant une chance d’y entrer un jour.
Ils ont construit ce village avec ce qu’ils ont pu trouver au alentour, pas loin dans les ruines. Ainsi, des plaques de taules rouillées, des gros morceaux de plastiques ou même des bouts de cartons servent de maison, ou plutôt d’abri, au peuple vivant ici. Les pseudos maisons sont très collés entre elle, du au manque de place, car ici, tout le monde veut se mettre au plus près des portes, juste au cas où elles s’ouvriraient…
De petites allées de boue et d’excrément, d’animaux ou d’autre chose, traversent le village de toute part. Ces allées sont continuellement emprunté par des centaines de gens.
Dans ce village règne en maître la violence et le manque d’hygiène. Beaucoup de maladies se répandent dans le village ce qui en font peut être une menace plus grande que les différents gangs qui gangrènent la cité. Une odeur de pourriture et de choucroute englobe tout le village si bien que l’on se demandecomment des gens peuvent vivre dans une telle crasse.
Toute l’entré pour rejoindre le « Nouveau-Paris » est donc obstruée par les « maisons » de fortunes et, au fur et à mesure que les gens se font refouler aux portes, le village s’agrandit, si bien qu’il forme aujourd’hui une véritable société à part entière que l’on appel « Village de la Porte ».
Ici, ils reposent tous sur un espoir que la FNF ne réalisera jamais, à savoir entrer dans le « Nouveau-Paris »
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