[ Correspondance ] Leoplodine Dewhell - Abelforth Dewhell

Modérateur : Azer

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Leoplodine
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ven. 25 oct. 2013 15:58

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Destinataire: Abelforth William Dewhell
Rédacteur des réponses: Leoplodine
Destination: Pendil, Butte du Pré FLeuri
Liste des services choisis: Normal.

RolePlay :

L'écriture est fine et élancée. On distingue une certaine façon de faire les boucles. Une petite mèche de cheveux est nouée à l'intérieur du parchemin.

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Esperia,

Le 25 Octobre 513,


Cher oncle Abelforth,




Cela fait des lustres que la plume m’eut démangé de gratter cette lettre pour que tu sache enfin aux nouvelles... Mais la joie où j’écris ces mots, ne peut être contenue tellement la rigueur de l’encre dont l’appui se fait choir me laisse languir de tout émoi...

Reconnais-tu cette écriture depuis tout ce temps passé ? Cet homme, qui fut mon oncle et restera toujours mon oncle, me reconnaitra t’il après ses mois de sans voix ?

Mon oncle, Abelforth William Dewhell, noble homme, gérant de l’Auberge des Lombards et de l’Auberge des Jeûneurs, personne inestimable à mes yeux, me voici, ta petite nièce, qui ne le reste désormais, que par la taille. Leoplodine Eleonore Elisabeth Dewhell.


≈≈≈≈≈≈≈≈≈≈


Je ne sais par où commencer tellement ma main sur le papier se fait tremblante au fur et à mesure et j’écris ses lettres, le tremblement de mon extrémité ne rassurant point mon augure...

Je ne saurais dire si la mort de père, cet incident sur notre véhicule lors de notre trajet ou si l'enlèvement de mère et même, sont la rigueur de certaines tensions entre un tiers ou que notre famille aurait du tort à rendre sur notre voisinage, ... Je ne saurais dire...
Mais peut-être, oncle Abelforth, saurai-tu m’étayer plus en vigueur sur le pourquoi du comment ?

Une dame, semblant connaitre la famille, Dame Eleanor Lisier D’Estellaz, m’eut informé là où je suis, que les terres familiales, semblaient t’être reprise mais que la contrée semblait ébranlée de notre disparition aux Dewhells. Je ne puis qu’être soulagé sur ce principe. J’espère que tu arrives à joindre les choses avec tout ce que tu faisais et continues à faire pour la bourgade, ... Mes remerciements les plus sincères mon cher oncle...
Cette dernière, m’a permise de revoir quelques produits de notre chère contrée, et j’eus espéré, te mettre en contact avec cette dernière, si le travail viendrait à manquer pour maintenir le foyer en bonne foi.

En parlant de foyer, qu’est devenu le manoir ? La bourgade ? Pendil ? Quelles nouvelles suis-je censée savoir désormais après tout ce temps ?

Trêve de bavardage, et de te questionner de tout abord, et j’eus désormais, la bénéficié de désormais, me situer. Ne crains point ce qui va suivre...
J’ai atterrie sur une ile, une ile se nommant Esperia, une ville coloniale où la vie fut dure à mes débuts, étant enchainée comme beaucoup de pauvres bougres arrivant à cet endroit... Mais j’ai su, su connaitre, loin des murs de ce foyer, découvrir le monde, sa vie, son mal, son effroi, ... Quel traumatisme à ma personne quand l’on eut affaire aux doux rideaux de soie durant des années... Arrachée au tintamarre silencieux de ma douce personne, l’on eut vite fait de voir la globalité de ce qui m’eut resté dans l’ignorance et l’informité, le grotesque, l’inconnu, la cachette partenelles de me voir choir et languir des douces valeurs et tristes dernières d’une journée populaire ordinaire.
J’ai survécu, mon cher oncle, ou plutôt, je revis de tout ça, je revis de mes abords.
Je suis désormais, une noble d’Esperia à part entière, comme ce que j’eus toujours été et enseigné sur le Continent, je fus désormais, libre de ma personne.

Mon soucis enfantin ? Je ne m’attarderai point sur cela, si ce n’est que te rassurer et continuer sur le pourquoi du comment de ce bon fait... Tu te souviens de ma passion culinaire, de ce petit secret qui eut déçu père et mère, jadis ? J’eus abandonné, j’eus laissée tombé, certes, mais je suis désormais vouée à la sciences et à la connaissance de la flore et de la nature. Je t’en parlerai plus attentivement lors d’une prochaine lettre, ne t’en fais point...

J’aimerai terminer sur deux informations et une demande, une seule.
De première chose, j’ai envoyé une lettre à la caserne de Pendil pour avoir des nouvelles sur, Messer Gaston Savoureux, et résoudre enfin ce mystère et cette fourberie qui eut pesé sur ma famille. Peut-être en serais-tu plus informé et eut vent de quelques bribes lors de cette affaire qui date de quelques années aux dernières nouvelles ?
Par la suite, j’eus entreprise, lettre peut-être trop prétentieuse, et comme père et mère, ne sont plus, ..., d’envoyer une missive à la cour capitaline, en vue, de recevoir la continuité du titre de mes paternels, et ainsi voir prospérer, et assurer, la suite de notre famille et descendance... Pourquoi te parle-je de cette augure... ? ... Et bien, car ta nièce, serait, dans les semaines ou mois à venir, à consentir à donner bas et à épouser, un noble capitalin vivant à Esperia, ce dernier, représente beaucoup pour ma personne, et c’est pourquoi, j’en conçois désormais, à me faire libre choir à sa personne et à accepter, prochainement j’espère, d’offrir ma main, à ce doux personnage...
Hem, ... Excuse moi solennellement de m’égarer mon oncle, preuve que ta nièce a bien grandi...


Pour ma dernière faveur avant de terminer mes mots, j’aimerai que tu m’envois, le sceau familiale, ou un dessin, un schéma, une gravure, permettant de reproduire cette dernière sur un bijou. Cette demande, si tu l’acceptes, témoignera de ton accord pour me voir assurer ma descendance, et ainsi, voir perdurer mon bonheur et la noble famille de comtes et comtesses, qui a toujours existé...

Réponds à ma demande, mon cher Abelforth, je t’en conjure, sur l’Arbitrio, de vouloir mon bonheur et le tien, en toute bonne augure.



Informe moi, je suis là,



Ta nièce, Dame Leoplodine Eleonore Elisabeth Dewhell.

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Statut: Envoyé le 25 Octobre 513 d'Esperia.
Modifié en dernier par Leoplodine le sam. 29 mars 2014 19:00, modifié 1 fois.
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Leoplodine
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jeu. 14 nov. 2013 13:37

Hors RolePlay :

Destinataire: Leoplodine Dewhell
Rédacteur des réponses: Leoplodine
Destination: Esperia
Liste des services choisis: Envoi accéléré.

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L'écriture est douce et élancée. La lettre T est incurvée sur le côté.

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Pendil,

Le 14 Novembre 513,


A ma chère nièce, Leoplodine.





Quelle ne fut pas ma joie, que dis-je, mon bonheur, de lire tes mots ! Le vieil homme que je suis, vois-tu, retrouve le sourire après tant de mois passés...

Moi non plus, je ne saurais par où commencer tellement les nouvelles sont nombreuses, tellement mon euphorie se remplit en rédigeant cette lettre ! Excuse moi si je m’égare par moment.

Pendil a rencontré, durant ces dernières Nivose, de rudes périodes de froid ayant détruite une partie des récoltes des terres entourantes, à croire que l’on souhaiterait nous priver des valeurs de notre belle bourgade en nous enlevant notre seul plaisir et notre seule source de revenus... Malgré tout cela, la ville continue de vivre, nous entamons la période des moissons, et malgré le peu quantitatif qu’il en résultera, la paysannerie locale est plus que certaine, hâtive à préparer notre grande foire aux boudins et à fêter le soltice de Themidor comme il se doit. Soit en rassurée sur ce point.

La famille Magotte et la famille Bereguier se sont encore disputés une parcelle de terrain qui traverse un cours d’eau. Tu as du entendre ton père en parler de cela lors des dîners; de sacrés marioles de se disputer ainsi à Pendil... Enfin, le tournoi de soule qui en a résulté pour les départager, à mal tourné de part l’incendie malencontreux d’un des greniers des Magottes. Je ne te raconte pas l’histoire qui en a résulté car tout cela ne nous concerne point.

Concernant notre famille, j’aimerai te parler de certaines choses que tes parents m’ont toujours menacé de me taire à ta personne. Je pense que tu es suffisamment grande à savoir, la parcelle de vérité, qui a trôné, durant plusieurs années durant, au sein des Dewhells.
Tout d’abord, ta mère, sache que j’eus un immense respect pour elle, et que, malgré sa folie de te retenir ainsi au sein de la maisonnée durant toutes ces années, était ce qu’elle était : une dame de respect, désireuse de la bourse et dont la rigueur n’égalait que sa froideur. Excuse moi de te choquer ainsi par ces mots, mais il fut trop de temps que je m’eus retenu sur tout ça... Et permet moi de continuer... Elisabeth, était aveugle, aveugle de ce qu’eu été la vrai valeur d’une famille, aveugle de part ce titre de comtesse gracieusement acquise par l’union entre ton père. Tout cela l’a mené à sa perte et puisse Arbitrio souligner mes mots tellement je pense, en ce moment même, ce que j’écris sur le papier.
Néanmoins, laisse moi te parler de ton père, ou plutôt, mon frère. Je lui dois mon statut, mes auberges au sein de Pendil, je lui dois la reconnaissance au sein de notre maisonnée... Mais étais-tu au courant de tout ce qui se tramait sous notre toit ? Pendant que toi, naguère, tu étudiais sans relâche dans ta chambre ? Ta marraine, Géraldine Etrambin, celle qui malgré toute sa méchanceté, ta éduqué comme toute fille de noble se doit... Et je sais que tu la détestais tout autant que moi sur ce sujet, et bien, l’apparence qui eu résulté entre Norbert et elle, n’était pas que simplement de la finance. Il en était bien plus relationnel si tu vois ce que je veux dire... M’étant fait surprendre après les avoir surpris à se monter dessus, mon... frère... ou plutôt,... ton père... [ L’écriture est tremblante pendant quelques mots], m’a menacer de me taire... Je ne l’avais encore jamais vu ainsi... Il m’aurait surement tué si je n’aurais été du même sang... Pardonne moi de te soucier ainsi ma nièce mais tu dois savoir, tu dois savoir... Pourquoi, pourquoi en était il cela... Je ne saurais te dire mais il en est ainsi.

Résultat en cause maintenant, j’ai pris, et je dois dire après moults efforts et craintes, chassé avec l’aide de la garde locale, la marraine du logis, et ainsi de la ville. Je pense qu’il en est mieux ainsi, désormais, de s’être écarté, de tout cette lourde chose et malivilité , sa présence au sein du manoir Dewhell. Désormais je suis seul, seul face au reste de la populace, qui à mon plus grand bonheur, ont soutenu la cause de la famille, et continue, ainsi, de faire fleurir et continuer, les terres vigneronnes de nos possessions et de ce que doit être la famille. Permet encore de m’excuser pour autant de chamboulement lorsque tu liras ces mots, mais il en est ainsi... Le vieil oncle que tu as connu, a su prendre, pour une fois et j’espère la dernière, son courage à deux mains...

Au niveau de tout ce évènement et le pourquoi du comment de votre disparation, et malgré mon enquête approfondi sur le sujet, j’ai bien peur de n’avoir guère de pistes, ou du moins, des soupçons quand à ce mariage arrangé que tes paternels ont voulu organisé avec ce fils de duc Hura... Coup monté pour voir disparaitre une noble famille ? Jalousie des autres familles nobliaux pour s'accaparer nos terres ? Nul ne le sait mais je ne relâche pas l’histoire et je continuerai ainsi, à trouver coupable et condamnable... Soit en certaine, fille Dewhell.

Je suis ravie néanmoins que tes problèmes de santé se terminent. Tu ne peux point savoir la peine et le soucis que cette chose m’eut porté sur les épaules durant toute ton enfance de part ce fait. Je suis désormais plus apte à reprendre confiance sur ce sujet.
Concernant ta personne, la vie te semble propice dans cette colonie qu’est Esperia, et j’espère qu’il en continuera ainsi, ce qui nous amène au dernier point.
Comme je te l’ai toujours dit, va de l’avant et ne te préoccupe pas des dires voisins, reste ce que tu es, c’est à dire, une dame intelligente et motivé par ces envies, reste ainsi Leoplodine.

Concernant ton éventuel union, laisse moi t’adresser mes meilleurs félicitations pour tout cela, sache que tu as mon accord et mon soutien intégral sur ce fait. Continue ainsi à faire revivre une famille qui n’a que trop longtemps sombré dans le bas côté sans que tu ne puisses t’en rendre compte.
Laisse moi te faire parvenir ce croquis, dessiné par un bon ami orfèvre de la ville. Si tu trouves un bon artisan local, sache que le rendu n’en sera que plus grand. N’oublie pas nos couleurs : le rouge pour la noblesse, le vert pour notre vertu et le marronatre pour notre bonté envers la paysannerie, chose qui a perduré et se doit de continuer. Nous ne sommes qu’une simple famille de noble de campagne mais nous ne devons pas baisser les bras devant ce que nous sommes, des Dewhells et rien d’autre.

Pour l’histoire avec le malheureux Gaston, sache que mes propos ont été entendu par un vieil homme chargé de répondre à ta lettre à la caserne, et qu’une lettre ne saurait tarder.

Pour cette dame Eleanor, laisse moi voir comment se porte les prochaines récoltes avant de prendre une concrète décision à son sujet, nous ne pouvons nous permettre de prendre un risque financier à ce sujet.

Maintenant, je termine cette lettre, en t’adressant, mon amour familial, et mon respect le plus sincère, ma chère nièce Leoplodine.

Mes amitiés,





Ton oncle, Abelforth.





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Statut: Envoyé le 13 Novembre 513 de Pendil.
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Leoplodine
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lun. 30 déc. 2013 12:22

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Destinataire: Abelforth William Dewhell
Rédacteur des réponses: Leoplodine
Destination: Pendil, Butte du Pré FLeuri
Liste des services choisis: Normal.

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L'écriture est fine et élancée. On distingue une certaine façon de faire les boucles. Une petite mèche de cheveux est nouée à l'intérieur du parchemin.

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Esperia,

Le 30 Décembre 513,
Le 27 Mars 514,

Cher oncle Abelforth,




Permets moi de te répondre en grandes nouvelles,

Mon union avec le Ser Linden Luka va bientôt se concrétiser, ce dernier m’eut demandé ma main après ton accord de pleine lettrée, sache que j’en suis vivement ravie.

Pour le restant de ta lettre, sache que j’ai été pantoise, voir onereusement choquée d’apprendre pareille chose venant de la famille. Croyant en billevesées, je m’eus crue à la mauvaise augure où dans la moindrité acuitive devant tes mots... Mais les faits en sont ainsi et je n’eus peu que prier que notre famille, devenant de plus en plus petite, se verra refleurir et grandir par ma prochaine union.

A Esperia, les faits ont changé, la royauté s’est instaurée, non sans mal, mais nous vieils Adaarions que nous sommes, en savons de quoi il en résultera si les choses se déroulent pour le mieux, et je prie pour le renouveau de cette ville, je prie pour les blessés et disparus de tous ces évènements... Sache que ta nièce se porte bien de tout cela malgré des secouements plus que notable.

Dis moi, oncle, comment se portent les récoltes et les échanges avec la Capitale ? J’eus vent de quelques remous à ce sujet d’une capitaline venue à bon port. J’espère que les voisins ne vont point encore nous embêter avec leurs histoires de bestiaux du mauvais côté du chemin... Cela commence à bien faire si je puis dire...

Pour ma part, j’espère faire oublier tous ce remue-ménage de la cité par différents évènements et festivités digne de notre contrée, comme une certaine date à venir qui serait du plus bel effet à Esperia, qu’en penses-tu ?


Hors RolePlay :

Le texte qui suit semble avoir été écrit plus récemment, comme un rajout.



Quel oublie j'ai faite de t'envoyer cette lettre en retard ! Cela est fait désormais. Permet moi de t'annoncer que mon mariage s'est très bien déroulé, malgré quelques tensions perdurant en cette cité.
Mon travail pour la cité ne cesse de continuer mais je tenais à t'adresser un paragraphe plus préventif.

Je... j'ai perdu l'enfant que j'attendai... Personne ne sait encore ce qui c'est passé, si l'accident, la maladie ou des pistes plus inquiétantes sont en cause, toujours est-il, que nous prions, mon Ser et moi, et continuons de prier pour retrouver notre bonheur.

Cher oncle, à ce fait, je souhaiterai te voir, en face à face, n'existerait-il pas un moyen pour que nous soyons réunis ?


Réponds à ma lettre, mon cher Abelforth, je t’en conjure, sur l’Arbitrio, de vouloir mon bonheur et le tien, en toute bonne augure.



Ta nièce, Dame Leoplodine Eleonore Elisabeth Dewhell.

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Statut: Envoyé.
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Leoplodine
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mer. 7 mai 2014 11:12

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Destinataire: Leoplodine Dewhell
Rédacteur des réponses: Leoplodine
Destination: Esperia
Liste des services choisis: Envoi accéléré.

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L'écriture est douce et élancée. La lettre T est incurvée sur le côté.

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Pendil,

Le 7 Mai 513,


A ma chère nièce, Leoplodine.



J'ai été malade pendant un certain temps, mon corps de vieil homme semble mal supporter les Nivoses allant et venant. Ne t'en fais pas désormais, ton vieil oncle continue, et nos terres par la même occasion.


Perdre ton enfant... Ciel... Ma pauvre nièce... J'aimerai tant venir te rencontrer pour te soutenir et te soulager de cette peine. Sache que avant toi, ta mère eut le même problème, la même perte, oui Leoplodine, tu es la seconde fille Dewhell, mais la seule à être née, certes en difficulté, mais à vivre désormais. Soit en heureuse. Fais nous un autre enfant pour notre lignée, soit en fière et digne en tant que future mère. Je garde espoir.

Je pense que ton mariage s'est bien déroulé vu ta dernière lettre, et tu m'en vois heureux de t'adresser mes félicitations les plus sincères à ton union, félicite ton gent, ce Ser Luka Lindén de ma part je te prie. D'ailleurs, félicitations désormais Dame Lindén Dewhell ou Dewhell Lindén ? Peu importe, tu es notre fille adorée, l'espoir noble de la famille.

Les échanges et les transactions avec la Capitale vont en bon train, la famille Magotte est partie de Pendil pour la Capitale, apparemment un problème financier. Je gère leurs terres en attendant, mais ils me laissent un beau pourcentage en échange, c'est déjà cela.

Pour les fêtes, je puis te conseiller d'aller sur les dates importantes de la cité, sa fondation, ses grands évènements. Tu me parlais de saisons, de cycles et de jeux, pourquoi ne pas fêter comme nous le faisons à Pendil, le début de Thermidor ? Bon, nous faisons la foire aux boudins à ce moment là, je ne sais guère si c'est très répandu chez toi d'ailleurs...

Pour une éventuelle venue, si tu ne reçois pas de nouvelles à ta prochaine réponse, sache que je serais en venir pour te voir, je dois avant toute chose, confier les tâches et les postes pour gérer comme il se doit, le manoir, les auberges, et nos diverses terres et propriétés. J'ai hâte, puisse que des bonnes récoltes permettent ma venue prochaine en Esperia ! Je prendrai quelques livres dans ta chère bibliothèque, ils doivent te manquer ceux là !


Mes amitiés, ma chère nièce.





Ton oncle, Abelforth.





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Statut: Envoyé le 7 Mai 514 de Pendil.
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