Hors RolePlay :
Affiche formelle, l'écriture est simple et lisible facilement. Pas de fioritures.Papier à affiche qualité moyenne. Plus de place.
RolePlay :
Esperia.En ces temps troublés, j'aimerai partager un texte avec toi. Il s'agit du discours de feu la Reine Signaro, exprimé en place centrale le 14 juin 514.
Je compte sur toi pour essayer de ne pas répéter les erreurs passées : le temps nous offre de l'expérience et un apprentissage, il ne tient qu'à nous de l'utiliser à bon escient et de vivre enrichit des fautes de nos prédécesseurs.
Nous sommes en 516. Plaçons cette année dans une ère de paix, de réussite, et d'entraide afin de faire de la ville un lieu de vie sain, celui dont la plupart de nous rêvions avant d'arriver ici.
Esperia,
Tu n'as que trop souffert, tu n'as que trop subi.
Sans cesse harcelée par maintes guerres civiles, les intrigues politiques,
et les complots qui font l'histoire de cette cité.
A maintes et maintes reprises déchirée par les trops nombreuses passations de pouvoir et les changements de régime faits dans la force et parfois le sang.
En ce jour, il ne peut plus en être ainsi.
Ma nomination se fit dans les règles instaurées par le Volumen, tout comme fut le Seigneur Bill Moscaw [et feu la Noble Dame Signaro] avant moi. Loin du sang et du combat mais au sein d'un odre, un conseil dont la volonté est de choisir le meilleur pour la ville d'Esperia et tous ceux qui la composent.
Oublions nos querelles passées, car telle est la politique sociale de notre ville depuis toujours, l'oubli du passé, le pardon de l'être de l'âme, la reconciliation avec l'ennemi. Jetons à bas nos différences, nous sommes des hommes et des femmes des quatres coins du monde mais nous sommes frères, nous sommes le fruit d'un même arbre, l'arbre de la race des Hommes et nous sommes tombés dans le même jardin : Esperia.
Levons nos poings, mais non pour brandir nos armes, pour lever la banière de l'unicité. Laissons le chaos de la désorganisation loin de nous, rétablissons ensemble l'ordre et la cohésion, chassons loin de nous les ténèbres et le doute qui tenaillent nos esperits pour au contraire proner la lumière et oser place sa confiance en ses frères, ses vosins, ses concitoyens.
