RolePlay :
¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤
SYNDICAT DU CRABE
¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤
SYNDICAT DU CRABE
¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤¤
Habitants d’Esperia,
libres comme esclaves,
Le temps est venu pour le Syndicat du Crabe de sortir de l’ombre et de se présenter ouvertement à la cité.
Moi, Ethane Rivhor, Syndic’ de la Concession du Bourbier, détiens et assume les rênes du Syndicat du Crabe, non comme un titre de pouvoir, mais comme une responsabilité.
Le Syndicat n’est pas né pour dominer, ni pour accumuler en silence, mais pour soutenir les siens et mettre ce qu’il possède au service de ceux qui en ont besoin.
Nous ne prétendons pas posséder grand-chose. Mais ce que nous avons, nous le partageons.
Le chantier naval d’Esperia appartient au Syndicat du Crabe, tout comme le navire le Pontikoutso. Ces outils ne sont pas gardés derrière des portes fermés. Ils existent pour servir la cité, ses projets, ses échanges et ses besoins.
Venez nous voir, discutez, exposez vos intentions, et ils seront mis à disposition sans détour lorsque cela sert le bien commun. Le bien d’Esperia passe avant celui du Syndicat, toujours.
Le cœur du Syndicat bat à la Rhumerie Rivhor, qui en est le siège. Ce lieu n’est pas qu’un commerce, c’est un refuge.
On y entre sans titre, sans condition, sans jugement. Libre ou esclave, chacun y trouve une place, car ici un siège vaut un autre siège, et une voix vaut une autre voix. Ce n’est pas un endroit pour les apparences, mais pour les besoins réels.
À la Rhumerie, une ardoise est tenue à disposition de tous.
On y inscrit des requêtes, des offres, des appels. Vous cherchez du travail, vous voulez faire travailler, vous avez besoin d’un artisan, d’une protection, d’un service, d’un coup de main ou d’un savoir-faire précis ? Inscrivez-le.
Qu’il s’agisse d’artisanat, de mercenariat, de protection, ou même d’une tâche simple, rien n’est ignoré.
Toute demande même en zone grise mérite d’être regardée.
L'anonymat est le point clef de la rhumerie.
Et bien sûr, on y trouve du rhum. Du vrai. Celui dont je ne ferai pas la description, car Esperia le connaît déjà.
Mais au dela de ça, ,n'importe commandes sont ouvertes, quelles qu’elles soient.
Un Crabe trouve toujours ce dont vous avez besoin, et ce n’est pas une promesse lancée à la légère.
À toi, esclave qui lira ces lignes, si tu manques d’outils pour travailler, viens nous voir.
Le Syndicat t’aidera. Un esclave qui travaille est un esclave qui avance, et un esclave qui avance est un esclave qui mérite qu’on lui tende la main.
Le Syndicat du Crabe annonce également la mise en place de prêts. Oui, des prêts.
Appelez cela une banque, une caisse ou un soutien, peu importe le mot. Si vous avez un projet, si vous manquez de fonds pour le lancer, si vous cherchez un endroit sûr pour garder votre or, venez me voir.
Je proposerai des prêts réfléchis et justes, car à quoi servent les projets pour la cité si personne ne leur donne les moyens d’exister ?
L’or qui dort ne sert à rien. L’or qui circule fait vivre Esperia.
Enfin, le Syndicat du Crabe n’est pas isolé.
J’utiliserai mes points de contact dans chacune des cités de l’Archipel des Épervies pour ouvrir des portes, créer des liens et vous servir lorsque cela sera nécessaire.
Voilà ce que nous sommes.
Voilà ce que je propose.
Nous avançons fièrement,
ensemble,
pour la cité,
avec la cité.
Ethane Rivhor
Syndic’ du Syndicat du Crabe
Syndic’ de la Concession du Bourbier
