[Divers] Archives de famille

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Ces documents sont situés dans un manoir caroggian. Ils ne sont accessibles à personne, sauf ceux ayant la possibilité (et ayant fait la demande) d'y accéder de manière roleplay, ce qui n'est aucunement exclus.

Ils sont néanmoins accessibles pour les plus curieux d'entre vous.

Ces documents sont des Archives de Familles. Certains ont des siècles derrière eux, d'autres récents de quelques semaines à peine. Ils ont ainsi été écrits par différents auteurs, dont certains ont disparus depuis longtemps déjà.
Les plus récents seront néanmoins signés et apporteront, à terme, une vision d'Esperia de mon ancien personnage, après avoir pris du recul.

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Les parchemins ne se suivent pas chronologiquement.

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Archives
de la famille
Esperanza

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Par le Temps passe la Sagesse.
Par la Tempête passe le Calme.
Par la Confiance passe la Fraternité.

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ஐ

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Par Solän Esperanza, érudit, gardien des archives, gardien du savoir familial.

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An 420, calendrier Post-Impérial : Datation du plus ancien document retrouvé, retraçant en partie l'histoire de la création de la famille. Ce document, nommé Primera, ne livre néanmoins que peu d'informations, vu son état de conservation déplorable.

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۞ Primera ۞

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Manifeste de l'unification de notre famille,
reposant sur des valeurs communes,
Modestie
Confiance
Fraternité
Harmonie
Sagesse
Entraide

[partie illisible]

Nous, représentants des Esperanza de la Province [illisible], de la troisième branche.
Nous, représentants des Esperanza de la Sublime Capitale, de la deuxième branche.
Nous, représentants des Esperanza de la Medeva, de la première branche.

Déclarons solennellement, en ce jour du [illisible] 420, nous unifier à nouveau sous une même bannière, sous les même valeurs et sous un même nom afin d'unir à nouveau les trois branches de notre famille.
À ce titre, nous nous reconnaissons ainsi tous comme frères et sœurs de sang comme nous l'avons toujours été.
Et jamais, Ô grand jamais, ce lien ne saura et ne pourra être dissous,
Ou oublié à nouveau.
Au delà de la Mort.
Au delà de la Vie.

[partie illisible]

Puisse l'Arbitrio bénir nos descendants.
Puisse notre famille vivre à jamais.

ஐ

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_____ _________
____________ ___
____ _____ ______
[les trois signatures sont vaguement lisibles]

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An 412, calendrier Post-Impérial : La réforme li Alcontini - du nom de la famille li Alcontini - marqua le passage de la République vellabriaise à la République marchande de Caroggia et la fin du conflit politique entre les deux aristocraties de la république.

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An 498, mois d'avril, calendrier Post-Impérial : Le Conseil de famille, réunissant les 3 branches, vote en faveur de la présentation du Patriarche [effacé] en tant que Fiducier. Il sera élu en juillet de la même année, par les électeurs censitaires, au Conseil de la Fiducie. La famille utilisera cette ascension afin de donner à nouveau de la vigueur au financement de l'art de notre brillante cite, permettant à un nouveau souffle de prendre vie.

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Je dois partir. Sans doute cela sera-t-il la dernière trace de nos archives. Si elles ne sont pas brûlées, sachez l'injustice, la désolation, l'horreur que notre famille a connu en ce jour sombre. Nous qui avons toujours été bienveillants. Aujourd'hui, la famille ne repose plus que sur ...

[...]

[ce passage a été écrit rapidement, l'écriture hésitante et peu soignée]
Introuvable ... j'ai cherché partout ... mais ils vont revenir. Quelle horreur ... quel carnage ... les murs sont teintés par le rouge ... le rouge de la honte.

[...]

[l'écriture est, cette fois, véritablement pressée]
Je dois partir et vite. Je ... elle en prendra soin, j'espère ... c'est son devoir.
Si quelqu'un tombe un jour sur cette note, sachez que je rejoins, dès l'aube, le Nord.

Y___________
[long trait, brusque, signe que l'auteur n'a pas eu le temps de terminer]

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Ce parchemin a l'air d'avoir quelques décennies devant lui. Il reprend la plupart des anciens documents et en propose une synthèse assez partiale.

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Première ère : l'Art de la Guerre

Les Esperanza se sont tout d'abord consacrés sur le plan militaire, de par les temps troubles qu'ils ont traversés et les multiples guerres qu'ils ont connus.

Il semblerait que le manifeste de la Primera ait eu comme premier objectif une alliance militaire entre plusieurs clans immigrés avant de signifier la création même de la famille.

Cependant, ce ne sont que des suppositions étant donné qu'aucune preuve assez conséquente et probante n'ait été retrouvée.

De par leur partage de connaissances militaires diverses et variées, ils ont su prouver leur valeur au combat par leur capacité à faire des compromis lors des négociations mais également par leurs capacités de stratèges et leur sens inné de maniement des armes.

[...]

Ainsi, plusieurs noms ressortent de divers récits historiques, en dehors des archives, tels que :

- le Capitaine de vaisseau Aëron Esperanza (documents manquants)
- le Colonel Soenn-Hamune Esperanza, issu de la première branche, ayant notamment contribué [illisible]
- l'Amiral Yyrh Esperanza, issu de la troisième branche, ayant aidé à [illisible]

[...]

L'histoire aura ainsi retenu que les Esperanza, il fut un temps, ont fournis des officiers militaires d'exception. Mais elle n'aura point retenu les nombreux échecs connus, de par leur volonté de neutralité, de franchise et de justice qui aura, dans les environs de l'an 440, mis fin à la Première ère.

Solän Esperanza, gardien des archives.

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Est accompagné par ce résumé une référence à un livre se trouvant également dans les archives : Stratagèmes et récits de la Première Ère Esperanza

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Un journal, mal rangé, peut être par quelqu'un de pressé, sur une étagère. Celui-ci est très récent. Il s'agit du journal d'un certain Mayrïl-Taerës-Hamune Esperanza. Certaines pages sont déchirées, d'autres raturées.
Voici un extrait de la fin du journal.

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Aucun sens...

Mercredi 16 mai, an 512 :

Pourquoi ?..
Pourquoi ...
J'ai tant espéré que tout cela n'était que le fruit de mon imagination ...
Pourtant, elle est partie.
[des ratures, rendant la phrase illisible]

J'ai vu sa vie défiler sous mes yeux,
mes larmes se mêler à son sang, recouvrant petit à petit le sol ...

Ce sang ... que j'ai moi-même fais couler ...

[des traces de larmes]

Pourquoi ...
La rage m'a emporté ... mon dos me fait si mal.
Le chirurgien ... ses mots.
"Un miracle qu'il soit encore en vie..."
Ils résonnent dans ma tête,
prédicateurs de ma punition, mon châtiment,
j'ai si mal ... j'ai si [rature]

[...]

Vendredi 8 juin, an 512 :

Elle me manque terriblement. J'ai l'impression d'être vide.
Mes parents s'inquiètent, plus qu'ils ne le devraient.
Ils veulent que je parle ... que je mange ... un sourire.
Pourtant, ne serait-ce qu'un seul mot est une véritable torture.
La porte du bonheur, de la joie, du droit de vivre ...
Elle s'est fermée ce jour là, définitivement. Le jour où je l'ai tuée.
Tuée ... celle que j'aimais.

[...]

Mercredi 27 juin, an 512 :

Elle me sourit. Elle aussi. L'une jouit encore de son innocence, l'autre compatit.
Elle veut me voir décrocher ne serait-ce qu'un demi-sourire...
Je l'ai fais. Puis, finalement, j'ai pleuré.
L'impression, une impression qui m'a instantanément déchiré le cœur.
Une douleur incommensurable me ramenant à la réalité.

[...]

Date raturée

Si seulement ... une nouvelle vie, tout recommencer ...
Un espoir, une lueur ... pitié ... Arbitrio.
Un Espoir.

[...]

Lundi 2 juillet, an 512 :

Ils vont surement venir. Bientôt. Demain peut être.
J'espère avoir ... la force de reprendre les armes.
Peut être ... est-il temps. Comme mon père me le répète sans cesse :
"N'oublie jamais tes erreurs, apprends-les, mon fils. Ce sont elles qui nous guident."
Peut être ... oui.

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Un parchemin, simple, de bonne qualité néanmoins. Il se trouve dans un carnet de cuir, tombé au fond d'une étagère.

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10 juillet 501 :

Mon fils, chair de ma chair. Je n'en reviens encore point.
Lorsqu'il m'a regardé, avec ces yeux brûlants d'envie.
Je n'ai pu résister, je dois bien l'avouer.

Suis-je réellement fautif ? Est-ce réellement une faute ?
Maria ne cesse de me répéter que c'est ainsi et que rien n'y changera.
Dois-je la croire ? Dois-je me morfondre ?..

[...]

Au final, je pense, après réflexion, que ce n'est pas une mauvaise chose.
Il est empli de détermination et de volonté. Qui suis-je pour décider de son avenir ?
Qu'il fasse ce qu'il souhaite, qu'il réalise son rêve.

Après tout, les Esperanza ont déjà eu un tel passé.
Je souhaite juste qu'il perpétue notre lignée dans l'honneur.

Si un jour, toi, mon fils, tombe sur ce parchemin.
Sache que je te soutiens et te soutiendrais toujours.
Reste fort. Reste bon. Observe et apprends.

J.Esperanza

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Un poème sur un autre parchemin accompagne le précédent.
(je n'en suis aucunement à l'origine, en voici l'auteur)

RolePlay :

Hé ! Tu manques d'audace.
Toi qui te dis guerrier !
Toi qui voulais ta place.
Parmi les passionnés !

Ne reste pas à terre,
Relève-toi, sois fier.
Et bats-toi avec cœur,
Valeur, force et honneur.

Hors RolePlay :

Une dernière note se trouve sur un coin du bureau, celle-ci est récente.

RolePlay :

Sauf. Enfin.
Lâcheté, couardise.
Non, famille, sœur, femme, avenir.
J'ai donné de tout mon être et de toute mon âme.
Ils me manquent tous. Je me sens coupable.
Mais un jour, je me ferai pardonner.

Eored, jamais je ne vous oublierai.
Pardonnez-moi ...

[l'écriture devient plus hésitante, comme un souvenir vif, pourtant hors de portée]

T.L M.W S.D D.l.D
K.K
K.
D.S E.l.C
A.R E.R F D.

...
M.T.H.E
N.E
J.E

Espoir.
V.E.E

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Un parchemin récent, daté et possédant le sceau de la famille. Il se trouve actuellement dans la poche du signataire.

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Acte d'adoption
-
Famille Esperanza

02 février 513
à Caroggia

Moi, Mata Esperanza, en ce jour et en tant que Patriarche Esperanza.

Reconnait officiellement, au nom de la famille Esperanza, l'adoption de la dénommée Vayrïl-Eanerys.

En tant que fille de mon père et, par extension, ma propre sœur, au même droit que Julia Esperanza.

Ainsi, l'erreur commise est désormais réparée et les torts sont effacés.

Puisse-t-elle faire honneur à nos valeurs et profiter ainsi de ce qui lui est dû.

Et ce depuis tant d'années.

ஐ

Mata Esperanza.

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Ce carnet est un document très récent, il traine sur le bureau au sein de la demeure familiale. De bonne qualité, on sent néanmoins qu'il a voyagé des semaines durant.

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Journal de Mata Esperanza.

Partir, au Nord, à Lauderfelt.

Necko a beau être enceinte, elle reste tout de même en bonne forme. Il ne lui reste quelques semaines, 5 au grand maximum, selon les médecins. C'était parfait, le temps qu'il me fallait, qu'il nous fallait pour la retrouver. J'ai laissé Julia aux soins d'Abisse, ou le contraire, plutôt. Kemelvor et Ilesa viendront régulièrement veiller sur son état ...

[...]

Le voyage fut long, difficile. Elle ne peut se mouvoir avec autant d'aisance qu'avant mais son moral reste au beau fixe, malgré les quelques sautes d'humeur. Nous nous sommes installés chez un vieil ami qui, dès qu'il a su notre venue prochaine, nous a généreusement offert gîte et couvert.
C'est ainsi que les recherches commencèrent. Le dîner vient de se terminer et pourtant je suis face à mon bureau, contemplant les quelques lignes de mon carnet. Si peu d'indices, si peu de chances ... et pourtant je ne peux abandonner, il me fallait un endroit où commencer.

[...]

La mère semble détachée de la réalité, répondant à peine, réagissant à peine. Enfin, je devais m'y attendre, je n'en ai pas tiré grand chose. Des hommes sont venus, rien de plus. Pour elle, c'est comme si elles étaient parties se promener, aussi simplement. Je n'ai ni le temps, ni l'envie de résoudre un tel déni qui ne ferait qu'aggraver son état. Je dois continuer.

[...]

Un marché, une femme semblait connaitre l'histoire de cette famille. J'avais enfine une piste, des esclavagistes, sombres bandits se revendiquant de la Griffe Abrupte. Quelle agréable surprise, peut être puis-je faire d'une pierre deux coups ? Me venger de ce qu'ils m'ont fait ?

[...]

J'y suis retourné, j'ai observé. J'ai eu une occasion, mais mes yeux se sont arrêtés sur ce maraîcher. D'une simple question, j'ai su qu'il s'agissait de lui. Cet enfoiré, d'apparence si joviale et si heureux, responsable de ses malheurs. J'aurai dû résister, tenir. Pourtant je n'ai pu. C'est ainsi, la gueule en sang et le genoux éclaté que la garde arriva. Un dernier coup d’œil, du genre que je n'aime pas. Signe qu'à notre prochaine rencontre, la mort le recouvrira d'un voile douloureux, monstrueux. Mais cela ne doit pas arriver, je le sais. Je ne peux. Je pars et rapidement, à l'insu de tous et Arbitrio seul sait que ce n'est pas passé loin. Je regarde ma main, couverte de son sang, puis je serre le poing. Vengeance était faite.

[...]

Petit à petit, je remonte la piste. Quelques interrogatoires musclés, j'en voit la fin. C'est bien trop dangereux, je ne peux même pas me permettre de la voir alors que, pourtant, elle en a tant besoin. Nous sommes tous les deux à bout, il faut que cela se termine. Et vite.

[...]

Rien ... Rien de plus. "On l'a r'vendue" qu'il a dit. Cet enculé à connu le pire des sorts qu'aucun mot ne saurait décrire. Tout ça pour ça. Pour rien. La piste s'arrête là où commence l'avarice, une chaîne sans fin qui l'a menée je ne sais où... et j'ai failli à ma tâche.

[...]

Le voyage était difficile, le retour est douloureux. Un silence morbide pèse sur notre caravane, quelques échanges de regard ... "C'est pas ta faute.." je l'entends résonner dans ma tête, j'essaye de lui sourire, de la rassurer mais rien n'y fait. J'ai échoué, lamentablement. Au moins une chose heureuse, c'est pour très bientôt. Nous avons juste le temps d'arriver, ni plus ni moins.

[...]

Un garçon, un petit garçon ... Macéo ... Macéo Esperanza est né en ce jour du 16 mars 513. Tout ce que nous pouvions espérer, un véritable rayon de soleil ... Julia en est ravie ... Vayrïl et Myla seront sans aucun doute heureuses ...

[...]

Un miracle désigne un fait extraordinaire, positif, non attendu, inexplicable. Il est vu comme surnaturel, attribué à l'Arbitrio et accomplit par ce dernier.

J'ai beaucoup vu, beaucoup entendu à Esperia. Désormais, la foi m'est entièrement revenue.

En rentrant simplement de l'atelier d'Alwin, aux environs de midi. Une petite fille, nettoyant le porche de nos voisins. La ressemblance m'a immédiatement saisi, je n'y croyais pas. Était-ce ..?

C'était elle. Je me suis approché :

"Bonjour petite...Nida..?"

Quelques arrangements plus tard, la voici enfin chez nous, libérée de son terrible sort, la fin de son périple.

Inutile de dire que Julia n'a jamais été aussi heureuse et ravie depuis bien longtemps, les deux petites passent leur temps à jouer, Necko s'occupe de Macéo et je veille sur tout ce beau monde. Abisse semble reprendre pied, petit à petit, ce qui ne nous rends que plus heureux, chaque jour qui passe ...

RolePlay :

Mata ferma finalement le carnet, en atteignant la dernière page.
Il saisit un parchemin, non loin, ainsi qu'une plume dont il trempa le bout dans de l'encre.
Après un court instant de tendresse avec sa femme, il s'exclama : "Bon ..."

Puis il se mit à écrire, encore.