Hors RolePlay :
Le texte est écrit sur une page déchirée du cahier de Xavier, cette page est pliée en quatre et est dans la poche de Xavier, l'écriture est fine et légèrement penchée, tremblante.RolePlay :
Les choses inchangeables.
Il y a des choses inchangeables.Il y a ma cicatrice, mon coeur saignant, ma déprime...
Il y a ma passion pour mon métier, il y a mon amour et ma soif de bonté.
Il y a le fait que j'ai des amis. Le fait que la majorité d'Esperia ma soutient.
Il y a le fait que j'ai la bouche pleine de sang et que je ris.
Il y a mon appaisement en présence des jeunes.
Il y a mon respect pour ces personnes qui m'ont aidé, de toutes choses : Dranna, Audrey, Bwapa, Estrella, Heimdal... J'en oublie.
Il y a le fait que je pourrai jamais me suicider, pour ne pas me sentir coupable d'une foule de tristesse.
Il y a le fait que jamais je ne recommencerai à tuer.
Il y a le fait que je veux me battre en fin de compte...
Il y a ma nostalgie profonde...
Je me souviens de Lily, Meram, Audrey... Au revoir les amis... Je me souvien de l'amour que je portais pour Lily, la protection sur Meram, la confiance aveugle sur Audrey.
Je me souviens de ma période d'esclave, comme sous-merde. Je me souviens de ma relation ave[Une larme a rendu illisible cette partie.]
Je me souviens de tout... Wouah... Ce que j'ai changé depuis mon arrivée.
Merci pour tout, c'est pas fini, j'écris pour me détendre... Si mes amis trouvent ce mot, je ne me suiciderai pas, malgré ma grande tristesse, j'ai votre amitié.
Voilà ce que je pense de vous les amis :
Dranna : Dame, sans votre formation, je ne pourrai pas exercer le métier de mes rêves sans vous. Merci.
Aurore : Bien que tu sois jeunes, tu m'as beaucoup aidé et vraiment, je ne vois pas le temps passer... Aurore, merci.
Estrella : Je t'ai tout dit.[L'écriture est plus noire, comme si l'auteur s'était acharnée sur cette partie]
Bwapa : Mon ami... Merci du fond du coeur, je t'adore malgré ton caractère.
Dwarnoll : Mon frère, frérot... Merci toi aussi car c'est grâce à toi que je tiens en partie le coup. Je t'adore, je t'aime, mon frère.
Rubeus : Père, Rubeus, je t'aime aussi père.
J'en oublie trop, Aurèn, Arthurius, Heimdal, Lunarion aussi, William, y en a trop... Aussi Lyor.
L'aventure continue.
