Hors RolePlay :
Le journal est en la possession de Valmis, toujours sur luiRolePlay :
Entrée 1 :Je me suis un peu enterré tout seul. Pour l'instant je n'ai plus d'atelier, bien que j'ai espoir d'en retrouver un rapidement, soit avec l'aide du Roy, soit en en reprenant un de ma poche. Apparemment j'aurais fraudé. C'est un bien grand mot. Alors peut-être que je suis parti avec la commande, mais en aucun cas je ne le faisais pour toucher le jackpot. Non non, ce sont pour d'autres raisons que je suis parti, et pas pour l'argent. Parce que depuis que je suis ici, je n'ai jamais eu vraiment de problèmes d'argent. Je me suffis à moi-même, et dire que j'ai prêté à mon frère une somme tout de même importante.
Daviel a vraiment cru que je reviendrais au quartier Ouest, du moins pour travailler avec les Drehers. Ce quartier je l'aime bien, il a à sa tête une remarquable dame, en la personne de dame Linden, qui je pense malgré les embrouilles doit rester, c'est sur elle que repose la neutralité du Quartier. Si l'une des deux familles du QO venait à prendre le pouvoir, ce serait une guerre atroce que se mèneraient deux familles désireuses de posséder le Quartier. Voilà pourquoi Dame Linden doit rester à l'Intendance. Et puis ce quartier est joli, ses habitants sont sympathiques, sauf quelques uns qui cherchent le pouvoir. Voilà bien un problème que la soif de pouvoir en Esperia. Si tous les hommes étaient réfléchis et sages, bien des problèmes ne se poseraient pas.
Maintenant l'heure est à retrouver un endroit où travailler, à finir la commande de la Pointe d'Or, et à satisfaire dame Linden. Je dois aussi prendre soin de Lyre, d'ailleurs j'ai été enchanté par l'annonce de le joueur m'annonçant du marbre. Je vais encore surement devoir régler quelques problèmes avec les Consuls à l'économie, mais tant que le Roy n'interviendra pas, je ne pense pas qu'ils me laissent en paix. Et puis je souhaite bonne chance à Theophile pour réaliser la commande dans son entièreté, ca ne sera pas simple et surtout je pense à dame Dranna qui souhaitait une livraison rapide. Comme me l'a dit dame Linden, nous, artisans, gagnons plus que les nobles, ce qui est selon moi illogique. Je n'ai pas à me plaindre de ma situation, oh non, j'ai plutôt à me réjouir de ce que j'ai aujourd'hui : une maison, un travail certes pour l'instant en pause, et une personne à aimer. Vraiment, moi un voleur ? Je n'y crois pas une seule seconde.