[Document] A toi, Esperia

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Lucie
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lun. 16 juin 2014 20:52

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L'écriture est féminine et penche vers la droite, elle semble appliqué.
Le texte à été retranscrit dans un recueil portant le nom de "A toi, Esperia".
Le recueil tourne à travers la ville, si votre personnage se trouve a un moment en possession d'un livre comportant le même titre que ce document, il en à la connaissance

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Un roi pour Esperia
A quoi bon la révolte, a quoi bon réclamer la tête de l’éleveuse ? Esperia récolte le fruit des graines qu’elle a toujours semées. Esperia, est la seule ville qui permet à un cuisinier ou à un aveugle de porter une couronne. N’importe lequel des hommes peu, si son cœur est enflammé de volonté et de valeurs, imposer ses idées et se revêtir du pouvoir.

Mais il n’y a jamais eu personne pour croire en ce rêve, tous se détournent pour vivre leur petite vie dans leur petit logis avec leur bonne femme et leurs enfants. Personne ne rêve, par-delà la fenêtre, d’être un jour à la tête d’une cité si riche. L’éleveuse a été élue dans le plus simple des dépits, seule face à une noble qui semblait si sûre d’elle qu’elle n’a pas fait campagne de ses idées, le haut-conseil a été séduit par ce qu’offrait l’éleveuse Raev.

Une jeune paysanne sortant à peine de la maison familiale est élue par des intéressés, en ce climat d’indépendance, elle représentait une aubaine pour nombre des partis qui ont composé le Haut-conseil. Les qadjarides voulant Rivelame, élire l’éleveuse était un choix crucial, ne s’attardant sur sa capacité à régner, ils se sont intéressés à sa capacité à concéder aisément. Ils ont eu une pensée juste pour atteindre leur but. Enfin, pour le reste, l’éleveuse n’a été que la solution restante, le fond du sac. C’est donc la principale pensée qui s’immisce dans nos rues aujourd’hui : « c’était l’éleveuse ou le projet peut être trop innovant de Dewhell ».

Le haut-conseil aurait dû voter directement l’indépendance des quartiers, cela aurait été plus simple, et bien moins troublant pour notre citée. Notre belle monarchie est déjà tombée dans un profond sommeil à la seconde ou Moscaw a délaissé sa couronne, ne trouvant plus aucune tête légitime de la porter, celle-ci se repose et attend que quelqu’un s’en pare à nouveau, avec toutes les valeurs que la monarchie représente. L’éleveuse n’est pas une souveraine, de par le fait qu’on la confondra dans un groupe de femmes du peuple, de par le fait qu’elle ne souhaite pas une Esperia unie. Elle est et reste l’intendante d’adobe, qui agit pour son quartier et sa famille, faute de pouvoir avoir la force de valeur de diriger la ville.

Aujourd’hui cloitrée dans sa demeure Raev, gardé par ses quelques proches, la belle paysanne attend l’heure d’une mort clamée par ses opposants. Mais cette femme perdue qui a voulue certainement bien faire n’est pas la tête de l’hydre, juste un rouage d’un machinisme qui la dépasse. Esperia n’a pas besoin d’une paysanne morte, Esperia à besoin d’un vrai régent.

L’éleveuse ne peut se vêtir de cette charge, mais son opposition en est toute aussi ridicule, puisqu’elle n’a pas de potentiel successeur pour la remplacer. Il ne reste qu’à libérer les quartiers, Esperia n’a pas de potentiel dirigeant, alors il serait malsain d’en placer un inapte et oisif. La ville et les quartiers peuvent se gérer seuls par les intendances, attendant qu’un jour, un rêveur ambitieux se lève pour les réunir.

A l’heure ou la noblesse s’effondre par l’anoblissement de personnes encore inapte, Esperia se mue, regardant dans le blanc de l’œil chacun de ses habitants, dans l’espoir d’y trouver son régent, son aimé apte à unir à nouveau la cité et clore ce temps de trouble.
Lucie Florence Félicia D'Arsonval Cadirissa
Modifié en dernier par Lucie le sam. 21 juin 2014 00:02, modifié 4 fois.
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Lucie
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mer. 18 juin 2014 13:06

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L'écriture est féminine et penche vers la droite, elle semble appliqué.
Le texte à été retranscrit dans un recueil portant le nom de "A toi, Esperia".

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A toi, futur Roi d'Esperia
C’est à toi que je m’adresse, futur Roi d’Esperia, rien qu’à toi. Cette cité te cherche, et nulle part ne te trouve, pourtant tu veilles parmi elle. Un jour tu te révèleras à la lumière de notre place, et tu sauras parfaitement ce que tu devras être. Tu seras grand, élevé et tu inspireras le respect. Tu sais pertinemment que si tu ne peux animer la révérence tu ne pourras régner que par le compromis et le négoce.

Tu auras des hommes pour porter tes idées et partager le fardeau de ta responsabilité, mais tu sais que la première et la plus importante des nécessité est que tu sois digne et animé de sagesse. La couronne que tu porteras ne sera pas un apparat mais un poids pour te rappeler que tout le peuple compte sur ta clairvoyance. Ta volonté sera donnée à ton seul amour : le belle Esperia, que tu épouseras le temps de ton règne dans une charnelle fidélité.

Tu ne cèderas pas à la facilité et tu lutteras pour le respect de nos castes. Tu sauras refuser la noblesse à des gens encore inaptes, l’argent ne fait pas le rang, l’amitié n’a rien d’un anoblissement, aucun doute que ces évidences seront marqués au fer rouge sur ta conscience. Il vaut mieux peu de nobles mais une noblesse digne plutôt que de rabaisser celle-ci a ce que le peuple peut offrir comme prétendant.

Futur Roi, tu hésites tellement, de là où tu guettes ces temps de troubles, tu hésites à passer le pas de la lumière. Au fond de toi, tu doutes, tu doutes d’être à la hauteur ou que le peuple ne t’écoute. N’en ai plus aucune crainte futur roi, future reine, ce peuple est las, et la cité se plonge dans la torpeur de figures trop absentes. Si une éleveuse le peut, tu le peux aussi, tu es le troisième homme ou la troisième femme. Tu es l’entre de deux camps. Tu n’as que tes valeurs et ta noble dignité pour te vêtir, du reste, tu n’es qu’un pêcheur, un chasseur ou un artisan oublié de l’ancien monde, mais réjouis-toi, le dieu de ce monde t’as mené sur les plages d’une cité à qui tu manques terriblement.

Toi, Futur roi, ou que tu sois, qui que tu sois, ouvre les yeux sur la ville d’or qui t’entoure, observe son feuillage de ruelles se faner à mesure que la gangrène ronge ses pavés, noircissant de sa crasse la dorure originelle de cette cité d’espoir. Les temps de gloire sombrassent à l’aube de ton absence.

Mes yeux sont tournés vers cette foule informe qu’est le peuple, ne s’attardant pas sur ceux trop indignes qui sont pourtant à présent conseillers ou hommes de responsabilité, je te cherche avec espoir, et en secret, je prie pour que tu fasses ce pas vers la Lumière.
Lucie Florence Félicia D'Arsonval Cadirissa
Modifié en dernier par Lucie le sam. 21 juin 2014 00:01, modifié 1 fois.
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Lucie
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sam. 21 juin 2014 00:00

Hors RolePlay :

L'écriture est féminine et penche vers la droite, elle semble appliqué.
Le texte est dans un recueil portant le nom de "A toi, Esperia"

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D'une Esperia, à plusieurs
Esperia est Un, un peuple, une île, une ville. Nos fanions dansent aux souffles de l’alizé marin qui balaye nos plus hautes tours. Cette fière bannière, drapée du marron et d’un blanc pur, virevolte encore fièrement aux dessus de nos têtes, elle sait ses jours comptés et fixe tristement son funeste destin par-delà l’horizon que lui donne son aplomb.

De quatre hommes naquit une unité, amoncelant les pierres de leur ambitieux projets, ce quatuor de colons fut bientôt vingtaine, poignée d’hommes et de femmes portant les mêmes désirs et ambitions, leur cœur battant pour la naissance d’une seule nation. De cette poignée, débarqua bientôt des flots de l’ancien monde, une cinquantaine d’âmes investit d’une même vision : Venant de tous nos horizons, portant en eux les fondements de cultures différentes, ces étrangers tendirent leurs mains et leur désir vers une Unité, une cité qui porte le nom de l’Espoir.

Dans cette quête grandiose d’unité, nous fûmes bientôt une centaine, ce groupuscule risible aux yeux des grandes nations du monde nous faisais tant fierté. Alors à l’apogée d’espoir pour notre œuvre commune, cette assemblée dû se diviser par le sang et la mort. A la croisée des chemins, notre jeune peuple se divisa, et nombreux tombèrent réduisant déjà un village bien trop dépeuplé. Mais ces hommes et ces femmes tombés dans nos guerres civiles et nos révoltes l’ont été pour une chose : l’unité d’Esperia. Les visions et les avis ont tant divisé notre peuple… sénat, royauté, consulat, gouvernorat. Mais dans ces divisions sanglantes, le cœur de nos morts à toujours saigné pour faire battre notre Unité.

De quatre, à cinquante, puis cent, enfin plus de deux cents. A force de sacrifice, nos terres commencent à entrapercevoir la lumière de la grandeur. A l’aube de compter parmi les plus grandes nations, nous gardons la tête froide, il nous reste tant à parcourir pour égaler la puissante Huratelon, la riche Caroggia, la magnifique Capitale. Nous sommes à présent proches de poser le pied sur la première marche d’un escalier infiniment long vers lequel nous nous sommes juré d’en atteindre le sommet. Nous sommes Esperia : à toi l’Ancien Monde, nous mettrons peut-être des années, des décennies, des siècles, mais nous rayonnerons un jour parmi les plus grandes étoiles de cet univers, nous le jurons.

Craquelante promesse qui trahit à présent le combat de ceux qui sont tombé pour elle, pour notre Unité. L’aube approche que déjà le crépuscule nous assagit, nous prenant à la gorge en nous criant de retourner à nos origines : De quatre à deux cents, de deux cents à une Unité, d’une Unité à plusieurs. Désolante vision qu’un village déjà en jeûne d’habitants, se saigner pour se diviser toujours plus. Animé par les volontés d’un pouvoir faible qui tente de ne pas faire naufrage en concédant à ses soutient mutins, Esperia ne sera plus un mais plusieurs, nous sommes à la naissance mortifère d’une division sans précédent et risible, notre Rivelame indépendant, et bientôt, notre Quartier Ouest. Nous sommes attisés par les faveurs intéressantes d’une telle indépendance de nos trois mythiques quartiers, nous voulons être libre et pouvoir vivre dans notre petite bulle, que chacun puisse vivre dans son chez soi et participer à la vie de son quartier qui deviendra bientôt nation à part entière.

Dur châtiment que de retomber de son nuage d’illusions. Il est aussi ridicule de diviser un village en trois que de dire à un sot de placer son petit fanion sur une colline herbeuse pour en faire son royaume. De toute son histoire, notre ville a souffert de son manque d’âmes, nous peinons à faire vivre les grands ordres que nous nous plaisons à imaginer, notre si fière chevalerie compte deux hommes, notre grand commandant des armées dirige autant d’hommes que de doigts à une main. Alerté par le départ de nombre de nos illustres et nobles personnes, nous gonflons désespérément la noblesse par des personnes avides des droits qu’elle procure et qui n’en respecte pas les manières les plus évidentes, préférant un peignoir aux dorures de nos mines d’or.

Cette division ne profitera à personne, excepté aux Qadjaride qui, dans la plus froide des logiques, ont trouvé le seul moyen de ne pas se plier à une société qu’ils veulent intégrer. Là où chacun doit céder une part de sa nation d’origine pour pouvoir vivre dans notre société, d’autres préfèrent assoir leur culture sur le trône d’une petite colline herbeuse. Pour ne pas se plier, il faut régner, l’indépendance de Rivelame signera l’avènement de la division qu’ils ont toujours participé à créer. Mais du reste ? À qui cela profitera-t-il ? L’éleveuse sans doutes, désespérée de ne pouvoir régner celle-ci noie son chagrin par l’espoir de garder son trône en offrant la liberté suprême à un peuple encore trop embrumé pour la voir empoisonnée.

Cette cité s’est meurtrie pour être celle que vous arpentez aujourd’hui, elle s’est saignée pour être unie sous le nom unique et indivisible d’Esperia et non être distinguée entre Rivelame, Adobe et Quartier Ouest. Diviser l’indivisible n’a aucun sens, là où nous manquons de tout et surtout de puissance aux yeux du monde, nous coupons nos propres membres pour jouir d’une chimère de liberté. Je ne veux pas passer une frontière lorsque je sortirai du Quartier Ouest pour acheter mon pain à Adobe, je ne veux pas être citoyenne d’un pâté de maisons, je renie le joug tout puissant d’un intendant rêvant de couronne et de laurier là où il n’y a que trois chats et deux chiens.

Nous allons vers une lubie enfantine, nous sommes comme des enfants qui jouent à des jeux cherchant à imiter leurs parents en société, quand nous aurons assez joué avec l’indépendance des quartiers, nous nous morfondrons à trouver un autre système plus farfelu. Nous rechignons à avoir un vrai dirigeant pour faire avancer notre pays si fragile, nous préférons diviser le pouvoir pour tous, réduisant celui-ci au choix d’une potée de fleurs ou d’une autre pour l’office de quartier.

Esperiens, vous restez de marbre à ce qui prend scène sous vos yeux, là ou d’autres ont pris les armes et sont tombés pour leurs rêves d’Esperia, la ville Unique et Unie. Parfois simplement dire « non » se révèle être le courage que l’on attend tant. Esperia nous regarde avec intensité, comme au jour des autres grands événements. Mais, cette fois-ci, la cité de l’espoir vacille et fixe l’issue de son futur incertain, suivant dans un silence estomaqué, le peuple qui la tient au creux de ses mains.
Lucie Florence Félicia D'Arsonval Cadirissa
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sam. 5 juil. 2014 17:17

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L'écriture est féminine et penche vers la droite, elle semble appliqué.
Le texte est dans un recueil portant le nom de "A toi, Esperia"

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Le noble peuple.
Esperia, par ces temps, claque des doigts. Chaque clappement amène son changement jour après jours. Battement de cils, la personne qui hier était votre égal est à l’aube prochaine investie de noblesse. Battements des cils, hier ce groupement de personnes du peuple est aujourd’hui citoyen.

On claque et on claque sans cesse des doigts, on obéit frénétiquement à nos désirs hâtifs de grandeur, le matin esclave, le midi citoyen, et la noblesse au soupé. Nous sommes avares de plus et toujours plus, nous rêvons d’être investi des grands titres qui ont tant de valeurs dans l’Ancien Monde, alors nous galopons et fonçons têtes baissées dans le mur en claquant toujours plus des doigts. A force d’user ses pouces, à force de les couvrir d’une corne vicieuse et échardée, le peuple d’Esperia peut contempler ce dont ses belles castes sont devenues.

La citoyenneté se donne à en jeter par-delà nos carreaux, n’apportant rien de ce qu’elle promet, aucune âme ne considère ce rang avec respect, il n’y a qu’à cracher son argent, et vous voilà couvert de ce titre aussi informe qu’inconsistant.

Claquement de doigts, encore et qui, depuis peu, ronge notre respectueuse noblesse. Là ou par le passé, de grandes personnes rimaient avec grandes cérémonies, cette aube nouvelle et visqueuse traite la noblesse comme un papelard gorgé d’espers, ou un mariage de deux gens du bas peuple donne plus de cérémonie à l’acte que nos anoblissements qui étaient il y’a peu, événements et fête cérémonieuse.

Nous rêvons d’être ce que nous écrasons à l’instant par notre semelle empressée. Tous rêvent d’être comme nos illustres personnes qui, par le passé, se sont acharné dans l’effort et la prestance pour être ainsi couvert d’un drapé de noblesse qui avait tant de valeurs à nos yeux.
Nos nobles et nos Chevaliers étaient grands, prestigieux, le Chevalier Thémis a tant marqué notre histoire que sa seule personne valait à lui seul l’évidence de son titre, Ser Linden, a versé le sang d’un des plus grands massacres de notre épopée, mais par cet acte immonde, a prouvé qu’il était un homme fort et digne de faire un choix crucial pour le bien de la cité qu’il a juré de défendre. Ce ne sont que deux nobles âmes parmi celles qui dorment encore dans les récits de notre histoire, leurs noms illustres enluminés d’or.

Nous voulons une grande et prestigieuse noblesse, alors pourquoi nous acharner à la réduire à une simple lettre dans la boîte d’un conseil chargé d’y faire le tri comme dans nos vulgaires lettres chez notre postier ? Mon encre a déjà coulé sur ce que je pense de l’éleveuse et de sa nonchalance, mais cet ignoble défaut coule à présent salement sur nos castes les plus hautes.

Les citoyens ne sont plus que des gens du peuple, la noblesse elle, n’est plus qu’une petite chambre citoyenne. Nous n’avons plus de cérémonies, nous ne reconnaissons plus un noble d’un simple pégu. Là où l’ancien monde compte un noble pour cent paysans, Esperia se farcit par une douzaine pour la centaine.

Nous voulons tout, du jour pour le lendemain, du lendemain pour le surlendemain, notre passé s’écharpe dans les limbes de notre oubli, Esperia se détourne de ce sur quoi elle s’est bâtie. Le pouvoir est faible, sonnant le glas d’une rigueur drastique de nos élévations.

le joueur, Ser Luka Linden était tout comme toi, mineur, te sens-tu vraiment son égal méritant quand tu siégeras à ses côtés au conseil ? Et toi, vieil homme du nom de Sergueitov, as-tu autant donné pour notre cité que la noble dame Dewhell qui siégeait il y a peu dans notre Quartier Ouest ?

Vous deux étiez sans doutes promis à la noblesse… Un jour, par la sueur et la volonté qu’il vous manque encore de verser. Mais comme tous à présent, vous avez claqué des doigts, par empressement, vous détournant d’une patience sage qui vous aurait couvert d’un évident anoblissement. Vous n’avez ni cérémonie, ni peuple pour vous couvrir de ce prestige qui vous manque, vous êtes noble par le fruit d’une simple lettre dans la fente d’une boîte. La Noblesse ne se résumera jamais à cette bassesse administrative, encore moins à une majorité de mains Raev levés.

De cette histoire qui était au crépuscule d’une Esperia aujourd’hui oubliée, l’on pouvait en retenir une leçon : Un titre ne se porte pas, il se mérite, il est une évidence non à une lettre remplie d’espers mais aux yeux du peuple qui en rend le respect effectif. Une noblesse ne tient pas à une bourse, mais aux hommes et femmes qui s’inclinent devant vous, aux hommes et femmes qui vous portent le respect avant même le titre qui l’apporte.

On est noble avant d’en porter le titre.

A tous, ouvrez le livre de notre passé, lisez.
Lucie Florence Félicia D'Arsonval Cadirissa
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