[Journal] Journal intime d'un Vestrit

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Mercredi 12 Décembre 512

Hier... hier fut un jour sombre... Sven est mort. Mort assassiné par un homme à qui il faisait confiance, à qui il laissait la chance d'avoir une nouvelle... tué par mon ami Jeldaan... Cela est en partie de ma faute... Quand il m'a dit qu'il y avait un traitre dans leurs rangs, je pensais qu'il parlait d'un Zerua... mais NON ! C'était Jeldaan le seul traitre ! J'avais oublié qu'Erac' l'avait envoyé pour les infiltrer ! Et du coup... Sven est mort... il ne le serait pas si je l'avais prévenu...

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" Pour chaque frère tombé,
Une blessure,
Pour chaque ami trépassé,
Une fracture,
Ainsi va l'âme du survivant,
A jamais mutilé...."

Aujourd'hui... aujourd'hui... fut un jour sombre... la ville a subit plusieurs attaques terroristes... elle est gravement atteinte... quand à ses habitants... nombreux sont morts en héros pour la défendre.

J'ai participé à la bataille de l'épave... J'ai vu Rholin, Galaad et Ethan allongé par terre... pour toujours... j'ai vu Louarn agoniser... Mes compagnons et moi avons vu l'horreur du suicide de Jeldaan... Nous avons combattus Erac et Barca, les deux seuls survivants... j'ai criblé le dos de Barca de flèches... Thémis, Arcas, Mors, Hélénos et Mae ont failli mourir eux aussi... L'Arbitrio a été clément avec moi cette fois-ci...
Mon armure est souillée par le sang... Mon âme est souillée par le sang... mon épée l'est aussi...

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Rholin : Je suis honoré d'avoir combattu contre toi et avec toi... Je t'ai admiré pour ta vaillance et ta détermination à défendre Adobe. Espéria peut être fière d'avoir eu un fervent défenseur comme toi... Je ne t'oublierais pas... Tu mérites le rang de Chevalier.

Galaad : Galaad... tu as été plus qu'un frère d'armes... tu as été un ami, un très bon ami... Nous nous sommes toujours bien entendu malgré nos quelques chamailleries. Tu resteras dans mon cœur à jamais. Je suis fier de t'avoir eu comme élève et j'espère que tu as utilisé mes techniques de combat pour défaire les Antracides...

Falcown : Ta bonne humeur manquera à Espéria... je suis fier de t'avoir eu comme mentor... puisse ton âme être en paix à présent.
"Force et Honneur mon frère".

Jeldaan : Jeldaan... je persisterais toujours à croire que tu as le fond bon... tu n'es pas un homme de mal... Nos engueulades n'ont pas réussi à nous séparer... seule la mort le pouvait. Cependant tu aurais du m'écouter. Tu resteras un ami... quoi qu'il en soit. Paix à ton âme.

Sven : Je ne te connaissais que très peu... mais cependant tu as été un bon maire et certainement l'un des plus fervents protecteurs d'Adobe. Tu as toujours agit pour le bien d'Adobe et de ses habitants et tes frères Zeruas peuvent être fiers de t'avoir eu comme chef.

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La date n'a pas été mise...

"Qui suis-je...
Avez vous confiance en moi ?
...
Je suis passé dans l'ombre...
Comme la pluie sur les montagnes,
Comme un vent dans les prairies...
Les jours sont descendus à l'Ouest...
Derrière les collines."

Espéria... une ville fantôme maintenant... Aujourd'hui... les marchands de la Gourgandine vendent leurs produits comme si rien ne s'était passé à Espéria... Je les méprise... Autant que Alvilda. Cette femme me répugne... j'ai failli la tuer ce soir, mais j'ai fais preuve de bon sens en abaissant mon arc.
Je ne sortirais pas de chez moi avant quelques jours... il faut que je fasse le vide.

Objectifs pour les jours à venir :

- Se méfier d'Alvilda, l'éviter autant que possible pour ne pas faire de bêtises.

- Rester le plus de temps enfermé dans la Bibliothèque ou chez moi.

- Penser à demander ma paye à Thémis.

- Me faire oublier...

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Lundi 17 Décembre 512

Une pièce maudite... un homme dangereux... que faut t-il de plus ?

"Homme dangereux..." J'entends encore cette phrase de Lily dans ma tête. En effet je suis dangereux, je suis au bord du gouffre, à la frontière du mauvais côté.
C'est cette guerre... elle m'a changée, c'est bien la première guerre qui me fait cet effet...
Je ne peux pas contrôler l'autre tout seul... mais je ne veux pas demander de l'aide non plus...
Il semble attentif aux paroles des autres... surtout celles d'Audrey.

La pièce maudite doit être cachée... sinon l'autre pourrait s'en servir... il ne me reste que peu de solutions... je dois faire attention. Je deviens redoutable et impitoyable... L'Arbitrio m'a abandonné, comme toujours... je n'ai donc qu'une conclusion : Je suis maudit.

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Mercredi 19 Décembre 512

Je me suis levé tôt ce matin, laissant Léana et Jyoce dormir.
Jyoce.... une gentille esclave, un peu jeune pour être chasseresse... j'irais certainement avec elle les premiers jours. Mais je vais la laisser se reposer ce matin, elle doit être fatiguée par son voyage... la viande qu'elle rapportera ira à la Garde.

Léana... elle ne fait que de dormir. Je ne sais pas ce qu'il lui arrive. Quand elle se réveille, elle ne parle que d'Enora, sa petite sœur... Je suis inquiet pour elle.

Thémis... mon Commandant, mon frère... il ne va pas bien ces derniers temps... il est souvent fatigué et je ne peux presque pas lui parler. J'attendrais le temps qu'il faut. Il a confiance en moi... Et moi, il est le seul à qui je fais confiance depuis la mort des autres... le seul qui ne m'a pas abandonné, le seul qui a réussit à me faire remonter. Je suis son soldat, je suis son frère, et seul la mort pourra me séparer de lui.

La pièce maudite... toujours là où elle ne devrait pas être... il faudra vraiment la changer de place... cela m'empêche de dormir, et ces morts... je les vois encore la nuit... ils me hantent... Arbitrio prend du plaisir à me maudire...

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Vendredi 21 Décembre 512

Aujourd'hui je suis perdu dans ma vie...

Sike Vestrit ne sait plus quoi faire... Tout ce que je sais c'est que je suis maudit, abandonné et que je vis dans les ruines de ma demeure.

Les Espériens... que dire d'eux ? Certains sont morts en héros... d'autres se terrent dans leurs maisons, ou encore... quelques uns s'en vont...
Je ne leur en veut pas... ils ont peur, voilà tout.
Les gardes... ils s'amusent et boivent au lieu de travailler....
Le Baron Mordred.... un Capitalin que je dois éviter... peut être voudra t-il ma mort si il apprend qui je suis.

Je ne peux pas partir moi... je suis recherché dans l'Ancien Monde... de la Capitale à Huratelon... en passant par Caroggia. Je resterais... à Espéria, et puis... si cette malédiction me pèse trop... j'irais dans les montagnes... où j'oublierais mes soucis et ceux qui m'ont abandonnés.

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Dimanche 23 Décembre

Il était une fois, un homme qui, lors d'une guerre civile qui ravagea sa ville, avait tout perdu.
De ses frères d'armes, seuls trois avaient réchappé au massacre, dont un grâce à l'homme en question. De ses amis, un était mort et les autres avaient disparus, sa femme également.
Quelques jours après qu'il ait tué le dernier rebelle en vie, l'homme n'était plus le même. Bien sur, il avait déjà tué dans le passé, il avait déjà perdu tant de frères d'armes... mais cela n'était pas pareil à Espéria. Il s'enferma donc chez lui, personne ne vint le voir, il resta donc seul avec sa fidèle esclave, qu'il chérissait comme sa propre fille. Cependant, un esclave brûla sa demeure, ne laissant qu'un tas de ruines fumantes derrière lui. L'homme fut donc encore plus bouleversé, il commença à ne plus manger, et à boire énormément. Il avait maigri à tel point qu'il flottait dans ses habits maintenant trop grand pour lui. Les quelques proches qui lui restait, ceux qui n'étaient pas morts ou qui n'avaient pas disparus, s’inquiétèrent pour lui. Mais il refusait de parler et de manger.

Lorsqu'il reçut une lettre de son Commandant, un de ses frères d'armes encore en vie, lettre dans laquelle il pouvait prendre congé, l'homme ne se fit pas prier. Il prépara ses affaires en hâte, puis alla voir le Commandant. Après des adieux un peu émouvant, il parti en direction de la place et appela sa fidèle esclave et sa douce amie. Une fois de plus, il fit ses adieux, devant deux jeunes filles totalement prises au dépourvu. Il les serra fort dans ses bras, comme un père sert ses filles, puis prit son sac et alla au Bastion prendre quelques vivres supplémentaires.
Il vérifia le contenu de son sac : Armure, épées, dague, torches, beaucoup de vivres, gourde, sa canne, quelques bandages propres au cas où il se blesserait... tout y était.
Il caressa son fidèle chien de compagnie une dernière fois. Il parti en direction de la forêt quand il entendit les voix de son esclave et de son amie. Il les épia discrètement et vit que la jeune femme apprenait à compter à son esclave dans ce qu'il restait de sa belle demeure, maintenant envahie de belles lianes, il sourit puis parti pour de bon.

Il était tôt dans le matin quand il s'élança dans la forêt, il croisa quelques zombies qu'il fit trépasser avec sa fidèle "Alissen". Il marcha un cycle entier, avant de tomber sur le refuge.
C'était un endroit assez isolé du reste du monde. Il fut soulagé d'être enfin arrivé et posa ses affaires. Il dormit à même le sol, étant trop fatigué.

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Lundi 24 Décembre

L'homme s'était réveillé en sursaut... un mauvais rêve... une pièce maudite... ses frères d'armes morts au combat le hantait... chaque nuit, c'était la même chose.
Son dos était courbaturé, il se leva en grimaçant, prit un morceau de pain et explora le refuge.
Des toiles d’araignées et des lianes jonchaient les murs de pierres. Une porte menait à un escalier, puis à un couloir dans lequel des cubes et des cubes de rails étaient posés avant d'arriver à un cul-de-sac. Au retour, l'homme fut surprit par un zombie mais il arriva à le terrasser sans se faire blesser.
Il remonta lentement l'escalier sur ses gardes, puis une fois dans la grande pièce vide, il rengaina et prit un peu de raisin.

Il sortit prendre un bain mais il fut interrompu par un autre zombie. Il s'empara de son épée laissée sur le bord et envoya le zombie par le fond.
« Mais combien sont-ils dans ces parages ???»
L'homme sortit de l'eau et s'essuya en hâte avant de retourner à l'intérieur et de s'équiper de son armure.
Il regarde à travers les lianes de dehors et observe minutieusement le creeper qui se dirige vers lui. «Tiens tiens...»
Il dégaine doucement une épée et se plaque contre le mur. Le monstre vert rentre et se fait planter comme un débutant. Cependant, un petit «Shhhhiiiiii» se fait entendre et l'homme a juste le temps de retirer son épée et de donner un coup de pied dans le creeper pour le faire reculer avant que celui-ci explose et disparaisse dans les eaux du lagon...
L'homme a reçu un morceau de rocher sur le front et un petit filet de sang coule sur sa tête.
« Merde... p'tain !»
Il cherche dans ses affaires un bandeau propre qu'il s'enroule autour de la tête.
« Tu es sûr que de risquer ta peau est la meilleur solution ?»
L'homme parle seul et ne s'en inquiète pas. Il a prit l'habitude, ayant souvent été forcé de parler seul...
« Sont nombreux ces enflures... va falloir être doublement vigilant...»
Un fois le bandeau en place, il essuie son épée sur un morceau de tissu avant de s'asseoir et d'écrire, l'épée à portée de main.

Hors RolePlay :

Deux petites gouttes de sang tâchent le papier

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L'homme avait fini d'écrire et fit une sieste, il était plus prudent de dormir le jour que la nuit dans ces montagnes... Soudain, du bruit se fit entendre dans ce qui semblait être un couloir de mine. Il descendait, l'épée au clair quand surgit un squelette, ce dernier était armé d'un arc.
Il tira plusieurs flèches en direction de l'homme en armes, elles se figèrent toutes dans le poteau de mine près du soldat. Ce dernier, n’attendant pas une seconde salve de flèches, s’élança en direction du squelette qui tira une dernière flèche avant l'assaut frontal. La flèche se figea dans l'épaulière gauche de l'homme qui leva son épée avant de l'abattre sur le crâne du squelette qui s’affaissa au sol comme un fétu de paille.

«Tu tiens à ta vie ou pas ? Tu dois revenir en vie je te rappelle...»

L'homme arracha la flèche d'un geste las et soupira un coup.

« Bah... il aurait pu me tuer dans mon sommeil...»

Il ramassa les flèches intacts et quelques os.

« Vagabond maudit et profanateur hein...»

L'homme sourit un instant avant de remonter dans la pièce principale. Au bout d'un moment, il entendit des gargouillements de zombie.
Il sortit doucement dehors, deux zombies s'étaient coincés.

« - Tiens tiens... ces deux abrutis se sont coincés.
- Fais pas l'con hein... ça mord un zombie...
- T'inquiètes pas pour rien... ils sont inoffensifs ceux là.»

Il s'approcha prudemment des deux monstres coincés et les regarda bruler quelques instants au soleil avant de les achever.
Il rentra et essuya son épée contre un bout de chemise qui sortait de sa cuirasse. Il se remit à écrire.
La nuit tomba et d'autres gargouillements se firent entendre.

« Impossible de se concentrer et de dormir avec ces montres autour...»

Il passa un cycle entier à veiller avant de sortir dehors, cette fois sans armure. Il grimpa le plus haut possible dans les montagnes jusqu'à ce qu'il puisse voir autre chose que du roc.
De la forêt et des rochers à perte de vue... pourtant Espéria n'est pas si loin...
Il se plait mieux ici qu'à Espéria en tout cas. Même si ses voisins ne sont pas charmants et bruyants. Il descendit surement mais rapidement pour ne pas se faire avoir par la nuit.
Une fois en sécurité, il revêtit son armure et attendit. Il n'y a rien d'autre à faire que de dormir, veiller et écrire.

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Mercredi 26 Décembre 512

L'homme s'était réveillé en sursaut une fois de plus... toujours à cause de ces morts qui le hante... Il se trouvait au Dispensaire. Il essaya de se rappeler ce qu'il avait fait hier : Il était revenu non pas parce que la montagne était trop dangereuse mais parce qu'il n'avait pas le choix. Il était revenu blessé et puis... plus rien. Il s'était réveillé au Dispensaire et vit une de ses amis qu'il croyait disparue... Ils parlèrent longtemps avant que l'homme ne s'endorme d'épuisement. Cette femme était soignante et elle avait toujours été là pour lui... cependant, des fois il se demandait si ce n'était pas normal que les soignantes aident les blessés à aller mieux physiquement et moralement... puis il se mit à penser qu'il donnait trop de sa générosité sans jamais rien recevoir en retour. En fait, il ne se sentait pas bien en société, il ne se rendait pas compte à quel point il est pessimiste... mais il ne peut pas changer tout seul... à quoi servent les amis sinon à aider les leurs ? Il avait l'impression d'être abandonné, une fois de plus... dans un endroit où il avait déjà passé trop de temps. Seuls ses amis pouvaient le changer, mais ils ne le savaient pas...

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Jeudi 27 Décembre 512

Il s'était réveillé sur le toit de sa maison... il essaya de se rappeler comment il était arrivé là... L'homme se rappela alors de sa journée d'hier... il s'était une fois de plus apitoyé sur son sort... il avait une fois de plus décidé d'être chiant... et il avait perdu l'amitié de son esclave et d'une de ses amies... Il s'était rendu compte qu'il avait mal agit, une fois de plus, et était retourné chez lui pour boire, une fois de plus. Il n'était plus sorti depuis... il avait pleuré toute la nuit avant de s'endormir ivre sur le toit de sa maison en ruine.

Le matin venait de se lever, ses paupières étaient lourdes et le soleil n'était pas encore présent mais l'homme descendit du toit et alla s'installer à sa table de fortune... il alluma une bougie, et cela faisait bien longtemps qu'une flamme n'avait pas été allumée depuis l'incendie, et prit une plume ainsi qu'un papier. Il se mit à écrire longuement avant de rester là à fixer ce papier sans vie...
La seule chose qui parvint à sortir de sa bouche était ceci : «Tu es un abruti Sike Vestrit...»
Il rangea alors le papier dans son veston... aujourd'hui, il ne devait pas paraitre faible car il y avait un mariage...

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Vendredi 28 Décembre 512

L'homme s'était réveillé tard... plus tard que les autres fois. Il avait une fois de plus pleuré toute la nuit, avait une fois de plus bu, était une fois de plus seul dans sa maison, s'était une fois de plus apitoyé sur son sort. Il en venait à maudire l'Arbitrio chaque jour.

Hier, son frère d'armes, le Commandant, se mariait avec sa douce, il était le témoin du Commandant, mais il avait du partir après leur union à l'Abbaye. L'homme se sentait honteux... il était faible et se mourrait un peu plus chaque jour, il le savait bien mais ne voulait pas en parler, il restait enfermé chez lui... malgré la promesse qu'il avait faite à son esclave, désormais sa fille.
Il sortit une fois de plus le testament qu'il avait rédigé quelques jours plus tôt...
Il était de plus en plus maigre, de moins en moins sociable, et de plus en plus cadavérique. Il n'avait pas peur de la mort, la mort n'est qu'un passage vers une autre vie. Elle l’accueillerait à bras ouverts, et il ira se blottir volontiers dans ses bras.