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Sire Moscaw, à Dame LunargentCorrespondance Nobiliaire d'Esperia
le 20 Juin de l'an 514
le 20 Juin de l'an 514
Chère Dame Lunargent,
Plutôt que de me lancer dans un débat dans l'Académie où vous comme moi aurions tourné la Noblesse en vaste cirque, je préfère vous écrire dans cette lettre car vous êtes plus à l'aise vraisemblablement avec les Mots qu'avec les Hommes, pour vous faire part de remontrances quant à votre "conférence" et vos propos.
Sachez pour commencer que votre critique de la Monarchie Esperienne est surement la moins construite de tout ses détracteurs. Vous plaidez sans cesse pour le Consulat, à la manière d'hier soir "Qu'il fut approuvé par Golvandaar" mais ce qui vous importe c'est surtout qu'il fut approuvé par votre propre personne. Tout ce qui ne vous touche pas n'est pas "légitime". Si Golvandaar avait un réel problème avec les Institutions Monarchiques, il ne critiquerait pas la décadence de la République de Caroggia, et ne sacraliserait pas le Roi de la Capitale.
Vous tenez souvent le propos que je fus "Souverain Autoproclamé". Alors j'ai le regrets de vous annoncer que vous êtes une "Noble Autoproclamée". Nous étions dépendant tout les deux de la décision d'un Conseil. La Vérité c'est que le premier, "Le Haut Conseil" était un conseil trié sur le volet et partial, même Sire Lindén reconnait cet aspect. Le Conseil Restreint lui soumet toutes les volontés des grands mouvement de la Cité, il est plus légitime que ne l'a jamais été le système Consulaire.
Mais revenons-en à votre conférence.
Vous avez déjà pointé du doigt une attaque personnelle contre moi, en vantant à coté la grande Cité de Golvandaar. Je vais vous expliquer en quoi vous avez tord, et en quoi vous tenez un double discours. Vous avez exprimé très clairement que le problème d'Esperia était : Les Vaahvas, Son Instabilité Politique, Les Extrémistes, et les Kaaosistes.
Dans les Tribus Vaahvas qui jouxtent les Monts Adaarions, ceux-ci croient en l'Arbitrio, et les mariages entre Adaarions et Vaahvas font partis de cette situation. Vous critiquez d'un coté les Préveriens qui veulent imposer Arbitrio par la force, alors même que Golvandaar a toujours préféré une méthode qui apparemment vous échappe : La Sagesse.
Quel résultat avec la violence des Phalangismes avec le Nord qui n'a aboutit à rien si ce n'est à faire refuser la vrai foi à ces tribus ? En revanche, le commerce, la tolérance, la discussion etc. Les Méthodes même employées par Golvandaar chez les Vaahvas vivant prêt des Monts ont permis à ceux-ci de se convertir.
Vous critiquez les Préveriens, les Extremistes, mais votre discours est totalement dans l'opposé de ce qu'applique Golvandaar. C'est au contraire ce genre de discours qui divise, qui incite les personnes à se soulever contre d'autre. Votre critique d'hier soir était un véritable encouragement à l’extrémisme.
C'est justement à cause de genre de discours qu'Esperia doit faire face à une politique non pas "instable" mais "jeune". Ni Caroggia, Ni la Capitale, Ni Odense, NI MÊME Golvandaar n'avait une Politique totalement stable qui c'est perpétuée pendant des siècles qu'elle avait acquise avec à peine 3 ans d'existences.
De plus aucune de ces Cités contrairement à ce que vous "affirmiez" hier n'aurait fait la guerre à son voisin pour nous. C'est pure fiction, et en aucun cas une réalité Politique. Rosklide appuie ses propres par des mots "durs" et vous les prenez au premier degrés alors même qu'il n'y a à par dame Lindén pas meilleure femme de lettre dans cette Cité. Vous n'avez pas vu autre chose que Golvandaar et Esperia. C'est pourquoi vous êtes persuadé qu'il y a une véritable "décadence". Sachez que sur Iona, des moines se font frapper dans la rue, frappent les passant, et vont se saouler à la taverne après être aller au bordel. Phalangistes et Monachistes se frappent ouvertement se foutant des conséquences. Pourtant pas de Guerre ?
Vous disposez d'un sens de la Diplomatie et de la Politique limitée si vous prenez chaque déclaration au sérieux.
J'ai toujours trouvé que vous étiez digne de la Noblesse, pas seulement Esperienne, mais la Noblesse d'âme pour votre dévouement et vos talents pour votre jeune âge. Mais les propos d'hier soir étaient des propos qui n'avaient rien de Noble, aussi honnêtes étaient-ils.
J'espère que vous comprenez plus aisément la colère que j'ai pu exprimer publiquement hier soir.
Sachez pour commencer que votre critique de la Monarchie Esperienne est surement la moins construite de tout ses détracteurs. Vous plaidez sans cesse pour le Consulat, à la manière d'hier soir "Qu'il fut approuvé par Golvandaar" mais ce qui vous importe c'est surtout qu'il fut approuvé par votre propre personne. Tout ce qui ne vous touche pas n'est pas "légitime". Si Golvandaar avait un réel problème avec les Institutions Monarchiques, il ne critiquerait pas la décadence de la République de Caroggia, et ne sacraliserait pas le Roi de la Capitale.
Vous tenez souvent le propos que je fus "Souverain Autoproclamé". Alors j'ai le regrets de vous annoncer que vous êtes une "Noble Autoproclamée". Nous étions dépendant tout les deux de la décision d'un Conseil. La Vérité c'est que le premier, "Le Haut Conseil" était un conseil trié sur le volet et partial, même Sire Lindén reconnait cet aspect. Le Conseil Restreint lui soumet toutes les volontés des grands mouvement de la Cité, il est plus légitime que ne l'a jamais été le système Consulaire.
Mais revenons-en à votre conférence.
Vous avez déjà pointé du doigt une attaque personnelle contre moi, en vantant à coté la grande Cité de Golvandaar. Je vais vous expliquer en quoi vous avez tord, et en quoi vous tenez un double discours. Vous avez exprimé très clairement que le problème d'Esperia était : Les Vaahvas, Son Instabilité Politique, Les Extrémistes, et les Kaaosistes.
Dans les Tribus Vaahvas qui jouxtent les Monts Adaarions, ceux-ci croient en l'Arbitrio, et les mariages entre Adaarions et Vaahvas font partis de cette situation. Vous critiquez d'un coté les Préveriens qui veulent imposer Arbitrio par la force, alors même que Golvandaar a toujours préféré une méthode qui apparemment vous échappe : La Sagesse.
Quel résultat avec la violence des Phalangismes avec le Nord qui n'a aboutit à rien si ce n'est à faire refuser la vrai foi à ces tribus ? En revanche, le commerce, la tolérance, la discussion etc. Les Méthodes même employées par Golvandaar chez les Vaahvas vivant prêt des Monts ont permis à ceux-ci de se convertir.
Vous critiquez les Préveriens, les Extremistes, mais votre discours est totalement dans l'opposé de ce qu'applique Golvandaar. C'est au contraire ce genre de discours qui divise, qui incite les personnes à se soulever contre d'autre. Votre critique d'hier soir était un véritable encouragement à l’extrémisme.
C'est justement à cause de genre de discours qu'Esperia doit faire face à une politique non pas "instable" mais "jeune". Ni Caroggia, Ni la Capitale, Ni Odense, NI MÊME Golvandaar n'avait une Politique totalement stable qui c'est perpétuée pendant des siècles qu'elle avait acquise avec à peine 3 ans d'existences.
De plus aucune de ces Cités contrairement à ce que vous "affirmiez" hier n'aurait fait la guerre à son voisin pour nous. C'est pure fiction, et en aucun cas une réalité Politique. Rosklide appuie ses propres par des mots "durs" et vous les prenez au premier degrés alors même qu'il n'y a à par dame Lindén pas meilleure femme de lettre dans cette Cité. Vous n'avez pas vu autre chose que Golvandaar et Esperia. C'est pourquoi vous êtes persuadé qu'il y a une véritable "décadence". Sachez que sur Iona, des moines se font frapper dans la rue, frappent les passant, et vont se saouler à la taverne après être aller au bordel. Phalangistes et Monachistes se frappent ouvertement se foutant des conséquences. Pourtant pas de Guerre ?
Vous disposez d'un sens de la Diplomatie et de la Politique limitée si vous prenez chaque déclaration au sérieux.
J'ai toujours trouvé que vous étiez digne de la Noblesse, pas seulement Esperienne, mais la Noblesse d'âme pour votre dévouement et vos talents pour votre jeune âge. Mais les propos d'hier soir étaient des propos qui n'avaient rien de Noble, aussi honnêtes étaient-ils.
J'espère que vous comprenez plus aisément la colère que j'ai pu exprimer publiquement hier soir.
Veuillez tout de même agréer Dame Lunargent, de mes salutations distinguées.
Sire Moscaw