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Forged at Sineicos
Hors RolePlay :
Papier à affiche assez épais. Une écrite assez désordonnée, anachique, quoique lisible.RolePlay :
Je suis le Conteur.
J'écoute, je raconte et je façonne des histoires.
Esperai est un ville étrange, unique dans ce monde.
Ou nous sommes obligé de coexister entre personnes hétérogènes.
Les conflits se produisent inévitablement, séparant les personnes et en unifiant d'autres.
Mais tous demeurent espériens. Tous appartiennent à la ville.
Et l'Espoir reste que cette union forcée porte ses fruits un jour lointain.
Mais pour cela, Esperia doit exister. Elle doit perdurer. Elle doit s'affirmer.
Nous nous battons tous pour Esperia à notre façon. Pour notre quartier ou nos alliés.
Mais parfois, la ville se retrouve menacée en elle même.
Vous souvenez vous de l'histoire des phalangistes ayant jeté à terre la foi arbitrienne ?
Au nom d'un banc et de la fierté ? S'arrogant de droits qui n'étaient pas les leurs ?
Les conséquences ne leur étaient pas favorable, ils sont donc parti en détruisant notre monastère et le vidant de son âme.
Ils ont clos l'Oeil d'Arbitrio suite à leurs actes honteux
Rejetant la faute sur nous pour leur comportement belliqueux.
Nos deux apothis successeurs, malgré les obstacles devant eux, se sont affairé corps et âme pour le rouvrir.
La foi recadrée pour assister les croyants et les guider vers une vie meilleure.
Désormais, les pillards sont de retour. Qu'ont ils apporté ?
Regardez les : armés jusqu'aux dents, amplis de rancoeurs et de volonté de s'imposer.
Où sont les affaires du monastère présents depuis le fondement de notre ville ?
Ils reviennent comme des conquérants sur un champ fertile qu'ils ont autrefois brulé.
Se trimballant comme une force d'invasion sur nos terres.
Menaçant notre apothi Hiiagara d'incidents diplomatiques qu'ils ont eux même provoqués.
Qu'ont ils ramené à part leur mépris et leurs exigeances déplacées ?
Roskilde pleurerait en voyant des efforts d'unions de nouveau réduits à néant.
Défend nous, terre adaar, face aux personnes qui pensent agir en votre nom.
Ecoutez la voix d'Eevi partie pour défendre notre foi des intérêts d'Alan.
Soutenez l'apothi Hiiagara qui se dévoue malgré lui pour la bonne santé religieuse de notre île.
Mais je ne tendrais pas la main à ceux qui ont mordu un bras.
Si vous voulez remériter votre place, ce n'est pas par la force.
Coopérez avec la ville si vous voulez qu'elle coopère avec vous.
N'essayez pas de conquérir la cité si vous la méprisez.
Sinon, elle devra encore combattre vos caprices. Et nous devrons encore nettoyer vos bêtises.
Ne restez armé qu'en son sein, vous n'avez aucune légitimité en dehors.
Vous l'avez jetée aux flammes vous même.
Songez à réparer vos fautes si vous voulez qu'on vous écoute.
La religion est bien trop sacrée pour la laisser entre des mains prétentieuses.
Vous n'apprenez pas de vos erreurs, est-ce la troisième fois ?
Sans doute : vous n'avez pas assumé les deux premières. Vous criez à la diffamation.
Libérez vous du chaos.
Vous êtes un étendard.
Nous le sommes aussi.
Kuunia Arbitrio.
J'écoute, je raconte et je façonne des histoires.
Esperai est un ville étrange, unique dans ce monde.
Ou nous sommes obligé de coexister entre personnes hétérogènes.
Les conflits se produisent inévitablement, séparant les personnes et en unifiant d'autres.
Mais tous demeurent espériens. Tous appartiennent à la ville.
Et l'Espoir reste que cette union forcée porte ses fruits un jour lointain.
Mais pour cela, Esperia doit exister. Elle doit perdurer. Elle doit s'affirmer.
Nous nous battons tous pour Esperia à notre façon. Pour notre quartier ou nos alliés.
Mais parfois, la ville se retrouve menacée en elle même.
Vous souvenez vous de l'histoire des phalangistes ayant jeté à terre la foi arbitrienne ?
Au nom d'un banc et de la fierté ? S'arrogant de droits qui n'étaient pas les leurs ?
Les conséquences ne leur étaient pas favorable, ils sont donc parti en détruisant notre monastère et le vidant de son âme.
Ils ont clos l'Oeil d'Arbitrio suite à leurs actes honteux
Rejetant la faute sur nous pour leur comportement belliqueux.
Nos deux apothis successeurs, malgré les obstacles devant eux, se sont affairé corps et âme pour le rouvrir.
La foi recadrée pour assister les croyants et les guider vers une vie meilleure.
Désormais, les pillards sont de retour. Qu'ont ils apporté ?
Regardez les : armés jusqu'aux dents, amplis de rancoeurs et de volonté de s'imposer.
Où sont les affaires du monastère présents depuis le fondement de notre ville ?
Ils reviennent comme des conquérants sur un champ fertile qu'ils ont autrefois brulé.
Se trimballant comme une force d'invasion sur nos terres.
Menaçant notre apothi Hiiagara d'incidents diplomatiques qu'ils ont eux même provoqués.
Qu'ont ils ramené à part leur mépris et leurs exigeances déplacées ?
Roskilde pleurerait en voyant des efforts d'unions de nouveau réduits à néant.
Défend nous, terre adaar, face aux personnes qui pensent agir en votre nom.
Ecoutez la voix d'Eevi partie pour défendre notre foi des intérêts d'Alan.
Soutenez l'apothi Hiiagara qui se dévoue malgré lui pour la bonne santé religieuse de notre île.
Mais je ne tendrais pas la main à ceux qui ont mordu un bras.
Si vous voulez remériter votre place, ce n'est pas par la force.
Coopérez avec la ville si vous voulez qu'elle coopère avec vous.
N'essayez pas de conquérir la cité si vous la méprisez.
Sinon, elle devra encore combattre vos caprices. Et nous devrons encore nettoyer vos bêtises.
Ne restez armé qu'en son sein, vous n'avez aucune légitimité en dehors.
Vous l'avez jetée aux flammes vous même.
Songez à réparer vos fautes si vous voulez qu'on vous écoute.
La religion est bien trop sacrée pour la laisser entre des mains prétentieuses.
Vous n'apprenez pas de vos erreurs, est-ce la troisième fois ?
Sans doute : vous n'avez pas assumé les deux premières. Vous criez à la diffamation.
Libérez vous du chaos.
Vous êtes un étendard.
Nous le sommes aussi.
Kuunia Arbitrio.