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Une affiche blanche comme la neige
Une enluminure ce trouve en haut de celle-ci
Un sceau est présent en bas à droite
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Des modifications d'un trait épais sont présente, l'écriture est différente
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Devoir
À mes peuples,Il y a maintenant plus de 6 mois, j'ai publié sur ce même tableau d'affichage une affiche portant le même titre. Je la postais plein d'espoir dans le cœur, disposant d'une fougue que tout nouveau dirigeant, je suppose doit avoir. Elle marquait le début d'une Royauté légitime et stable pour nos terres. Ce devoir n'était pas uniquement le mien, c'était le nôtre. Celui de se rassembler et de garantir à Esperia un ordre stable, après le chaos qui s'était finalement installé dans notre Cité. Pas uniquement par la tentative maladroite de Durzann d'instaurer ce système, mais également par la corruption des précédents. Certains arguent que le système actuel a fait naître des tensions, mais tout le monde sait que celles-ci sont dans nos murs depuis bien longtemps.
Ce système fut mis en place avec une envie d'Efficacité et de Modernité. Il n'est pas exempt de défauts, mais il est ce que nous avons trouvé de mieux pour répondre à nos besoins. Nous avons fait le choix d'un Roi. "Nous" car oui moi aussi avant de l'être, j'avais prêté allégeance à Durzann*. Mais nous voulions aussi la modernité, renonçant ainsi avec la tradition des monarchies héréditaires. Notre système ne choisit pas son Roi par sa naissance, mais par sa qualité à l'être.
Le Conseil Restreint est l'entité même capable de désigner cela. Mêlant les Cultes, les Quartiers, les Grandes Maisons, les Chevaliers, et le Gouvernement. Ma désignation fut la plus belle réussite de ce système. Une désignation qui ne se fit pas sur une majorité de la population, mais de l'unanimité des représentants de celle-ci. On peut critiquer ma politique du "compromis", mais c'est l'essence même de la Royauté Esperienne que de trouver le consensus pour le peuple.
Ces consensus doivent passer par l'écoute et la voie pacifique.
La politique d'opposition d'Einog était tout simplement l'exemple même de ce que nous devons combattre. À la différence de la politique que mène actuellement l'Apotti Joris, qui tant bien même s'oppose à ma façon de gouverner, le fait au simple détriment de mes idées et non pas de la chair du peuple.
C'est pourquoi même si j'apprécie personnellement de trouver une affiche critiquant ouvertement des "usurpateurs" qui voudraient ma place, je ne peux que condamner le fait que celle-ci incite par ailleurs à régler cela dans le sang. J'ai toujours voulu la paix et cela au détriment de mon image. Quand j'ai battu les Qadjarides en Décembre de l'an 513, combien de mes soutiens voulaient que j’exécute ces derniers pour marquer mon autorité ?
C'est lors de cette victoire que j'ai compris que je devais penser comme un Roi et non comme un homme. Que lorsqu'un homme se lève contre toi, il est de ton devoir de t'y opposer. Mais quand celui-ci ploie le genou, il est de ton devoir de lui tendre la main. Sinon qui m'aurait respecté ?
J'en appelle à mes peuples. Ne vous laissez pas prendre dans le vent du conflit facile. Il nous emporte et nous donne l'impression d'être porter par une plus grande force, mais c'est au risque de s'écraser rapidement plus loin.
Si le Conseil Restreint souhaite se réunir, il le peut. Il en est de son droit, et de son devoir si il juge la situation "critique". Étant créé pour deux choses :
Voici d'ailleurs sa composition officielle et légale :
Je ne suis que peu disponible actuellement, car toujours dans les préparatifs d'un grand voyage diplomatique que je vais devoir faire qui devient nécessaire pour nos rapports à l'Ancien Monde. Je lis cependant toutes vos lettres et répond aux plus urgentes.
Esperiens,
Quoi qu'il va advenir, je serais fière des six derniers mois. Où l'économie est enfin résolue au gouvernement, où la garde et la pointe d'Or furent remisent sur pied, où l'éducation et la culture entreprirent les réformes nécessaires. Tout ces travaux qui actuellement me garantissent que j'ai fais le bon choix en défendant la Royauté.
Mais cette fierté je ne la dois qu'à vos bras, qu'à vos actions, qu'à votre force d’entreprendre et d'absoudre nos fautes de l'Ancien Monde, pour ensemble recommencer nos vies vers un futur qui aujourd'hui me semble bien plus clair qu'il y a quelques mois.
Je reste au service de ma Cité et de son peuple, comme j'en ai fais le serment.
Je respecterais toutes actions légales, et continuerais de condamner la violence par facilité.
Ce système fut mis en place avec une envie d'Efficacité et de Modernité. Il n'est pas exempt de défauts, mais il est ce que nous avons trouvé de mieux pour répondre à nos besoins. Nous avons fait le choix d'un Roi. "Nous" car oui moi aussi avant de l'être, j'avais prêté allégeance à Durzann*. Mais nous voulions aussi la modernité, renonçant ainsi avec la tradition des monarchies héréditaires. Notre système ne choisit pas son Roi par sa naissance, mais par sa qualité à l'être.
Le Conseil Restreint est l'entité même capable de désigner cela. Mêlant les Cultes, les Quartiers, les Grandes Maisons, les Chevaliers, et le Gouvernement. Ma désignation fut la plus belle réussite de ce système. Une désignation qui ne se fit pas sur une majorité de la population, mais de l'unanimité des représentants de celle-ci. On peut critiquer ma politique du "compromis", mais c'est l'essence même de la Royauté Esperienne que de trouver le consensus pour le peuple.
Ces consensus doivent passer par l'écoute et la voie pacifique.
La politique d'opposition d'Einog était tout simplement l'exemple même de ce que nous devons combattre. À la différence de la politique que mène actuellement l'Apotti Joris, qui tant bien même s'oppose à ma façon de gouverner, le fait au simple détriment de mes idées et non pas de la chair du peuple.
C'est pourquoi même si j'apprécie personnellement de trouver une affiche critiquant ouvertement des "usurpateurs" qui voudraient ma place, je ne peux que condamner le fait que celle-ci incite par ailleurs à régler cela dans le sang. J'ai toujours voulu la paix et cela au détriment de mon image. Quand j'ai battu les Qadjarides en Décembre de l'an 513, combien de mes soutiens voulaient que j’exécute ces derniers pour marquer mon autorité ?
C'est lors de cette victoire que j'ai compris que je devais penser comme un Roi et non comme un homme. Que lorsqu'un homme se lève contre toi, il est de ton devoir de t'y opposer. Mais quand celui-ci ploie le genou, il est de ton devoir de lui tendre la main. Sinon qui m'aurait respecté ?
J'en appelle à mes peuples. Ne vous laissez pas prendre dans le vent du conflit facile. Il nous emporte et nous donne l'impression d'être porter par une plus grande force, mais c'est au risque de s'écraser rapidement plus loin.
Si le Conseil Restreint souhaite se réunir, il le peut. Il en est de son droit, et de son devoir si il juge la situation "critique". Étant créé pour deux choses :
- - Nommer un Souverain (Si possible à l'Unanimité)
- - Juger le Souverain
Voici d'ailleurs sa composition officielle et légale :
- Grand Intendant Sire Luka
- Apotti Joris Martin.V
- Prêtre des Sept Les Vaahvas doivent désigner un représentant pour leur culte
- Intendante Dame Illina
- Intendante Dame Leoplodine
- Intendant Messire Cedrik
- Chevalier Les Chevaliers doivent désigner leur représentant
- Maisonnée Loysto Dame Lunargent
- Maisonnée Sydan Dame Estrella
- Maisonnée Skÿrn Sire le joueur
- Maisonnée Raev Chevalier Zehyrr
Je ne suis que peu disponible actuellement, car toujours dans les préparatifs d'un grand voyage diplomatique que je vais devoir faire qui devient nécessaire pour nos rapports à l'Ancien Monde. Je lis cependant toutes vos lettres et répond aux plus urgentes.
Esperiens,
Quoi qu'il va advenir, je serais fière des six derniers mois. Où l'économie est enfin résolue au gouvernement, où la garde et la pointe d'Or furent remisent sur pied, où l'éducation et la culture entreprirent les réformes nécessaires. Tout ces travaux qui actuellement me garantissent que j'ai fais le bon choix en défendant la Royauté.
Mais cette fierté je ne la dois qu'à vos bras, qu'à vos actions, qu'à votre force d’entreprendre et d'absoudre nos fautes de l'Ancien Monde, pour ensemble recommencer nos vies vers un futur qui aujourd'hui me semble bien plus clair qu'il y a quelques mois.
Je reste au service de ma Cité et de son peuple, comme j'en ai fais le serment.
Je respecterais toutes actions légales, et continuerais de condamner la violence par facilité.
Bill Moscaw, Souverain de la Cité d'Esperia
* Seigneur Durzann, La mort n'est pas source de perte de titre.Hors RolePlay :
Pour tout RP où je suis là : Je reviens le 21 quand j'ai fini mes exams de 2ème SessionJe réponds au maximum de MP que je peux mais je suis un peu pris IRL pour avoir déjà le temps d'y lire :x