Affiche :
Esperia,
Aujourd'hui sera sans doute l'éviction la plus calme et tempérée qu'il vous eut été donné de voir.
Je ne veux plus prendre part à vos jeux puériles pour l'obtention du pouvoir.
Je n'ai rien à prouver, et ne me battrai pas plus pour quelques ambitieux mal avisés. Je ne peux pas non plus continuer de faire office en sachant que certains complotent et soufflent des mots tortueux, réveillant en vous les pires sentiments au monde.
Vous êtes cause d'instabilité. Ne vous faites pas plus d'illusions, si Golvandaar refuse à présent toutes interactions avec Esperia, c'est de votre fait, pas du mien, ni du Gouvernement.
Assumez vos racontars, vous vous laissez porter au vent par des souffles malsains.
Le nouveau monde ne l'est que de nom. Laissez la gangrène ronger la cité, participez à sa crémation.
Je remets à vous, le peuple, les arcanes du pouvoir. Démerdez vous. Je ne joue plus. Laissez vous faire pantins si cela vous plait. Lig ocolide à côté est idyllique. Peuple soumis, jalousez les. Je ne mangerai plus à vos râteliers.
Je me retire de la politique, je ne serai pas plus longtemps victime de cette machination infernale. Repaîtrez vous tels des rapaces sur les onces d'influences à votre portée, ça n'est plus de mon fait.
Qu'il ne reste de moi que ma révérence, j'en ai rien à branler. Entrez dans l'histoire et laissez vous amadouer par des saltimbanques. Ne restera de vous que votre bonnet d'âne.
Aujourd'hui sera sans doute l'éviction la plus calme et tempérée qu'il vous eut été donné de voir.
Je ne veux plus prendre part à vos jeux puériles pour l'obtention du pouvoir.
Je n'ai rien à prouver, et ne me battrai pas plus pour quelques ambitieux mal avisés. Je ne peux pas non plus continuer de faire office en sachant que certains complotent et soufflent des mots tortueux, réveillant en vous les pires sentiments au monde.
Vous êtes cause d'instabilité. Ne vous faites pas plus d'illusions, si Golvandaar refuse à présent toutes interactions avec Esperia, c'est de votre fait, pas du mien, ni du Gouvernement.
Assumez vos racontars, vous vous laissez porter au vent par des souffles malsains.
Le nouveau monde ne l'est que de nom. Laissez la gangrène ronger la cité, participez à sa crémation.
Je remets à vous, le peuple, les arcanes du pouvoir. Démerdez vous. Je ne joue plus. Laissez vous faire pantins si cela vous plait. Lig ocolide à côté est idyllique. Peuple soumis, jalousez les. Je ne mangerai plus à vos râteliers.
Je me retire de la politique, je ne serai pas plus longtemps victime de cette machination infernale. Repaîtrez vous tels des rapaces sur les onces d'influences à votre portée, ça n'est plus de mon fait.
Qu'il ne reste de moi que ma révérence, j'en ai rien à branler. Entrez dans l'histoire et laissez vous amadouer par des saltimbanques. Ne restera de vous que votre bonnet d'âne.
A bon entendeur.
Illina
