Hors RolePlay :
Une écriture féminine semblant venir d'un ouvrage fin. Les boucles ont tendances à être allongée et fine. Il ne semble pas que ça soit l'écriture de Nandor pour peu qu'il sache lire et écrire.RolePlay :
Oyez, oyez peuple Esperien, noblesse et bourgeoisie, représentants de la Cour et sa Majesté,Je me fais écrire ces mots, car n'étant que de simple famille, je n'ai et ne pourrai jamais apprendre l'alchimie des mots. Par chance, cet endroit regorge d'érudits me permettant de m'exprimer.
Depuis que je suis arrivé ici, je vois cette ville, resplendissante, riche, sentant la bourgeoisie à plein nez et j'en passe des boniments... Mais devons-nous pour autant nous reposer sur nos lauriers, ne sommes-nous pas tous conscients que l'horreur est dehors ? N'avons-nous pas mis les oeufs dans le même panier trop longtemps si bien que l'odeur pourrait parvenir à l'âme inconsciente et tenté par l'appât du vol et du larcin ?
La ville est ce qu'elle est : un nid de richesses et une trahison sur ce que j'appelle l'oubli de son intégrité et de ses origines. Par ce fait, sachez en ma personne que, autant la noblesse ou la populace qui ne respecte pas son rang, la valeur de l'autre ou simplement sa place au sein de la société est très mal vu de ma personne, et ce genre d'attitude me donne à cracher sur votre visage honteux et décadent.
Laissant la richesse, les dorures, les bonnes coutumes et la pensée à la noblesse, vous, car je pense que vous êtes tous comme moi soit des paysans, soit des citadins, vivez du jour au lendemain, n'ayez pas besoin de penser mais agissez !
Vos mains sont votre labeur, vos habits sont modestes et sentent la sueur de vos actions, vos enfants pleurent mais sont heureux d'aider leur dessus, vous vivez pour manger et boire jusqu'à plus soif car c'est ainsi ce qui nous compose, nous, paysannerie, populace de la cité, nous sommes ce que nous avons toujours été et nous ne serons rien d'autre.
La misère et le labeur sont heureux de leurs conditions.
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Par ce fait, je souhaite parler, en tant que petit homme et modeste paysan. Je ne veux pas que cette ville refuse les traditions et se ferme à l'innovation, mais je ne veux pas non plus qu'elle se mettre autant en désarroi sur l'origine de chaque personne, sur l'activité de la ville qui est au point mort et sur le point le plus important : ce que chaque personne devrait être pour son rang.
Comme on dit, chaque personne dépose sa pierre à l'édifice et je souhaite m'exprimer et agir sur ce que mon rang me permet en tant que paysan, garde et maîtres d'armes.
Par ce biais, j'annonce que mon travail avec la grande et noble Dame Mysandra Von Greistal portera ces fruits, normalement prochainement, à l'image de la Capitale et des autres grandes cités du Continent, dans l'inauguration d'un marché et d'une foire permanente permettant ventes à l'étal, à même le sol, à l'animation de nos troubadours et artistes, à la criée publique ainsi qu'aux règlements de justice au coeur même de la place centrale, laissée vide et à l'abandon depuis trop longtemps. La place actuelle du marché sera donc surement supprimée pour la laisser à une place des évènements, des champs ou tout autre utilisation que notre gouvernement sera bon gré d'agir.
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J'annonce également que je vais faire une réunion à l'îlot du Combattant pour parler à tous combattants ou personnes souhaitant en apprendre plus sur les armes et l'équipement afin de faire une grande présentation d'armes, d'entretien et d'équipement.
Beaucoup d'entre vous portent un équipement n'étant pas de votre rang, qui n'est pas approprié à la situation. Je me vois déçu que la plupart d'entre vous ne tiendront pas encore quelques années avant de devoir qu'on les enterrent, faute de leur mauvais agissement.
Enfin par ces mots, je souhaiterai proposer un projet d'unité pour la garde afin que nous ne nous laissions pas aller avec une garde en armure de chevalier et pavanant avec des épées batardes couteuses, nobles.
Ce n'est surement pas votre faute, car le fer et les matériaux précieux n'ont jamais été aussi peu cher, faisant honte au Continent, et surtout envie. Qui d'entre-vous a envie de recevoir le pillage et la jalousie de nos voisins continentaux ? Qui craint pour ses proches et sa famille ? Vous voulez réagir ? La réponse se situe juste plus bas...
J'invite donc à tous les marchands de la cité et vendeurs d'ailleurs à quintupler le prix du fer et à nos forgerons à reconsidérer leurs prix sur ces matériaux précieux. Pour ma propre donne, j'ai pu acheter en un claquement de doigt, spalières et gorgerin à mon équipement. En les voyant je me suis senti honteux à les porter, c'est pourquoi je les ai jeté dans le canal d'Adobe et que je les repayerai un jour après des mois de labeur pour les mériter.
Car oui, le fer et l'or sont pour ceux désirant y mettre leurs gains dedans et la noblesse. Le fer sur le continent, c'est CHER, et il doit le rester.
Le reste doit se contenter de pierre et bois pour agir. J'ai rarement vu un paysan de la ville avec sa bêche en bois pour retourner la terre, ce qui me choque au plus haut point. Des couverts de taverne en argent et en fer ? Mais dans quel noble établissement sommes-nous tombés ? Des bougies contre des lanternes ? Je dis oui ! C'est en cela que la ville m'inquiète et me fait honte. L'heure où l'envahisseur ne laissera que poussière de cet endroit est proche, bien trop proche...
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A travers ces mots, j'ai surement du en terroriser plus d'un dans mes propos. Je pense que pour éviter l'impossible, il faut agir dans le possible. C'est surement pêchu de ma part, mais j'ai pu observer, et derrière mon visage de bouseux et d'abruti, penser un peu. Je me suis surpris à voir que la ville a des murailles, certes mais qui manquent à divers endroits, il suffirait d'un petit prolongement d'une muraille existante par ci, une grande porte avec des herses pour chaque entrée de quartier, et de quelques machines de sièges sur le port et notre cité n'aurait plus rien à craindre de l'envahisseur.
J'ai peut-être le savoir d'un ignorant mais j'ai l'expérience de l'homme qui a trop su penser ses plaies lui même à nombreuses reprises. Ma seule expérience est militaire et je le dis haut et fort, il ne faut pas grand chose pour que la ville puisse dormir, pas grand chose...
J'aimerai aussi évoquer ce sujet à travers la réunion à venir.
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Par ce fait, le maître d'armes Nandor Durion invite tout le monde à parler de ces deux sujets en l'ilot du Combattant, dans les tribunes, le dimanche 17 janvier 516 à 21h.
Il n'est point normal que notre ville se mettre autant en défaveur et position de faiblesse par rapport à l'extérieur.
J'ajoute également que si mes propos n'ont pas été approprié dans cette affiche de part la rudesse des mots, il n'en est rien à comparé de ce que vous pouvez penser en voyant votre reflet. Le tort n'appartient qu'à soit même.
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Entrainement des Fauxvelles
La famille De Fauxvelles dispose en son sein de nombreux légionnaires, qui ont appris le métier en servant la couronne.
Par ce fait, les maîtres d'armes Nandor Durion et Maximilien De Gaure proposent des entraînements à l'arme et à la formation afin que nos soldats soient prêt à recevoir le danger lorsqu'il arrivera. De même, toutes personnes de la populace, noblesse ou de la bourgeoisie sont invitées à venir à nos séances afin de se prévenir de l'avenir.
Ainsi, les entraînements auront lieu à la caserne aux dates suivantes:
- Mercredi 13 janvier à 21h-21h15
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Les cours sont administrés comme suit :
Gratuit pour le personnel de la garde ayant déjà des aptitudes à l'escrime ou au maniement d'une ou plusieurs armes. Les autres gardes se devront de payer la dite séance.
De 4 pièces d'or par séance d'apprentissage d'une arme, d'une formation ou d'un cours théorique. Les apprentis et élèves auront une vérification de leurs acquis théoriques et pratiques en cours de séance.
Un Dieu, un Roi.Une seule Reine
De Fauxvelles
De Fauxvelles
