La phalange devoile son visage

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une affiche simple
écriture est horrible, faite rapidement

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Peuple d'Esperia,

DURANT LA NUIT DU JEUDI AU VENDREDI 21 OCTOBRE, LA PHALANGE A DÉMONTRÉ SA VÉRITABLE AMBITION. PROFITANT DE LA MALADIE DE L'APOTHI, LE PRAE HANS A COMMENCE A SABOTER LE TRAVAIL EFFECTUE PAR LA FOI LORS DE SES DERNIERS MOIS. SOUCIEUSE DE SAUVEGARDER LE TRAVAIL EFFECTUER, L' APOTHI A ESSAYE DE S'INTERPOSER FACE A CETTE PRISE D'INITIATIVE ARBITRAIRE. LE PRAE A ALORS OBLIGE L'APOTHI A SE SOUMETTRE A SES ORDRES BRISANT AINSI L' HARMONIE ENTRE PHALANGISTES ET MONACHISTES.

NORMALEMENT, TOUTE DÉCISION SE DOIT D’ÊTRE PRISE LORS D'UN CONSEIL ENTRE RELIGIEUX DES DEUX FACTIONS RELIGIEUSES. LA PHALANGE A DECIDE DE BRISER L'ESPRIT DU CONCORDAT DE ROSKILDE EN TENTANT DE SOUMETTRE PAR LA FORCE ET D'IMPOSER UNE LIGNE DE CONDUITE A L'APOTHI SANS PRENDRE EN COMPTE SON AVIS. PIRE ENCORE, LE PRAE HANS A DECIDER DE REFUSER LE DROIT D'ENTRER A L'APOTHI, L'OBLIGEANT A DEMANDER ASILE AU CAMP NORDIQUE ALORS QU'ELLE EST SOUFFRANTE.

CE SOIR, POUR LA PREMIÈRE FOIS DEPUIS EINOG LE BARBARE, UN RELIGIEUX MONACHISTE EST MALMENÉ PAR DES PRAES PHALANGISTES.

UNE CONCERTATION EST DEMANDÉE AUX OFFICIERS PHALANGISTES POUR RÉTABLIR L'ORDRE ET EXPLIQUER POURQUOI UN PRAE AVEC DEUX JOURS ANCIENNETÉ SUR ESPERIA S'AUTORISE A DONNER DES ORDRES A UN APOTHI AINSI QU'A DÉFAIRE LIBREMENT DES ÉLÉMENTS DU LIEU DE CULTE

Apothi Fanny[/size]

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Ecriture masculine, appliquée dans l'ensemble.

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Peuple d'Esperia,

Mon honneur m'oblige à répondre à ce document mensongère, qui souille par sa présence mes efforts et mon devoir.

Suite à un désaccord sur un paragraphe du concordat de Roskilde, moi, le moine Hans Ackermann, me suis en effet opposé à la moniale Fanny. Le paragraphe en question stipule qu'une cité religieuse ne peut arborer les fanions des deux cultes en même temps et dans un même lieux.

C'est alors que la moniale s'est entêtée à rattacher tous les fanions à une heure aussi tardive, et ceci malgré le repos exclusivement recommandé par son soigneur.

A l'heure où j'écris ces mots, la moniale est à la taverne du flamboyant où elle a généreusement offert la maudite somme de vingt pièces d'or, venant du budget du monastère, au soldat Mazarine pour me combattre.

A ces mots, je vais me coucher, éreinté par la ténacité de la jeunesse.

Que le Créateur guide nos pas,
Moine Hans Ackermann.

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Il n'y a plus de place à la suite

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Règle des 48h?

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Tout est bon, aucun soucis.