[Document personnel] Journal de Slight

Les récits d'Esperia et de l'Ancien Monde. Venez partager vos histoires les plus épiques !

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Slight
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ven. 7 déc. 2012 21:24

Hors RolePlay :

Les premières pages sont visiblement arrachées, il a déjà servi, mais on ne sait pas pourquoi.
Le journal traine quelque part chez Slight, dans un tiroir fermé à clé.

RolePlay :

Ça faisait longtemps.
Si longtemps que j'avais presque oublié son existence. Leurs existences.
Pourquoi ? Comment ? Je ne sais pas, mais ils sont là, les bons, les mauvais..
Je n'arrive plus à les réguler, peut être est-ce de sa faute ? Ou plutôt devrais-je lui dire merci ?
Je ne sais pas.. Suis-je guidé ou tout simplement perdu ? Qu'est ce que je vais devenir, après tout ça ? Redevenir celui que j'étais, ou une.. âme vide ?
Je ne sais pas, je ne sais plus. Zerua est là, mais toujours trop loin, trop insaisissable, ou peut être est-ce encore moi, je ne sais pas, mais rien ne change.

En face.. Qu'un ramassis de brutes. Ils ne savent rien, et c'est ce qui me plait le plus. Le plaisir qu'ils me procurent ne peut être qu'uniquement du à leur défaite. J'ai appris des choses.. Peut être trop de choses, ils ne se connaissent même pas entre eux, ils ne soupçonnent rien. Ou tout simplement la peur ?

Lorsque.. Le moment sera venu.. Devrais-je moi aussi m'en aller ..? Je veux dire.. Partir pour toujours, ou simplement temporairement ? Quand plus personne ne sera là.. Je n'aurais peut être plus la force de me battre, ou bien je ne serais peut être plus moi même.

Qu'ils lui fassent du mal, et personne ne pourra plus rien, personne.
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Slight
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sam. 8 déc. 2012 16:48

RolePlay :

J'ai mal à la tête.. Je crois que glisser de l’échelle chaque matin n'arrange rien, d'ailleurs je me demande comment je fais.. C'est pas comme si.. Enfin, je les plains surtout, en dessous.

On a essayé d'oublié nos soucis hier, en vain, ils restent là, à me ronger, à nous ronger. Encore combien de temps devrais-je m'en soucier ? Quelques jours ? Plusieurs semaines ? Je n'ai pas le choix, de toutes façons, je n'ai pas le contrôle là dessus. J'offrirais peut être quelque chose, pour qu'à l'inverse ils n'oublient pas, qu'ils ne m'oublient pas.

Je me demande ce qui va être dit, ce soir. L’écriture me rappelle vaguement quelque chose, mais je n'ai aucune idée d'où elle peut venir. Après tout, je m'en fiche, j'irai au Sénat ce soir, écouter ce qui va se dire. A moins que.. Oui, nous verrons bien.

C'est étrange, ces temps ci, beaucoup de monde veut apprendre à mes cotés, je crois que j'ai gagné plus d'argent en quelques heures ces derniers temps qu'en plusieurs mois avant le début des conflits. Ça me fait travailler, ça m'amuse, me divertit, ça m’empêche d'y penser.

Pour finir.. Tout commence à se mettre en place, petit à petit, les bases sont posées, il ne me reste plus que.. Qu'à trouver ce qu'il me manque. Je sais où tout avoir, il ne me reste plus qu'à tout ordonner, et ça sera bon. M'enfuir après ? Ou bien continuer, l'air de rien ? Peut être pourrons ils m'aider, ou plutôt lui, il est fiable.
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Slight
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dim. 9 déc. 2012 17:53

RolePlay :

La douleur est là, plus tôt que prévu.. Je ne m'attendais pas à ce qu'elle arrive aussi vite.. Pourquoi.. Pourquoi fait elle ça.. Je ne le permettrais pas, personne n'a le droit, je tuerai quiconque y touchera, que j'en meurs si il le faut, je lui ai promis.

A part ça.. C'était.. Sympathique, hier.. Elle m'a amusé, on a bien ri.. Ça faisait longtemps, que je ne m'étais pas amusé ainsi.. Je recommencerai, quelques soirs surement. Ça a surpris les gens, en même temps, pour une fois, je me donnais en spectacle sans une arme à la main.

Je sens qu'une rupture approche dans la ville, non, pas que dans la ville.. il y en aura plusieurs.. Si elle fait ce qu'elle m'a dit, on ne se verra plus, et nos derniers mots.. Je les regrette, mais c'est son choix, c'est elle qui est partie, pas moi.. Ils m'en voudrons tous pour la plupart, mais peu importe, ça ne me concernera désormais plus.
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Slight
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dim. 9 déc. 2012 21:49

RolePlay :

Regardez-les passer, ces couples éphémères..
Dans les bras l'un de l'autre enlacés un moment,
Tous, avant de mêler à jamais leurs poussières,
Font le même serment.

Toujours ! Un mot hardi que les cieux qui vieillissent
Avec étonnement entendent prononcer,
Et qu'osent répéter des lèvres qui pâlissent
Et qui vont se glacer.

Vous qui vivez si peu, pourquoi cette promesse
Qu'un élan d'espérance arrache à votre coeur,
Vain défi qu'au néant vous jetez, dans l'ivresse
D'un instant de bonheur ?

Amants, autour de vous une voix inflexible
Crie à tout ce qui naît : "Aime et meurs ici-bas ! "
La mort est implacable et le ciel insensible ;
Vous n'échapperez pas.

Eh bien ! puisqu'il le faut, sans trouble et sans murmure,
Forts de ce même amour dont vous vous enivrez
Et perdus dans le sein de l'immense Nature,
Aimez donc, et mourez !

Non, non, tout n'est pas dit, vers la beauté fragile
Quand un charme invincible emporte le désir,
Sous le feu d'un baiser quand notre pauvre argile
A frémi de plaisir.

Notre serment sacré part d'une âme immortelle ;
C'est elle qui s'émeut quand frissonne le corps ;
Nous entendons sa voix et le bruit de son aile
Jusque dans nos transports.

Nous le répétons donc, ce mot qui fait d'envie
Pâlir au firmament les astres radieux,
Ce mot qui joint les coeurs et devient, dès la vie,
Leur lien pour les cieux.

Dans le ravissement d'une éternelle étreinte
Ils passent entraînés, ces couples amoureux,
Et ne s'arrêtent pas pour jeter avec crainte
Un regard autour d'eux.

Ils demeurent sereins quand tout s'écroule et tombe ;
Leur espoir est leur joie et leur appui divin ;
Ils ne trébuchent point lorsque contre une tombe
Leur pied heurte en chemin.

Toi-même, quand tes bois abritent leur délire,
Quand tu couvres de fleurs et d'ombre leurs sentiers,
Nature, toi leur mère, aurais-tu ce sourire
S'ils mouraient tout entiers ?

Sous le voile léger de la beauté mortelle
Trouver l'âme qu'on cherche et qui pour nous éclôt,
Le temps de l'entrevoir, de s'écrier : " C'est Elle ! "
Et la perdre aussitôt,

Et la perdre à jamais ! Cette seule pensée
Change en spectre à nos yeux l'image de l'amour.
Quoi ! ces voeux infinis, cette ardeur insensée
Pour un être d'un jour !

Et toi, serais-tu donc à ce point sans entrailles,
Grand Arbitrio qui dois d'en haut tout entendre et tout voir,
Que tant d'adieux navrants et tant de funérailles
Ne puissent t'émouvoir,

Qu'à cette tombe obscure où tu nous fais descendre
Tu dises : " Garde-les, leurs cris sont superflus.
Amèrement en vain l'on pleure sur leur cendre ;
Tu ne les rendras plus ! "

Mais non ! Arbitrio qu'on dit bon, tu permets qu'on espère ;
Unir pour séparer, ce n'est point ton dessein.
Tout ce qui s'est aimé, fût-ce un jour, sur la terre,
Va s'aimer dans ton sein.

Eternité de l'homme, illusion ! chimère !
Mensonge de l'amour et de l'orgueil humain !
Il n'a point eu d'hier, ce fantôme éphémère,
Il lui faut un demain !

Pour cet éclair de vie et pour cette étincelle
Qui brûle une minute en vos coeurs étonnés,
Vous oubliez soudain la fange maternelle
Et vos destins bornés.

Vous échapperiez donc, ô rêveurs téméraires
Seuls au Pouvoir fatal qui détruit en créant ?
Quittez un tel espoir ; tous les limons sont frères
En face du néant.

Vous dites à la Nuit qui passe dans ses voiles :
" J'aime, et j'espère voir expirer tes flambeaux. "
La Nuit ne répond rien, mais demain ses étoiles
Luiront sur vos tombeaux.

Vous croyez que l'amour dont l'âpre feu vous presse
A réservé pour vous sa flamme et ses rayons ;
La fleur que vous brisez soupire avec ivresse :
"Nous aussi nous aimons !"

Heureux, vous aspirez la grande âme invisible
Qui remplit tout, les bois, les champs de ses ardeurs ;
La Nature sourit, mais elle est insensible :
Que lui font vos bonheurs ?

Elle n'a qu'un désir, la marâtre immortelle,
C'est d'enfanter toujours, sans fin, sans trêve, encor.
Mère avide, elle a pris l'éternité pour elle,
Et vous laisse la mort.

Toute sa prévoyance est pour ce qui va naître ;
Le reste est confondu dans un suprême oubli.
Vous, vous avez aimé, vous pouvez disparaître :
Son voeu s'est accompli.

Quand un souffle d'amour traverse vos poitrines,
Sur des flots de bonheur vous tenant suspendus,
Aux pieds de la Beauté lorsque des mains divines
Vous jettent éperdus ;

Quand, pressant sur ce coeur qui va bientôt s'éteindre
Un autre objet souffrant, forme vaine ici-bas,
Il vous semble, mortels, que vous allez étreindre
L'Infini dans vos bras ;

Ces délires sacrés, ces désirs sans mesure
Déchaînés dans vos flancs comme d'ardents essaims,
Ces transports, c'est déjà l'Humanité future
Qui s'agite en vos seins.

Elle se dissoudra, cette argile légère
Qu'ont émue un instant la joie et la douleur ;
Les vents vont disperser cette noble poussière
Qui fut jadis un coeur.

Mais d'autres coeurs naîtront qui renoueront la trame
De vos espoirs brisés, de vos amours éteints,
Perpétuant vos pleurs, vos rêves, votre flamme,
Dans les âges lointains.

Tous les êtres, formant une chaîne éternelle,
Se passent, en courant, le flambeau de l'amour.
Chacun rapidement prend la torche immortelle
Et la rend à son tour.

Aveuglés par l'éclat de sa lumière errante,
Vous jurez, dans la nuit où le sort vous plongea,
De la tenir toujours : à votre main mourante
Elle échappe déjà.

Du moins vous aurez vu luire un éclair sublime ;
Il aura sillonné votre vie un moment ;
En tombant vous pourrez emporter dans l'abîme
Votre éblouissement.

Et quand il régnerait au fond du ciel paisible
Un être sans pitié qui contemplât souffrir,
Si son oeil éternel considère, impassible,
Le naître et le mourir,

Sur le bord de la tombe, et sous ce regard même,
Qu'un mouvement d'amour soit encor votre adieu !
Oui, faites voir combien l'homme est grand lorsqu'il aime.
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Slight
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lun. 10 déc. 2012 20:45

RolePlay :

Hmm.. Première rupture, c'est fait.. Je devais le faire, pour moi, et pour eux. Ça en réjouira surement plus d'un, il n'y a aucune cohésion, aucune réel famille comme j'ai pu trouver chez eux..
Ainsi va la vie, on ne peut pas toujours avoir que des amis, ou de réels personnes sur qui on peut compter. Cependant, ça "m'attriste" pour certaines personne mais tant pis, c'est trop tard, je dois avancer. Je pense avoir pris la bonne décision, briser les faux liens et renforcer ceux qui me tiennent à coeur. J'attend de voir si ceux que j'ai brisé le regrette ou non, si c'est le cas ils reviendront, et je pourrais créer un vrai lien, et enfin m'ouvrir, dans le cas contraire, je m'en fiche, à vrai dire.

Je ne sais pas trop par ou recommencer, c'est étrange et plaisant de se dire qu'on peut faire ce que l'on souhaite. Me rapprocher d'elle surement, j'ai bien aimé l'autre soir, j'ai envie de recommencer. Je vais travailler aussi, me faire oublier, un peu, je me remontrerai quand il en aura besoin, je le servirai du mieux que je peux, je le défendrais. Elle aussi.

J'ai toutes les pièces de mon puzzle, plus qu'à les assembler une à une.
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Slight
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mar. 11 déc. 2012 14:18

RolePlay :

Il n'y a rien là haut, encore moins là bas..
Le bien ainsi que le mal sont en chacun de nous,
Mais je n'en suis que l'erreur.

Il y a un monde en moi,
Perdu dans l'abîme, noyé dans la profondeur,
Personne ne m'en a sauvé,
Du naufrage, il n'en reste qu'un fantôme,
Simplement un cimetière, seulement un souvenir,
Et je n'en suis que l'erreur.

Le mal existe, croyez-moi, je l'ai vu.
Le bien est là, mais gardons le secret.
Nul n'a besoin de le savoir,

Il y a un monde en moi.
Perdu dans l'abîme, noyé dans la profondeur,
Personne n'a pu m'en sortir,
Sauve-moi, garde ton souffle,
La tempête fait rage, mais tu es venue,
Tu m'as permis de vivre, seulement quelques instants..

Le mal existe, croyez-moi, je l'ai vécu.
Le bien est là, mais gardons le secret.
Nul n'a besoin de le savoir

Marchons au travers de la nuit, je n'en sors que plus vivant,
Arbitrio, je ne t'entendrais plus,
Tu as dis pouvoir me sauver..
Désormais n’espère plus jamais me trouver.
Je crains n'être allé trop loin.

Le mal existe, croyez-moi, je l'ai subit.
Le bien est là, mais gardons le secret.
Nul n'a besoin de savoir.

Il y a un monde en moi..
Et toi seule à trouver comment y accéder..

Hors RolePlay :

Pour ceux qui voulaient un truc de moi, me suis inspiré d'une chanson, mais aussi beaucoup de comment fonctionne Slight :p
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Slight
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ven. 14 déc. 2012 00:11

Hors RolePlay :

Pour ceux qui veulent déprimer avec moi :
http://www.youtube.com/watch?v=YtA17SBQ2z4

RolePlay :

Rouge.. C'était la couleur de l'herbe, de l'eau, et du ciel. Après Sven, qui ne méritait pas ça, pas après ce qu'il a fait pour mon ancienne famille.. Je pense que.. Il avait surement compris, ce qui se passait.. Il éveillait en moi quelque chose.. Était ce de la méfiance ? De la prudence ? Je ne saurais pas trop quoi dire.. Il va me manquer, mal grès tout..
Puis Rholin.. Il était bon, et savait gérer le quartier comme personne auparavant.. Je ne sais pas ce que va devenir Adobe sans lui..
Et Galaad, le compère.. Je regrette de ne pas lui avoir enseigné la patience plutôt que de se battre.. Il serait peut être toujours là, a rire comme un compère.. Il était bon, au fond de lui.

L'eau était rouge, rouge comme le sang d'Hélénos et de Mors que j'ai réussi à sauver avant qu'il ne soit trop tard, au moins.. Je regrette de ne pas avoir compris plus tot, je regrette ce qui c'est passé.. Mais il va falloir se tourner vers l'avenir.. Ah.. Mais quel avenir.. Ils vont s'en aller, je n'aurais plus personne, plus personne.. Ils vont me manquer, tous les deux, plus que tout.. Je vivais grâce à eux, je respirais.. Mais maintenant.. Les jours restant diminuent.. Trop vite.. Je ne pourrais les oublier.. Je ne dois pas, je ne me le permettrai pas, jamais.. Ils resterons là pour toujours.. Toujours..

Que me reste t'il désormais ?..
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Slight
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lun. 17 déc. 2012 21:35

RolePlay :

La fin approche, celle des Zeruas est passée, celle des dernières personnes en qui je tien réellement approche, et par conséquence, la mienne aussi.. Enfin, la mienne.. Ça va recommencer, encore et encore.. Sans cesse, jusqu'à ce que quelqu'un "m’intéresse". Ça prendra le temps qu'il faudra.. Une semaine, un mois, peut être jamais, mais je m'y suis finalement habitué, elle ne veut pas, mais je n'ai pas vraiment le choix, ainsi suis-je fais.

J'ai trouvé une lettre sous ma porte, il faudrait que je recontacte celui qui me l'a déposée, mais.. Si il faut que je le fasse, c'est comme ça que je l'ai rencontré, avec une simple lettre, et il s’avérait qu'on était lié, depuis le début, même avant ça.

Je devrais me trouver un esclave, peut être qu'avec lui ça marchera comme eux deux, il va juste me falloir un peu de sous.. Un peu ouai.. je pense que j'ai pas mal de moyens d'en trouver, au pire, je ferai comme à mon arrivée. Il faut que je passe voir le premier consul, pour mon salaire, et je démissionnerai après ça, ma mission est terminé, à la Pointe d'Or.
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mar. 25 déc. 2012 02:49

RolePlay :

Et bien, ça faisait longtemps, et j'ai tellement de chose à écrire.. Je le ferai sous peu, je note juste quelques mots pour m'en souvenir, et ce qui c'est passé aujourd'hui..
Il faudrait déjà que je raconte notre dernier affrontement, je souhaite à tout prix garder une trace de celui ci..
Je me suis occupé de toutes la maison.. Refaite à neuf.. Mais on s'en fout un peu..
Je les ai rejoins, je l'ai fais, j'espère que ce fût une bonne chose d'accepter..

Et pour aujourd'hui..

Il était tard dans la soirée.. J'étais seul, malgré les derniers evénement, j'avais besoin de quelqu'un qui me comprenne, qui ne réfléchisse pas lorsque que je lui demande quelque chose, qu'il ressente ce que je ressente, qu'il vive ce que je vie. J'avais entendu parler de cette jeune éleveuse de chien.. Je me suis dis pourquoi pas aller voir, sait on jamais. Je l'ai rencontré, nous avons discuté, elle m'a parlé d'un chien, qu'elle avait trouvé. Elle n'en n'avait jamais vu un comme celui ci, il était grand.. Aussi grand qu'un enfant. Il était musclé, plus qu'un loup. Il était jeune.. Mais aussi agressif, méchant, effrayant.
Je me suis rendu compte une fois sur les lieux, les autres chiens à ses cotés se serraient dans un coin, il les dominaient de part sa taille, mais aussi par sa stature et son comportement. Il était d'un blanc pure, excepté les quelques taches de sang qui salissait son pelage. Impossible de savoir si le sang venait de lui, l'approcher n'était pas aussi aisé. Je me suis demandé comment avait elle réussi à le capturer, elle devait être maligne, plus qu'elle n'en à l'air. Je me suis lentement approché de son enclos, et elle n'avait pas mentit, une sorte d'aura de puissance émanait de celui ci, ses pattes semblaient pouvoir briser n'importe quoi, ses griffes elles semblant aussi tranchantes que ses crocs. Il me fixa, montrant les crocs dans un grondement sourd. Ses yeux.. Son regard aurait pu faire détaler n'importe qui, mais je m'en suis rapproché, je n'en avais pas peur. Il se rapprocha, lui aussi de moi, toujours méfiant, posant lentement une patte devant l'autre, faisant rouler ses muscles sous le pelage. Je m’arrêta aux barrières, il continua d'avancer jusqu'à être à ma portée.. J'avança ma main vers lui, calme, ne laissant transparaître aucune peur, aucune faiblesse. Son regard croisa le mien, et je compris à ce moment là, que c'était lui que je voulais, que c'était lui qui me comprendrait, et personne d'autre. Il semblait avoir compris lui aussi, et se calma, doucement, approchant son museau humide d'un de mes doigts. L'éleveuse se rapprocha pour me parler, et il tourna vivement la tête vers elle, reprenant un air menaçant, les crocs presque sortis. Ma main effleura son crâne doux, et il se calma, à nouveau.
Je me suis tourné vers elle, lui faisant signe que c'était lui que je souhaitais.
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mar. 8 janv. 2013 16:44

RolePlay :

Je suis mort. Physiquement, peut être, je n'en sais trop rien, je n'ai pas envie de savoir ce qu'ils veulent me faire, là bas. Franchement.. Les cons, faire ça impulsivement.. En même temps, c'était trop beau pour être vrai. Je sais pas si je vais le voir afin qui tienne sa promesse, au moins, tout ça sera finit.


Mentalement, je me sens trahis. Elle se fait passer pour le contraire de ce qu'elle est, elle me dégoûte, elle me donne envie de vomir. En faite, je la mettais en garde contre lui, mais c'est juste ce qu'elle cherchait à faire. Comment pourrais-je la qualifier ? Chienne ? Catin ? Traîtresse ? Elle a abusé de ma gentillesse, c'était la dernière fois, cette gentillesse n'existera plus, plus jamais je n'accorderai ma confiance à une femme, plus jamais elles n'aurons de traitement de faveur, que ma famille le veuille ou non. Il faut que j'écrive à mon frère.. Et à elle.. C'est de sa faute, je n'aurais jamais du l'écouter.. Je voulais réessayer.. et voilà ce que ça donne.

Plus jamais.
Jamais.
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