Utilisateur:Elias Valerios : Différence entre versions
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{{Ecrit}}Une haute silhouette, <span style="color:#da8a00;">souvent voûtée</span> dans une posture négligée, dessine les contours d’un corps <span style="color:#da8a00;">souple et fin</span>. De lourdes <span style="color:#da8a00;">boucles noires</span> tombent sur ses épaules, encadrant un visage tranquille, un peu <span style="color:#da8a00;">rêveur</span>, presque détaché, aux traits <span style="color:#da8a00;">doux</span>. Ses bras ballants laissent traîner leurs grandes mains aux <span style="color:#da8a00;">doigts longs</span> sur tout ce qui l’entoure, comme deux animaux qui, indépendamment de la volonté de leur maître, s’en iraient curieusement à l’aventure. Pour les garder sages, l’homme les fourre dans ses poches ou les immobilise en croisant les bras. Entre les <span style="color:#da8a00;">mèches d’encre</span> qui dégoulinent sur les côtés de son visage et sur son front, deux yeux d’un bleu profond lancent des regards vivaces sur ses environs. Son visage porte <span style="color:#da8a00;">deux cicatrices</span>, l’une sur l’arcade et la pommette gauches, l’autre balafrant ses joues et son nez de part en part, comme un trait de crayon que quelque dessinateur oublieux aurait laissé sur le griffonnage de son corps.{{\Ecrit}} | {{Ecrit}}Une haute silhouette, <span style="color:#da8a00;">souvent voûtée</span> dans une posture négligée, dessine les contours d’un corps <span style="color:#da8a00;">souple et fin</span>. De lourdes <span style="color:#da8a00;">boucles noires</span> tombent sur ses épaules, encadrant un visage tranquille, un peu <span style="color:#da8a00;">rêveur</span>, presque détaché, aux traits <span style="color:#da8a00;">doux</span>. Ses bras ballants laissent traîner leurs grandes mains aux <span style="color:#da8a00;">doigts longs</span> sur tout ce qui l’entoure, comme deux animaux qui, indépendamment de la volonté de leur maître, s’en iraient curieusement à l’aventure. Pour les garder sages, l’homme les fourre dans ses poches ou les immobilise en croisant les bras. Entre les <span style="color:#da8a00;">mèches d’encre</span> qui dégoulinent sur les côtés de son visage et sur son front, deux yeux d’un bleu profond lancent des regards vivaces sur ses environs. Son visage porte <span style="color:#da8a00;">deux cicatrices</span>, l’une sur l’arcade et la pommette gauches, l’autre balafrant ses joues et son nez de part en part, comme un trait de crayon que quelque dessinateur oublieux aurait laissé sur le griffonnage de son corps.{{\Ecrit}} | ||
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+ | <center>Mains nues<br><span style="color:#da8a00;font-size:10px;">Amateur</span> | ||
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Version du 10 octobre 2023 à 10:49
Une haute silhouette, souvent voûtée dans une posture négligée, dessine les contours d’un corps souple et fin. De lourdes boucles noires tombent sur ses épaules, encadrant un visage tranquille, un peu rêveur, presque détaché, aux traits doux. Ses bras ballants laissent traîner leurs grandes mains aux doigts longs sur tout ce qui l’entoure, comme deux animaux qui, indépendamment de la volonté de leur maître, s’en iraient curieusement à l’aventure. Pour les garder sages, l’homme les fourre dans ses poches ou les immobilise en croisant les bras. Entre les mèches d’encre qui dégoulinent sur les côtés de son visage et sur son front, deux yeux d’un bleu profond lancent des regards vivaces sur ses environs. Son visage porte deux cicatrices, l’une sur l’arcade et la pommette gauches, l’autre balafrant ses joues et son nez de part en part, comme un trait de crayon que quelque dessinateur oublieux aurait laissé sur le griffonnage de son corps.
Ambroise Fauve, médicastre de la Sublime Capitale, plus aventureux qu'il ne le savait lui-même.
Alamgir Orchilo, artisan iconodoule de l'exotique Marata, qui a trouvé sur Esperia tout ce qu'il ne cherchait pas.
Velkan Haukka, moine monachiste de Golvandaar, reparti arpenter le vaste monde sous le regard de son œil unique.