Utilisateur:Yāshar : Différence entre versions

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Il songea un moment, puis essaya de regarda Azad dans les yeux même s'il était tapis dans l'ombre et acquiesça avec un sourire narquois au lèvre et il savait qu'Azad aimait ce tempérament.  
 
Il songea un moment, puis essaya de regarda Azad dans les yeux même s'il était tapis dans l'ombre et acquiesça avec un sourire narquois au lèvre et il savait qu'Azad aimait ce tempérament.  
 
Azad écrivit une lettre adressée à Shahab pour chacun d'entre nous et en la contemplant il vit écrit en gros en bas avant la signature «Ne t'en fais pas, Yāshar ne tue pas ses ennemis, mais il les plume jusqu'à la dernière pièce».
 
Azad écrivit une lettre adressée à Shahab pour chacun d'entre nous et en la contemplant il vit écrit en gros en bas avant la signature «Ne t'en fais pas, Yāshar ne tue pas ses ennemis, mais il les plume jusqu'à la dernière pièce».
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Version du 24 juin 2013 à 13:25

RolePlay :




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Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang


Famille


Quartier




Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Slashyr
Pseudo
Slashyr
Prénom IRL
Stéphan
Âge IRL
17 ans












Description Physique

Yāshar est un jeune homme, il est barbu aux cheveux longs et noirs, il a un léger bouc bien taillé. Il est plutôt grand et a une peau mate. Ce n'est pas quelqu'un de très séduisant au premier regard mais il a un charme particulier c'est son naturel. Il porte une chemise d'un marron sombre légèrement ocre qui descend jusqu'à ses mains, il porte un foulard gris qu'il entre dans sa chemise entrouverte, par dessus il a un manteau de cuire d'un marron grisâtre plutôt fin mais résistant aux intempéries allant de la pluie à la grêle. Il porte des botte en cuire qui sont confortable pour pouvoir marcher longtemps sans avoir de douleurs, elle ne lui tienne pas plus chaud que ça mais en hiver il les recouvre de paille et de laine pour isoler ses pieds du froid. Il possède un léger pantalon fait en cuir lui aussi. Il possède une sorte de sangle en cuir de cerf qu'il enfile autour du buste, par dessus l'épaule gauche, sur cette sans y est attaché le fourreau et le cimeterre de son père, objet symbolique auquel il tient plus que tout. Il est gaucher et possède un paquet de cartes que lui a remis l'illusionniste dans sa poche gauche, il est toujours en très bon état et il possède quelques jetons dans l'autre poche en cas de besoin ainsi que sa pipe. Il a toujours un peu d'argent sur lui en cas de nécessité urgente. Sous ses vêtement se trouve un corps svelte, souple et bien taillé. Des pectoraux aux formes convenable, et des abdominaux très bien dessinés. Hormis cela il n'a pas de gros bras ou bien de grosses jambes, même si ses mollets sont bien entrainés suite aux nombreuses marches ainsi qu'à se tenir debout chaque nuit. La partie la plus musclé de son corps reste ses doigts, il a un poignée de main assez dévastatrice, bien qu'il ne le fasse pas exprès. Il possède une montre gousset à cadran solaire que lui a donné son grand père, un poète très apprécié au sein de La Plume, elle est en or sur laquelle est gravée une plume au dos avec écrit en qadjari, s'il on traduit il est inscrit «Dans la sagesse réside le Souffle éternel, d'un être comblé par l'amour paternel». S'il ont se penche sur son visage on distingue des sourcils fins agréables à contempler, il a des yeux marron, une bouche fine parfaitement dessiné, des dents nacrées avec une légère teinte de la couleur de l'ambre. Ses cheveux sont parfaitement coiffé, il prend un minimum soin de son corps, il faut qu'il soit présentable et qu'il attire les belles femmes riches s'il veut se faire un peu d'argent, il a un visage aux très quelques peu enfantins mais il reste viril et marqué par l'effort. Il est considéré comme un jeune homme charmant, galant et élégant au près de la gente féminine qadjaride et autre.

Description Mentale

āshar est quelqu'un de très méfiant à l'égard des autres peuples, c'est un homme de parole et fidèle même s'il reste très mystérieux s'il on ne le fréquente pas, ce quelqu'un qui va vers les gens et il paraît toujours heureux, il sait caché toutes ses émotions sauf l'amour et la joie. Il a un côté sage en lui, il aime se reposer dans les plaines au côté d'un arbre pour méditer avec lui même, prier pour la salue du Souffle d'un ami. Il a plusieurs devises qu'il tient à la lettre que lui a inculqué son père qui sont les suivantes : «La parole est d'argent mais le silence est d'or» «Dans la joie réside le Souffle d'un être qui se donne pour les personnes qu'il aime» «L'Erthä n'est qu'une partie de la vie du Souffle, il faut en profité et ne jamais se laisser abattre» «Dans la méditation et le silence réside la sagesse, et dans la sagesse siège ton Souffle» Yāshar est un croyant très impliqué dans la religion, il n'est pas extrémiste mais il prône l'égalité entre les qadjarides et les autres peuples, il déteste cette injustice car pour lui, il n'a jamais trouvé de différence entre lui et un homme d'un autre peuple, si ce n'est l'idéologie et les traditions. Il médite beaucoup pour palper son Souffle au fin fond de son être, et pour lui l'avis que porte le Passeur sur son Souffle est très important. Il est d'un caractère très aimable avec tout ceux qui le respect pour ce qu'il est ainsi que les qadjarides, il reste toutefois méfiant à l'égard de tout les autre peuples. Il fait preuve de générosité envers son peuple et tout ceux dans le besoin qu'ils soient qadjarides ou non, pour lui personne ne doit vivre dans la misère la plus effroyable, aucun Souffle, aucune âme, aucun être pour lui ne mérite cela, peut importe ses actes. Sur ce point de vue, Yāshar est catégorique. Il est quelque peu lunatique par moment, il peut passé de la joie à la colère en une fraction de seconde, mais il a appris à se contrôler et il l'est de moins en moins. Une de ses plus grande particularité c'est son intelligence, il est très manipulateur ce qui est un avantage considérable dans son métier mais il manipule surtout ceux qui le méprisent et qui le traite comme un moins que rien. Il est du genre à aider son prochain, si il voit quelqu'un se faire tabasser il va ouvrir un stand à l'improviste juste à côté, placer l'homme en danger derrière lui et en amenant plus de monde il peut éviter un carnage, dans les cas extrêmes même s'il ne sait pas se battre il sait tout de même tenir le cimeterre de son père à la manière d'un combattant comme lui avait apprit son père, même s'il ne sait pas se battre c'est une technique de dissuasion, et comme son père lui avait dit «Yāshar, tu sais, pour trancher la gorge de quelqu'un par surprise tu n'as pas besoin de savoir te battre mais t'être intelligent et de bien tenir ton arme.» Il n'a jamais combattu de toute sa vie, mais il manipule l'esprit des autres et la dissuasion à toujours marché (même si cela était grâce aux poudres au vertus hallucinogènes que produisait l'apothicaire de la cilts). C'est un jeune homme très galant et gentil envers la gente féminine, même s'il ne fricote pas avec les femmes des autres peuples il aime séduire de temps en temps pour se divertir. Il faut aussi savoir que c'est quelqu'un de facile à vivre, il se contente de très peu tant que les personnes à qui il tient se porte à merveille.

Compétences

Grille Tableau.pngCréativité :Yāshar fait preuve d'une imagination débordante, il l'a souvent mise à l'épreuve lorsque La Plume avait besoin d'argent pour se nourrir, il devait trouvé un moyen d'attirer un maximum de personne, il alla improviser dans les ruelles des tours d'illusionnisme avec ses cartes. Il n'a pas de spécialité culinaire mais il sait conseillé sur le dressage d'un plat.

Grille Livre et Plume.pngAlphabétisation et Calculs :Il est lettré comme tout les membres de La Plume, il est poète à ses heures perdues, se fondant dans la masse il a réussi à apprivoiser son accent et à le mettre de côté dans les situations délicates. Or, lorsqu'il parle en Qadjari il a un accent vraiment prononcé. Il aime la lecture, la poésie car pour lui les arts savants sont les plus délectable et berce son Souffle. Il sait très bien effectuer des calculs, complexes ou simple, peut l'importe. Apprendre à calculer était primordial dans le cas où il ne devait pas se faire arnaquer ou bien avoir mal compté le gain d'une personne honnête et agréable envers lui.

Grille Boussole.pngMinutie :Yāshar a un perception accrue et il le montre. Pour certains c'est un don, mais pour lui c'est des années de travail difficile et d'entrainement intensif, il a apprit à percevoir les moindres mouvement sur le visage d'un joueur ou bien sur ses bras. Il sait donc quand quelqu'un triche, bluff ou bien à un jeu plutôt désastreux (ou bien l'inverse). Il sait très bien distribuer les cartes de façon précise. Il est très minutieux dans le domaine de l'illusionnisme des cartes, tel que jongler avec un paquet de carte, ou bien faire un spring et bien d'autre techniques de manipulation visuelle.

Grille Vieille Botte.pngAgilité :Il est devenu agile grâce à l'illusionniste qui l'a formé, pour faire un flick² il faut être souple , et agile. Il a donc acquit une dextérité sans pareil, rare sont ceux qui peuvent distribuer un jeu de cartes aussi vite et le mélanger avec un classe qui fait de lui un homme charismatique. Il a aussi appris à courir lorsqu'il faisait du vol à l'étalage petit avec ses amis sur les marchands les plus cupides.

Comp Endurance.pngEndurance :Au fil des nuits de travail, il a su rendre son corps plus endurant et résistant, les qadjarides étant nomades cela arrive qu'il ait du marcher pendant plusieurs jours sans s'arrêter.

Grille Carte.pngDessin : Amateur d'art il a apprit à dessiné auprès d'un peintre de La Plume, désormais il l'utilise essentiellement pour dessiner des plans de tables. Il a un certain goût pour l'art visuel et un peintre ne peut pas le duper, déjà qu'il observe les mouvements de tension chez un individu, toute personne aura du mal à l'arnaquer.

Atouts et Qualités

Défauts

Yāshar et L'Art, toute une histoire

Relations

Shahab de Cirkla: Il l'a connu un temps, durant une année ils se sont fréquentés mais il n'a pas eu de nouvelles de lui. Il espère renouer les liens avec lui en allant à Esperia.


Hafez: Il le fréquenta la même année, en l'an 494 du calendrier capitolin. Ils s'entendaient plutôt bien, il se demande ce qu'il est devenu.


Zhaleh:Soeur deShahab de Cirkla et cousine de Hafez ils étaient tous fourrés ensemble, à l'époque il trouvait cette jeune fille plus âgé que lui mignonne. Il l'a un peu oublié depuis le temps. 

Son Histoire

Yāshar est un Qadjaride comme un autre, il vivait avec sa cilts du nom de La Plume dans le petit village d'Husson en Medeva. On les nomma de cette façon car les fondateurs étaient des poètes et écrivains Qadjaride . Ce village était un point stratégique car ils étaient protégés des habitants les plus superstitieux et resté dans un anonymat serein. On pouvait voir à travers les lisières et les arbre vert ainsi que la mousse proliférant sur le vieux temple quelques roulotes, simples mais qui abritaient des personnes reniées de la société actuelle, de l'empire capitolin. Cet endroit était agréable car il est à mi chemin entre la sècheresse et l'humidité ce qui offrait un climat des plus délectable qu'il soit pour chaque membre de leur cilts. Ils y restèrent quelques années, le temps que les chasseurs et les agriculteurs ne puissent ramener de nouvelles vivres. Yāshar était le comique, quelqu'un d'apprécié par tout ces confrères, car il savait comment animer une bonne soirée autour d'un bon repas agrémenté d'un bon rhum distillé dans le temple car le climat à l'intérieur permettait d'extirper un rhum pas trop immonde. Il avait l'habitude de commencé une discussion par un «Lubito sar san phral ?» qui faisait sourire chacun de ses amis. En l'an 494, une cilts du nom de La Flèche vint à Husson avec des provisions et de la joie de vivre, les membres des deux cilts se réunirent devant un Parmis les membres de la cilts de La Flèche, il y avait trois enfants qui avaient tous deux ans de plus que lui, il se nommaient Shahab, Zhaleh et Hafez. Il se lia d'amitié avec eux et s'amusa l'espace d'une année à leur montrer quelque tour de passe passe facile à réaliser et cela les amusait, même s'il était le plus jeune il avait réussi à s'intégrer et ainsi il partagèrent de bons moments. Il n'avait dès lors que onze ans, lorsqu'ils reprirent leur traversée en direction d'Indubal, depuis il n'a plus de nouvelles de cette cilts du nom de La Flèche.

Au fil des années Yāshar expérimenta sa technique de mélanger les cartes ce qui augmentait sa dextérité, il n'était pas un flèche mais il avait acquit une certaine vélocité. Leur campement s'installa au bord de Carroggia, la cité qui les faisait rêver nuit et jour car en cette cité même se trouvait un quartier Qadjaride. Afin de se faire une rentrée d'argent, Yāshar alla dans les tavernes et les salles de jeux carroggianes pour montrer ce qu'il savait faire. Mais rien de concluant, il se faisait rejeter comme si c'était un insecte que l'on écrase contre une vitre car il nous importune. Bien entendu, après moult efforts il finit par trouvé quelqu'un qui voulait bien le prendre avec lui, c'était une sorte d'illusionniste, un artiste de rue, il fallu un certain temps d'adaptation à Yāshar pour pouvoir faire confiance à ce menso qui au départ ne lui inspirait pas beaucoup. Or, il s'avérait que celui-ci savait manipuler les cartes à sa guise, et par conséquent il allait lui être d'une grande aide, chaque matin il revenait à sa roulote avec quelques pièces, cela ne dépassait jamais les cinq, six pièces mais il était heureux de servir sa cilts de cette façon. Un soir, lors d'une nuit chaude nuit de thermidor, si humide que respirer devenait un calvaire pour chacun, c'est ce soir même où des gardes sont venus et ont enfermés l'employeur de Yāshar pour travailler sans licence. Une fois de plus, il était mit à la rue … mais ce n'est pas pour autant qu'il désespéra. Sa passion était les jeux, les cartes, les jetons et aussi la texture de l'argent. Il ne pouvait donc pas se laisser moisir comme un bleu qu'on laisse seul au fond d'une cave.

A l'âge de 22 ans Yāshar était devenu robuste et possédait une assurance et un arrogance telle qu'il pourrait se pointer dans une taverne de la Capitale et dire «Alors, qui a besoin d'un Jack ?». Il admirait son dat, un maître d'arme qui adorait voir son fils jouer avec ses cartes en main, il appréciait par dessus tout l'élégance de son cimeterre, une courbe bien définie et tellement aiguisée qu'elle pourrait trancher une armure avec une extrême facilité. Lors de sa naissance, on aurait pu croire que Yāshar suive les traces de son dat, mais non, il préférait gagné sa vie en s'amusant et en donnant du plaisir aux autres, ce n'est pas pour autant qu'il ne s'intéressait à l'art de son dat. Sa daj, quand à elle était une chasseuse … mais lors d'une chasse nocturne ayant mal tourné sa mère fut tuée, il n'avait que deux ans cela ne l'a donc pas traumatisé plus que ça, il sait que son Souffle se trouve dans le Dhânestan et que le Passeur s'était bien occupé de son Souffle. Yāshar ne tue pas ses ennemis, il les plume jusqu'à la dernière pièce. Il connait les techniques de triche et grâce à l'illusionniste il apprit à distraire ses clients pour qu'il ne remarque rien au subterfuge qu'il leur tend, même si Yāshar est un Qadjaride honnête s'il on est pas méchant avec lui. Après la mort de l'ancien Chabbod, son dat fut désigné à sa place et tous prièrent pour que son Souffle puisse effectuer la Transition sans encombres. Yāshar était fier de son dat, lorsqu'il sortait de sa roulote le matin il le contemplait dans le silence le plus totale et chaque matin il disait : «Goutamouria dat, sam sar ?» et comme chaque matin son dat restait concentré et une fois la cilts entièrement réveillée un ronflement sourd émergeait du corps de celui-ci ce qui provoquait un rire général et qui mettait tout le monde de bonne humeur. Son dat lorsque Yāshar avait 27 ans, désormais il était seul et il avait réussit à trouver un travail dans la nouvelle taverne du quartier Qadjaride, La Taverne du Désert …

Après quelque temps, le racisme des Carroggians à l'égard des Qadjarides se faisait de plus en plus ressentir, et Yāshar le savait. Souvent pour rentrer chez lui il devait arpenter les rues carroggianes de la manière la plus discrète possible, mais il y avait toujours un ivrogne qui trainait là à ces heures tardives et cela prenait toujours un mauvais tournant et la garde était immédiatement averti, il était toujours équipé de quelques artifices de l'illusionniste pour s'en sortir comme si de rien était, pour lui les carroggians sont d'une stupidité et d'une cupidité sans pareil, et par la même occasion ils sont radins pour la plupart et ça Yāshar l'avait bien compris. Lors de la troisième nuit de brumaire de l'an 511, Yāshar a trouvé le moyen de pigeonner quelques carroggians qui passaient comme si de rien était dans le quartier Qadjaride et il s'avéra que l'un d'eux était un ami de l'un des dirigeants de la ville. Il sait donner l'envie aux joueurs de continuer même s'ils n'arrêtent pas de perdre, et pour s'amuser un peu Yāshar s'occupa de lui avec prestige. Oui, car il ridiculisa le menso qui jouait contre un qadjaride et, malheureusement pour lui, Yāshar l'avait piégé et lui a dérobé la totalité de l'argent qu'il avait sur lui. Ce qui ne fut pas sans conséquences, oui, car la garde l'a pourchassé pendant plusieurs jours mais ils n'eurent plus de nouvelle de lui ... En rentrant au campement cette nuit là, il savait que ça allait dégénérer d'ici peu, il alla donc en informer le rais et ils prirent ensemble la décision de partir, Yāshar irait en direction de la Capitale et sa cilts irait dans les monts de Medeva se cacher un moment. Yāshar prit donc la direction de la capitale, un cimeterre au côté droit légèrement émoussé, un sac à dos de piètre qualité avec un peu de nourriture, une couverture et de l'eau. C'était la sixième nuit de brumaire et il aperçut un groupe d'homme à l'horizon. Il alla donc à leur rencontre, d'un pas méfiant au début car il avait du mal à vraiment les dissocier à cause de la profonde obscurité qui régnai, et il s'avéra que c'était une cilts qadjaride.. C'était une cilts du nom de Le Crépuscule, eux aussi allaient en direction de la Capitale et l'invitèrent à se joindre à lui pour finir la traversée. Lors du voyage, une longue discussion eut lieu entre le telesmbod de la cilts et Yāshar , il lui parla d'un nom qui lui était familier. Un certain Azad de la cilts de La Source, c'est quelqu'un de très connu au sein des qadjarides mais il reste peu accessible et très mystérieux, il lui informa qu'il a prit contact avec lui il y a peu, avant de commencer la traversée et il disait qu'il avait besoin d'un jack pour sa taverne. Yāshar eut le sourire aux lèvres. Environ une semaine plus tard il arrivèrent à la Capitale, une cité si vaste qu'il est difficile de s'y retrouver et ce ne fut que quelques jours après son arrivée que Yāshar fut contacté par le dénommé Azad. C'est un vieil homme qui parle peu et que l'on peut voir que très rarement. Il lui proposa de travailler pour lui et il accepta sans poser plus de question. Le soir même il attaquait son nouveau travail et l'ambiance régnait avec ardeur dans la salle de jeux et la recette fut très bonne, ce qui permit l'envoi de quelques pièces aux cilts qui siège à l'extérieur de la ville. Lors des premiers jours où il travailla à la taverne d'Azad, il y avait un cuisinier du nom de Nahel. C'était un homme grand, barbe fraichement rasée, cheveux blond plutôt bien vêtu, qui était d'un caractère explosif, il improvisait tout le temps des plats et détestait suivre une carte. Il était cela dit très intelligent et un bon stratège, il possédait un cimeterre bien forgé. Il prône que les qadjarides sont une race supérieure, ce que Yāshar trouva quelque peu extrémiste comme façon de penser, mais il s'en fichait car l'homme au dent jaunâtre et au sourire subtilement vicieux paraissait être un homme agréable et aussi un stratège confirmé. A vrai dire, la cuisine qadjaride avec lui était agréable à manger, travaillant au même endroit on mangeait à l'œil. Les deux hommes se lièrent d'amitié et pendant les poses Yāshar s'amusait à duper son esprit avec quelques tours de prestidigitation. Mais cela n'a pas duré, il fut muté au poste de mercenaire de La Source. Depuis il ne l'a plus vraiment revu. Un jour, Azad fit envoyé un de ses hommes pour lui informé qu'il désirait le voir. C'était la première fois pour Yāshar qu'il rencontrait vraiment le fameux Azad, l'homme pour qu'il travaillait. Ils ont sympathisé un moment, mais là n'était pas de la question, Azad repris sont sérieux, le regarda dans les yeux et lui expliqua que le Rais d'une tribu à qui il doit beaucoup lui a demander de lui envoyer des hommes, il lui informa qu'il s'appelait Shahab, et Yāshar lâcha un sourire se rappelant du nom de celui avec qui il s'était amuser pendant une année lorsqu'ils étaient tout deux enfants. L'ayant observé durant quelques mois de façon très précise et minutieuse il avait confiance en Yāshar, car c'est un qadjaride honnête mais très manipulateur, Shahab ayant besoin de guerrier, comme il le stipulait dans sa lettre Azad connaissant son potentiel, il voulu faire une surprise à Shahab et proposa à Yāshar de partir pour Esperia avec Nahel et d'autres qadjarides, ils allaient partir en direction de cette fameuse terre d'Esperia. Il songea un moment, puis essaya de regarda Azad dans les yeux même s'il était tapis dans l'ombre et acquiesça avec un sourire narquois au lèvre et il savait qu'Azad aimait ce tempérament. Azad écrivit une lettre adressée à Shahab pour chacun d'entre nous et en la contemplant il vit écrit en gros en bas avant la signature «Ne t'en fais pas, Yāshar ne tue pas ses ennemis, mais il les plume jusqu'à la dernière pièce».