Utilisateur:Bill : Différence entre versions
m (Séparation de l'histoire en 2 partie) |
m (→Chapitre 3 : Le Boucher : Oups petit erreur ! (Sorry)) |
||
| Ligne 209 : | Ligne 209 : | ||
== '''''Chapitre 3 : Le Boucher ''''' == | == '''''Chapitre 3 : Le Boucher ''''' == | ||
[[Fichier:Gore.jpg|170px|thumb|left| Un travail de boucher.]] | [[Fichier:Gore.jpg|170px|thumb|left| Un travail de boucher.]] | ||
| − | + | ||
'''Musique Ambiance :''' http://www.youtube.com/watch?v=YiOBzitwXoQ | '''Musique Ambiance :''' http://www.youtube.com/watch?v=YiOBzitwXoQ | ||
| Ligne 221 : | Ligne 221 : | ||
---- | ---- | ||
| − | + | ||
== ''''' Chapitre 4 : Une carte a jouer''''' == | == ''''' Chapitre 4 : Une carte a jouer''''' == | ||
[[Fichier:Carte à jouer.jpg|200px|thumb|right|Bill écoutant la proposition des Hommes de la pègre.]] | [[Fichier:Carte à jouer.jpg|200px|thumb|right|Bill écoutant la proposition des Hommes de la pègre.]] | ||
Version du 12 octobre 2013 à 13:12
RolePlay :
Sommaire
- 1 Bill Moscaw
- 2 Apparence Physique
- 3 Portrait Psychologique
- 4 Compétence
- 5 Histoire de Bill Moscaw - Partie I - Recit de Iona
- 5.1 Chapitre 1 : Une enfance ratée.
- 5.2 Chapitre 2 : L'homme de l'orage
- 5.3 Chapitre 3 : Le Boucher
- 5.4 Chapitre 4 : Une carte a jouer
- 5.5 Chapitre 5 : Un jeu dangereux
- 5.6 Chapitre 6 : L'aube vient
- 5.7 Chapitre 7 : L'aube tombe
- 5.8 Chapitre 8 : Une ombre dans la lumière
- 5.9 Chapitre 9 : Surface
- 5.10 Chapitre 10 : Adieu Iona
- 6 Histoire de Bill Moscaw - Partie II - Esperia
- 7 Amis/Ennemis
- 8 Possession
Bill Moscaw
Apparence Physique
- Nom : Moscaw
- Prénom : Bill
- Famille : Aubéclat
- Âge : 37 Ans
- Taille : 1m79
- Poids : 80kg kilos
- Nation : République Marchande Carrogia
- Ville d'origine : Iona
- Religion : Libre-Arbitrage
- Rang Social : Citoyen, Consul de l'Economie.
Bill est un homme de carrure assez musclé. Même si il n'est pas "imposant". Avec 1m79 et 80kg il sait tout de même s'imposer. Il est souvent mal coiffé, en bataille. La barbe mal rasée, mais lui donnant un air plus sauvage, que crasseux.
Il a souvent un petit sourire aux lèvres quand on lui parle et arbore un regard toujours très profond.
Portrait Psychologique
Croyance
Bill est un adepte du Libre-Arbitrage Carrogian. Il tient cela de son père. Il considère que la seule chose à faire pour honorer le don de sa vie, est d'être libre de ses actions et pouvoir jouir pleinement de ce que la vie lui offre. Il ne prie que très rarement, ou alors il le fait les jours de pluies, sous les éclairs. Une habitude qu'il a prit sur Iona.
Sa mentalité
Bill est très égoïste et égocentrique par Nature. Il a grandit seul, et a passé une grande partie de sa vie seul, l'empechant pas cette occasion de se tourner vers les autres. Cependant, il a pour réputation de toujours rendre un service rendu, et à une très haute estime de l'amitié. Il sait se débrouiller dans n'importe qu'elle situation. C'est un véritable stratège. Aujourd'hui, il est moins blagueur, plus sérieux et semble étrangement protecteur avec quelques personnes, chose qui ne lui ressemble pas du tout. Il est conscient qu'il devient plus sage, mais reste persuadé qu'il faut parfois user de moyen peu orthodoxe pour réussir. Il est très calme, et très réfléchit. Il prend le temps d'analyser chaque éléments avant d'agir. Sa mémoire et ses capacités de réflexion en font un adversaire redoutable dans tous ce qui touche de prêt ou de loin à la stratégie.
Citation de Bill Moscaw
- - Il ne t'arrive jamais de regarder le ciel et de vouloir attraper quelque chose ? Sans savoir quoi... C'est découvrir quelle est cette chose que je veux saisir qui est mon but.
- - J'aime Iona, cette île mal famée. De la même façon qu'un nordique aimera le vent glaciale du nord. J'aime cette particularité d'aimer quelque chose que seul moi peut comprendre.
- - Je ne suis pas superstitieux. Cela risquerait de me porter malheur.
- - Le pouvoir est comme le savoir. Il s'obtient en osant.
- - Je veux pouvoir m’asseoir face aux nobles et au gouvernement. Pour moi aussi jouer au jeu des marionnettes. Et tirer des cordes.
- - Si l'ont peut avoir soit le gouvernement ou la corde. Il faut mieux s'arranger pour tirer les cordes du gouvernement.
- - Un trésor n'est pas uniquement fait d'or. Un trésor est partout ou l'on croit que la rareté si trouve.
- - Vous aimerez savoir vous battre pour défendre ce que vous aimez. J'aimerais savoir qui j'aime. Pour savoir pourquoi où pour qui je me bats.
- - En essayant de rester seul. On y arrive.
- - Vous faites partie des hommes qui construisent des murs entre les clans et les familles. Mais à trop vouloir grandir un mur il tombe. Faite attention de ne pas être du coté de la chute.
- - C'est facile de s'attaquer à un clan, une famille, un groupe. Mais pas si celui-ci est une idée. Une chimère faite de différents horizons. On ne peut pas taper de la fumée.
- - Un tyran bien aimé reste un tyran.
Compétence
Alphabétisation et calcul,
il a apprit lui même les bases du calculs quand il a commencé à amasser des fortes sommes d'argents. Il devient cependant, de plus en plus doué dans ce domaine effectuant de nombreuses taches administrative, et en travaillant ardemment au consulat. Son talent d'orateur se ressent également dans ses écrits.
Œnologie,
il a développé cette compétences quand il ouvrit une taverne pour pouvoir écouler certaines marchandise.
Fichier:BillSensduGout.pngUne certaine attirance pour le bon goût.
Sens du gout,
il n'était pas très doué comme cuisto. Mais depuis ses nombreuses mission en cuisine sur Esperia. Bill a développé un véritable sens gustatif. Il devient d’ailleurs de plus en plus exigeant quant a la qualité qu'il sert. Et est curieux des nombreuses saveurs qu'il ne pouvait goûter sur Iona. Son sens du goût ne se limite d’ailleurs pas à la nourriture. Bill aime avoir tout ce qu'il y a de meilleur pour lui. Que sa soit les femmes, le poste politique qu'il obtient, ou ses apparats.
Fichier:Bill combat.jpgBill n'a jamais eut d'enseignement pour manier une arme.
*Force,
il a du toute sa vie se débrouiller pour survivre et à du faire face à de multiple bagarres. Cela n'ayant pas fait de lui un guerrier hors pair, (Il est plus habile avec ces poings) mais il est tout de même quelqu'un disposant d'une force supérieur à la normale. Il a dut en venir aux mains plus d'une fois depuis son arrivée, préservant sa capacité de combat à main nue. Il ne sait cependant toujours pas bien manier une arme. Il utilisera la force brute d'une lame si il doit s'en servir.
Survie,
Il vit quasiment seul dans les rues depuis son plus jeune age. Il possède d'incroyable talent pour survivre dans n'importe quelles conditions.
Agilité,
Enfant des rues. Il est capable de se déplacer habilement dans des terrains plutôt inhabituels.
Ses qualités
- Alcool.
Bill est très résistant à celui ci.
- Orateur
Malgré sa voix un peu grave, Bill est un excellent orateur. Il sait manier les mots, et prend garde à toujours bien les peser avant de les employer.
- Sociabilité
Les Amis des mes ennemis sont mes Amis. Étrange devise, qui n'est pourtant pas vide de sens. Bill sait qu'un large réseau d'information, vaut tout l'or d'un galion d'Indubal.
- Rusé
Bill est un renard. C'est un stratège Hors pair très dur à duper. Il tend l'oreille partout où il va et monte ces petites affaires tout seul, toujours dans son intérêt.
- Calme
Difficile de lui faire perdre réellement son sang-froid. Si il gueule c'est qu'il ne considère pas la situation comme sérieuse. Devant des éléments problématiques, il garde son calme pour mieux réfléchir. L'agitation le rendant beaucoup réfléchit.
Ses défauts
- Parler de lui
Il c'est découvert il y a peu ce défaut. Certes il saura parler de son vécu, et donner son opinion sur tout. Cependant si vous cherchez a savoir ce qu'il ressent, ce qu'il croit, ou ce qu'il aimerait. Il y a de grandes chances qu'aucunes réponses ne s'offrent a vous.
Intérêts culturels et goûts
- Bill est un bon vivant et adore boire et chanter, encore plus si les deux sont fait en même temps. Il a le goût du bon vin comme du mauvais. Il porte un intérêt très profond à la politique même si il n'a pas la même vision de celle ci que le commun des mortels.
Cet intérêt pour la politique est de plus en plus important pour lui. Sa volonté d'implication dans la cité et très grande, même si il sait qu'il doit museler ses ambitions.
- Il adore être seul, tout comme il ne peut se passer de certaines présences.
- Il est en quête de nombreux savoir et est très curieux.
Histoire de Bill Moscaw - Partie I - Recit de Iona
Chapitre 1 : Une enfance ratée.
Musique d'ambiance : http://www.youtube.com/watch?v=n27D1Ab0W8E
Un cri résonne dans le quartier de Marvalat. Un cri de nouveau né, qui se mêle au brouhaha habituel dans les rues. Les pécheurs gueulaient leur pèche, les mouettes elles lançaient comme à leurs habitude des cris stridents. Les engueulades habituelles du quartier semblaient combler l’essentiel de l'atmosphère. Privant le nouveau né d'une arrivée remarquée dans ce monde.
Le gamin ne connaîtra jamais sa mère. Son père l'ayant vendu, après que celle-ci eu donnée vie. Se sont les dires du quartier, et les vagues descriptions de son père, lui feront penser que celle-ci était une jeune Qadjaride. Le môme gardera très peu de souvenir de ces premières années. Le père n'ayant que faire de s'occuper de lui. Il le laissait, cher des "amis". Lui permettant de passer le voir, pour s'assurer que le moment venu, il se sera prêt.
Mais quand l'gosse eu atteint les 8 ans. Son père se fit arrêté, et ne réapparu plus jamais. Cette homme qui venait de temps en temps, pour lui coller une torgnole, pour lui montrer que "la vie, n'est pas prévisible". Gardera au final, que peu de place dans la tête d'un enfant maintenant dans les rues... Face au monde, face à Iona, et face à lui même.
A 17 ans. Alors que les corps d'enfants des rues étaient parfois empilés dans des ruelles. Lui avait survécu. Lui, savait se faufiler partout, lui savait voler sans se faire voir, lui savait ruser face à la garde. Il avait vaguement appris à lire cher les amis de sont père. Lui permettant de retenir chaque nom d'échoppe, chaque nom de rue, chaque prénom... Rendant sa mémoire incroyablement efficace. Las des petit larcins, le jeune homme commençait à vouloir se faire une place. Il commençait même à recruter. Ces talents incroyables de logistiques, lui permettait d'organiser de A à Z n'importe qu'elle opération. Un incroyable stratège commençait à voir le jour. Qui lutait, contre les "imprévus" que pouvait lui réserver sa vie.
Chapitre 2 : L'homme de l'orage
Musique d'ambiance : http://www.youtube.com/watch?v=NYWVLZkFLtc
Bien des surnoms il dut porter. L'un deux était Bill la Tempête. En effet quand une tempête frappait Iona. Il en profitait pour effectuer ces vols, et ces affaires. Mais une des autres particularité de ce surnom, est son étrange habitude à monter sur les points culminants de la ville, pour observer l'orage. Les yeux rivés sur les éclairs presque envoûté, ne sachant même pas si cela lui fait peur ou l'impressionne. Une rumeur courait d'ailleurs qu'il priait les éclairs, et qu'ils leurs parlent du haut de son perchoir. Ce garçon qui n'a pas souvent eu à faire appel aux divinités, se sent incroyablement pieu face à l'orage. Comme si il devait répondre à l'appel de son maître. Il lui arrive de pleurer également les yeux braqués vers le ciel orageux. Certains diront que c'est pour cacher ces larmes avec la pluie. D'autre diront juste qu'il pleur par réflexe à force de regarder les éclairs traverser le ciel.
Chapitre 3 : Le Boucher
Musique Ambiance : http://www.youtube.com/watch?v=YiOBzitwXoQ
C'était une affaire comme une autre. J'avais réussi a obtenir grace a un horticulteur, plusieurs fioles, capable anesthésier totalement un humain. Mon client était d'après ce que j'avais pu savoir un soignant un peu fou. Et ce mélange il était prêt a l'obtenir contre n'importe quoi. M'a pas fallut longtemps pour négocier toute une malle de potion, contre une armure sertie très resistante. J'avais besoin de cette dernière pour une futur operation.
Quand je me suis pointé sur le lieu de rendez vous, il m'a pas fallut longtemps pour cerner le piege. Une vielle cuisine abandonnée prêt des falaises. La garde me tomba dessus. Dans la precipitation je jetta la male au sol, et me planqua dans un placcard. Les coups sur la porte ne durèrent que quelques secondes avant que de multiple bruits metalique tombant sur le sols se firent t'entendre. J'ouvris la porte après quelques minutes de reflexion. Surprise, ils étaient tous au sol. Allongés et me fixant de leurs yeux comme pour implorer pitié. Sauf que je savais qu'en laisser un seul en vie, c'était me condamné a mort. Je ne pouvais fuir sur Iona.
Je leurs enleva leurs armures, et saisit une petite machette, utilisée normalement pour les carcasses de procs. J'hesita un long moment, je n'avais jamais tué un homme. Je les fixais d'un regard perdu, jusqu'a ce qu'un enorme éclair retentit. J'inspira un grand coup et par des gestes rapides, tranchat la gorge de tout les gardes presents. Je tira chacun de leurs corps au bord de la falaise. Et sectionnant leurs membres je les jettait un a un aux requins.
J'étais entièrement recouvert de sang. J'eu beau me laver ce soir là, a mon retour auprès de mes hommes dans la soirée, et avec la rumeur de mes actes qui circulait. Un affreux surnom se posa sur mes épaules, me condamnant â jamais à être un renegat. Un meurtrier, un être immonde dont aucune personne censé, ne pourrait un jour aimé. Un nom circulait dans les rues ce soir là. Bill, le boucher.
Chapitre 4 : Une carte a jouer
Musique d'ambiance : http://www.youtube.com/watch?v=s85ouDu0YJA
Un soir. A la taverne que j'avais acheté pour camoufler mon image de magouilleur. Un homme de Quentyn Iertefroy et un pirate aux ordres de Galieno de Guevrac, sont venu me voir. J'étais au début un peu fière que les deux plus grandes crapules de Iona m'avaient remarqués. Mais le thème sérieux de la discutions, calma rapidement les ardeurs. Je n'étais pas leur seule visite. Les hommes de ces deux gaillards faisaient le tour de tout les petits et moyens chefs de la pègre de Iona. La raison. Un assassinat. Non, une révolte. Non, une association.
La pègre contrôlait en sous-main la ville et toute l’île. Il était temps de pousser les choses pour conquérir le haut de l’iceberg. L'Abbus de la Ville, Ann. Une vielle dame aigri refusant de traiter de quelques façons avec nous était l'une des cibles de cette association. J'appris d'ailleurs que c'est elle qui avait montée un coup avec la Garde pour ma tête lors de la mésaventure de la cuisine de la falaise.
L'association était clair. Le moment venu. Tout les hommes de la pègre devront être prêt. Armés, équipé, prêt à tenir un siège si il le faut. Tout les moyens possibles pour abattre les opposants à nos intérêts devraient être éliminées.
Je voyais là mon salut. Une chance de me relever au delà du caniveau ou j'étais né. J'allais pouvoir devenir quelqu'un aux yeux de tous. Mon heure n'était pas loin. J'avais entre mes mains, une incroyable carte à jouer.
Chapitre 5 : Un jeu dangereux
Musique d'ambiance : http://www.youtube.com/watch?v=veWnhcbKl3k
Quelques semaines à peine s'étaient écoulé. J'avais à mes ordres une trentaine d'hommes. Dont la moiter était des mercenaires où des pirates. Prêt à croiser le fer. Une grande partie des bénéfices de mes affaires allait dans des achats de flèches, d'épée, dague, et armure en cuir. mon esprit était en permanence focalisé sur les événements a venir. Certains de la pègre était moins discret que moi. Et la rumeur d'une révolte totale de l’île commença a courir. C'est alors qu'a ma grande surprise, un homme vetue d'une toge grise, avec le blason de l'abbaye, est venu me trouver.
Il ne me dit pas son nom. Seulement qu'il connaissait mon père est qu'il voulait me laisser une chance de rattraper mes anciennes erreurs. Cet homme craignait pour sa vie. Il me confia qu'un important stock d'arme destiné aux fidèles de l'abbaye se trouvait en ville. Et que son emplacement ne permettait pas à quelqu'un d’extérieur à la pègre d'y accéder. Le marché qu'il voulu me proposer était simple. Livrer les armes à l'abbaye et donner de mauvaises indications a la pègre. Et en échange j'aurais 50% des propriétés de toute la pègre qui tombera.
J'ai réfléchis une nuit entière a cette proposition. Je me suis dis que le mieux était de dire oui. Puis de confier les armes aux rebelles. Ainsi je garderais l'honneur que je voulais reconquérir. L'Abbus et tout Iona allait me connaitre mon nom. Le nom de Bill Moscaw. L'homme qui aurait pu tout changer. Mon histoire était en marche. Et elle rejoindrait un jour celle des plus grands.
Chapitre 6 : L'aube vient
Musique d'ambiance : http://www.youtube.com/watch?v=BfQgTz_znn0
C'était pour cette nuit. Tout mes hommes étaient prêt. Nous nous rendions au lieu de stockage des armes de l'Abbaye. J'avais changé mes plans. Ces armes allaient équiper mes hommes. Je saurais ainsi me distinguer dans cette bataille. Moi Bill Moscaw, un des simples chefs de pègres, munit d'une armure sertie, d'une lame achetée pour l'occasion appelée Dilemme. Mes hommes seraient armés de cote de maille solide, et de glaives aiguisés.
Oui, j'avais décidé que je ne serais pas seulement un participant de cette bataille. Mais un des gagnants. Qui sait ou sera ma place lors de la distribution des trésors de Iona. J’avançais rêvassant. Imaginant la fin de bataille. J'ouvris le grand et sombre entrepôt. Les bruits de mon armure résonnaient dans l'obscurité de la pièce. Mais quelque chose me troublait. Une sensation d’oppression m'envahit, et le fracas des portes de l’entrepôt qui se refermaient me fit sursauté en même temps que mes hommes. Des torches s'allumèrent des gradins disposés tout autours de la pièce. Les tenants, une multitude de soldat portant le symbole de l'abbaye sur le cœur et un arc en main.
Seul moi était armé. Les soldats brandirent tous leurs arcs dans notre direction. Un homme se dressait en haut de échafaudage. Parlant a une personne enroulée d'une toge que je ne pouvais discerner. Il murmura quelque mot. Et ordonna de tirer. A peine la main posée sur mon pommeau que deux flèches m’atteignent. Une a l'épaule. Et l'autre au mollet. Pile dans les failles de mon armure. Je m'écroula, serrant les dents et observait tout mes hommes un a un tomber. Je m'extirpa de l'armure et utilisa un cadavre d'un compagnon comme bouclier, me traînant jusqu’à une vielle plaque d'égout rouillée que je souleva. Avant de me jeté dans le trou noir qu'elle m'offrait. Je tourna la tête pour apercevoir qui était la personne sur échafaudage qui restait dans l'ombre. Mais la lumière du soleil qui se levait passa par un carreau. Aveuglé je tomba. L'aube qui se levait sur Iona ne promettait rien de bon.
Chapitre 7 : L'aube tombe
Musique d'ambiance : http://www.youtube.com/watch?v=ECewrAld3zw
Du sang ? De l'eau ? Des larmes ? Je ne savais plus... Je ne savais plus ce qui recouvrait mes joues actuellement. Cela fait combien d'heure que je regarde en direction de la lumière de bouche d'égout. Personne n'est venu me chercher. On a juste refermé le trou par lequel je suis tombé. Quand je ne pensais pas à ma situation je pensais aux hommes qui m'avaient fait confiance. Je récitais leurs noms dans ma tête. Je me remémorais leurs visages. J'entendais leurs voix...
Je me sentis soudainement porté... Au début je pensais que c'était la mort qui venait me chercher. Deux hommes me traînait dans un coin et essayait de me soigner, et de me faire boire de l'eau... J'étais un pantin désarticulé. Moi qui voulait tendre les bras pour atteindre ma place dans les étoiles, me retrouver là, abattu. Ce sentiment que je n'avais jamais connu, parce que j'avais en moi toujours une ambition brûlante. Un sentiment de désespoir.
Mes yeux plongé dans le vide de l'obscurité sur un cafard qui était sur le dos... Je n'entendais plus les hommes qui essayaient de me parler. Je fixais cette petite bête. Qui se démenait pour se relever. Cette petite bête ? C'était moi ? Est-ce que ma vie doit se résumer au faite d'être capable de me relever ? D'être un exemple de persévérance ? Est-ce que j'étais moi aussi un... Cafard ?
Je serra les dents, les points, les paupières. Une rage m'envahie.
Non. Je me destinais à bien plus. L'aube qui c'était levée, c'est abattu sur moi. Laissant d’innombrable tombes. Mais j'allais me lever également. Je me hissa tant bien que mal sur mes deux jambes. Les deux hommes me faisait signe de rester couché. Je me relevais. Je me dressais. L'aube allait tomber, aussi vite qu'elle est venu.
Chapitre 8 : Une ombre dans la lumière
Musique d'ambiance : http://www.youtube.com/watch?v=rfiCr0SPTYA
On m'avait trouvé. Au bout de Quelques semaines ? Quelques mois ? Quelques années ? Je n'avais plus la notion du temps dans ses égouts que je ne quittais plus. Méditant, réfléchissant à mes erreurs. A mes actes a venir. A mes actes passés. On m'avait trouvé, mais qu'importe. Enfin j'allais baigner dans la lumière du jour. Enfin j'allais être face à ceux qui m'avait mis à terre. Enfin j'allais savoir contre qui j'avais joué cette partie que j'avais perdu. Les deux hommes en armure me traînait vers l'extérieur. Me traînait vers la lumière. Je fus extirpé en pleins soleil, aveugle quelques secondes. Pour distinguer petit à petit les gardes qui essayait de distinguer si j'étais bien l'homme qu'ils cherchaient. Je n'avais pas peur. A vrai dire j'étais étrangement confiant de ce qui pouvait arriver. La mort elle même était elle venu me chercher ou allais-je une fois de plus échapper à ses bras ? On me traîna... Combien de temps ? Cela me semblait être une éternité... Mes genoux dont la peau s'arrachait sur le sol... On me conduisit en cellule pour un jugement prochain. Mais j'étais toujours aussi confiant. Quelque chose en moi savait que je ne mourrais pas. Que j'étais bien trop important dans ce monde pour mourir. Que j'étais quelqu'un qu'on ne pouvait exécuter à sa guise. Que j'étais Bill Moscaw. L'homme des bas fonds, l'homme qui réussira à se happer des ténèbres pour rejoindre les étoiles. L'homme qui laissera sa trace, l'homme qui ne mourra pas en vain. Qu'importe quel serait le but que je fixerais je l'atteindrais. Du trône de la Capitale, aux plus hauts sommets du Nord. J'atteindrais ce que je désir, j'obtiendrais tout, tout ce qui prouvera que je suis l'homme qui peut tout atteindre. Je jura devant Arbitrio, les sept et toutes les divinités que je connaissais. Je jura que ma mort ne serait pas celle qu'on s'apprêtait à me donner. Je jura que ma main et a tête ne tomberait qu'une fois mon but accomplit. Je jura... Je jura tout la nuit...
Chapitre 9 : Surface
Musique ambiance : http://www.youtube.com/watch?v=Rde8L87Lk-A
J'attendais dans l'ombre. Ils étaient long a venir me chercher pour le jugement. Trop long, bien trop long pour un homme pressé par le temps. Un vieillard dans ma cellule tentait tant bien que mal d'engager la conversation. Mais je n'avais que faire de cet homme. Je n'avais que faire d'une compagnie. J'étais seul à présent. Seul comme je l'ai été toute ma vie. Seul comme j'allais l'être pour le court laps de temps qu'il me restait à vivre. Seul comme j'étais persuadé de l'être une fois ma vie ôtée. A vrai dire, c'est peut-être ça qui me rendait si confiant. Le faite de savoir qu'il n'y aurait pas de grande différence entre avant et après mon trépas. Il y aurait comme toujours moi. Et les ténèbres qui m'entourent. Qui m’enveloppent. Qui me forgent.
J'étais plongé dans mes pensées sombres... Mais quelqu'un voulait apparemment m'en sortir. D'une voix un peu hésitante le vieillard demanda si j'étais bien Bill, aussi appelé, Le Boucher. Je pouffa. Que ce surnom était ridicule. Je ne lui répondis rien, mais il semblait comprendre que c'était bien le cas. Puis le vieillard se mit a me tirer mes loques pour que mon attention se porte vers lui... J'ai hésité un instant à le tuer. A le faire taire. A être au calme pour méditer sur les ombres qui baignaient dans min esprit. Mais il avait quelque chose dans son regard. Quelque chose de... Familier. Il me demanda si ma tête allait tomber dans la journée. Si il n'y avait pas moyen de me sortir de ma situation. Je fus assez intrigué de l’Intérêt de cet inconnu sur mon sort. Après quelques échange je lui répondu qu'il existait bien un moyen de me sortir avec la vive sauve. A condition que lui aussi n'était pas condamné a mort. Il me répondu qu'il savait juste qu'il allait être vendu en esclavage. Sa survie dépendait donc d'où allait-il être vendu. Il se mit a sangloter sur sa famille qu'il allait laisser ici... Sans moyen de s'en sortir. À ce moment là, un plan apparut dans mon esprit. Je proposa au vieillard de mettre sa famille a l’abri du besoin. Tout le monde qui connaissait mon triste nom savait que je possédais de gros moyen. Il devait seulement, en échange de ma promesse, échanger sa place avec moi. Et être condamné à mort a ma place.
Alors que je j'étais persuadé qu'il lui Faudrait du temps pour donner sa réponse, il répondit aussitôt par l'affirmative. Et commença a enduire son visage de terre pour ne pas être reconnu. Je fis de même. J'avais réussi, réussi a m'en sortir une fois de plus. J'avais réussi à tromper tout le monde une fois de plus. J'avais du mal a contenir le sourire sur mes lèvres. J'allais enfin refaire surface. Mais ma joie retomba net quand avant de partir pour le jugement le vieillard s'excusa. S'excusa de n'avoir pas sut être là pour sa seule famille.
La tête d'un Moscaw allait bien tomber aujourd'hui.
Chapitre 10 : Adieu Iona
Musique d'ambiance : http://www.youtube.com/watch?v=6l-CKmH2dZQ
Le vent qui soufflait ce jour là, était étrangement léger. Pas brusque, pas fort, ni même bruyant. Non un vent léger qui caressait les jambes, frôlait les oreilles, et faisait virevolter les cheveux dans tout les sens. En particulier ceux d'un homme debout sur les quais. Le regard plongé dans les rues, les hauteurs, les recoins de toutes l’île qui se dressait devant lui. Comme si, de ses yeux il peignait le tableau de ce qu'il voyait dans son esprit. Comme si il savait qu'il ne reverrait jamais rien de tout cela, et que ses yeux avait le pouvoir d'accaparer ce qu'ils voyaient. Alors il regardait tout. Le moindre recoin, la moindre fissure, le moindre bruit. Comme si ses prunelles absorbaient la moindre chose, le moindre objet, et qu'il désirait tout emporter. Alors il regardait tout. Il sentait tout. Il écoutait tout.
Ô le bruit aussi semblait déjà le rendre nostalgique. Il ferma les yeux un instant pour se rappeler du brouhaha qui l'avait bercé depuis son enfance. Comme pour graver une mélodie qu'il pourrait réciter quand l'envie lui prendrait à l’intérieur de lui même. Il n'avait jamais pensé aimer cet endroit. Mais il n'avait jamais souhaité le quitter. Comme un adolescent cherchant toujours à s’émanciper et à critiquer son foyer. Mais qui au final se réjouie du confort que celui ci lui procure. Cette île, aussi seul qu'il avait pu être. Cette île était comme sa mère, celle qui l'aurait vu faire ses premiers pas, celle qui aurait entendu ses premiers cries. Une mère qui l'a toujours épargnée des divers sorts que les divinités mirent sur sa route.
Le vent devenait plus fort. Comme si sa mère posait une main dans son dos. Un geste pur lui dire "va ne t'en fait pas mon fils". L'homme machinalement se toucha le poignet comme si il espérait qu'elle l’empêche de partir. Comme si il voulait pour la première fois de sa vie que quelqu'un le prenne dans ses bras, le rassure, lui dise que tout irait bien. Lui dire qu'on était fière de ce qu'il était. De ce qu'il allait devenir.
Ses yeux s’humidifiaient au fur et à mesure que ses pensés se dirigeaient vers l'idée d'un non retour. Lui qui n'était attaché à rien, s’apercevait de l'amour incroyable qu'il pouvait finalement ressentir pour cette île. De énorme attachement qu'un homme vide, comme il se décrivait, pouvait ressentir. Ses yeux baignaient dans les larmes qui floutaient sa vue le rendant encore plus émotif qu'il l'était déjà. Les larmes coulaient comme la peinture en trop d'un tableau, comme l'eau des vagues qui vient se poser sur les fenêtres. Il n'était pas le monstre qu'il pensait être, il s'avait qu'il était capable d'aimer quelque chose. Un tourbillon d'émotion de joie et de tristesse se brouillaient dans sa poitrine. Il essuyait ses larmes de ses manches l'air heureux. Heureux du trésor qu'il venait de découvrir au plus profond de lui même.
Il monta sur le bateau avec les autres esclaves, un sourire arborait son visage. Il ne se retourna qu'une fois au large. Pour regarder une dernière fois son foyer, son passé, sa vie, sa mère.
Histoire de Bill Moscaw - Partie II - Esperia
L'Esclave
Bill fut perturbé par son arrivée ne sachant pas réellement à qui il appartenait. Partagé entre le monastère et la famille Aubéclat, il comprit vite qu'il devait se tourner vers cette dernière. Tharaën, le tribun familial fut pour lui un véritable mentor. Bill qui n'avait jamais eu de chef, ou de personne à suivre trouvait en cette personne le guide idéal pour son futur en tant qu'Esperien.
Il mit aussitôt ses nombreux talents à sa disposition. Vol, Espionnage, Recrutement, Logistique pour certaines manœuvres. Il se démarqua vite des autres esclaves et ne dut jamais verser un seul Esper pour sa dette. Quand la Nivose Rouge frappa la ville. Bill fut prit de crainte pour sa famille et commença à se protéger en créant sa propre planque, et bureau. D'ici, à l'aide de Jibius, il commença à organiser un groupe d'esclave, de manière à pouvoir agir en groupe. Il s'impliqua également en libérant Davos de sa prison, de façon à briser les mensonges du gouvernement. Une fois la Nivose Rouge passée, il craignait que ce geste lui coûterait la vie.
Une fois les tensions apaisées, Bill ramena 3 Trésors à la famille pour les remercier de la bienveillance qu'elle lui apportait. Il offrit le casque de Sheolh que celui-ci lui avait lancé peu avant sa mort. Un énorme bloc de Lapis sortie des profondeurs de l'eau, et un coffre entier de l'or Maudit du Monastère. Il compléta également les cadeaux par deux armures en or.
Ceux-ci prouvant son entière Dévotion, Bill fut affranchit, et intégré dans la famille Aubéclat.
l'Habitant
Une fois libre, Bill se positionna comme le Bras Droit de Tharaën. Protecteur de la famille, il balaya nombre d’embûche sur sa route, et devint un vrai diplomate Familiale. Puis il se rapprocha peu à peu d'une esclave avec qui il aimait se balader. Pépi Linel. Cette femme évoquait des sentiments encore méconnus jusqu'à lors par Bill. Il laissa les choses faire et décida de se tourner vers la Politique de la cité. Il rédigea la réforme "Moscaw", modifiant les institutions de la ville, pour espérer donner plus de parole au peuple. La réforme fut acceptée par les Politiciens et le Peuple. Bill n'avait qu'à attendre pour son application. Dans cette attente, l'amour pour Pépi Linel commença à grandir, énormément... Et une fois qu'il sut la réciprocité de celui-ci, il exauça le rêve de Pépi, en lui offrant un magnifique Mariage. Il dut déjouer cependant par la suite, une tentative de trahison du père de cette derrière, envers Aubéclat. Le décevant profondément sur beaucoup de monde. Ainsi, il considéra que son rêve de faire chuter les murs entres les familles, était vain. Il devint alors plus direct mais plus calme à la fois. Il mena deux campagnes pour le Consulat de Thémis Lunargent. Mais au final, à la suite d'un accord, la deuxième fut annuler.
Mais dans cette accord, Bill obtenu sa citoyenneté, et également l'un des consulats les plus puissant de la ville. Il était à présent, Consul de l'Economie.
Amis/Ennemis
Amis et Ennemis
Bill est impossible a cerner quand à ses sentiments pour ceux qui l'entours. Pour la simple raison qu'il a passé une grande partie de sa vie dans la solitude et davec un seul but, assouvir ses ambitions personnels. Il n'a cependant aucun ennemis. Il considère que seule la rivalité existe et qu'elle est source d'occupation.
Il n'a jamais éprouvé de réel sentiment pour une femme, habitué a les utiliser. Mais semble tout de même très sensible a certains caractère, et un certains penchant pour une couleur de cheveux. De plus il est un peu mal à l'aise face à la douceur de certaines dame d'Esperia. L'opposé de celles de Iona.
Son épouse
(Pepi Moscaw Skÿrn)
Pépi.
L'énigme de Bill, son plus grand point faible, et également son plus grand point fort. Il ne saurait dire ce qui fait qu'il l'aime, tout comme il trouverait mille raisons d'y répondre. Si il y a bien une personne avec qui Bill n'est pas l'homme manipulateur et calculateur qu'il aime être, c'est avec elle. Elle l'apaise, le repose, lui donne envie de passer son temps à s'évader dans ses pensées la tête sur ses genoux. Cette femme représente beaucoup de chose pour lui et il est réellement prêt à tout pour elle. Il l'a demandé en mariage dès qu'il a sut que c'était son rêve. Mariage qui a eut lieu le 1/09/513 selon les traditions nordiques. Bill pense maintenant à ce qui pourrait se faire avec cette femme... Si elle lui offrait un fils ou une fille ? Si leur bonheur rencontrait une troisième personne.
Frères
(Tharaen)
Il a un respect et une loyauté très forte pour cet homme. Il se retrouve dans lui. Il ne l'a jamais considéré comme un maître, mais comme un mentor. Il n'a d'ailleurs que faire des remarques de la population envers cet homme. Parfois gêné par les propos qu'il tient, il est admiratif de son courage d'employer des méthodes peu orthodoxe si nécessaire. Depuis que Tharaën est malade, Bill se rend réellement compte de l'importance du vielle homme pour lui. Il le considère comme un père, et est très protecteur avec lui.
(Dreaps)
Il le considérait comme un maître bon, avec lequel il pouvait parler avec franchise. Aujourd'hui dans la même famille, et donc frère. Bill est très complice avec Dreaps et espère qu'ils arriverons ensemble à faire de grandes choses, en gardant cette complicité. C'est surement le frère avec lequel il s'entend mieux. Sa bonté et sa droiture aident parfois Bill à se corriger. Dreaps est quelqu'un qu'il aime beaucoup. Il est content de son ascension politique à la tête d'Adobe. Il espère que tout les deux deviendront des grands hommes de cette cité.
(Gadyen)
Il a sut lui accorder sa confiance et le considère aujourd'hui comme un frère dans lequel il peut faire confiance. Bill avait quelques doutes sur son engagement familial, mais il est aujourd'hui sur de sa fidélité et le respecte grandement. Il aime le taquiner comme un grand frère, et espère que ses rêves de devenir un Chevalier se réaliseront.
(Thémis)
Thémis est devenu au fil du temps quelqu'un de très important pour Bill. Cet homme est un modèle de réussite, et représente l'homme que Bill aimerait servir à la tête de la ville. Il lui est dévoué et fidèle, et ce veux très protecteur de son image. Il le trouve parfois bien trop droit avec ennemis et aimerais le pousser à être plus strict? mais on ne change pas un Chevalier. Il espère que le faite d'être ensemble au gouvernement les rapprochera, il aimerait toujours le connaitre un peu plus.
(Kemo)
Kémo est le type même que Bill aime fréquenter. Une grande gueule qui le fait marrer. Il est certes pas très malin, mais assez pour pas se faire marcher dessus. Il aimerait qu'il soit un peu plus sérieux, et pour cela, il lui a confier le rôle de Second du Consulat de l'Economie. Et à la grande surprise de Bill, il est très bon dans cette tâche. Il aime passer du temps avec lui.
(Allen)
Un frère. Il place beaucoup d'espoirs en lui, mais ses excès de colère l’énerve. Il se veut protecteur de son frère pour autant et veille à lui apporter un soutient. Il espère que son attitude vient uniquement de sa paternité à venir.
(Uromys)
Un nouveau frère d'Aubéclat. Celui-ci est travailleur, Bill l'aime bien et le prend volontiers sous son aile.
(Lyre)
Une femme très intéressante, et ambitieuse. Bill aimerait la connaitre un peu plus. Elle va bientôt devenir sa sœur.
Amis
(Jibius)
Ce vieux gaillard est surement un des plus grand ami de Bill. Il lui montre peu et se lance beaucoup de pic en public. Mais il tient énormément à leur complicité. Il sait qu'il peut tout lui dire sans être jugé, et veille à le voir le plus qu'il peut. C'est également la personne avec laquelle il a le plus de projet. Malgré les tensions des familles auxquelles ils appartiennent, ils font le maximum pour que leur lien entre eux lui ne cèdent pas.
(Altenbur)
Étrange personnage, un electron libre qui ne cesse d'attirer Bill. Il l'a tout de suite trouvé génial, là ou les gens le trouvaient fou. Il aime écouter ses conseils, et lui porte une certaine affection. Ses projets utopiques sont pour lui un nouveau but à atteindre, et Bill compte bien en faire partie.
Autres
(Louis)
Un certain respect par son rang et son écoute. Mais il voit en Louis quelqu'un d'ambitieux, qui n'a pas assez de cran et de recule, pour assumer pleinement le poste qu'il occupe.
(Luka)
Très mitigé pour cette personne. La première rencontre détruit totalement l'image du Capitaine auprès de Bill. Cependant, il semble penser qu'il n'est pas si mauvais qu'il en a l'air.
(Thorgan)
Un homme qu'il apprécie beaucoup par sa franchise et son franc-parlé. Il s’associe avec lui à titre professionnel, mais le respecte.
(Alvahryn)
[Absent] Il sait que cet homme ne l'aime pas. Il n'a cependant lui que peu de rancœur à son égare. Il trouve que son poste lui va comme un gant, il le trouve très efficace. Il espère pouvoir le connaitre plus, même si il semble être un homme très distant.
(Yulrick) [Absent]
Ce petit garçon intrigue quelque peu Bill, qui n'a pas l'habitude de s'occuper d'enfant. Il le trouve tout de même sympatique et assez amusant dans sa curiosité.
(Hisato)
Un homme curieux et intéressant. Il souhaiterait qu'il rejoigne les rangs familiaux.
(Phoenix)
La sœur de sa compagne. Il apprécie sa présence. Mais ne parvient pas à se faire un avis sur elle.
(Leoplodine)
Il ne parle qu'avec elle que quand le temps le leurs permets. Mais il apprécie la grande noblesse qui se dégage de cette Dame.
(Ulgrass)
Un garde de la cité. Bill aime beaucoup son professionnalisme et sa politesse.
(Estrella)
Il aime beaucoup cette jeune fille, et sa force de travail pour la cité. Cependant, il a un doute quant à l'estime qu'elle lui porte en retour.
(L'aveugle)
Il lui fait confiance, autant qu'il se méfie. Et il pense que c'est réciproque.
Évite
(Askeli)
Homme qu'il aimait beaucoup fut un temps. Il ne lui fait plus confiance.
(Ours) Un homme qui l'a déçu. Il ne lui parle que parce qu'il est le père de son épouse.
(Elduin)
Un nordique qu'il avait prit sous son aile. Celui-ci l'a cependant trahit, et ça Bill ne l’oubliera pas.
(Lucie)
Il était intrigué par elle au début. Mais il la considère comme un membre à part entière de sa famille à présent. Il essaie d'être protecteur avec elle, sans l'étouffer. Depuis son renvoit familial, Bill passe moins de temps avec elle.
(Hector)
Cet homme n'est qu'un lache, traite et minable. Bill ne peut plus supporter la présence de celui qu'il a appelé un jour "mon frère".
(Olafur)
Il aime beaucoup la façon qu'a cet homme pour tenir tête à tout le monde. Mais ne supporte pas quand il s'attaque à ses proches.
Possession
