Utilisateur:Catilina : Différence entre versions

De Wiki'speria
Aller à : navigation, rechercher
Ligne 17 : Ligne 17 :
 
|Nom_IRL= Jean-Baptiste
 
|Nom_IRL= Jean-Baptiste
 
|Age_IRL= 25}}
 
|Age_IRL= 25}}
 +
 +
{{RP}}
  
 
==Description==
 
==Description==
Ligne 22 : Ligne 24 :
 
==Histoire==
 
==Histoire==
  
 +
===Enfance===
 
Diogo est né dans l'un des quartiers de l'Altiplain, les bas-fonds de Carrogia. Plus précisément dans la Sosurra, dédié aux serviteurs des quartiers riches qu'elle surplombait et aux bouchers du Nord de la ville.
 
Diogo est né dans l'un des quartiers de l'Altiplain, les bas-fonds de Carrogia. Plus précisément dans la Sosurra, dédié aux serviteurs des quartiers riches qu'elle surplombait et aux bouchers du Nord de la ville.
 
Sa mère était servante dans l'une des ces grande maisons, et c'est là qu'il fut conçu.
 
Sa mère était servante dans l'une des ces grande maisons, et c'est là qu'il fut conçu.
Ligne 29 : Ligne 32 :
  
 
Alors qu'il n'avait accès qu'à une éducation simple dans une Maison de Charité, ainsi que l'apprentissage plus dur des rues de l'Altiplain, il eu accès, sans se souvenir vraiment comment, à du papier et à du fusain.
 
Alors qu'il n'avait accès qu'à une éducation simple dans une Maison de Charité, ainsi que l'apprentissage plus dur des rues de l'Altiplain, il eu accès, sans se souvenir vraiment comment, à du papier et à du fusain.
 +
 +
===Adolescence & Etudes===
  
 
Petit à petit il exerca un talent naturel pour l'observation au dessin, qui si il n'était jamais très original ou imaginatif, était sûr. Cela n'aurait pu rester qu'un loisir chétif, voué à disparaître dans la pauvreté ambiante mais la même main qui fournissait les pièces bienvenues lui donna l'opportunité dont il avait besoin pour quitter celle-ci.
 
Petit à petit il exerca un talent naturel pour l'observation au dessin, qui si il n'était jamais très original ou imaginatif, était sûr. Cela n'aurait pu rester qu'un loisir chétif, voué à disparaître dans la pauvreté ambiante mais la même main qui fournissait les pièces bienvenues lui donna l'opportunité dont il avait besoin pour quitter celle-ci.
Ligne 35 : Ligne 40 :
  
 
Sans grandes ressources, surtout après que la mort de sa mère vit les aides beivenues se tarir, il se mit au service des maisons carrogiennes, d'abord les plus mineurs ou les plus récentes, oeuvrant surtout dans les quartiers populaires ou pour des ouvrages modestes, son apprentissage n'étant pas assez brillant, bien que correct, pour rivaliser avec des noms plus connus ou reconnus..
 
Sans grandes ressources, surtout après que la mort de sa mère vit les aides beivenues se tarir, il se mit au service des maisons carrogiennes, d'abord les plus mineurs ou les plus récentes, oeuvrant surtout dans les quartiers populaires ou pour des ouvrages modestes, son apprentissage n'étant pas assez brillant, bien que correct, pour rivaliser avec des noms plus connus ou reconnus..
 +
 +
===Vie avant Esperia===
  
 
L'Altiplain était loin désormais, bien que toujours trop proche à son souvenir. D'un académisme certain, associé avec un pragmatisme têtu, on reconnaissait à ses bâtiments un charme austère mais parfois désuet. Ses ambitions d'oeuvres mémorables, dignes de ses maîtres restaient toujours à l'état d'études sans lendemain.
 
L'Altiplain était loin désormais, bien que toujours trop proche à son souvenir. D'un académisme certain, associé avec un pragmatisme têtu, on reconnaissait à ses bâtiments un charme austère mais parfois désuet. Ses ambitions d'oeuvres mémorables, dignes de ses maîtres restaient toujours à l'état d'études sans lendemain.
Ligne 46 : Ligne 53 :
  
 
Bien qu'éduqué par une mière pieuse, Diogo ne s'est jamais véritablement senti une grande spiritualité. A son grand dam une superstition venue de ses primes années fait parfois surface, mais sa foi restait assez superficielle, se limitant aux rites monachistes par discipline et par une foi superficielle plus que par dévotion.
 
Bien qu'éduqué par une mière pieuse, Diogo ne s'est jamais véritablement senti une grande spiritualité. A son grand dam une superstition venue de ses primes années fait parfois surface, mais sa foi restait assez superficielle, se limitant aux rites monachistes par discipline et par une foi superficielle plus que par dévotion.
 +
 +
===Capture===
  
 
Son dernier contrat, en Galdyr, ne differait pas profondément des autres. Ces temps-ci, il alternait certes commandes conventionelles en ville et contrats de quelques mois à l'extérieur en faveur de ses premières, mais le rapport bien plus fructueux de ces derniers ne le laissaient jamais indifférent, si sans trop d'illusions sur les raisons de cette prodigialité.
 
Son dernier contrat, en Galdyr, ne differait pas profondément des autres. Ces temps-ci, il alternait certes commandes conventionelles en ville et contrats de quelques mois à l'extérieur en faveur de ses premières, mais le rapport bien plus fructueux de ces derniers ne le laissaient jamais indifférent, si sans trop d'illusions sur les raisons de cette prodigialité.
Ligne 55 : Ligne 64 :
  
 
Payant le prix de ses démons, Diogo croupissait dans les gêoles de l'ancienne province centralienne. Par un coup du sort, ou une porte de sortie offerte d'on ne sait où, il fut mis à part de ses compatriotes et envoyé vers l'Ouest.
 
Payant le prix de ses démons, Diogo croupissait dans les gêoles de l'ancienne province centralienne. Par un coup du sort, ou une porte de sortie offerte d'on ne sait où, il fut mis à part de ses compatriotes et envoyé vers l'Ouest.
 
  
 
==Compétences==
 
==Compétences==

Version du 15 février 2014 à 01:15


     200.png
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de



Quartier




Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
LSCatilina
Pseudo
Catilina
Prénom IRL
Jean-Baptiste
Âge IRL
25












RolePlay :



Description

Histoire

Enfance

Diogo est né dans l'un des quartiers de l'Altiplain, les bas-fonds de Carrogia. Plus précisément dans la Sosurra, dédié aux serviteurs des quartiers riches qu'elle surplombait et aux bouchers du Nord de la ville. Sa mère était servante dans l'une des ces grande maisons, et c'est là qu'il fut conçu. Viol ou rapport consenti, il n'en sut pas plus que la silhouette furtive qu'il ne vit que par trois occasions. Pas de nom, juste des yeux verts qui tranchaient avec les origines Dionanes que sa mère lui avait transmis.

Une bourse offerte régulièrement permit au foyer de vivre bien plus confortablement, quittant le pire de l'Altiplain pour ses franges relativement plus sûres. Tâté et jaugé comme une marchandise, sa bonne santé valut sans doute à sa mère de recevoir d'autres soutiens plus ou moins réguliers.

Alors qu'il n'avait accès qu'à une éducation simple dans une Maison de Charité, ainsi que l'apprentissage plus dur des rues de l'Altiplain, il eu accès, sans se souvenir vraiment comment, à du papier et à du fusain.

Adolescence & Etudes

Petit à petit il exerca un talent naturel pour l'observation au dessin, qui si il n'était jamais très original ou imaginatif, était sûr. Cela n'aurait pu rester qu'un loisir chétif, voué à disparaître dans la pauvreté ambiante mais la même main qui fournissait les pièces bienvenues lui donna l'opportunité dont il avait besoin pour quitter celle-ci.

Pas assez pour suivre les études les plus prestigieuses, mais si il cessa de soupirer après les grands navires qui quittaient le Havre, il fit ses lettres honorablement, auprès de maîtres d'une grande compétence dans les grands ouvrages : Jirhe Dumas et Madao Versimali.

Sans grandes ressources, surtout après que la mort de sa mère vit les aides beivenues se tarir, il se mit au service des maisons carrogiennes, d'abord les plus mineurs ou les plus récentes, oeuvrant surtout dans les quartiers populaires ou pour des ouvrages modestes, son apprentissage n'étant pas assez brillant, bien que correct, pour rivaliser avec des noms plus connus ou reconnus..

Vie avant Esperia

L'Altiplain était loin désormais, bien que toujours trop proche à son souvenir. D'un académisme certain, associé avec un pragmatisme têtu, on reconnaissait à ses bâtiments un charme austère mais parfois désuet. Ses ambitions d'oeuvres mémorables, dignes de ses maîtres restaient toujours à l'état d'études sans lendemain.

Sa renommée, limitée, auprès de plus grandes maisons fut embauché était due à des contrats dont la mémorabilité n'était pas l'une des qualités premières : établir des comptoirs miniers ou des postes de garde dans les provinces dont elles se servaient afin d'y affermir leur influence ou parfois d'y établir une présence plus ou moins dissimulée sous des prête-noms locaux.

Ces commandes n'étaient pas franchement agréables, mais permirent à Diogo de faire face a plusieurs défis dont le manque de ressource et de temps ne furent pas de trop pour affûter ses compétences. Être à court de ressources, de matériaux de construction et travailler sous la contrainte de moyens limité lui apprit autant que la construction de maisons marchandes dans les villes provinciales de la république. Ses ambitions contrariées lui valurent néammoins une réputation d'amer et acariâtre, et sa direction était la hantise de bien d'équipes "volantes" dans les terres provinciales.

Son train augmentant légèrement après qu'il aie accepté de tels travaux, il prit plaisir à la "vie carrogienne" : goût pour le vin allant jusqu'à une connaissance toute particulière de celui-ci, compagnie de belles femmes et conversations studieuses.

Bien qu'éduqué par une mière pieuse, Diogo ne s'est jamais véritablement senti une grande spiritualité. A son grand dam une superstition venue de ses primes années fait parfois surface, mais sa foi restait assez superficielle, se limitant aux rites monachistes par discipline et par une foi superficielle plus que par dévotion.

Capture

Son dernier contrat, en Galdyr, ne differait pas profondément des autres. Ces temps-ci, il alternait certes commandes conventionelles en ville et contrats de quelques mois à l'extérieur en faveur de ses premières, mais le rapport bien plus fructueux de ces derniers ne le laissaient jamais indifférent, si sans trop d'illusions sur les raisons de cette prodigialité.

Peut-être que ses rêves devait en rester, et que ses ambitions auraient dû se limiter dès le départ à ce qu'il faisait de mieux.

En effet, bien que cette commande ne semblait pas différer outre mesure des précédentes, malgré une proximité jamais atteinte jusque là avec des communautées locales, elle finit durement. Les gardes carrogians responsables de la sécurité du petit groupe fut finalement la cause de l'arrivée de mercenaires Galdyri qui non seulement brulèrent l'avant-poste mais réduisit les caroggians en chaînes, puis en esclavage.

Payant le prix de ses démons, Diogo croupissait dans les gêoles de l'ancienne province centralienne. Par un coup du sort, ou une porte de sortie offerte d'on ne sait où, il fut mis à part de ses compatriotes et envoyé vers l'Ouest.

Compétences

-Grille Livre et Plume.pngAlphabétisation et calcul Considéré comme lettré par les standards intellectuels carrogians, ses goûts sont plutôt pragmatiques. Les spéculations métaphysiques sur les mathématiques qui avaient parfois cours parmi de jeunes condisciples ne l'ont jamais attiré, ainsi qu'une utilisation ludique de ce savoir. Sans être un rustaud dépouvru de connaissances livresques ou théoriques, ce qui n'aura pas une application pratique ne l'attirera pas de premier abord : si les gens étaient des livres, certains des romans à l'eau de rose, d'autres des nouvelles fantastiques, il serait un traité sur la rénovation urbaine.

-Grille Montre.png Connaissances scientifiques (Géologie, Architecture)

-Grille Diamant.pngMinéralogie

Son métier, bien qu'appris et développé sur le tas, s'appuie tout d'abord sur une solide base scientifique. Les années passées à apprendre avec des maîtres dans cet art, ou plutôt comme on lui a martelé plusieurs fois durant ses jeunes années, l'"artisanat" en ce qui le concernait tant qu'il n'aurait pas quelque chose digne d'être appellé artistique à son actif, n'ont pas été perdues. De plus, au contraire de maîtres d'ouvrages moins concernés par la longévité de leurs constructions, il s'est attelé à une connaissance poussée de la géologie : reconnaître les sols sur lesquels l'on installe de lourds murs ou comprendre le pourquoi de la fragilité de telle roche a fait plus, et pour moins d'effort, pour sauver des bâtiments que l'étanconnage.

-Grille Poche d'Encre.pngDessin Son trait est à son image : assez peu imaginatif, mais sur. Ne lui demandez pas de peindre des paysages fabuleux, emportant l'âme vers des cîmes éthérées ou des abymes indicibles, vous seriez déçus. Même si la caricature ne lui est pas inconnue, il n'a pas ce genre de talent. Mais la coupe d'un navire ou d'un bâtiment, la copie rigide d'un réalisme plat est le soutien fidèle de ses sensations.

-Grille Bouteille de Vin.pngOenologie Un vice commode à Carrogia, où un bon vivant ne saurait prétendre l'être sans goûter le vin d'une manière érudite, glissant allègrement vers le pédentisme enivré. Son palais n'est pas digne des grands champions de taverne ou de grande table, bien évidemment, mais il s'est acquis une petite réputation dans les cercles autrement anonymes des tables rondes des tavernes carrogiennes lors de ces concours intempestifs et avinés.

-Grille Marteau en Pierre.pngOutillage Malgré une instruction lettrée, Diogon n'a jamais rechigné à mettre la main à la pâte, en tout cas pas au point de l'empêcher de pratiquer ses talents lui-même. Plusieurs de ses ouvriers, lents à la tâche ou ayant fait une erreur autrement pardonables, s'en sont rendus compte : à son avis, nul n'est irremplacable sur un chantier, sauf le maître d'ouvrage.

Talents et défauts

Diogo se flatte de réalisme et d'un pragmatisme conséquent. Sans être une verité absolue, sa vision taisant des défauts eux-même assez présents, il est vrai qu'il peut discerner assez vite une qualité, bonne ou mauvaise, chez ses interlocuteurs pour peu qu'il s'en donne la peine. Nul n'est à l'abri de mauvaise fréquentations, d'escroquerie ou de mésaventures, mais Diogon s'en est somme toute assez bien tiré jusqu'aux évènements qui l'ont conduit dans les chaînes et les paillasses infestées de poux et de puces. Le revers de la médaille, et de la confiance qu'il accorde à ses capacités bien réelles est une confiance en soi poussée à l'extrême : n'acceptant pas facilement de se remettre en question, celui qui aura gagné son mépris ou son inimité aura du mal à les perdre (si tant est qu'ils s'en soucient.

Son problème principale pourrait cependent être, ou plutot était, un grand appât du gain et du lucre. Déterminé à ne plus connaître la misère de son enfance, encore qu'il n'a pas connu le pire de l'Altiplain, le pousse à accepter de forts contrats sans trop se poser la question, sur le moment, de leur légalité ou bienfondé. Dans la même suite d'idée, une avarice naturelle est aux prises avec un gout du bon vin, de belles femmes (fussent leurs charmes à vendre) et de l'apparence de la richesse.

Intérêts culturels et goûts

Relations

Kenesha Silmäpyhä: 

N'ayant eu que peu de relations avec elle, Diogo ne sait trop quoi penser. Il est certes son esclave, et elle le traite tel quel, mais n'a jamais semblé considérer dans cette relation autre chose qu'un souci de propriétaire lointain mais digne. Au final, elle ressemble bien plus à une vraie noble que bien d'autres que Diogo a pu voir dans sa vie.


Lyre Ester: 

Femme-Enfant. Ce qui est considéré parfois comme charmant, y compris par Diogo avant qu'il ne soit réduit en esclavage. Maintenant il sait qu'un enfant ne cesse pas de l'être quand il arrache les ailes des mouches pour s'amuser. Sans en être là, Lyre lui donne l'impression d'une apathie profonde qui ne cesse que lorsqu'un égoïsme tout aussi profond se sent lésé. Elle n'est peut-être pas mauvaise à proprement parler, mais manque d'une discipline mentale lui permettant d'échapper à son sort.


Meauvent

Diogo à rencontré Meauvant peu après son achat par Thorgan, et les deux esclaves se rencontrèrent plusieurs fois au cours de travaux communs. Malgré une certaine frustration de Diogo, car Celestan est mieux considéré (ou du moins le pense-il), il apprécie énormément l'artiste et lui pardonne une foie naïve en Arbito, et se propose de boire un verre avec lui à l'occasion. Il


Sergueitov Ivanovitch

Vieux déchet, à la mémoire faite comme un fromage troué ayant dépassé depuis longtemps la date limite de péremption. Il doit surêment s'y connaître mais c'est miracle que ce qu'il sait n'aie pas fui avec le reste. Si son incapacité chronique à retenir quelque chose n'est pas totalement due à la sénilité, mais à une certaine malice de vieillard, alors le respect de Catilina envers lui augmentera un peu, mais sa haine d'autant.

La seule utilité que Diogo en Sergueitov, hormis une survie élémentaire due à son statut, et de grapiller suffisement des connaissances du vieillard. Et si jamais il est affranchi, il fera tout pour le briser, au moins professionellement.


Thendras:

Arrivé dans le même navire esclavagiste que Diogo, et vendu à la même famille, le jeune tailleur de pierre uroggian a interéssé Catilina assez vite : interêt facilité par la proximité de leurs deux professions. Le retrait de Diogo, toutefois, a empêché toute vraie compagnie jusqu'à ce quelque temps soit passé en Esperia. Bien qu'ils ne se rencontre guère, Diogo aimerait passer plus de temps avec lui.


Thorgan Ahrondor: 

Thorgan est celui qui a acheté Diogo lors de son arrivée en Esperia. Bien que Diogo se sente humilié par cela, et par le faible prix que le nordique a investi dans sa personne, il ne ressent aucune rage ou haine contre lui. Le manque de subtilité de Thorgan est éclatant, mais rafraîchissant. Un homme dont les principales préoccupation, alors qu'il est mis en gêole pour avoir conseillé à la souveraine de faire le trottoir, sont sanglier et bière ne peut qu'intéresser et être apprécié par Catilina.