Utilisateur:Gervald : Différence entre versions
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Version du 16 août 2017 à 20:39
Description
- Nom : Gervald
- Âge : 43 ans
- Date de naissance : Le 17 octobre 472
- Taille : 187 cm
- Poids : 91 kg
- Religion : Phalangisme
Caractère
L’hura n’a jamais été un homme compliqué, autant pour ses proches, que pour tout autre chose. Certains, des plus aveugles, auraient plus le considérer comme un simple d’esprit, cependant sa piété envers Arbitrio et les valeurs que lui ont inculqué sa famille l’ont forcé à devenir comme il est à présent, un hura de pure souche, prônant les valeurs de son pays, rusé et travailleur. Au premier regard, il semble toujours de bonne humeur, dégageant un air jovial, souriant. Ce n’est pas ce qu’il est tout le temps au plus profond de lui, mais il a appris à le cacher, afin de préserver ses proches des problèmes qu’il gardé à l’intérieur de lui, obstiné à ne pas troubler la petite vie qu’ils menaient ensemble.
Réputation • Profit • Modestie • Vigueur
Bien qu’on puisse le croire, en le croisant lance à la main, les bras recouverts de sang d’un animal qu’il porte sur son épaule, Gervald n’est pas quelqu’un de violent, et sait n’user de sa force lorsque cela ne semble vraiment indispensable. Il dédaigne d’ailleurs les actes de brutalité que peuvent avoir certaines personnages, dans le même milieu que lui. Il reste cependant intolérant sur les règles à appliquer, et considère un avertissement comme largement suffisant, ne se refusant pas d’empoigner ou de secouer ceux qui le méritent, pour leur faire comprendre.
Enfin, il vécut depuis tout jeune dans un petit village, et n’eut que de rares d’occasions pour rencontrer des étrangers. Il est donc assez distant avec les autres peuples, plus particulièrement les Vaahvas, les Qadjarides, ainsi que les Ocolidiens. Il se montre notamment dorénavant beaucoup plus méfiant envers tous, et cela sans exception, depuis qu’il a été séparé de sa famille, avec laquelle il vivait depuis des dizaines d’années..
Intérêts divers
Gervald est un homme de la nature, et apprécie beaucoup se balader en forêt, contemplant pendant plusieurs heures la faune et la flore, s’animer devant ses yeux. Les grandes fêtes et beuveries ont pour lui une connotations très importantes, car elles permettent de retrouver des amis et s’amuser, dans une ambiance joviale, oubliant l’effort d’une longue journée de labeur. Il entend notamment par là danser et n’hésite pas à participer aux jeux proposés.
Pour ce qui concerne la littérature, les tableaux ou tout autre chose de ce genre, il n’y connaît presque rien, mais ne s’y intéresse pas non plus. Il dit préfère laisser ça aux érudits, à ceux qui ont le courage de déchiffrer des textes et des images pendant des heures durant, assis sur une table. Lui, il préfère rester dehors, et respirer le bon air frais. A noter notamment qu’il garde toujours une pipe dans sa poche, qu’il fume souvent en fin de journée, lorsqu’il rentre chez lui, n’hésitant pas à expérimenter les différentes sortes de tabacs existants.
Pour finir, il aime manger à sa faim, simplement mais en bonne quantité, c’est pourquoi il privilégie la viande qu’il ramène de la forêt, et la refile à quelqu’un sachant simplement la cuire comme il se doit, afin de la déguster avec appétit. Comme dis plus haut, c’est un amateur de bière à haute fermentation, mais il n’apprécie pas vraiment les alcools plus nobles comme le vin ou le cidre.
Croyances
L’hura est très pieux et prie régulièrement, où qu’il soit. Éduqué depuis jeune dans ce sens là, il ne se pose jamais de questionnement concernant son dieu, son jugement et ses choix. Il a entièrement confiance en lui et accepte ce qu’il advient, malgré les situations, raisonnant cela par un choix du créateur réfléchi et juste. Malgré qu'il se refusa ce privilège, souhaitant rester auprès de sa famille, il songea plusieurs fois à rejoindre la phalange qui s'était établie à quelques lieux de chez lui, dans une ville voisine. La discipline de ses hommes ne le rendait pas indifférent, et sa cause non plus. En somme, sa vie lui plaisait, mais selon les circonstances, il n'aurait pas refuser de rejoindre une abbaye. En ce qui concerne la vision des autres religions et croyances, il ne connaît pas grand chose à part le monachisme, et cela le fâche rapidement, c'est pourquoi il essaie d'éviter la discussion.
Métier
I - Guerrier :
Voyageant sur les terres d'Huratelon depuis petit, il a rencontré de nombreuses personnes qui lui ont enseigné une multitudes de choses sur l'art du combat. Se perfectionnant dans les déplacements et le maniement de ses armes, il réussit à atteindre un niveau correct, qui lui permet de se défendre correctement, tout en montrant parfois un aspect agressif pouvant surprendre. Il utilise habituellement des épées bâtardes, ni trop courtes ni trop longues à son goût
- Lance: Amateur
- Épée bâtarde : Inexistant
II - Education :
Perdant peu à peu ses compétences en chasse, Gervald décida de suivre des cours dans la cité afin d'apprendre à lire, écrire ou encore calculer, ne comptant plus que sur ses talents de guerrier pour acheter sa nourriture. Il est cependant loin d'être un écrivain et n'a pas du tout l'habitude de lire des livres, ce qui est compréhensible lorsque l'on connait son passé.
III - Escalade:
Gervald vit depuis jeune dans la nature et du parfois être confronté à des situations qui lui obligea de développer ses aptitudes physiques. Bien que cela ne soit pas son plus grand points forts, il sait comment grimper à des endroits difficiles d'accès ou abruptes, ce qui lui rend parfois service, notamment lorsqu'il va chasser.
Possessions
La lance fait un peu moins de deux mètres. Le manche est robuste et rugueux, accrochant bien a la main. Ce n'est pas une arme de décoration. C'est une arme d'action. Son acier tueur est caractéristique de lame de moyenne facture mais efficace. C'est la rencontre entre le Phalangiste Gervald et le Maître Joaillier Silnoë qui permit la création de "La phalangiste". Sur le fer de lance ont été finement gravées plusieurs scènes, le tout est en relief de surface pour ne pas amoindrir la solidité. Le premier coup d'œil s'accroche à l'élément central de la lame d'acier qui est un fier étalon. Le fier et puissant animal est représenté des deux cotés de la pointe, en plein milieu. Les muscles de l'animal sont réalistes et fidèlement représentés. L'étalon est cabré sur ses puissantes pattes arrière, les antérieurs projetées vers le haut. Au centre de cette montagne de muscles juste en dessous du garrot se trouve gravé joliment une pierre taillée en poire. La pierre semble rayonner comme un cœur sur toute la face de la lame.
Sur le côté gauche de la lame, les rayons se propagent a travers plusieurs scènes. D'abord le monastère d'Esperia est représenté. Un rayon traverse le prieuré de part en part. En dessous du monastère est représenté un bâtiment en flamme. La structure du bâtiment est bien représentée, les nervures du bois sont représentées avec soin. Le bâtiment est en feu. Les flammes sont lourdes et dévastatrice, elles semblent posséder le bâtiment sans qu'on ne puisse rien y faire. Pourtant, ce nouveau, un rayon provenant du cœur rubis traverse les flammes. Ces dernières s'écartent devant le rayon phalangiste, chassant le danger incandescent. La dernière scène est une représentation d'un homme en plein mouvement armé. Il s'apprête à tuer une femme. Le meurtrier est figé : le dernier rayon phalangiste transperce le tueur de part en part ce qui le fige dans une position d'effroi et de douleur. La face droite est composée de différents objets. D'abord une large masse. La précision de l'objet le fait luire dans l'acier et semble extrêmement dangereux et destructeur, de quoi briser un mur sans soucis. Juste en dessous, une plume. Les détails de la plume exprime légèreté et simplicité. Une couronne est représentée, on reconnaît tous les détails de la couronne du premier Souverain. Enfin, une pioche de mineur est représentée. Elle semble solide et riche de simplicité. Les rayons partant du cœur du cheval traversent les divers objets, et les brisent, les brûlent et les détruisent.
De quel coté La phalange va-t-elle frapper ? Tout ne tient qu'au fil de la Lame.
Tenues
Une tenue de soldat aux couleurs des Portendars. Une tunique de grande valeur puisqu'elle lui a été donnée par le Conteur, officialisant sa fonction de Portelame.
: Un uniforme de milicien en cuir Adaarion rouge & noir, permet de porter la maille.
: Jolie cape de laine anthracite et de fourrure de loup, bien réalisée, tient chaud.
Une tenue confortable et qui se camoufle bien en forêt. Elle n'est presque jamais propre, Gervald l'utilisant tout le temps pour la chasse. Le temps agit peu à peu sur le cuir.
: Haut en cuir de cerf, robuste et confortable. Chaud en Nivôse.
: Pantalon en cuir de cerf, robuste et près du corps.
: Une ceinture en cuir avec une sacoche. Peut contenir une arme.
Cette tunique fût récupérée sur Nicoval, ancien Prae dont le bon sens avait disparu pour une raison inconnue. Gervald le tua de sa propre lance sous les ordres du Praefectus.
: Tunique de cuir cloutée, bonne protection, bonne qualitée.