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Les mestobcans (ou citoyens urbains) constituent une minorité de la population [[Grande Huratelon|hura]] vivant dans les villes. Contrairement aux paysans, ils n'ont pas de terres ou de bâtiments qui leur sont assignés. Ils vivent et travaillent librement mais sont toujours soumis au devoir de milice pour les aînés et à la nécessité de disposer d’une autorisation pour émigrer hors de la ville ou voyager. La vie des mestobcans est cependant souvent bonne si leurs affaires tournent bien. Dans certaines villes, ils peuvent même espérer participer à la vie politique de la cité et avoir pignon sur rue. S’ils sont sans le sou, leur vie peut tourner au cauchemar. Contrairement aux paysans qui ont en quelque sorte « droit » à un lopin de terre ou un service forcé qui leur permettra de survivre, les mestobcans ruinés n'ont droit à rien mais restent soumis aux devoirs envers leur [[graf]] ou [[sprave]]. Les vagabonds issus de cette catégorie sont l'une des grandes sources d'esclaves [[Grande Huratelon|huras]].
 
Les mestobcans (ou citoyens urbains) constituent une minorité de la population [[Grande Huratelon|hura]] vivant dans les villes. Contrairement aux paysans, ils n'ont pas de terres ou de bâtiments qui leur sont assignés. Ils vivent et travaillent librement mais sont toujours soumis au devoir de milice pour les aînés et à la nécessité de disposer d’une autorisation pour émigrer hors de la ville ou voyager. La vie des mestobcans est cependant souvent bonne si leurs affaires tournent bien. Dans certaines villes, ils peuvent même espérer participer à la vie politique de la cité et avoir pignon sur rue. S’ils sont sans le sou, leur vie peut tourner au cauchemar. Contrairement aux paysans qui ont en quelque sorte « droit » à un lopin de terre ou un service forcé qui leur permettra de survivre, les mestobcans ruinés n'ont droit à rien mais restent soumis aux devoirs envers leur [[graf]] ou [[sprave]]. Les vagabonds issus de cette catégorie sont l'une des grandes sources d'esclaves [[Grande Huratelon|huras]].
  
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Version actuelle datée du 4 avril 2020 à 07:13

Les mestobcans (ou citoyens urbains) constituent une minorité de la population hura vivant dans les villes. Contrairement aux paysans, ils n'ont pas de terres ou de bâtiments qui leur sont assignés. Ils vivent et travaillent librement mais sont toujours soumis au devoir de milice pour les aînés et à la nécessité de disposer d’une autorisation pour émigrer hors de la ville ou voyager. La vie des mestobcans est cependant souvent bonne si leurs affaires tournent bien. Dans certaines villes, ils peuvent même espérer participer à la vie politique de la cité et avoir pignon sur rue. S’ils sont sans le sou, leur vie peut tourner au cauchemar. Contrairement aux paysans qui ont en quelque sorte « droit » à un lopin de terre ou un service forcé qui leur permettra de survivre, les mestobcans ruinés n'ont droit à rien mais restent soumis aux devoirs envers leur graf ou sprave. Les vagabonds issus de cette catégorie sont l'une des grandes sources d'esclaves huras.