Utilisateur:Adelard

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Informations RP
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Homme
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Origines
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Informations HRP
Login Minecraft
faragoo
Pseudo
faragoo
Prénom IRL
Vincent
Âge IRL
17












Description

  • Nom : Larrieu
  • Prénom : Adélard
  • Sexe : Homme
  • Âge : 28 ans
  • Taille : 1.76 m
  • Poids : 55 Kg
  • Origine : La Capitale
  • Rang social : Esclave
  • Profession : Ingénieur

Physique

Grand et mince, maintenant maigre, Adélard n'impose pas vraiment physiquement, il est d'ailleurs peu musclé et ne sait absolument pas se battre. Il a de longues mains aux doigts fins et crispés, il les fait bouger en permanence. Son visage est allongé, il à souvent les mâchoires serrées. Ses cheveux sont blonds, longs et lâchés, ils lui arrive à peu près à la moitié du cou. Il a une barbe courte et peu entretenue. Ses cernes sont cachées par un magnifique oeil au beurre noir, obtenu pendant son emprisonnement, en même temps qu'une lèvre éclatée. A part ces blessures, il n'a qu'une petite cicatrice au poignet droit, résultat d'une invention particulièrement ratée.

Morale

Introverti, Adélard préfère le contact des gens proches, et aura du mal à se faire des amis si ceux ci ne lui sont pas semblables. De la même façon, il reste distant avec ses clients, bien qu'il essaye de lutter contre ça, ce qui peut produire un effet étrange au premier abord. Lorsqu'on devient proche de lui, il est plus sympathique, chaleureux.

A part ça, il est généralement volontaire et travailleur, et il lui suffit d'un rien pour qu'il commence à avoir une idée, qu'il abandonnera dans la plupart des cas.

Il déteste déranger les autres, et à trop peur de mal faire lorsqu'il ne connait pas un domaine pour prendre des initiatives, il faut lui donner des directives exactes, sinon il ne fera rien.

Qualités

  • Astucieux
  • Travailleur
  • Pacifique

Défauts

  • Timide
  • Parfois peureux
  • Parfois lent
  • Maladroit

Aptitudes

  • Encrier001.png Alphabétisation
  • Calcul.png Calculs

Intérêts culturels et goûts

La mécanique, les machines en tous genre, le mouvement et les automatismes sont ses sujets préférés, il essaye de comprendre tous ce qu'il voit et qui a un rapport avec ces sujets

Histoire

Avant Esperia

La vie

Un matin normal de Termidor. La Belle-roseraie, quartier pour le moins original de la capitale se réveillait doucement, les rayons du Soleil tentaient de se frayer un chemin jusqu’aux sols des rues étroites et encombrées de masures en matériaux divers mais toujours de mauvaises qualités. Même si le soleil n’éclairait pas partout, la lumière des lampes et celles des bougies parfumées prenait le relais, dans une atmosphère chargée de particules déconseillées à la respiration.

Cependant, dans cet endroit étrange et tordu, qui le devient encore plus quand on n’écoute pas le conseil précédent, se détachait, à la douce lumière du soleil, deux hommes, du matériel varié, et surtout, une conversation. -- T... T’es bien sur que la planche va tenir ? -- Mais oui, t’inquiète pas. -- Et la corde ? -- Elle est solide, et puis au cas où, j’ai mis une botte de foin en bas --Si je meurs, je te tue. C’est ainsi que l’homme, attaché à la taille par une grosse corde avec tout aussi gros noeud, s'avança lentement sur la poutre placée entre deux toits, quelques clous et un marteaux dans les mains. Arrivé à environ un mètre de son point de départ, l’homme commença à descendre en dessous de la poutre, retenu seulement par la corde. Il descendu lentement en rappel, et finis pendu dans le vide, à trembler comme une feuille, en face d’un mur de bois très abimé. -- Hey tu le répare le mur, ou tu admire la vue ? Reprenant ces esprits, l’homme se souvint pourquoi il était là, et aussi que peut importe la hauteur, ce quartier est laid. S’appuyant comme il put au mur, il commença à enfoncer les clous à différents endroits qui semblaient faibles. Une fois son travail terminé, il soupira. -- Bon, ben tu vois que mon idée était bonne -- Faut croire… Bon, remonte moi -- Te...Te remonter ? Tout d’un coup, la personne sur le toit se rappela du détail qu’il avait oublié: Le retour. -- Non me dit pas que…. -- C...C’est pas grave ! Tu peux bien remonter tout seul, non? Et puis au pire, y a le foin en bas… -- Toi je vais te…! L’homme se mit à s’agiter au bout de sa corde, et se qui devait arriver arriva: le noeud lâcha et l’homme s'effondra lourdement dans le foin en jurant. -- Rien de cassé ? -- Attends tu vas voir ce qui va se casser ! Hurla l’homme, un peu sonné par la chute. L’autre ne se fit pas pas prier pour fuir.

Plus tard dans la matinée, alors que le soleil était de plus en plus droit et réchauffait enfin le sol boueux. L’homme qui avait fuit les foudres de son compère entra en soufflant fort dans une petite boutique, en meilleur état que la plupart des maisons. -- Ah, tiens, Ad’, dit un homme assez grand et fort, mal rasé, dans la trentaine, alors, il était content de ton nouvel échafaudage pour les sols instables, le charpentier ? -- Heu… Au moins il a pu faire son travail, mais si il vient en râlant, ne t’inquiète pas il exagère toujours… -- Aïe, encore un accident ? -- Bof, 3 fois rien, et puis au moins je sais ce qui va pas avec mon système -- Laisse moi deviner, il est dangereux pour l’utilisateur et toute personne situées dans un rayon de 20 mètres ? -- Toi aussi t’exagère…

Plus tard dans la journée, alors que le soleil avait déjà entamé sa course vers l’horizon après avoir bien chauffé la Terre, et que l’orage du charpentier était passé. Adélard s’était installé au premier étage du cabinet ou il travaillait, sur une vieille chaise rempaillée avec des cordes, à côté de la fenêtre grande ouverte. L’odeur qui émanait généralement du quartier ne le dérangeait plus, et, de toute façon, la lumière et la légère brise valaient largement ce petit désagrément. Tout en jouant avec une petite tige de métal, il regarda l’intérieur du bâtiment, et ses compagnons. Ils étaient 5 à travailler là, dont 3 ingénieurs et 2 architectes. Il y avait le vieux Gustave, un architecte de 50 ans qui en faisait au moins 20 de plus, pas très bavard, pas très joyeux, il passait ses journée assis, toujours à la même table, à dessiner des plans, de tout et n’importe quoi “ça peut toujours servir” disait-il. La vérité, c’est qu’il ne s’est jamais vraiment remis de la mort de sa femme. Il y avait aussi Mathis, l’autre architecte, plus jeune, plus bavard, plus joyeux, moins travailleur. Un bon ami d’Adélard, c’est d’ailleurs lui qui lui avait parlé du cabinet. Il y avait ensuite Guy et Julie, les fondateurs, ils étaient mariés, et c’est souvent grâce à Julie qu’Adélard survivait aux remontrance de Guy, comme ce midi avec le charpentier. Ce dernier accueillait d’ailleurs un client. -- Bonjour Messer, que désirez vous ? -- J’ai un problème avec ma porte, répondit l’homme, taillé comme un ours. -- Ah, un problème de serrure, de charn… -- Oui, de serrure, coupa le client. -- Bien, ma femme va s’occuper de ce problème -- Impossible, répondit Julie, qui avait entendu l’échange, je travaille déjà sur l’horloge détraquée. -- Mince...Malheureusement, moi aussi j’ai du travaille, ça veut dire que… Après un long soupir, Guy se tourna vers l’escalier. -- Ad’lard ! S’ensuivit un grand bruit sourd et un petit bruit métalliques. Quelques secondes plus tard, l'intéressé se présenta en haut des escaliers, une main sur l’arrière de la tête. -- Je te jure que ça s’est pas passé comme il a dit ! -- S’agit pas d’ça, faut que t’aille réparer une serrure, et cette fois, tu fais gaffe -- Boh t’as pas à t’inquiéter -- Bah si justement, je m’inquiète ! Adélard alla chercher sa sacoche en faisant la moue -- Vous êtes pas en train de me refiler un incompétent, là? Dit le client, quelque peut dérouté par l’échange -- Adélard ? Non non, il sait faire son métier, le vrai problème, c’est qu’il est distrait, et perdre les clefs, c’est son sport favori… L’homme ria bruyamment.

-- Alors ça va ! Si il arrive à perdre la mienne, je veux bien partir à Lig !

Le métier

A peine sortis du bâtiment, Adélard emboîta le pas de son client, progressant tant bien que mal dans les rues abîmées.

Ils arrivèrent à destination alors que leurs ombres commençait sérieusement à s’allonger. La maison de l’homme était assez grande, avec des murs qui semblaient épais et un toit propre et en bon état, en fait, l’état général de la maison montrait une certaine aisance financière. Devant la porte - elle aussi épaisse - se tenais, sur une chaise, un homme de la même trempe que le client, un gros bâton dans les mains. -- Voici mon frère, présenta l’homme, comme ma serrure s’est cassée alors que la porte était ouverte, il monte la garde -- Bonsoir, salua l’homme assit, vous devez être le réparateur. -- Oui, c’est exact, c’est la serrure de cette porte ? -- Oui, regardez par vous même Le client désigna la porte, dans laquelle une clef d’une taille hors norme était insérée. -- Voila, ce matin, j’ai voulu sortir de chez moi, et en fermant, la serrure à fait un bruit étrange et elle s’est bloquée comme ça, avec la clef dedans, du coup j’ai demandé à un voisin de surveiller, le temps de prévenir mon frère, et d’emmener ma femme et ma fille chez lui, et je suis venu vous voir -- Vous avez bien fait, dit Adélard, en examinant la serrure, je ne sais pas ce qui est arrivé, et je ne pourrais pas la réparer sur place, je vais donc l’enlever et je la ramènerais demain, d’accord ? -- C’est vous le professionnel… -- En attendant, je vous conseil de faire attention cette nuit, les voleurs sont fréquents. Sur ces mots, Adélard retira la serrure, la fourra dans sa sacoche et reparti à pas rapide, car la nuit arrivait, et il valait mieux être chez soit à ce moment là.

Lorsqu’il arriva au cabinet, Adélard le trouvé vide, ou presque. Gustave était toujours à sa table, faisant ce qu’il lui paru le plan d’une grande maison. -- Gustave, il serait peut-être temps d’aller dormir… -- Le vieil homme soupira, puis se leva avec difficulté, avant de sortir. Il habitait en face, donc Adélard ne s’inquiétait pas vraiment de le laisser partir seul. Il posa la serrure sur sa table, alla chercher la bougie de Gustave et une nouvelle, au cas ou, ainsi que du papier et de quoi écrire. Il entrepris rapidement d’ouvrir la serrure. Ce n’était qu’une simple serrure à gorge, et le problème lui apparu tout de suite: peu entretenue, le pivot avait cédé, provoquant la chute des gorges qui avaient tout simplement bloquées le mécanisme. Le mécanisme fut facile à réparer, mais Adélard en profita pour faire un entretien total de la serrure, en vérifiant l’usure des autres pièces ou de la clef. Si la clef était en très bon état , le reste du mécanisme était assez usé. Il remplaça les gorges tordues ou cassées par des neuves fraîchement découpées, et s’assura que l’ardillon se déplaçait sans peine. Après ça, il referma la serrure, écrivit par avance le certificat qui attesté qu’il avait bien effectué la réparation, rangea tous son bazar, puis pris la bougie, qui ne mesurait plus qu’une dizaine de centimètres, et son couteau et sorti du cabinet, en prenant soin de fermer la porte. Il rentra ensuite chez lui. Le quartier était tranquille, mais il se sentait plus en sécurité avec une arme, même s’il ne savait pas s’en servir et que, de toute façon, son couteau était émoussé. Le lendemain, comme la veille, le soleil se leva, et comme la veille il éclaira mal les ruelles de La Belle-roserais, avec, comme la veille, les bougies, les lampes et les émanations toxiques. Lorsque Adélard arriva au cabinet, Gustave, Guy et Julie étaient déjà là, à travailler sur diverses choses. -- Tiens, bonjour Adélard, c’est la serrure du client d’hier qui est sur ton bureau ? -- Oui, pourquoi ? -- Non, juste pour savoir, mais c’est vrai que t’aurais fait très fort si t’avais perdu cette clef. -- Mouais….Enfin bon, je dois aller l’installer. -- D’accord, à tout à l’heure Après avoir rassemblé ses outils et la serrure, Adélard se mit en route. Aussitôt arrivé, il remarqua que personne ne montais la garde. Étonné par ce manque de prudence, il voulu poussé la porte… Qui ne bougea pas d’un pouce. Un peu surpris, surtout parce qu’il ce l’était pris dans le visage, il fit quelques pas en arrière. Tout d’un coup, il entendit un bruit et la porte s’ouvrit sur le client. -- Oh, bonjour Messer l’ingénieur, désolé pour ça, mais hier soir, après votre départ, mon frère et moi nous avons eu l’idée d’installer une barre de fermeture, histoire de ne pas devoir passer la nuit dehors -- Oui… Bonne idée... La prochaine fois je ferais plus attention… -- Vous avez la serrure ? -- Oui, réparée et remise à neuf -- Ah, bien, quel était le problème ? -- Trop peu d’entretien, une pièce a cassée -- C’est vrai que je n’ai jamais fait attention à ça… Je ne savais pas que ça pouvais se casser si facilement… -- C’est de la petite mécanique, le métal a beau être solide, dans ces proportions il peut casser très vite si on ne fais pas attention. Bon, je vous installe ça, et on discute du prix ? -- D’accord, vous prenez combien ? -- Hein ? Oh je sais pas, vous me proposez combien ? L’homme sorti quelques pièces de sa poche -- D’accord, ça va pour la serrure, mais rajoutez un peu pour le prix du métal L’homme sorti une autre petite pièce un peu tordue de sa poche Adélard fit une grimace -- Vous avez, le prix du métal à augmenté suite à quelque évènement… Disons simplement que notre fournisseur est Adaar, et avec l'évènement de la corporation minière… -- Bien bien ! J’ai compris... L’homme rangea la pièce tordue et en sortie une autre, plus massive -- Marché conclu, voila votre serrure en place et votre clef Après cela, Adélard pris l’argent et assista au premier essai de la serrure, qui marcha sans aucun problème. Adélard rentra en marchant tranquillement, content d’avoir bien fait son travail. Il tenait dans sa main la grosse pièce pour le métal. A en juger par les motifs et les traces d’usure, elle venait du Sud et avait beaucoup voyagé. Il tenta de se souvenir des noms des différentes pièces comme ses parents lui avaient appris, mais en vain, cela faisait longtemps qu’il avait oublié toute ces connaissances de marchant. Qu’importe, une pièce, ça se fond et ça se re-frappe. Alors qu’il arrivait au niveau du cabinet, il vit un cheval devant la porte, chose assez inhabituelle pour être remarquée. En entrant, il fit le cavalier, c’était un homme dans la trentaine, propre, vêtu simplement. Il devait faire parti de l’entourage proche d’un noble. -- Bonjour, lança Adélard qui fit sursauter le cavalier -- Oh, heu, bonjour, répondit ce dernier, avant de continuer son discours -- Vous avez 2 semaines pour la réalisation, nous nous chargerons de la construction Sur ces mots, il tourna les talons et reparti sur son cheval. -- Il voulait quoi ? Demanda Adélard en pointant la porte -- Pour faire simple, son maître, un noble à la tête d’une grande compagnie marchande nous a demandé de construire une grue géante -- Et on a 2 semaines pour faire ça

-- Exactement

La fin

L’équipe vécut 2 semaines de travail très intense, à tel point que Adélard et Mathis avaient finis par dormir sur leur lieu de travail, sous leurs bureaux. L’avantage c’est qu’ils n’avaient plus à faire attention aux vapeurs toxiques le matin lorsque le soleil éclaire mal les ruelles où les bougies et les lampes prennent le relais.

Pour créer la grue géante, ils avaient choisis de créer une structure en équerre, il avaient pris l’un des modèles de Gustave modifié pour l’occasion, et c’est Mathis qui avait créé la base, avec l’aide de Guy pour le système de pivot. Adélard et Julie travaillaient sur les systèmes de poulies et de chaînes. Adélard eu l’idée de créer un double système pour élever la grue en ajoutant un bras. L’idée était bonne mais força une révision des plans. Ils pensèrent également à des contrepoids escamotable et un moyens pour les aider manuellement. La meilleure idée resta celle de Julie, qui créa une manivelle d’un nouveau genre qui prenait la forme d’un levier. Au bout de deux semaines, le cabinet était jonché de papier, de cire fondue, et d’intellectuelles épuisés, mais le modèle était la, et il était parfait. -- Tenez, voila les plans, voulez vous que je vienne pour les expliquer ? Demanda Guy, en donnant les papier au serviteur du noble -- Moui, ce serait souhaitable répondit l’homme qui ne savait même pas si il tenait le plan dans le bon sens

Les semaines suivantes furent moins intenses, en fait, ils étaient revenus à un rythme de travail normal, à réparer ou construire toute sorte de choses. Parfois, ils devaient aller voir le chantier de la grue, pour expliquer un plan, ou simplement vérifier que tout aller bien. Deux mois passèrent ainsi. Un matin, alors que la soleil se levait et inondait le lumière le port encombré de bateaux de toute tailles et de toute formes, les 5 co-équipiers regardaient la grue, immense et neuve. Il y avait aussi de nombreux curieux, ayant abandonnés leurs taches pour observer la grue qu’ils voyaient se construire sans fin. Elle allait enfin bouger. Le noble était là aussi, c’était un petit homme très gros, accompagnée de sa femme, dont on aurait juré qu’elle était sortie du même moule que son mari. Il y avait sous la grue 12 esclaves, près à pousser les barres qui permettaient la rotation de la grue, sur la structure elle même, 4 autres esclaves étaient à leurs postes, ainsi qu’un contremaître armé d’un fouet. La cargaison arriva, c’était 2 énormes caisses. Le chargement débuta, on chargea la première caisse, dès qu’elle quitta le sol, la grue commença à grincer, ce qui provoqua un mouvement de recul général, même le contremaître de la grue se prépara à courir. Mais tout ce passa bien, et la caisse arriva sur le bateau sans encombre. Tout le monde applaudis, même le noble semblait tout heureux. La deuxième caisse, cette fois, moins de gens reculèrent, en se moquant des quelques peureux. Ils n’auraient pas du. Des grincements, puis des craquements, toujours plus nombreux et fréquents. Puis tout bascula. Les bras se brisèrent, les chaînes rompirent, et la caisse chuta violemment sur le bateau, qui coula. Il y eu 16 morts, principalement des esclaves, prisonniers de leurs chaînes ils n’avaient pas pu fuir et avaient été écrasés. Il y eu un long silence, puis des cris, des pleurs, des vomissements. Quelques spectateurs courageux et 3 gardes qui passaient par la vinrent en aide aux blessés. Un petit bateau alla secourir les marins qui étaient à l’eau. -- Que...que… répétait Mathis -- Les matériaux, chuchota Gustave -- Il ont du faire des économie en prenant de mauvais matériaux poursuivit Guy -- Ce sont eux ! Hurla le noble Aussitôt, les gardes foncèrent vers les 5 compères. -- Suivez moi ! Cria Mathis en se jettant à l’eau Mais les autres n'eurent pas pas le temps de le suivre, les gardes les avaient pris. -- Nous n’avons rien fait dit calmement Gustave, laissez moi vous le prouver -- Comment ? Fit le noble -- Laissez moi aller au cabinet, j’ai des papiers qui le prouvent -- Bien, qu’un garde accompagne le vieil homme On emmena les autres au tribunal, en attente des papiers, mais… -- Ser, dis le garde qui était censé accompagner Gustave, en entrant dans le tribunal, essouflé -- Oui ? -- Le vieux… Il a prétendu avoir besoin d’une bougie, et quand il l’a eu allumée, il a mis le feu à tous les papiers, puis s’est suicidé C’était la meilleur chose à faire, ainsi, impossible de remonter jusqu'à leurs familles, ou même jusqu'à Mathis. Il n’y avait aucune preuve pour eux, c’était un tribunal monté, ils seraient vendus comme esclave, le plus loin possible, pour effacer toute traces de cette histoire. Gustave n’acceptait sans doute pas cette idée, il doit être avec sa femme, maintenant. Effectivement, il fut démontrer que par paresse, les ingénieurs n’avaient pas pris la peine de faire mieux pour les mécanismes. Peine d’esclavage, pour “dédommager ce pauvre homme qui à tant perdu”. Ainsi, le lendemain, ils furent embarqués. Julie et Guy furent séparer, en voulant s’opposer, Adélard pris une droite dans le visage. Il fut ensuite enchaîné et mené sur un bateau, la dernière chose qu’il vu fut une longue colonne de fumée, et le soleil, qui était bien droit dans le ciel. Il fut attaché dans une cale. “Direction fort lointaine” hurla un marin. Fort lointain… Esclavage… Le bruit des marins qui s’agitent. Le claquement de l’eau sur la coque. Les voiles qui se tendent.

Adieu.