Utilisateur:Adelina

De Wiki'speria
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Informations RP
Nom
Genre
Femme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
AurelTHunter
Pseudo
Aurel


Âge IRL
21 ans













Description Physique

Adelina est une femme plutôt svelte, agile, de taille moyenne, mais néanmoins assez forte pour soulever une épée. Elle est de couleur noir de cheveux, la peau foncé, avec un regard vert , contrastant avec son teint si sombre, faisant ressortir ses origines quadjarides. Elle a les cheveux plutôt long, raide, rasé sur le coté droit, hormis une petite mèche qui descend devant son oreille, son coté gauche cache en partie son visage, de ses yeux a la limite de sa bouche Elle est tatouée au niveau des bras et du dos, de plusieurs runes et inscriptions sensé le protéger des mauvais sort. Elle a aussi divers petites cicatrices au niveaux des jambes, et une plus récentes sur les cotes.

Description Mentale

Adelina est une bonne vivante, elle aime faire la fête et charmer les hommes qu’elle rencontre, surtout avec une bouteille de rhum dans la main. Elle se fait poète a ses heures perdu ou elle ne sait quoi faire .Mais en dehors de ça, elle est quelqu’un de diffèrent. elle peut être très rancunière et cruelle envers ceux qui l’ont trahi . Elle profite aussi de tout ce qui lui tombe sur la main pour avancer, d’une faiblesse comme d’un avantage, ce qui la rend un peu fourbe.

Aptitudes

-Combat:

  • Cimeterre: Normal
  • Main nue: Normal

-Alphabétisation

-Navigation

Talents

  • Charmeuse
  • Fêtarde
  • Croyante moyen
  • Amateur de rhum
  • Poète

Défauts

  • Rancunière:
  • Peut être cruelle:
  • Profiteuse
  • Fourbe
  • Superstitieuse

En Esperia

Fiche Dispensaire

Histoire

“Prologue”:

http://www.youtube.com/watch?v=diQJgp6uPQw

Dans l'archipel de Lig Ocolide, se trouve une ile, enfin trois ile... une grande ile et une ile de taille moyenne, entourant une ile très petite. La plus grande , composer de village et de culture ainsi que d'une ville, est le siège de deux famille. Une famille de Nantis discrète, neamoins violente dans ses actes et réponses. Le dirigeant de cette famille est un homme de 50ans réputé très violent lorsqu'on agresse sa famille, ce qui a mené à une voir plusieurs exécutions ... Sa famille est constituée de son premier fils, né d'une relation avec une prostitué de l'île centrale. Il a aussi un autre fils et une fille née d'une relation différente. Cette famille aurait été les remplaçants, d'apres certaines rumeurs d'une famille disparue depuis. De l'autre bout de cette ile se trouve l'autre famille réputée comme citadin, vivant au coeur de la ville et contrôlant celle ci. Et dans la dernière île se trouve la derniere famille de Nantis de cette ensemble, représenter comme puissant et malsain . Beaucoup de rumeur circulerait sur leur cruauté et leur... perversité envers leurs ennemis. Il existe aussi d'autre famille de Nantis dans ces trois ile, mais trop petite pour être vraiment connu, contrôlant une ou deux rues de villes. La dernière île de cet ensemble est petite et peut-être considérer comme un bordel en entier, vu que celle-ci est principalement composée de bordel et de taverne, d'où son nom, l'ile de la Pique. Cette île est aussi connue pour posséder les plus belles filles du monde. Trois pontons sont mis a disposition des Familles Nantis, chacun a l'écart des autres pour éviter les affrontements. Cette île est aussi celle subissant le moins de vol et d'agression, aux vues de son importance pour les Ocolidiens.

“Un bordel de vie”:

http://www.youtube.com/watch?v=oJ2jEcHVG74

C'est dans cet environnement qu'a vécu Adelina, née dans un bordel de l'île du plaisir, d'un père inconnu et d'une mère prostituée, carrogienne d'origine. Elle n'était pas vraiment aimée de sa mère, c'était plus l'ancienne du bordel qui s'occupait d'elle, Valérie, vu que ses clients se faisaient de plus en plus rare. Elle était plus la femme d'expérience, enseignant aux nouvelles, trucs et astuces donc seule la pratique est maître. Sa vie débuta ainsi, entourer de putes et d'ivrognes, de sexe et d'alcool, de luxure et d'avarice. Pendant cinq ans, elle vécue une vie à l'abri du besoin. Elle avait un toit, à manger, une famille... enfin une famille de pute. Elle ne sortait que pour accompagner la vieille Valerie dans ses courses, fournissant le nécessaire à ses protégées pour faire leur travail convenablement, tenue, parfum, maquillage. Adelina s'amusait à regarder les robes, à s'imaginer dedans, à danser. Il arrivait que les filles du bordel la maquillait, elle était toujours très contente de ressembler aux femmes qu'elle voyait tous les jours. Cet environnement lui plaisait, mais sa présence réveilla aussi quelques monstres endormit sous une couche d'humanité. Il arrivait qu'on demande la nuit avec cette petite fille. Le gérant du bordel ne voyait pas en elle une grande source de revenue, jusqu'à ce qu'un Nantis la veuille, offrant une somme coquette à cet homme avare. Il allait accepter quand Valerie empêcha cet achat, prétextant une mycose, dégoûtant légèrement le client, qui reviendrait dans une semaine.. Ce temps de patience fût utilisé par la vieille pour sauver Adelina, arrangeant une fuite vers la plus grosse île à côté, elle s'arrangea avec un passeur du coin pour qu'elle soit emmenée seine et sauve loin de ce bordel et de cette île de plaisir. Elle savait qu'elle laissait seule cette petite fille sur une ile où elle ne la reverrait pas, elle priait pour que celle-ci s'en sorte. C'est dans un début de matinée que Valerie emmena Adelina sur un quai où elle fut prise en charge par un passeur, la conduisant a bon port et la laissant de l'autre côté, seule, terriblement seule.

“La vie dans les rues”:

Elle ne comprenait pas... elle se demandait pourquoi... Elle était là, sur le quai, regardant celui qui l'avait éloigné de sa famille. Valerie lui avait dit que c'était pour son bien, mais elle ne pouvait empêcher les larmes de couler. Elle se tourna alors vers la ville, l'immense ville, la sombre ville... Elle commença alors son exploration, cherchant un coin où elle serait en sécurité, au moins pour l'instant, pour attendre le jour suivant avec appréhension. Elle passa une nuit épouvantable, a l'affût du moindre bruit, elle finit par prendre une espèce de bâton pour se défendre. Lorsqu'elle fermait les yeux, elle voyait déjà des monstres lui sauter à la gorge. Le matin se levait avec difficulté, elle commença à marcher dans les rues, recherchant de quoi manger, ou tout du moins se sustenter. C'est par hasard qu'elle tomba devant une échoppe de vendeur de fruit. Elle s'arrêta devant elle, admirant les délicieux aliments qui y étaient entreposés. Elle regardait ensuite autour d'elle, cherchant le vendeur des yeux, puis tenta de prendre une pomme furtivement. Elle croqua dedans puis s'en alla rapidement loin de l'échoppe.Alors que le soleil montait dans le ciel, elle visitait la ville où elle était tombeé. Elle ne connaissait pas son nom, ni où elle était. Elle ne savait pas grand-chose enfaîte. à force de marcher, elle tomba sur une espèce de villa au plein milieu de ses bâtiments et échoppes. Elle se risqua à jeter un oeil à travers les grilles et avec plus de détails, le chemin derrière celle-ci, faites de graviers, montant jusqu'à la porte du manoir et le jardin, composé de buisson tailler carré et une fontaine au centre. Le Jardin était petit, mais manifestait quand même de la richesse et puissance. Elle avait chaud et regardait la fontaine avec envie. Elle continua alors sa route dans les rues sèches de la cité. Le soleil était haut dans le ciel quand elle tomba sur un puits. Malheureusement trop petite pour arriver à quoi que ce soit avec , elle resta devant celui-ci , espérant de l'aide d'un passant, mais rien. Pendant plusieurs heures elle resta là, devant le puits. Une personne arriva avec une jarre. Elle la regarda remplir celle-ci d'eau et repartir. En regardant dans le sceau, elle trouva un fond d'eau qu'elle but aussi sec. Ça ne suffisait pas à étancher sa soif, elle resta donc planter là, à attendre qu'un autre passant vienne chercher l'eau. Elle se mit alors à voler sur place, regardant le sol dont ses pieds n'avaient plus de contact avec celui-ci. Un visage entra alors dans son champs de vision. Elle sursauta légèrement, enfin si elle pouvait toucher le sol, elle aurait sursauté. L'homme la tenait par le col, la fixant de ses yeux marron. "Hé ptiote" qu'il dit. "T'payé l'taxe pour l'puit l'bas? huh?" Elle secoua négativement la tête, effrayer par la brute. "Hé cment t'vas payer, huh? Elle baissa les yeux, gardant le silence, puis baissa sa tête "T'vo ben qu'elle a pas un rond l'ptiote la, laisse l'o." annonça un homme dont elle ne voyait pas la tête. La brute la lâcha brutalement, elle en tomba sur le cul. Elle se releva, regardant les deux hommes s'en aller. Elle comprit qu'elle devait être prudente dans cette ville. Qu'à la moindre erreur, des ennuis lui tomberait dessus

“La voie de la mer”:

http://www.youtube.com/watch?v=EOrE2Qr1FMU

Elle survécut comme ça pendant plusieurs semaines, volant à manger et à boire, tout en essayant de ne pas se faire attraper, dormir dans la rue, un oeil ouvert. C'est en passant dans le porc qu'elle vit un navire s'en aller au loin, loin sur la mer, le vent dans le dos. Elle le regardant disparaître à l'horizon, s'imaginant sur celui-ci à naviguer en haute mer, les cheveux dans le vent... Elle s'en alla alors, s'enfonçant dans le port. Trois jours durant, elle chercha des capitaines de navires prêt à l'accepter sur leur navire. Trop jeune, trop frêle et même "J'prend po d'fille sur m'rafiot , dit, c'porte malheurs, Darrr". Mais à force de revenir tous les jours, un second prit pitié d'elle et l'a prit comme mousse. Elle n'avait pas beaucoup d'affaires et ne portait qu'une robe lors de son entrée sur le navire, d'ailleurs, celle-ci ne dura pas longtemps avant de finir en une espèce de jupe. C'est ainsi que commença sa carrière de mousse Ainsi, pendant six ans elle resta sur le même navire, devenant un membre à part entière de l'équipage malgré son âge. Entraînement au poing et à l'arme, elle développa son agilité sur le bateau, sur les cordes et mât. On lui apprit aussi à lire et écrire, vu qu'elle ne participait pas encore aux abordages, pour qu'elle tienne le journal de bord. C'était l'une de ses tâches, quand elle n'entretenait pas le pont. Elle n'arrivait pas encore à relever les voiles, mais elle savait faire des noeuds, ce qui faisait qu'elle montait souvent en haut pour aider à fixer les voiles ou à les descendre.

https://www.youtube.com/watch?v=KGHA9oO1Ybg&list=PLA10D6BE808DD1BBF&index=3

Lors de ses temps libres, elle adorait regarder la vue depuis le haut du mat du navire où elle était depuis tant d'année. Ainsi, lors d'un retour vers Lig, elle était là, admirant l'horizon, d'une nuit de pleine lune. La mer était calme, le silence était pesant, trop pesant, comme si le temps s'était arrêté, que la mer avait arrêté son activité, que le ciel c'était fermé à tous sons. Un choc se fit ressentir alors, comme si le bateau avait touché un récif. Ce choc faillit la faire tombéde son perchoir. Lorsqu'elle se pencha pour voir , elle vit qu'à la place d'un récif, se trouvait un navire. Des ombres étaient en train de se diriger vers la proue de celui-ci, afin de débarquer sur le navire enfoncé, elle voyait quelques ombres sous le mat, semblant prêt a en découdre, alors que d'autres sortaient des entrailles du navire pour rejoindre l'opposition. Elle commença alors à descendre lorsque la vigie lui prit le bras et la fit remonter en lui disant "Ci, t'seras en sec'rité", rest' lo." Il descendit alors et elle resta là, observant les ombres qui entraient dans la coque par la fente, pendant que d'autres montaient sur le pont. La lueur de joueur arrivait petit a petit, quand la résistance sur le pont se fit mince, il restait cinq hommes protégeant l'entrer de la cale, contre une vingtaine. C'est alors qu'elle sortit , la lieutenant, Jinni qu'elle s'appelait. Une femme aussi coupante qu'un canif, autoritaire qui maniait par la voix les hommes, comme son épée avec sa main. Enfin... épée... là , elle portait une espèce de croix de bois, arme de fortune couverte de sang. Elle était accompagnée de cinq hommes. Tous étaient exténué, mais la lieutenant ne semblait pas être prête à abandonner pour autant. Elle chargea, sans un mot, dans la mêlée, suivi de ses hommes. Alors qu'Adelina regardait le combat, d'un Jinni tuant et tuant des hommes a foison avec sa croix, un combat diffèrent avait lieu derrière celui-ci, d'une vigie face à un homme prêt à le tuer. Celui-ci était en difficulté. Elle voulait l'aider, mais ne savait pas comment faire. Elle regarda où elle était et remarqua la bouteille de rhum posé là, sur la plate forme de vigie et la balança sur l'homme qui allait tuer son compagnon de mat. Elle rata sa cible, mais cela offrit une distraction a vigie pour tuer son adversaire. Et cette mort signa la fin de l'affrontement... la fin de son enfance et le début de tout autre chose.

“La mer rend riche”:

https://www.youtube.com/watch?v=4N31oFeinFY

14 ans après cet évènement, 14 ans de vie d'écumeur, de combat et de corvée, d'apprentissage et de beuverie, après tant d'année à servir sur le bateau de Jini la croix, elle obtient enfin la possibilité de devenir capitaine de navire. Elle avait un plan, un plan menant à un port caché dans la région des marches. Un navire, un équipage, voilà ce qu'elle voyait, une opportunitée de devenir quelqu'un de reconnu. Elle arriva devant la demeure S'Jet. Jini l'attendait avec quelques hommes. Elle donna son cimeterre et sa dague, puis se fit fouiller. Elle entra dans la demeure ou le Nantis l'attendait. Il la regardait, puis lui fit un hausse de menton. Elle s'approcha alors, montrant la carte et proposant son plan au Nantis. Après l'avoir, elle s'écarta et Jinni s'approcha de celui co, elle lui murmura à l'oreille. Elle remarqua que quelqu'un l'observait derrière l'homme sur son trone , sans doute le fils de celui-ci. Elle l'observa alors, étudiant ses traits et son attitude. Elle en revint ensuite au Nantis qui la fixait. Il hocha ensuite la tête et se leva, l'invitant à le suivre. Elle venait enfin d'avoir la chance de prouver ce qu'elle a dans le ventre. Son plan était simple, elle avait acheté avec une bonne grosse part de butin une carte, une carte d'un vieux port situé dans les marches, entre la Capitale et Urrogia, un endroit parfait pour piller les navires de commerces entre ces deux cités. Elle avait maintenant son navire et son équipage, la fortune ne pouvait que la guetter. Ainsi, pendant prêt de quatre ans, elle s'enrichit, elle et son équipage de ces pillages de navires Carrogiens, rentrant à Lig pendant la nivôse et recommençant lors de thermidor, donnant la part des revenus au nantis S'Jet. Mais ce qui fait profit, attire l'oeil et pas forcement ceux des honnêtes gens

“Richesse attire convoitise et jalousie”:

https://www.youtube.com/watch?v=41ngnsC8w4E

La nivôse approchait, il était temps de revenir à Lig et de profiter de cette pause imposer par les saisons. Pendant une nuit du voyage de retour, Adelina se réveilla en sursaut. On aura dit de l'orage, en sortant sur le pont, elle vit qu'enfaîte, deux navires encadraient le sien. Elle ne voyait pas leurs pavillons, elle ne savait donc pas contre qui elle se battait, elle alla récupérer son cimeterre, après avoir crié haut et fort : "Sur l'pont, Ocolidiens, on es't 'ttaqué!". à peine sortie de la soute qu'elle se prie un coup de pommeau dans le front, l'assommant sur le coup. Elle ouvrait les yeux... ils faisaient sombre, trop sombre pour y avoir grand-chose... Mais une lumière fit apparition devant elle, ce n'était pas l'environnement qui était sombre, mais sa vue qui était trouble... "La v'la, cap'tain." dit une voix. "Ben.. on'l r'mene à Lig, et on'l montre a'l nantis, 'sera content, héhé." répondit semble-t-il le capitaine "On peu'l toucher, dit ?" demanda un autre. C'est alors, sans avoir reprit ses esprits, qu'elle envoya un coup de coude dans les burnes de celui qui soutenait son bras droit plus qu'il le retenait, elle essaya de piquer le cimeterre à la ceinture de celui-ci, avant de tenter de l'envoyer dans le type devant lui. Les deux types reculèrent alors, la laissant seule face au capitaine adverse. à peine bloqua-t-elle un coup qu'elle recula, se faisant désarmer et couper au niveau du ventre. Elle reçut ensuite un coup de poing au niveau de sa joue gauche, la faisant passer par-dessus bord. Elle chuta alors dans la mer, où elle tomba inconscient dans les abysses.

“Jalousie de pain et d’eau”:

Elle ne se rappelait pas d'avoir été sur de la paille, avec une odeur de pisse dans le nez, elle ne se rappelait pas avoir été repêcher sur un navire, ni d'ailleurs d'avoir été retrouvé, accrocher sur une planche, ni d'ailleurs de ne pas avoir sombré. Elle ne se souvenait que ce picotement sur les cotes et cette froide caresse qui l'englobait totalement, l'entraînant dans un profond et sombre sommeil. Elle entendait des chuchotements, puis des gros bruits et le silence. Elle entendait le bruit d'une trappe qui s'ouvrait et d'une multitude de bruit comme si un panier à fruit tombait par terre. Elle sentait de l'eau et du pain qui s'engouffrait dans sa bouche et une voix derrière qui disait "Elle mourra à peine arriver, lui donne pas le peu qu'on a" et d'un "Form' la". Puis... elle entendit "FORT LOINTAIN A L'HORIZON!"