Utilisateur:Azer
Azer Merilio
Métier
Métier
Compléments
Fonctions
Professeur de Lettres
Gérant de la Poste
Barbier
Garde
Informations HRP
Login Minecraft
xDreamiidzer
Pseudo
Azer
Prénom IRL
Quentin / Quinquin
Âge IRL
18
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Musique d'ambiance conseillée pour de bonnes conditions de lecture et une meilleure immersion[1]ou [2]
Présentation générale
♦ Nom ♦ Merilio |
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♦Description physique : ♦
Azer est plutôt facilement reconnaissable. Large d'épaules, ses bras sont assez musclés, comme le reste de son corps. Ses jambes se sont développées avec la distance totale qu'il a pu parcourir dans sa vie, que ce soit en forêt, mais aussi dans les villes. Marchant d'un pas assez rapide, il a pour habitude de se déplacer les mains dans le dos. Le regard se perdant régulièrement vers l'horizon, d'un air pensif, il se laisse souvent rêvasser.
Armé d'un visage aux multiples facettes, passant par son regard profond, puis son sourire qui a fait de lui tout ce qu'il est. Souriant très souvent, que ce soit d'un maigre, ou en coin l'air amusé, à un large et sincère, il aime faire ressentir ses émotions par son sourire, mais aussi par son regard. De ses yeux d'un bleu acier, rare, clair, et profond, il aime sentir les gens se perdre dans son regard, ayant toute une discussion unique et silencieuse, sans un mot, rien qu'en échangeant un regard[3]. Passant de longues minutes à se coiffer chaque matin, il a une coiffure assez soignée. Brun, il tire généralement ses cheveux en arrière, mais reviennent rapidement en bataille au vu du fait qu'il ne cesse une seconde de bouger. Une barbe régulièrement rasée, pour garder ainsi son bouc qu'il soigne avec précaution.
De son corps bien développés au fur et à mesure des années qui ont passés, il s'est aussi blessé plus d'une fois laissant place à diverses cicatrices sur son corps que l'on peut probablement remarquer s'il est torse nu, ou s'il les révèle. On en remarque une traversant son visage, passant du dessus de son sourcil, jusque sous son œil, ressemblant à une pointe d'arme contondante, lui ayant effleurée la peau. Il en porte une aussi à sa main droite, lui ayant transpercée la main. Son avant bras gauche porte sur tout son long des cicatrices parallèles et identiques, auxquelles on pourrait juger un coup de griffe.
Tatouage réalisé par Djafar ou Dimitri le 12 mars 515. "L'homme naquit pour travailler, et l'oiseau pour voler." |
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Le passé fait notre présent
"Tout Commença ..."
Le vent soufflé alors que le froid était glacial, les lacs avaient gelés, la neige avait caché les toit des maisons, et les rues, ne laissant plus que place à un immense drap blanc. La rosée du matin faisait évaporer l'humidité de la nuit, nappant l'air d'un léger brouillard. On pouvait alors apercevoir une silhouette, une personne qui semblait vouloir courir, mais n'y arrivant plus, à bout de force, comme ce que l'on aurait pu deviner un embonpoint au ventre. Ainsi plus la silhouette s'approchait, plus l'on y devinait une femme enceinte épuisée, pressée, et surtout, paniquée. Essoufflée, sa robe ne démontrait plus qu'une couleur ensanglantée, ses mains tremblées, les cheveux mouillés, alors qu'une fine pluie commençait à tomber, qui recouvrait ses larmes qui coulaient sur ses joues.
Un homme se tenait à sa fenêtre, l'air d'attendre quelque chose ou quelqu'un, le regard au loin vers l'horizon. Il remarqua alors cette femme, et alla se précipiter vers elle lorsqu'il reconnu la femme de son frère, arrivant, seule. Leur arrivait était prévue ce jour même, mais bien plus tard dans la journée, avec leur charrette de voyage. Dans la surprise et la panique il l'a pris dans ses bras, alors que la femme semblait sur le point d'accoucher, il l'emmena chez lui, pour la laisser au soin de sa femme tandis qu'il allait chercher des Soignants pour la faire accoucher.
Ayant courue toute une nuit, sans que l'on sache pourquoi, elle expliqua, de son souffle coupée par les contractions, ils découvrirent qu'elle et son mari avait été embusqués par une groupe de vandales à cheval, qui les avaient pillés, volés leur charrette de tous leurs objets ayant la moindre valeur, puis les avoir ensuite frappés tous deux. Son mari, lui avait laissé une chance, une issue pour s'enfuir, et il y laissa sa vie pour elle, et son fils, ce qu'il avait de plus cher, au détriment de la charrette, l'or, et les objets de valeurs. Elle courue toute la nuit, sans s'arrêter, qui durant la course, l'effort, et la panique, le bébé se fît sentir, voulant sortir. Sans doute était-il curieux de savoir ce qui pouvait bien le remuer ainsi dans sa chaude et douce maison, qui jusque là avait toujours était calme, et apaisée.
L'accouchement a été douloureux, sanglant. Les cris de douleurs retentissaient encore dans la rue, alors que le soleil apparaissait à peine dans les rues de la Capitale, ce matin d'une nouvelle année, un premier janvier. On y découvrit un petit garçon, l'air fort, les yeux éveillés, observant partout, le plafond, le soleil, et surtout cette femme qui agonisé encore. Elle le regarda, avant que tous ses muscles ne relâchèrent, respirant lentement. On lui apporta son bébé dans ses bras, et alors, qu'un soupçon de sourire apparaissait, ses yeux plus humides que le froid qui gelait les vitres, on aurait pu lire dans ses yeux, qu'elle avait senti que le moment était venu. Et sa tête se relâchât en arrière, les muscles qui tenaient son cou abandonnèrent la prise, et le dernier souffle de cette femme, fût le seul, et dernier bruit que l'on entendait dans la pièce.
Cette histoire, l'homme qui avait accueillie cette femme, n'a jamais cessé de penser à cette nuit là. Son frère était décédé, ainsi que la belle soeur de l'homme. Sa famille. Pour ne laisser place qu'à un petit être, qu'il jura d'éduquer comme son fils, en leur mémoire.
A ce jour, cette histoire, je ne m'en souviens plus de tout, mais j'ai encore parfois l'impression d'entendre ces cris, d'une femme qui malgré son état, était magnifique. Une femme a qui je dois tout. Une femme, que j'appelle : Maman.
"Une histoire marquée au fer rouge"
Source[4]. Peut servir comme son d'ambiance lors de la lecture de ce texte.
Il n'y a pas un instant où je ne pense pas à toi
J'aimerais revoir ton visage
Sentir ta main dans la mienne
Te serrer contre moi
Même si je sais que c'est sans espoir
Tu m'as quitté
Je ne peux pas te faire revenir
J'ai l'impression d'être un damné
Traînant sa malédiction
Et je sens que ce n'est qu'une question de temps
Je me demande pourquoi j'écris tout ça
Je ne vois pas ce que ça peut changer
Je sais que je ne peux pas te faire revenir
Pourquoi ça nous ait arrivé à nous?
Je me dis que c'est ma faute
Je porte Malheur
J’empoisonne tout ce que je touche
Il y a longtemps que je ne fais plus grand chose,
De bien en ce bas monde
Une dernière chance
Le dernier Combat de ma vie
Vivre ou mourrir, en ce jour.
Son caractère
Qualités Travailleur Philanthrope Coquet Ingénu Assujetti |
Défauts Casanier Dubitatif Enjôleur Opiniâtre Rétif |
Aptitudes
Ce qu'il possède
Ses Tenues
Celles qu'il porte
: "Une grande veste. En laine verte foncée. Décorée de dorures."
Constamment sur lui
: "Bourse simple en cuir souple."
Son armure et ses armes en WIK
Dans sa vitrine
[7]: "Coeur verre soufflé de couleur bleutée ressemblant à de la glace, d'une hauteur de 6 centimètres. Y est gravé :Nous."
Les Écrits en sa possession
"Une personne âgée qui meurt, c'est comparable à une bibliothèque qui brûle."
"La musique comme domaine d'activité langagier"
"Le Système Hiérarchique en Grande Huratelon"
"La Nivôse Rouge. Les Secrets d'Esperia Tome"
"La Collection complète "Bulletin des Hommes"
"Recueil d'un musicien-compositeur et orateur"
"La Collection complète "Journal des Dames"
"Collection complète des "Recto-Verso"
"La collection complète "L'Ouestien"
Objets Divers
Ses bêtes
Informations générales | |||
¤ Sexe : Femelle ¤ Prénom : Sauviage ¤ Surnom : Sausau ¤ Âge : 2 ans ¤ Longueur (sans queue): 1m48 ¤ Hauteur (Au garot): 80cm ¤ Poids : 50 kg ¤ Cheveux : Blanche et grise |
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Caractère | |||
¤ Calme ¤ Patiente ¤ Jouasse |
Informations générales | |||
¤ Sexe : Mâle ¤ Prénom : Bryling ¤ Surnom : Bry' ¤ Âge : 2 ans ¤ Longueur (sans queue): 1m52 ¤ Hauteur (Au garot): 86cm ¤ Poids : 54 kg ¤ Cheveux : Noir |
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Caractère | |||
¤ Agressif ¤ Méfiant ¤ Joueur |
Ses fréquentations
Sa famille
Sa compagne
Notre première rencontre m'avait parue banale. Une simple discussion, sans importance sur le coup. Mais qui, au final s'est avérée révélatrice. Tu m'avais paru intéressante, charmante ... tu as piqué ma curiosité. J'ai eu envie d'en savoir plus sur toi. Les événements ont fait que nous nous sommes découverts progressivement, par nos qualités, nos défauts, que tous, j'ai apprécié. Le temps passait si vite avec toi. J'oubliais momentanément mes soucis, mes fardeaux, mes calvaires ... Ta compagnie m'a aidé à ne pas flancher sous le poids des responsabilités qui pesaient sur mes épaules. Le temps a passé, et nous passions majoritairement ce temps ensemble. Un lien s'est tissé entre nous deux, sans même que je m'en rende compte. Jusqu'à ce soir là; où le tilt s'est fait. Où nous nous sommes rapprochés. Où nous n'avons fait qu'un. Toi et moi, nous sommes fait des compromis. Pourquoi toi? Et aussi vite? M'ouvrir à toi, et t'écouter t'ouvrir, me fait sentir pour quelqu'un de meilleur, de changé. J'aurai dû l'être avant, mais sans toi ça n'aurait pas été possible. Les mots ne valent pas assez ce que je ressens pour toi. Alors voilà pourquoi j'ai fais cette demande. Je n'en veux pas d'autres. Je n'en veux plus d'autres. J'ai fait le tour, et cela m'a permis de savoir que je ne trouverai pas mieux, et que je ne veux pas mieux. |
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Sa progéniture
Ma fille, mon enfant, ma puce, mon trésor, mon cadeau, ma joie, notre moitié, notre "Mini Nous", notre tout.' Paix à ton âme mon enfant.
Certains sont partis, pour de bonnes raisons, ou lâchements, j'ignore encore ce que je dois penser. Les pardonner car ils sont ma famille, ou est-ce à eux de faire le premier pas? Le temps me le dira peut être, ou peut être pas. Je ne vous oublie pas pour autant.
Ceux qu'il estime beaucoup
Meilleurs ami(e)s, ami(e)s, bonnes connaissances, confiances en vous, vous êtes tous des personnes qui comptent pour moi, et qui me rendraient triste si vous veniez à disparaître de ce monde.