Utilisateur:Calliope : Différence entre versions
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**'''Mains nues:''' Amateur. | **'''Mains nues:''' Amateur. | ||
Version du 15 juin 2015 à 13:45
You hit the ground, bang bang
My baby shot me down
Caractéristiques
- Prénom: Calliope
- Âge: 26 ans
- Date de naissance: 17.04.489
- Taille : 1m72
- Poids : 65kg
- Origine : Lig Ocolide.
- Religion: Culte Qadjaride.
Aptitudes
- Portrait moral:
Calliope provient d’un savant mélange entre qadjaride et lig ocolidien. Elle en retire donc naturellement toute la douceur d’âme, la fidélité et l’abnégation imaginable qu’un tel accouplement peut produire.
Par dessus ces diverses qualités qu’on ne pourrait ignorer, elle est surtout franche de geste et d’esprit, très vulgaire et particulièrement sale. Son éducation partielle fait d’elle une personne bornée, têtue comme un âne, avec qui débattre d’un sujet est peine perdue ; de même, son travail comme prostituée de longues années lui a appris à ne pas s’attacher et à changer de partenaire, se vendant généralement au plus offrant. Pour autant, elle n’est pas complètement stupide et saura faire preuve de discernement si la situation l’exige, sa méfiance naturelle aidant beaucoup au jugement d’autrui. Elle n’a pas vraiment de but dans la vie, hormis pouvoir gagner son pain sans tapiner et protéger les deux seules personnes en qui elle a confiance : son frère Ash et son cousin Rhan. Pour les deux, elle est quasiment prête à tout et n’importe quoi.
- Portrait physique :
Calliope avoisine les un mètre soixante-douze, et doit peser aux environs des soixante-cinq kilos. Sa peau est métissée, très halée, brunie par endroit sous l’effet du soleil. On peut remettre en doute sans mauvaise foi son hygiène corporelle, bien qu’elle sache plus au moins cacher les mauvaises odeurs depuis qu’elle est prostituée. Ses cheveux sont noirs, sales et emmêlés, bouclés s’ils étaient entretenus ; elle possède les mêmes pupilles que son frère Ashqar, d’un vert mélangé à la boue et à l’alcool. Son corps est perpétuellement marqué par des cicatrices, des blessures peu profondes ou des marques rougeâtres ; ses jambes sont longues et entraînées pour maintenir la distance, de même que ses bras. Ses mains restent rêches, avec leurs longs doigts aux ongles arrachés, ni doux, ni tendres. Elle garde sur le visage une éternelle moue irritée, voir carrément furieuse ; sa langue claque avec ostentation sur son palais, et ses yeux glissent sur les gens pour en étudier le corps et les manières. Une de ses mains est continuellement portée dans le creux de son écharpe en tissu, où se cachent des trésors inimaginables. Sur ses bras, ses clavicules et ses mollets se dessinent des tatouages noir profondément marqués.
Armes
- Un gourdin :Un gourdin en noyer, offert par
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, pour se protéger des clients un peu trop affamés. Il y a gravé dessus "Garde Esperienne". Il est bien en vu sur sa hanche, à côté de sa bourse.
- Une masse en bois : Massue solide, lisse, donnée par Azer Merilio lors d'un entraînement. Elle trône à sa ceinture, près de sa main.
- Couteau pour tailler le bois : Manche solide, bien aiguisé. Trouvé puis donné par Rhaenarr. Il a remplacé le bête couteau en bois chouré au Chat.
- Une pelle en fer : Simple pelle peu résistante, avec qui Ash s'est acoquiné de nombreux soirs. Il l'appelle Pascale.
- Une fourche : Outil de paysan gracieusement offert par messire le moine Rudel, qui est toujours gentil et agréable avec les trois ligs.
Le bon, la brute et le truand
Ashqar et Rhaenarr C'était comme, à chaque fois, déclamer les deux prénoms d'une seule vie. Un souffle d'abord, puis la langue qui roule contre le palais pour venir claquer contre l'arrière des dents ; c'est rêche, agressif, imprononçable lorsque l'on n'est pas né dedans. Ça laisse un goût amer sur la langue, un étrange goût de regret, comme le râle qu'on articule après une blessure. Les bredouiller inlassablement durant des heures, en les regardant se défoncer la gueule à ce qu'ils peuvent trouver ; les chuchoter en plein sommeil, après qu'ils soient lourdement rentrés ; les proclamer haut et fort, à qui veut l'entendre, avec une fierté provocatrice, une mutinerie évidente. Les garder pour soi, aussi, jalousement, les garder parce qu'il n'y a rien qu'ils ne puissent faire sans se casser davantage.