Utilisateur:Phaen : Différence entre versions

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(Page créée avec « {{Fiche Personnage |Image= |Nom= Phaen Claedes |Sexe= Homme |Ville_Origine= Laggeneau |Région_Origine= Gyllendal |Nation_Origine= Grande Huratelon |Métier= Joaillier |Fa... »)
 
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[[Fichier:Grille_Boussole.png|30px]] '''Survie:''' ''Il est normal qu'après avoir passé un grand nombre de semaines chassé de chez lui, dans une vaste foret que votre talent pour la survie se développe. ''
 
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=='''Talents'''==
 
=='''Talents'''==
'''Attitude noble:''' ''Se tenir droit à table, savoir utiliser les mots de politesse etc... Un vrai petit prince.''
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'''Attitude noble:''' ''Se tenir droit à table, savoir utiliser les mots de politesse etc... Un vrai petit prince.''
  
'''Grande compassion:''' ''Il est vrai qu'avec un esprit aussi fourbe que celui-là, il faut éviter d'être son ennemi. Mais si vous en avez fais un ami fidèle, alors il saura vous aider comme il se doit.
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'''Grande compassion:''' ''Il est vrai qu'avec un esprit aussi fourbe que celui-là, il faut éviter d'être son ennemi. Mais si vous en avez fais un ami fidèle, alors il saura vous aider comme il se doit.
  
'''Loyal:''' ''Il ne trahira jamais une personne qu'il aime ou qu'il apprécie. Non, jamais.''
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'''Loyal:''' ''Il ne trahira jamais une personne qu'il aime ou qu'il apprécie. Non, jamais.''
  
'''Patient:''' ''1,2,3,4 jours plus tard. Il attendra toujours...5,6,7...''
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'''Patient:''' ''1,2,3,4 jours plus tard. Il attendra toujours...5,6,7...''
  
'''Tiens l'alcool:''' ''Cha m'fais rien du tiôu ! *HIC*''
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'''Tiens l'alcool:''' ''Cha m'fais rien du tiôu ! *HIC*''
  
'''Aimable:''' ''Bonjour, aurevoir, merci, s'il vous plait les bases de la politesse sont assimilés.''
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'''Aimable:''' ''Bonjour, aurevoir, merci, s'il vous plait les bases de la politesse sont assimilés.''
  
 
=='''Défauts'''==
 
=='''Défauts'''==

Version du 16 décembre 2013 à 21:32


     200.png
Informations RP
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de la famille







Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Sphalt
Pseudo
Sphalt
Prénom IRL
Martin
Âge IRL
14ans












Description

Sur le plan physique Phaen n'est pas bien grand et bien peu musclé ne s'étant jamais approché d'un quelconque exercice physique depuis longtemps. Une peau mate, condamné à rester pale le restant de sa vie, Phaen bronze très lentement (qui plus est il ne reste que rarement au soleil). De long cheveux bruns attachés avec un vieux morceau de tissu perdu dans sa tignasse lui arrivant en haut du dot. N'étant que dans la vingtaine phaen possède un visage jeune et plutôt bien formé. Vous pourrez trouver qu'il est quelqu'un d'insociable ou encore d'insensible, mais il n'en ai rien. Vous constaterez que Phaen n'éprouve ses sentiments seulement quand il se trouve seul et qu'il évite de faire confiance aux habitants d'Esperia de préférence, mais il peut se trouver amical voir même très comique en compagnie de ses amis.

Compétences

Grille Plume.png Minutie: Phaen possède des doigts d'une précision extraordinaire, rien de tel pour le métier de Joaillier.

Grille Marteau de Guerre en Fer.png Outillage: Vivre dans une famille où le travail est maître mot, et vous devrez apprendre très vite à savoir manier des outils, des plus gros et lourds, aux plus petits et délicats.

30px Orfévrerie: A force d'être obligé de lire les bouquins de documentations sur les minéraux, Phaen en connait un rayon.

Grille Œil de l'Ender.png Créativité: Phaen a toujours eu un esprit très développé et une imagination débordante, lui apportant des avantages comme des inconvénients.

Grille Boussole.png Survie: Il est normal qu'après avoir passé un grand nombre de semaines chassé de chez lui, dans une vaste foret que votre talent pour la survie se développe.

Talents

Attitude noble: Se tenir droit à table, savoir utiliser les mots de politesse etc... Un vrai petit prince.

Grande compassion: Il est vrai qu'avec un esprit aussi fourbe que celui-là, il faut éviter d'être son ennemi. Mais si vous en avez fais un ami fidèle, alors il saura vous aider comme il se doit.

Loyal: Il ne trahira jamais une personne qu'il aime ou qu'il apprécie. Non, jamais.

Patient: 1,2,3,4 jours plus tard. Il attendra toujours...5,6,7...

Tiens l'alcool: Cha m'fais rien du tiôu ! *HIC*

Aimable: Bonjour, aurevoir, merci, s'il vous plait les bases de la politesse sont assimilés.

Défauts

Paresseux: Il faudra toujours le pousser à aller travailler ou encore à lui faire faire des tâches ménagères. Mais par contre vous n'aurez aucun mal à le laisser dormir.

Peureux: N'ayant pas le meilleur des physiques pour le combat et étant un pacifiste finit, il est impossible pour lui de se lancer dans un combat.

Mêle tout: Comment vous expliquer son degré de curiosité légendaire ?

Gaffeur: "Je suis désolé pour ta mère..." "-Hein ? Elle a quoi ma mère ?!" Voici une scène qui vous arrivera surement si vous lui donnez trop de secrets.

Maladroit: Un conseil: Cachez vos objets de valeurs, ils risquent de se casser la figure !

Manipulateur: Phaen possède une technique bien à lui de se battre.

Représailles: Vous lui faite du mal ? Tôt ou tard cela vous retombera dessus.

Intérêts culturels et goûts

[EN REDACTION]

Amis déclarés

Ennemis déclarés

Histoire

Le vent frai du matin soufflait enfin sur mes cheveux long et brin, après une nuit des plus atroces... Une nouvelle journée plutôt banal pouvait commencer... Je me nomme Phaen, Phaen Claedes, et voici mon histoire. Je pense que je vais vous conter toute ma vie, mes petits moments de bonheurs comme, mes gros moments de désespoirs et d'incompréhensions. Alors, laissez-moi. Oui, laissez-moi vous raconter ma propre histoire, celle d'un homme qui avait tout donné pour la personne qu'il aimait le plus au monde. La personne qui l'avait élevé, qui l'avais chauffé, et surtout celle qui lui avait donné le plus beaux des cadeaux: L'amour d'une mère. Mon aventure pourra vous sembler banal, peut-être incroyable ou que sais-je encore ? Peux m'importe cela est bien mon histoire: Je suis le dernier fils en date de la riche famille Claedes de la ville de Laggenau situé à Gyllendal dans l'Ancien Continent. Une glorieuse famille faisant partit de la Grande Huratelon. Donc, comment vous cacher que je suis d'origine Huras. "L'esprit vif, pas moins agile, la paresse, et l'attention" sont les mots qui me correspondent le mieux, oui. Dans ma famille nous sommes tous de fier Joaillier capable de créer les bijoux les plus étincelants, les plus scintillants de toute la région. Nous étions heureux de notre position dans l'échelle de la vie, simple, mais heureuse, cela nous convenait. Parmi cette famille; il y avait ma mère ainsi que mon père. L'une, femme douce, aux mains délicates, et aux baisés remplis de tendresse et d'amour possédant la passion du bijoux qu'elle à s'eu me transmettre. L'autre, homme sans scrupule, noyé dans sa propre haine, son destin entier était voué à la pénombre. Il faisait honte à notre famille, lui, étant le seul Claedes n'ayant pas été Joaillier. Rien, non rien ne pouvait me séparer de ma mère jusqu'alors. Je souffre d'une térrible maladie. Une maladie de naissance... Je ne saurais vous citer le nom de ce fléaux. Cracha de sang, démangeaison affreuse, une toux à vous arracher les poumons tel était mon lot quotidien. Cette maladie, qui me ronge chaque jour un peu plus. Cette maladie que Abritrio m'avait proscrite, mon père cet être infâme se servait d'elle pour me manipuler. "Phaen, contrairement au reste de la famille, je suis Apothicaire. Tu sais très bien que je suis le seul qui peut te soigner." Oui, mon père connait l'antidote, pourquoi me le donne t'il pas me direz-vous ? Et bien pour une raison évidente pour sa personne: Il voulait se débarrasser de ma mère, jeter son cadavre dans le plus profond des ravins. Il ne l'a voulait pas comme épouse, il f'eut contraint de lui demander sa main sous la tutelle de ses ancêtres. Il voulait que je soit l'auteur de ce crime, afin que la mort de ma généreuse mère mort soit la plus atroce possible physiquement, mais surtout émotionnellement. La maladie me rongeait le corps chaque semaine, chaque mois un peu plus. A de nombreuse reprises, c'est le moins que l'on puisse dire, j'ai tenté de me donner la mort sous prétexte que sa vie allait être réduite si je continuais à respirer sur cette terre. Mais elle était toujours là, oui, toujours là pour me remettre dans le droit chemin: -"Ma...Maman, je veux juste te voir vivre !" lui disais-je en tombant en larmes dans ses bras. Elle me regarda de ses yeux vert remplient d'un amour maternelle inégalable, elle ne savait pourquoi je me mettais dans un tel état. Mais ses paupières d'un rose pâle se refermaient en me voyant dans un tel état de désespérance. -"Je te le promet, nous trouverons un moyen de résoudre ton problème,quel qu'il soit. Je te le promet..." Disait-elle en laissant tomber à son tour une larme sur ma joue tremblante.


Les jours défilèrent alors comme une bobine de fil entre les pattes d'un chat, et chaque jour je m'efforçais de ne plus penser à ce dilemme. Il serait injuste de crier sur les toits que M.Pierre Claedes n'aimait pas son fils. Mais comme il l'aimait davantage quand il ne le voyait pas et ne l'entendait pas. Phaen partit avec sa mère au marché. Aujourd'hui est jour de fête, effectivement le marché est présent dans la ville pour deux jours. Impossible pour des artisans comme moi et ma mère de manquer une telle occasion de venter les mérites du travail des Claedes. Une fois arrivé à l'endroit voulut, nous étions au milieu d'une foule grouillante de personnes plus différentes les une que les autres. Je rabattis mon capuchon par dessus mes yeux pour observer plus discrètement les allants-tours. l'ambiance à travers un tel marché est palpable, d'un côté le poissonnier gueulard hurlant et ventant les mérites de ses produits. De l'autre le forgeron qui essaye tant bien que mal de prouver que lui seul possède les épées les plus tranchantes, et les boucliers les plus résistants à un garde Hura. Sans parler de ce groupe folklorique rythmant toute la ville à l'aide leurs seuls instruments. -"Ça c'est un marché, un vrai" me chuchotait doucement ma mère en me tapant l'épaule. Pressé par le temps, nous commencions à entrer dans une petite maison que nous avions réservée au préalable en plein cœur du marché, qui, à l'heure qu'il était, était en plein essor, la foule était grouillante de tous côtés. Une trentaine, non, une cinquantaine de personnes ni plus ni moins étaient présentes sur la place. Les rues de Laggenau étaient cachées par des dizaines de têtes de passants venus de partout pour voir se que les marchands avaient à leur proposer. Cela allait du poisson bon marché, aux sculptures les plus improbables. Une fois bien installé dans, se qui semble être un vrai petit magasin, nous commencions à exposer nos créations de Joaillier, bagues, colliers, médaillons, montres, nos "œuvres" comme ma mère disait souvent. D'ici nous pouvions sentir de multitudes de parfums de fleurs se croisant et se mêlant pour finalement arriver dans notre nez, où les parfums sont aux plus exquis. Soudainement j'eu une sueur froides, ne sachant pourquoi je n'y prêtais guère attention. Ma mère m’appelait pour sortir de l'endroit un gros coffre remplis d'épées, probablement les armes du noble qui nous avait loué la maison. Soudainement un bouquant du démon se fit entendre, on aurait bien put affirmer qu'Arbitrio secouait la terre. J'accourus, s'est alors que je m’arrêta net devant se qui semble une vison d'horreur, une scène des plus atroces. A la simple vu de ce corps étendu par terre, mes jambes cédèrent alors sous mon poids. Je m'écroulais alors devant se qui semble être le corps empalé de ma mère, le sang dégoulinant de la lame qui l'avait traversé de part en part, laissant une flaque rougeâtre et visqueuse sur le planché composé d'un bois clair m'étant en avant le cadavre. Comment ? Pourquoi ? J'eu juste le temps de voir une ombre s'enfuir par la fenêtre. Je me mis à m'écrouler sur le sol, sans connaissance , sans vie , sans âme , sans mère ...


Un rai de lumière m’aveuglais lorsque j’ouvris mes paupières. Je mis ma main devant mon visage pour que je puisse distinguer quelque chose. J’étais couché à même la pierre et tout mon corps me faisait souffrir. A côté de moi, un mot: "Tu as finalement tué ta mère de main froide, sans que j'eu à te pousser, je te félicite. Pendant ton "sommeil", je t'ai fais boire une mixture qui te guérira. Maintenant, enfuis-toi, je ne veux plus jamais te revoir, casse-toi loin." Je me redressais, je suis sorti de la demeure. Je n'avais même pas levé la tête pour constater que le marché était terminé depuis maintenant quelques jours... Il étais une heure du matin, je marchais seul dans la pénombre, à travers les ruelles sombres et étroites de la ville. Le cœur lourd, je quittais la ville, me dirigeant dans la forêt, sans dire un mot ne laissant que des larmes et des remords sur mon passage. J'étais sauvé, ma mère m'avait sauvé en engageant quelqu'un pour la tuer à ce moment précis, dans ce lieux précis. Oui, je le savais. Cela ne faisait aucun doute. Tellement de questions se bousculèrent dans ma tête, je n'eu pas la force d'y répondre. Bien que je ne possédais plus aucune force ainsi que plus aucun courage, je continuais à avancer, comme si mes jambes me guidaient. Elles savaient où je devais aller. J'entendais les sifflements des cloches de la mort résonner dans ma tête. Mon esprit me torturait. Un pieux était enfoncé dans mon cœur. Je devais tenter de réparer mes erreurs, pour cela, un seul moyen: Il fallait que j'en paye le prix. J'étais décidé à mourir. Je marchas des jours et des jours. Sous la pluie et la neige, le froid et l'humidité. Pour finalement me retrouver au bord du Pécolinnin, une rivière suffisamment profonde pour si jeter et ne jamais y remonter. Un rocher d'une dizaine de kilos était attaché à mon pied droit qui était rongé suite à ces jours de marches interminable. La mort c'est tout se que je désirai. Je m'approchais de deux pas du bord, je pouvais regarder mon piteux reflet à travers l'eau qui semblait terriblement calme. Je me mis à genoux, je m’étais effondré dans mon chagrin. Mes larmes tombèrent dans la rivière créant une onde déformant mon reflet. Soudainement je sentis un poids sur mon épaule, comme si quelqu'un y avait posé la main. Je me retournas, rien. Puis des murmures se mirent à raisonner dans ma tête. "Ma...Maman c'...C'est toi ?" Dis-je alors de ma voix la plus faible. Je ne pouvais distinguer le sens de ces murmures, ils étaient bien trop faibles pour mes oreilles. Mais mon cœur ,lui, comprenait tous: "Phaen, tu vaux bien mieux que cela. Je ne veux plus te voir dans cet état. Sèches moi donc ces grosses larmes..." Je me sentais comme enlacé dans ses bras, un sourire se dessinait sur mon visage. Je m'endormis alors dans cette présence réconfortante qu'était nul autre que l'amour de ma mère. Le lendemain, je savais se qu'il me restait à faire. Non, pas me donner la mort, mais il suffisait que je change d'air, que je commence une nouvelle vie ailleurs, loin, très loin, le plus loin possible...Du moins, loin de ce monde de perversion. Me diriger vers un nouvel horizon. Des terres abondantes de richesses et de gens nouveaux ! Aucun doute n'est possible. Un tel paradis ne se trouve que sur les terres du nouveau continent, ou plus précisément dans la glorieuse et réputée ville d'Esperia. Un havre de paix où il fait bon vivre, un commerce florissant, des paysans au gouverneur en passant par de riches et honnête citoyen, et surtout des personnes sachant ouvrir leurs cœurs. Une seul direction s'offrit alors à moi, celle de la ville d'Odense réputé pour ses esclavagistes plus que présent. Hmf ! Un riche homme joaillier qui se fait vendre volontairement à Odense, en voilà quelque chose de bien peu banal. Avais-je le choix ? Surement pas. Désormais je suis prêt, oui, fin prêt à vivre pleinement et chaudement ma nouvelle vie. Etre esclave n'est surement pas quelque chose de facile, d'autant plus pour moi. Mais je sais, oui, je sais que ma mère me regarde et sera toujours avec moi. Sa présence m'accompagnera dans les pires, comme dans les meilleurs moments. Si un jour quelqu'un lit ces quelques lignes, à l'heure qu'il est je suis surement un homme épanoui entouré de personnes que j'aime.

  • pose sa plume, ferme le livre*