Utilisateur:Sehlys nepheris : Différence entre versions

De Wiki'speria
Aller à : navigation, rechercher
m
m
Ligne 90 : Ligne 90 :
 
La méfiance est de rigueur dans ce monde qui est le notre. Chaque geste, chaque mot possède ses conséquences et ses raisons. Certaines personnes sont cependant moins cupides que d'autres, nous l'avons appris toutes les deux n'est-ce pas ?
 
La méfiance est de rigueur dans ce monde qui est le notre. Chaque geste, chaque mot possède ses conséquences et ses raisons. Certaines personnes sont cependant moins cupides que d'autres, nous l'avons appris toutes les deux n'est-ce pas ?
 
Mes pieds continuent de me guider vers toi, inlassablement, un pas après l'autre. Tu es ici et ailleurs à la fois et chaque fois que je te revois mon coeur se berce de nostalgie. Ton accent est chantant mais tes phrases, elles, tranchent. Le soir tombé, nous cédons les masques et nos échanges empreints d'incompréhension et de complicité se fondent dans la pénombre. Je me permet d'être comme je suis à tes cotés, comme autrefois, je ne joue pas une quelconque comédie et cela ne me servirait à rien car je sais que tu lis en moi comme dans un livre ouvert.<br/>
 
Mes pieds continuent de me guider vers toi, inlassablement, un pas après l'autre. Tu es ici et ailleurs à la fois et chaque fois que je te revois mon coeur se berce de nostalgie. Ton accent est chantant mais tes phrases, elles, tranchent. Le soir tombé, nous cédons les masques et nos échanges empreints d'incompréhension et de complicité se fondent dans la pénombre. Je me permet d'être comme je suis à tes cotés, comme autrefois, je ne joue pas une quelconque comédie et cela ne me servirait à rien car je sais que tu lis en moi comme dans un livre ouvert.<br/>
La lune nous gratifie de sa présence, étant seule témoins de notre relation. Cet astre d'argent qui voit tout et éclair la route des égarés que nous sommes de ses rayons. L'instant est agréable mais je dois de nouveau m'arracher à toi, la terre, sèche, crisse sous mon pas alors que je m'éloigne une fois encore. Je reviendrais...
+
La lune nous gratifie de sa présence, étant seule témoin de notre relation. Cet astre d'argent qui voit tout et éclair la route des égarés que nous sommes de ses rayons. L'instant est agréable mais je dois de nouveau m'arracher à toi, la terre, sèche, crisse sous mon pas alors que je m'éloigne une fois encore. Je reviendrais...
 
</blockquote>{{\Ecrit}}
 
</blockquote>{{\Ecrit}}
  
Ligne 103 : Ligne 103 :
 
Elle se détacha enfin du lieu et dans un froissement d'étoffe et alla s'allonger, basculant sur le dos. Les noeuds du bois sur le plafond l'occupèrent encore quelques secondes pour finalement plonger dans un sommeil profond, se sentant en sécurité entre ces murs.<br/><br/><br/>
 
Elle se détacha enfin du lieu et dans un froissement d'étoffe et alla s'allonger, basculant sur le dos. Les noeuds du bois sur le plafond l'occupèrent encore quelques secondes pour finalement plonger dans un sommeil profond, se sentant en sécurité entre ces murs.<br/><br/><br/>
 
La nuit allait être calme et la lune haute...
 
La nuit allait être calme et la lune haute...
 +
</blockquote>
 +
<br/>
 +
<blockquote>
 +
= Nuit du 18 au 19 juin de l'année 517 =
 +
<center>[https://www.youtube.com/watch?v=0_-EqWhTWM4 ♪♫♪]</center>
 +
L'angoisse, voila ce qui la prenait au plus profond d'elle. La crinière sombre s'oriente dans la pénombre, la lune accompagnant son chemin tortueux par ses rayons d'argent et son calme. Néanmoins, une tension, une angoisse, vorace, rampait tout autour de la donzelle. La ville semblait bien hostile, et la présence de forces armées ne la rassurait point.
 +
Elle tourne dans une petite rue en esquivant un homme, les yeux brûlants d'une excitation sanguinaire. Pouvant lire l'envie d'en découdre rien que par sa gestuelle.
 +
Elle ébouriffe l'avant de sa tignasse, faisant tomber quelques mèches sombres devant ses prunelles. Apparaissant plus négligée qu'elle ne l'est en réalité, se fondant ainsi dans le décor de sa condition.
 +
Elle s'échappe dans cette bâtisse qui est aujourd'hui son refuge et dont le silence lui serre le coeur. Cependant, faisant fi de ceci, elle se rend directement sur le balcon, passant la balustrade. C'est là... le coeur lourd qu'elle s'adresse de tout son être à l'astre divin. Ce-dernier lui renvoyant bons conseils et bons soins à même son âme et son être.<br/><br/><br/>
 +
la nuit allait être calme et la lune haute...
 
</blockquote>{{\Ecrit}}
 
</blockquote>{{\Ecrit}}
 
<br/><br/>
 
<br/><br/>

Version du 19 juin 2017 à 16:47


Les deux faces d'une pièce
Wiki - 002.png



     Sehlys Nepheris
Informations RP
Genre
Femme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments





Fonction
Domestique



Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Sehlys
Âge IRL
24











En quelques mots...

Prénoms : Sehlys
Nom : Nepheris
Surnom : /
Date de naissance : 26 février 493
Culture : Hétéroclite à dominance capitaline
Langue parlée : Capitalin
Lieu de naissance : La Sublime
Croyance : Phalangiste


Séparateur.png


Date d’arrivée sur Esperia : 13/06/517


Silhouette...

Habituée des déguisements, des peintures et à ses accoutrements haut en couleur. Totalement décomplexée grâce à la scène, la jeune femme aimait à porter des vêtements étant propres à des cultures considérées comme "sauvages" par le plus grand nombre. Loin du stéréotype de son peuple d'origine, ses voyages à travers le continent lui ont ouvert les yeux et l'esprit sur celui-ci. Aujourd'hui réduit au plus bas des étages, elle se contente d'un style vestimentaire plus sobre qu'à son habitude.

En dessous néanmoins, son corps n'a pas bien changé. Elle reste de petite taille, avoisinant les 1 mètre et 56 centimètres, à la silhouette élancée non pas dépourvue de formes qui se trouvent ni trop généreuses, ni pas assez comme en atteste les courbes harmonieuses que l'on devine sous ses vêtements. Sa peau, d'ordinaire claire, se couvre facilement d'un doux bronzage aux première éclaircies... Son faciès n'est pas en reste non plus. Des lèvres pleines, un nez droit et fin, des sourcils bien dessinés et des yeux couleurs jade, en amande se partagent la vedette de ce visage encadré par une abondante chevelure de jais qui chute jusque dans le bas de ses reins. Elle aime la savoir et la sentir détachée, voler négligemment au gré de la brise.

Pour conclure, sa démarche ainsi que sa voix varies inlassablement avec ses émotions, lui donnant un air tout à fait inattendu. Traîne savate, rieuse, ou même enjôleuse, sa gestuelle et son intonation suivent la danse.


Signes distinctifs

  • Cuisses : Divers marques certaines plus profondes que d'autres dont la cause est son alcoolique de père, avant qu'il ne soit emprisonné.
  • Avant bras gauche : S'est brûlée sur ces dernière année à la Sublime laissant une marque gondolée de quelques centimètre sur l'intérieur de son avant bras.
  • Mollets : Les dures heures d'entrainement laissent de nombreuses marques. Chute ou simple mauvaise coordination entre l'année 506 et 514 auront donc laissé plusieurs marques sur la peau anciennement lisse de la saltimbanque.
  • Crâne : Au niveau du cuir chevelu, bien camouflé sous sa tignasse : une entaille cicatrisée. On la devine au toucher plus qu'à la vue au vu de son emplacement. Tout comme ses mollets, celle-ci résulte de ses années auprès de la troupe de Chantebrume.


Arbre d'aptitude...

Choix 1 : Grille Tableau.png Artiste
Choix 2 : Grille Pomme.png Cuisine
Choix 3 : Grille Beurre.png Connaissance : Massage
Connaissance des six mois : ---


Chacun de nous est une lune, avec une face
cachée que personne ne voit.

Les relations sont une suite de trouvailles toutes aussi fortuites les unes que les autres. Personne ne peut savoir ce qu'il va en résulter et les surprises sont souvent nombreuses.


Dernier quartier.png Lune décroissante 002.png Lune décroissante 001.png Pleine lune.png Lune croissante 002.png Lune croissante 001.png Premier quartier.png



Wiki - Loup 001.jpg

Tout semble si limpide et pourtant rien ne l'est. Dans cette eau semblable à de l'encre, le courant emporte ma pensée tandis que ces dernière 24 heures repasse en boucle dans mon crâne. Certaines images tambourinent à m'en donner le vertige mais je reste droite et stoïque.

Le sang bouillonne sous ma peau, la chaleur, écrasant dans ce ciel de thermidor aura eu raison de mon énergie habituelle, couplé à cela le manque flagrant de denrées en quantité ces dernières semaines. La silhouette creusée par le manque mais conservant une attitude fière, celle-ci se découpe sous les rayons de lune, allant profiter d'une liberté de mouvement sans égal depuis de nombreux mois déjà. L'air nocturne était bien plus supportable et cette ballade dans le sous-bois était une aubaine pour revitaliser mon énergie déjà bien gaspillée à supporter les plus simples d'esprits. Mon petit numéro m'avait demandé une concentration non négligeable qu'il me fallait emmagasiner de nouveau. Le nez en l'air, humant les parfums saisonniers, le calme me permis à rêver d'une vie meilleure. Les yeux clos et le pas léger, je suis tombée sur elle : Ondine...

La méfiance est de rigueur dans ce monde qui est le notre. Chaque geste, chaque mot possède ses conséquences et ses raisons. Certaines personnes sont cependant moins cupides que d'autres, nous l'avons appris toutes les deux n'est-ce pas ? Mes pieds continuent de me guider vers toi, inlassablement, un pas après l'autre. Tu es ici et ailleurs à la fois et chaque fois que je te revois mon coeur se berce de nostalgie. Ton accent est chantant mais tes phrases, elles, tranchent. Le soir tombé, nous cédons les masques et nos échanges empreints d'incompréhension et de complicité se fondent dans la pénombre. Je me permet d'être comme je suis à tes cotés, comme autrefois, je ne joue pas une quelconque comédie et cela ne me servirait à rien car je sais que tu lis en moi comme dans un livre ouvert.
La lune nous gratifie de sa présence, étant seule témoin de notre relation. Cet astre d'argent qui voit tout et éclair la route des égarés que nous sommes de ses rayons. L'instant est agréable mais je dois de nouveau m'arracher à toi, la terre, sèche, crisse sous mon pas alors que je m'éloigne une fois encore. Je reviendrais...


Souvenirs

Nuit du 17 au 18 juin de l'année 517

♪♫♪

La lumière de la lune perce les carreaux. De fins rayons s’immiscent dans la routine nocturne de cette donzelle à la tignasse couleur ébène. Elle se pose un instant contre la rambarde du balcon qui donne sur sa chambre exigu. Elle sait qu'elle ne devrait pas être ici, si loin déjà de sa condition. Le vent fait flotter quelques mèches alors qu'elle scrute la place en contrebas. Ses prunelles de jade vinrent à caresser l'endroit, chérissant ce coin de tranquillité qu'on lui a offert. Elle pousse un soupire d'aise, se concentrant seulement sur le rythme de son coeur, calme, ressentant la plénitude de l'instant. C'est la brise qui la sort de sa transe quand elle vint lui chatouiller délicieusement la jugulaire, palpitante de vie.
Elle se détacha enfin du lieu et dans un froissement d'étoffe et alla s'allonger, basculant sur le dos. Les noeuds du bois sur le plafond l'occupèrent encore quelques secondes pour finalement plonger dans un sommeil profond, se sentant en sécurité entre ces murs.


La nuit allait être calme et la lune haute...


Nuit du 18 au 19 juin de l'année 517

♪♫♪

L'angoisse, voila ce qui la prenait au plus profond d'elle. La crinière sombre s'oriente dans la pénombre, la lune accompagnant son chemin tortueux par ses rayons d'argent et son calme. Néanmoins, une tension, une angoisse, vorace, rampait tout autour de la donzelle. La ville semblait bien hostile, et la présence de forces armées ne la rassurait point. Elle tourne dans une petite rue en esquivant un homme, les yeux brûlants d'une excitation sanguinaire. Pouvant lire l'envie d'en découdre rien que par sa gestuelle. Elle ébouriffe l'avant de sa tignasse, faisant tomber quelques mèches sombres devant ses prunelles. Apparaissant plus négligée qu'elle ne l'est en réalité, se fondant ainsi dans le décor de sa condition. Elle s'échappe dans cette bâtisse qui est aujourd'hui son refuge et dont le silence lui serre le coeur. Cependant, faisant fi de ceci, elle se rend directement sur le balcon, passant la balustrade. C'est là... le coeur lourd qu'elle s'adresse de tout son être à l'astre divin. Ce-dernier lui renvoyant bons conseils et bons soins à même son âme et son être.


la nuit allait être calme et la lune haute...