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Moi, Consul Renault je prend la décision suivante;

Pour les raisons de sécurité, le vice-gouverneur Barbetousse est recherché pour disparition.

Scholwitz, a été libéré après analyse de la situation.

Si un garde ne suit pas, il risquera la radiation.

J'en porte la totale responsabilité.

Hors RolePlay :

J'attend les admins pour le reste, il y a eut de gros quiproquo avec cette histoire.

Hors RolePlay :

Je demande, et c'est mon droit, de ne pas disserter ni en RP ni en HRP sur ce topic pour éviter toute tension, jouez en jeu :)

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Affaire classée.

Le gouverneur reste en place en attendant autre chose.

Pour le cas de Scholwitz, une enquete sera menée par le consul de la justice.

Toute personne s'opposant au gouvernement risquera la prison en raison de la mise en place d'une stabilité.

RolePlay :

Albion avait noté le décret de Renault puis était reparti. Mais à l'instant où il s'en allait, Renault prit le décret contraire et déclara une sorte de loi martiale... Neuville ratura ses notes et en prit de nouvelles... restant un peu cette fois au cas où l'on changeait encore d'avis, là-haut.

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Après ce énième revirement du prêtre, qui avait bien vu qu'il pouvait se réapproprier le pouvoir qui lui glissait entre les mains, Samara resta inflexible. Elle continua à exprimer son point de vue.

L'abbus passa un moment à se gausser publiquement d'elle et à la dénigrer. Il la menaça ensuite de l'envoyer au cachot si elle ne pliait pas à ses ordres, et voyant qu'il ne la ferai pas abandonner, il partit de lui même.

Quand l'assistant du gouverneur revint au centre-ville, il la somma de l'appeler "Gouverneur", dénomination qu'il ne méritait pas en tant qu'assistant du Gouverneur. Il la menaça de l'envoyer au cachot pour ce manque de respect terrible que de l'appeler par son titre officiel. Sur ces entrefaites, Dranylh montra à tous sa vraie nature, à ceux qui en doutaient encore : il invectiva Samara pour qu'elle ne mette pas des bâtons dans les roues de son pion. Il la qualifia de folle, de gamine, passa ses nerfs sur elle en place publique.

Comme Samara ne renia pas ses propos, elle fut envoyée en prison, enchaînée sur la place publique.

Elle fut gardée là bas quelques cycles, sans qu'on daigne lui donner ni à manger, ni à boire. Si bien qu'elle tomba bientôt d'inanition.

Après quelques heures, l'abbus vint la trouver, et fit mine d'être étonné de la trouver ici, dans ce état. Il l'en sortit, et l'emmena à l'abbaye, malgré la terreur que ressentait visiblement la jeune femme. Sitôt arrivée, l'assistant du Gouverneur arriva également dans la chambre qui lui avait été affectée, prétendant n'être pour rien dans son incarcération. Il prétendait vouloir la protéger, et vouloir écouter ses propos - qu'elle s'efforçait pourtant de crier depuis plus d'une semaine, maintenant.

La situation était claire dans la tête de Samara : ils s'étaient rendu compte qu'ils avaient fait une erreur. Mettre en prison une jeune femme innocente. Ils n'avaient fait que démontrer ce qu'elle avançait. Et ils cherchaient maintenant à sauver les apparences.

Malgré tout, Samara n'était que d'autant plus décidée à dénoncer leurs exactions.
Pour ne pas abandonner sa belle Esperia entre leurs mains.