Prise de parole

RolePlay :

Peuple d'Esperia, réveille toi !

A l'heure où des étrangers viennent en notre cité, chercher allié et appui dans leur guerre contre le Nord, que fait notre Gouvernement ?

A l'heure où le capitaine, comme on nous l'a présenté, escorte du diplomate étranger lève la main sur un Esperien, que fait notre Gouvernement ?

A l'heure où ces étrangers affirmeraient ne pas avoir d'intentions belliqueuses, ces mêmes là on frappé un Esperien ! Que fait notre Gouvernement ?

A l'heure où un contingent de près de 25 militaires équipés est non loin de la ville que fait le Gouvernement ?

Et bien voici les réponses !

Quand un Esperien se fait frapper, le gouvernement à travers le consul à l'économie fait disperser les Esperiens ! Ne sommes nous pas chez nous pourtant ici ? Comment peut-on laisser un étranger frapper un Esperien puis demander aux Esperiens de partir et de se laisser faire ?

Mieux encore, quand ces mêmes étrangers veulent acheter des armes, le gouvernement, toujours à travers le même consul, cherche à lui faciliter la tâche ! De puis quand vend-on des armes à une menace militaire ? Donnons-nous le baton pour que l'on vienne nous rosser de coups ?

Esperiens réveillez-vous !
Le Gouvernement rate son entrée en matière diplomatique, le gouvernement enchaine les erreurs dans cette histoire !

Réveillez-vous, sortez les torches et les fourches, battons la campagne, trouvons le camp et faisons entendre notre voix !!!

RolePlay :

Scholwitz pensa, en écoutant le vieux fou:
-Je le comprends bien, ses ambitions ratées lui sont montées à la tête... Les amendes qu'il a récolté ce soir le remettront droit dans ses chausses, je l'espère bien. C'est désolant, jusqu'où le manque de pouvoir peut amener certains...

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Slight passa, voyant l'homme dire n'importe quoi, Il dit à voix plus ou moins audible:

J'ai vu leur camps, j'ai vu leur armement, suivez Neuville, battez la campagne et revenez entre 4 planches de bois, il n'y a que ça qui vous attend si vous vous montrez hostile.. Ce n'est pas n'importe qui, et nous n'avons pas les moyens de faire n'importe quoi.

Il rajouta pour lui même, à voix basse.. Je ne sais vraiment pas ce qui lui passe par la tête en ce moment à celui là..

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En entendant Neuville, Adabroux savait que c'était son devoir de faire ce qu'il allait faire. Il s'avança sur un devant de la scène et dit à son tour:

"Peuple Espérien, voit comment ta Sécurité est gérée, non plus par un Consul de la Justice mais même par un Consul de l'économie.
Voit Peuple Espérien, ce que le gouvernement veut faire pour l'argent, qui n'est même pas de l'Esper. De l'argent sale, souillé par des mains avides de pouvoir et d'argent.
Voit Peuple Espérien où se trouvent tes ennemis. Voit, pense, agît comme il le faut.
Peuple Espérien, tu n'auras pas le droit à l'erreur quand tu choisiras ton destin.
Peuple Espérien, tu n'auras pas de vie meilleure après avoir cédé ta liberté, voire ta vie pour de l'argent.
Peuple Espérien, tu n'auras pas d'autres choix pour éviter le désastre que de te ranger près de ceux qui combattent l'envahisseur.
Peuple Espérien, tu dois voir où ton avenir sera placé. Toi qui as fuit l'ancien monde, voudrais-tu voir ce monde, ce félon te rattraper?
Peuple Espérien, soulève toi. Ne reste pas à rien faire. La mort toque à ta porte et on lui ouvre."

Adabroux savait qu'il visait le Gouvernement, et particulièrement l'Economique par ce "on", puis il continua:
"Aujourd'hui comme à chaque jour, la garde accomplira son devoir, son vrai devoir: celui d'aider le peuple, de le sauver des griffes des fous.
Que ceux qui tiennent à leur liberté rejoignent nos avis, et avancent vers l'honneur et le vie, laissant derrière eux ceux qui veulent la terreur, la mort et l'argent facile."

Adabroux avait fini son discours et sentait que son poste pouvait être remit en jeu, il annonça donc:

"Peuple Espérien, je risque mon travail pour toi. Ne déçoit pas les espoirs d'hommes qui ne veulent que Justice et Sécurité."

Puis, voyant Slight marmonner il pensa: "Et bien, le courage n'est pas la vertue de tous on dirait. Ca pourrait lui retomber dessus."