Hors RolePlay :
Bonjour à tous !Si vous voulez avoir une chance de comprendre ce journal, je vous conseille d'aller d'abord lire ma candidature, qui vous en apprendra un peu plus sur mon personnage (ICI).
Ce journal n'a qu'un seul but, vous faire sourire, voire même rire, vous les joueurs. N'oubliez pas qu'en revanche, vos personnage n'ont pas connaissance de ce que Szvet écrit ici (à moins que l'un d'entre eux ne trouve son journal, mais on verra ça plus tard).
J'essaierai le plus possible de parler d’événements qui ont eu lieu IG, et quand ça ne sera pas le cas, ça sera pour en révéler un peu plus sur mon personnage.
J'utiliserai un nouveau « jour » à chaque nouvelle réflexion, mais cela n'a aucune valeur temporelle (de toute façon Szvet a perdu la notion du temps).
Enfin, je rassemblerai au fur et à mesure tout le journal dans ce premier post. Bonne lecture !
----------------------------------------------------------------------------------------------------------------------
Jour 1 :
On s'est arrêté pour faire une pause. Je ne sais pas depuis combien de temps on marche, mais ça fait très longtemps. Je pense avoir battu haut-la main mon record de durée en dehors de la maison. Mon précédent record était de 2 jours, 4 heures et 12 minutes, je m'en rappelle très bien. C'était pendant la sortie au zoo du jeudi matin. Pendant que les médecins ramassaient les morceaux du vieux Gégé, qui avait sauté dans la fosse aux creepers en hurlant « ma chérie je t'ai retrouvée ! », j'étais allé aux toilettes et ils m'y avaient oublié. On avait bien rigolé.
Certains envisagent de monter un campement provisoire ici, ça a l'air chouette, je pourrai voir ce qu’est un campement.
Jour 2 :
Aujourd'hui on nous a dit qu'on allait s’arrêter ici pour quelques temps, et qu'il fallait monter un campement. Pour monter un campement il faut construire des tentes, mais je n'avais aucune idée de comment faire. Alors j'ai regardé comment les autres faisaient, et en fait c'est assez simple. Une tente, en gros, c'est comme une chambre, sauf qu'il n'y a pas d'infirmière pour venir faire les piqûres.
J'ai choisi le meilleur emplacement du campement, adossé à un gros tronc d'arbre à flanc de colline. Ma tente n'est pas la plus grande car le tronc était quand même trop petit, mais c'est la plus élégante et a la meilleure vue. Les gars étaient d'ailleurs très impressionnés. Ils écarquillaient les yeux comme Bernard devant son assiette quand il y avait des frites à la cantine.
Comme je ne veux pas trop me faire remarquer, je ne leur ai pas dit que c'était la première tente que je construisais. Heureusement, sinon ils m'auraient pris pour un génie.
Jour 3 :
J'ai trouvé plein de fleurs ici. C'est comme à la maison, sauf qu'ici y'a pas l'autre folle (je l'aimais pas, celle-la... elle ne me manquera pas, c'était quoi son nom déjà?) pour les mâchouiller à longueur de journée. J'ai jamais trop compris pourquoi elle faisait ça, c'est pas bon les fleurs jaunes, et celles d'ici non plus d'ailleurs. Mais elles sentent bon et j'aime bien. J'en ai ramassé plein mais j'ai pas pu toute les prendre car j'avais faim et j'étais perdu. Je vais moins m'éloigner du camp désormais car j'ai encore le dos qui pique.
Bref, j'en ai offert deux, une à un gars dont j'ai oublié le nom et une autre à un gars dont j'ai oublié le nom. Puis j'en ai offert 128 à un coffre en bois qui en réclamait 2 stacks (ça tombe bien j'en avais 143 sur moi, soit 15 de plus que les 2 stacks requis). C'est pas beau de réclamer, mais bon, je ne veux pas me faire mal voir dès le début alors je n'ai rien dit.
Jour 4 :
Aujourd'hui je n'avais pas grand chose à faire, alors je suis allé compter les vaches dans l'enclos à vaches : il y en a 4 !
Ca me rappelle la fois ou le gars dont j'ai oublié le nom m'avais montré l'enclos qu'il venait de bâtir. Il était vide, même si Tym s'était mis dedans pour me faire croire qu'il était une vache. Mais je ne me suis pas fait avoir, je ne suis pas fou !
Bref, l'enclos fait 7 cubes de long par 5 cubes de large, soit une surface au sol de 35 mètres carrés. Mais comme la barrière fait un cube d'épaisseur, il n'y a en fait que 5 fois 3 cubes (soit 15 cubes carrés) de disponible pour les vaches. Donc j'ai tout bien calculé : on peut mettre 7 vaches et demi dans l'enclos. Je me suis aussitôt proposé d'aller chercher ces 7 vaches et demi, ce qui avait l'air de faire plaisir au gars dont j'ai oublié le nom. Il m'a dit de bien faire attention à prendre la moitié de vache qui avait les pis, sinon ça ne servait à rien. Heureusement qu'il est là, ce gars dont j'ai oublié le nom, car je n'y aurait pas pensé. C'est un malin.
Bref, sur le coup je n'ai pas trouvé de vaches dans le coin donc j'ai ramené du bois. Mais maintenant il y a 4 vaches dans l'enclos, et je n'y suis pour rien.
Jour 5 :
On a trouvé un nouveau. On ne sait pas trop d'où il sort, personne ne l'avait vu pendant qu'on marchait. C'est curieux car il pue autant que la vielle Gertrude lorsqu'elle avait gagné la partie de cache-cache. On avait mis 3 mois, 5 jours, 1 heure et 28 minutes pour la trouver, au fond du placard à balais. Le vieux Gégé en avait vomi de dégoût olfactif (c'était avant sa dernière sortie au zoo) sur les chaussures en peau de truite de Jean-Kévin. On avait bien rigolé.
Bref, ce gars là il pue et on ne comprend rien quand il parle. Je crois qu'il n'a plus toute sa tête, le pauvre.
Jour 6 :
Hier, un gars m'a montré comment pêcher du poisson. C'est rigolo mais ça fait mal aux mains. Bref le gars en fait c'est le cuistot. Son nom est écrit à l'entrée de la cuisine, mais depuis ma tente je suis trop loin pour le voir.
Plus tard, au moment du dîner, je suis allé voir à la cuisine mais le cuistot n'était pas là. Je suis tombé sur un autre gars, qui est aussi cuistot et qui s'appelle Nono. Il a un œil en moins mais je ne me rappelle plus trop pourquoi. Bref, Nono m'a dit d'aller pêcher 2 poissons, ce que j'ai fait très bien depuis que le cuistot (l'autre) m'a montré comment faire. Nono a fait la cuisine, du « Poisson à la Thorak ». C'était très bon, meilleur qu'à la cantine, même quand il y avait des frites.
C'est alors qu'on est tombé sur ce gars qui s'appelle Maurice. Il avait perdu ses lunettes, et il avait l'air très fatigué et affamé. Je suis allé lui pêcher vite fait un autre poisson et Nono lui a préparé encore à la Thorak. Ca l'a requinqué, le Maurice, parce qu'après il a fait un discours très convainquant (en tout cas moi j'étais très convaincu) à tout le campement. Je ne me rappelle plus très bien de quoi il s'agissait, ça parlait de coffres à remplir. Du coup je suis retourné pêcher du poisson, que j'ai mis dans le coffre, et qui ne m'a toujours pas remercié. Maurice m'a remercié à la place du coffre. Il est gentil Maurice.
A force de pêcher j'avais les mains en sang, c'est pour ça que je n'écris qu'aujourd'hui.
Jour 7 :
Aujourd'hui ça a été une journée difficile, même si ça avait bien commencé. J'ai rencontré une fille très gentille, qui s'appelle Vanilla. Elle cherchait sa poule, Cocotte, qui avait disparu.
C'est alors qu'on a rencontré ce gars un peu nerveux, que j'ai su après qu'il s'appelait Ellegèle. Il disait à Vanilla qu'il avait mangé Cocotte mais qu'en fait non elle était là et alors il l'a tué mais en fait non il l'avait enfermée chez elle mais en fait à la fin Vanilla l'a laissée s'envoler pour rencontrer d'autres poules (c'est compliqué comme histoire).
Bref, c'est un malade ce gars, il me fait penser à Igor, le gars qui n'avait jamais le droit de sortir de sa chambre, qui avait une camisole et une muselière, et de qui on n'avait pas le droit de s'approcher, à la maison. D'ailleurs je ne m'en approchais pas. Bref, ce Ellegèle m'a poussé dans un piège qu'il avait fait lui même, j'ai eu très mal. Je me suis un peu énervé et on s'est battu. Je lui ai mis une bonne raclée, mais après il m'a fait encore plus mal, et il n'y avait pas de surveillant pour nous séparer. En plus il a un sbire, un voleur qui n'a pas voulu me dire son nom. Bref, je vais faire comme avec Igor, je ne vais plus m'approcher d'eux, c'est des tarés.
Après, il y avait un gars sympa avec un loup sur la tête qui m'a piqué mes lunettes et m'a lancé des tonnes de pastèques à la figure. Il était avec son copain Braise, et j'ai pas tout compris ce qu'il s'est passé parce que sans mes lunettes, je ne vois pas très bien. On s'est retrouvé tous les trois en prison à la fin, mais on a réussi à sortir en ligotant Braise.
On a bien rigolé, enfin, je crois.
Jour 8 :
Aujourd'hui on est arrivé dans un nouveau campement. Mais en fait c'est assez compliqué.
Ca a commencé avec le banquet. Le banquet, c'était comme à la cantine, mais en mieux (même quand il y avait des frites). On était tous ensemble autour d'une grande table et il y avait plein de délicieuses choses à manger que le cuistot avait préparé pour nous. Au début, c'était pas très bon, à cause de l'odeur du puant. En plus, il parlait beaucoup plus que la dernière fois, ce qui empestait encore plus. Je préférais quand il ne disait rien.
Bref, comme on n'en pouvait plus, on a attrapé le puant et on l'a jeté dans l'eau, avec des fleurs et des pastèques pour le laver. Lui il ne voulait pas se laver alors il criait qu'on était fous, ça m'a bien fait rigoler. Les fous, ça ne se rend jamais compte que c'est eux les fous !
Donc une fois qu'on a fait disparaître l'odeur, on a enfin pu manger et discuter. Moi j'ai discuté avec le cuistot, qui est très gentil. A côté de moi, il y avait le puant (mais qui puait moins, du coup), Vanilla, le frère de Vanilla avec un loup sur la tête, et le père de Vanilla. Ils criaient tous très fort et je ne comprenais rien à ce qu'ils racontaient.
Bref, je crois que j'ai trop mangé pendant le banquet, parce que les jours d'après j'ai été malade. Je suis donc resté dans ma tente et au bout d'un moment les gars sont venu me dire qu'on partait. C'était à causes des zombies, des pauvres villageois, des gens d'Hermène et que cette terre n'était pas faite pour nous. Bref, j'ai pas trop compris, mais vu qu'ils ont démonté ma belle tente, je les ai suivi.
On a marché longtemps, par petits groupes. A un moment je me suis perdu parce que je m'étais arrêté pour manger des yeux d'araignées. Je suis tombé sur le puant qui m'a dit de nager par là pour arriver à la ville. En fait, il n'y avait pas de ville par là, mais uniquement des monstres qui m'ont attaqué et volé mes fleurs ! Il est méchant le puant, en plus d'être fou !
Bref, quand je suis enfin arrivé au nouveau campement, il y avait déjà le chef Nono, le cuistot, Tym et Vanilla. Mais je n'ai pas vu pas Maurice, j'espère qu'il va bien, Maurice. Vanilla m'a dit qu'on était à Espéria et que c'était la terre promise, mais elle n'a pas réussi à m'expliquer qui nous l'avait promise. Elle est gentille Vanilla, mais elle explique mal. Et puis Nono m'a chargé de copier une tente, avec un gars qui s'appelle Davi et une fille verte, parce qu'il n'y a pas de droit de faire sa tente tout seul.
Espéria... j'espère qu'il y aura des yeux d'araignée, il ne m'en reste plus beaucoup.
C'est juste que je préfère poster une anecdote par jour, plutôt que 10 d'un coup puis plus rien pendant une semaine. Donc pour le moment le Journal est 3 ou 4 jours en retard par rapports aux évènements IG.