Recueil de Nazo

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Ce recueil à été écrit par Nazo

La cité d'Espéria

La cité d'Espéria

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Dans la cité (ho,ho) d'Espéria (la li la la).
Dans la cité (ho,ho), j'ai cru entendre Arbitrio
Dans la cité (ho,ho) d'espéria (la li la la).
Dans la cité (ho,ho), et les chants de prêtre de Renault

Toute les esclaves s'était réunie dans le sans fond
pour appeller l'aveugle afin qu'ils puissent nous punir.
Après cette répression avec mes frères, on demanda pardon
ils nous ont donné à tous des denrés pretent à pourir

quand mon regard se posa tout autour de moi,
j'étais le seul debout des esclaves voilà pourquoi.
Mes doigts se sont écartés tout en lâchant mes armes
c'est du long de mes joues se sont mises à couler des larmes,
je n'ai jamais compris pourquoi les dieux m'ont épargné
de ce jour noir de mon histoire que j'ai contée.

Le vent souffle toujours sur l'abbaye
La bouche toujours ébahi
j'ai tout fais de mes mains pour en arriver là,
je suis devenu citoyen de la cité d'Espéria

Dans la cité (ho,ho) d'Espéria (la li la la).
Dans la cité (ho,ho), j'ai cru entendre Arbitrio
Dans la cité (ho,ho) d'espéria (la li la la).
Dans la cité (ho,ho), et les chants de prêtre de Renault

Poème d'amour

Poème d'amour

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Nos âmes d'un seul bond remontant vers leur source
Ensemble auraient franchi les mondes dans leur course

Des esclaves du vice elle ferre les fers
Et parsème de fleurs le chemin des Enfers

Aimez l'amour aveugle allumant les flambeaux
Aimez l'amour promis aux cendres des tombeaux

Sous le voile léger de la beauté mortelle
Le temps de l'entrevoir, de s'écrier : C'est Elle !

Ecoute aussi la voix de mon humble raison
Qui contemple ta gloire et murmure ton nom

Les Spiritueux et les Raskans

Les Spiritueux et les Raskans

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Etendart violet , étandart noire
Vétue de ta couleur qui est vie , de ta forme qui est beauté
Vous avez grandit dans l'ombre , la douceur de vos main bandait nos yeux
Et voilà qu'au centre d'Esperia , je vous découvre.
Prêt à dénoncé les inégalités , le coeur remplit de charité.

Tandit que la majorité des Spiritueux ne savent que critiquer
Les actes des autres , les erreurs de notre société.
Oui , il est tellement plus facile de s'enrichir
Sur le dos de nos esclave qui essaye de s'affranchir !

Alors que les Raskans tapis dans l'ombre
On redécorer le Quartier Ouest
Que les Spiritueux faisait sombré dans la pénombres
Car ils n'ont que de saint leurs nom qui cache des choses bien sombre.

Ces chiens de Spiritueux toujours en train de se plaindre !
Sans moralité , ni conviction ces fourbes sont à craindre
On dirait que le buché à été formé avec leurs tête
Car à la fin ce sera la finalité de ces bêtes !

J'ai toujours préféré aux spiritueux les Compères ou les Raskans
Qui ont l'ame pur et le sens de l'honneur
loué votre confiance à leurs partisans !
Car aux final avec eux le peuple finira vainqueurs !

La vie en mine

La vie en mine

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C'est la vraie vie que la vie en mine.
C'est celle là , celle là qu'on mène
le temps n'a que peu d'importance
tant qu'on est entré dans la danse
Philosophie ou façon de penser
Tout est plus simple quand on se laisse aller
Bercés par notre insoucience
On se laisse guider par la chance

REFRAIN :
Notre esprit se remplit
De tout cette ivresse
Il oublie les soucis
Et nos petites faiblesses !

C'est la vraie vie que la vie en mine !
c'est celle-là , celle là qu'on mène !
Ne pas penser au lendemain
Nous évitera bien du chagrin
Et rencontrer de nouvelles femmes
En une seule nuit pas besoin de larmes

REFRAIN :
Notre esprit se remplit
De tout cette ivresse
Il oublie les soucis
Et nos petites faiblesses !

Car ici , chaque nuit ! Le vin se boit ! Il se boit entre amis dans la mine !

Viens chez moi le voyage c'est la santé

Viens chez moi le voyage c'est la santé

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Viens chez moi le voyage c'est la santé !
Viens chez nous en terre Lig Ocolide !
Viens chez moi le voyage c'est la santé !
Viens chez nous en terre Lig Ocolide !

Hey mon gars ! Je suis Thomas le pêcheur
Les sirêne n'ont jamais fais mon bonheur
Hey mon gars ! Même si mes filets sont vide
T'en fais pas je te paierai un canon cydre.

-REFRAIN-

Hey les gars ! C'est moi Nazo le pirate
Sur les mers je ne suis pas un aristocrate
Hey les gars ! Ma renommé n'est pas bonne
T'en fais pas c'est pas la même pour mon rhum !

-REFRAIN-

Hey mon gars ! Je suis mathieu le fermier
Mes moutons j'arrive à les faires dancer
Hey mon gars ! N'est pas grande ma chômière
Tant fais pas , j'ai quand même servit ma bière !

-REFRAIN-

L'île aux trésors

L'île aux trésors

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Jim Hawkins n'avait pas treize ans
Quand il partit sur l'océan
Il était haut comme trois pommes
Mais plus valeureux que trois hommes

(Refrain)
Mon petit gars
Prend garde à toi
Sois courageux
Tu connaîtras
Milles tempêtes
Milles naufrages
Avant d'atteindre ton rivage

Sur son bateau "Hispaniola"
Un beau matin il s'embarqua
Avec le docteur Livesey
Et le bon capitaine Smollet

(au Refrain)

Il faut savoir qu'en ce temps là
(En ce temps là)
Les matelots ne plaisantaient pas
Un bon coup d'vent et hisse et haut
Et du vieux rhum pour le repos

(au Refrain)

Il savait qu'à l'aut'bout d'la terre
L'attendait l'plus grand des mystères
Et il se croyait assez fort
Pour découvrir l'Ile au Trésor

Chanson à boire

Chanson à boire

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Qui veut chasser une migraine
N'a qu'à boire toujours du bon
Et maintenir la table pleine
De cervelas et de jambon

L'eau ne fait rien que pourrir le poumon
Boute, boute, boute, boute compagnon
Vide-nous ce verre et nous le remplirons
L'eau ne fait rien que pourrir le poumon
Goûte, goûte, goûte, goûte compagnon
Vide-nous ce verre et nous le remplirons

Le vin goûté à ce bon père
Qui s'en rendit si bon garçon
Nous fait discours tout sans grammaire
Et nous rend savant sans leçon

L'eau ne fait rien que pourrir le poumon
Boute, boute, boute, boute compagnon
Vide-nous ce verre et nous le remplirons
L'eau ne fait rien que pourrir le poumon
Goûte, goûte, goûte, goûte compagnon
Vide-nous ce verre et nous le remplirons

Loth, buvant dans une taverne
De ses filles enfla le sein
Montrant qu'un sirop de taverne
Passe celui d'un médecin

L'eau ne fait rien que pourrir le poumon
Boute, boute, boute, boute compagnon
Vide-nous ce verre et nous le remplirons
L'eau ne fait rien que pourrir le poumon
Goûte, goûte, goûte, goûte compagnon
Vide-nous ce verre et nous le remplirons

Buvons donc tous à la bonne heure
Pour nous émouvoir le rognon
Et que celui d'entre nous meurt
Qui dédira son compagnon

L'eau ne fait rien que pourrir le poumon
Boute, boute, boute, boute compagnon
Vide-nous ce verre et nous le remplirons
L'eau ne fait rien que pourrir le poumon
Goûte, goûte, goûte, goûte compagnon
Vide-nous ce verre et nous le remplirons

Ah que nos père

Ah que nos père

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Ah que nos pères étaient heureux
Quand ils étaient à table
Le vin coulait à flots joyeux
Ça leur était fort agréable

{Refrain}
Et ils buvaient à pleins tonneaux
Comme des trous, comme des trous! Morbleu!
Bien autrement que nous, morbleu!
Bien autrement que nous!

Ils n´avaient ni riches buffets
Ni verres de Venise
Mais ils avaient des gobelets
Aussi grands que leurs barbes frisées

{Au refrain}

Ils ne savaient ni le latin
Ni la théologie
Mais ils avaient le goût du vin
C´était là leur philosophie

{Au refrain}

Quand ils avaient quelque chagrin
Ou quelque maladie
Ils plantaient là le médecin
Apothicaire et pharmacie

{Au refrain}

Celui qui planta le Provins
Au doux pays de France
Dans l´éclat de rubis du vin
Il a planté notre espérance

Buvons donc tous à pleins tonneaux
Comme des trous, comme des trous, morbleu!
Et buvez avec nous, morbleu!
Et buvez avec nous!

Dans la prison Lig Ocolidienne

Dans la prison Lig Ocolidienne

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Dans les prisons Lig Ocolidiennes
lang didoudidoudang
Dans les prison Lig Ocolidiennes
y avait un prisonnier
y avait un prisonnier

personne ne vient le "vouère"
lang didoudidoudang
que la fille du geôlier.

un jour il lui demande:
lang didoudidoudang
QUE DIT-ON de "moué"?

on dit de vous en ville
lang didoudidoudang
Que vous serez pendu,et vous serez pendu.

-mais s'il faaut qu'on me pende
lang didoudidoudang
Déliez-moi les pieds.

la fille étaiait jeunette
lang didoudidoudang
les pieds lui a déliés.

le prisonnier alerte
lang didoudidoudang
dans la mer s'est jeté.

Des qu'il fut sur les rives
lang didoudidoudang
il se mis a chanter:

je chante pour les belles
lang didoudidoudang
surtout celle du geôlier.

Si je reviens à Lig Ocolide
Oui je l'épouserai
Dans les prisons Lig Ocolidiennes