Utilisateur:Hydan
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Sommaire
Description
Hydan est un jeune homme de 17 ans ayant vécu 12 ans à Lig Ocolide et 5 ans sur le continent. Son père est mort à l'âge de 8 ans et c'est à ce moment là que sa mère se mit à boire comme une ivrogne. Hydan fut très déçu de sa mère à ce moment là. Sa mère, pour le coup travaillait dans une taverne et son père lui avait appris à travailler le bois. Hydan est assez maigrichon pour son âge, 1m87 pour 68 kg. Ses cheveux sont bruns, châtains clairs, et ses yeux sont marrons, plus foncés que ses cheveux. Hydan est un rêveur, il aime le voyage et surtout quand c'est loin de Lig Ocolide. Malgré qu'il ne sache pas très bien lire, Hydan trouve des fois des moments pour lire des petits romans.
Aptitudes
~ 
Calcul: Hydan a appris correctement certaines notions de calcul, pour travailler le bois. Il n'eut point de cours sur ça, mais son père l'a très bien aidé.
~
Alphabétisation: Sa maigre alphabétisation dut au manque d'apprentissage n'empêche pas Hydan de lire et écrire lisiblement, sans trop de fautes.
Qualités
-Serviable
-Sympathique
-Minutieux
-Gentil
-Bourreau d'travail
Défauts
-Cupide
-Parfois arnaqueur
-Hache souvent les mots
-Se vexe parfois assez facilement.
-Parfois têtu pour certaines choses.
Intérêts culturels et goûts
~
Economie: Hydan adore tout ce qui touche à l'argent, et surtout en parler, et à gérer aussi. Par ce fait, même si il ne le connaît pas, Hydan trouve que Sergueitov est un homme remarquable. (Conseiller à l'économie)
~ 
Confort: Hydan adore les endroits où il pourrait être à l'aise. Un siège confortable au coin du feu pendant la nivose lui suffirait largement, mais un grand manoir a lui tout seul serait son rêve.
Connaissances
Anciens maîtres
Philip Androix: Maître de Hydan, celui-ci l'aime particulièrement bien pour sa gentillesse. Malgré qu'il ne le voit pas souvent.
Azer Merilio: Malgré une rencontre qui s'est plutôt mal passée, Hydan et messer Azer ce sont bien entendus par la suite, au travail. En effet, Hydan aime bien travailler et se trouve désormais particulièrement obéissant.
Melkyor: Nouveau maître de Hydan depuis la "refonte" de la famille Dreher (qui donna alors Dravek), Melkyor reste à ce jour quelqu'un d'assez sympatique aux yeux d'Hydan, malgré le fait qu'il n'aie eut presque pas de temps pour discuter. De plus, celui-ci devra affranchir Hydan, dès qu'il le pourra.
Ses amis/proches
Hadyran: Hydan et lui se sont rencontrés en bâteau, parti pour la vente d'esclave. D'ailleurs, ils ont été vendus en lot, ce qui fait de lui et de Hydan des bon amis.
Flavio: Hydan l'a rencontré à la vente d'esclave, enfin il l'a vu mais lui non. Il savait qu'il avait été acheté par sa famille et qu'il était ébéniste. Par ce fait, ils ont eu l'occasion des fois de travailler dans les mêmes lieux.
Maëglyn Lisaida Underson-Calmacyl: Seule amie de Hydan à ce jour, Maëglyn est une esclave. Hydan et elle s'étaient rencontrés lors de la vente. Depuis, ils s'étaient revus de nombreuses fois, de plus Hydan a pu lui fabriquer son arc, pour la chasse.
Sa famille
Alam: Hydan a discuté avec lui pour un logement au quartier de Rivelame. Il s'est bien entendu, et par la suite Alam l'a reprit plusieurs fois pour discuter, toujours avec le sourire. Étant Phareste, Alam prend Hydan comme un bon ami et réciproquement.
Ezequiel Novella: Hydan l'a rencontré dans la Taverne du Flamboyant, alors que celui-ci cherchait un logement. Depuis, il ne le voit plus, après seconde rencontre qui ne c'est pas très bien passée. Mais, désormais il travaille avec lui pour rembourser sa dette. Ayant fini celle-ci et rejoint les Pharestes, Hydan le voit sous un "bon angle".
Shahab de Cirkla:Comme Alam, Hydan a rencontré Shahab pour un logement, au quartier de Rivelame. Depuis, il ne lui a plus demandé grand chose mais comme il a rejoint les Pharestes, ça fait de lui une bonne connaissance.
En sa possession
Vêtements
~ Un manteau assez sale, brun, un peu hachuré. 
~ Une chemise blanche, hachurée aussi. 
~ Des sabots fait par sa main, en bois de pommier. 
~ Un manteau qu'il a commandé au rêve de soie. 
Objets
~ Quelques espers d'or qui traînent dans ses poches.
~ Une petite dague en or, où est gravé: "Hydan" et un esper. 
Autres
~ Un logement, au quartier de Rivelame. 
Avant d'arriver…
Trois ans, bientôt quatre ans ont passé sans mon père. Je ne savais pas pourquoi la nature m'en voulait tant. Non seulement, on vivait dans la pauvreté, mais il fallait qu'on enlève mon père de ce monde. Pourtant, je n'avais point offensé ce dieu, Arbitrio… Il fallait qu'il meurt à mes 8 ans. Il m'en avait tant appris sur le bois et l'artisanat. Mais je sais que dans tout cela, il n'y a pas que moi qui est triste. Ma mère aussi, elle l'est. Elle est tellement accablée qu'elle se mit à boire. On ne pourra dire que c'est elle qui m'a bien élevée.
C'était le soir, et j'étais seul à la maison. Encore à rien faire, quoi que... Encore à me lamenter de mon sort. J'entendis des voix en dehors de la maison. Il faisait déjà nuit et je vis des lueurs arriver sur le sentier qui mène à mon bercail. Je vis alors que c'était des hommes qui travaillent avec ma mère, à la taverne du village. Ils la trainaient. Je compris alors qu'elle était saoul. Encore une nouvelle fois. Je ne comptes plus ces soirées où elle arrive toute ivrogne. Je descendis au rez-de-chaussée, et on ouvrit la porte. "-Tiens, bonhomme! Voilà ta mère." Je vis qu'elle rigolait, avec un rire niais. Comme si elle se moquait d'on ne sait qui. "-Et bien sûr, tu sais qu'elle n'aura pas sa maudite paye. Elle n'avait pas qu'à boire! Tu le lui répèteras." Je vis qu'ils se mettaient à rigoler, puis il enchaînait: "-Mais, dans tout les cas… ça sert à rien! Elle est trop stupide pour qu'elle comprenne!" En effet... C'était la énième fois que je vis ma mère avec ces hommes, rentrer le soir comme ça. Je mis la main de ma mère sur mes épaules et je la remmena dans la baraque. Je la laissa sur le seuil d'entrée, tellement dégoûté de voir ce qu'elle est devenue. J'allais pour me coucher et elle intervenu avec sa voix médiocre. On aurait dit une véritable sorcière. "-Ehhhh... Petit! Oui, toi là. Hydan. Va m'chercher à boire! Tout d'suite! Et pis traîne pas, compris ?!" C'était limite si elle se croyait pour quelqu'un d'important. J'avais pas envie d'y aller, mais je savais que si je ne le faisais pas, ça irait mal pour moi. J'alla lui chercher une bouteille, mais je repartis vite me coucher.
Au matin, quand je descendis, je la vis toujours sur le seuil d'entrée. Endormie, bouche ouverte et bouteille à la main. Je n'en pouvais plus de cette situation misérable. Je montais à l'étage pour prendre quelques affaires, de l'argent et de la nourriture. J'ouvris la porte, et, je regardas une dernière fois ma mère. Enfin, ce qu'elle est devenue. Après cela, je partis au village. Je pensais peut-être trouver un travail, ou… Quelqu'un qui voyage et qui m'accepterais. Enfaite, je voulais juste partir loin d'ici. Très loin. Après, je me dis que la meilleur façon de partir, c'est de partir depuis le port. Quand je prenais la direction du port, je vis la taverne. Je décida d'y jeter un coup d'oeil, et aussi de parler aux taverniers. Enfin, si ils sont déjà debout. Heureusement pour moi, ils l'étaient. J'entra, et je demanda:
"- C'est ici que ma mère travaille ? - Ouais mon p'tit. Pourquoi ? Tu veux lui dire de changer d'boulot ? - Non. Je voudrais juste que vous lui remettiez un message. - D'accord. C'est quoi l'message ? - Dites-lui juste qu'elle n'a pas besoin de me chercher à la maison ou autre part sur l'île. - Pas d'problème."
Ils n'avaient pas compris mon ambition de partir. A la suite de ce dialogue, je sortis de la taverne et je repris ma route pour le port. J'étais près des quais, mais sans le moindre navire. Enfin, je vis un bateau, presque près à partir. Je vis l'équipage qui était en train de préparer le départ. Ensuite, j'entendis une voix. Et je me dis que c'était sûrement ma chance de partir d'ici:
"- On a b'soin d'écumeurs!" Alors, j'alla de ce pas au navire, en me présentant. Il me dit:
"- Oh mais... T'es bien p'tit! T'a quel âge ? - 12 ans. - D'accord... Mais, ne penses même pas à recevoir une paye! Compris ? -Très bien." Enfin, j'entendis cette phrase que j'attendais depuis longtemps:
"-Larguez les amarres!"
RolePlay :
J'étais avec ma mère, près du quai. On se baladait tous les deux. On regardait les bateaux, qui venaient et qui s'en allaient, loin de la côte. On regardait les marchandises, les pirates et matelots qui les regardaient. Surtout les pirates. Ils voulaient toutes les convoitises du monde, eux. Je me demandais si j'allais un jour faire partis de ces bandits. Enfin, faut voir ce que nous réserve l'avenir. On ne sait jamais ce qu'il va nous arriver, nous ne savons pas quel en est notre destin. Mais, un jour ou l'autre on verra toute notre vie défilée devant nos yeux et on se dit qu'il n'y a plus rien qui pourra nous arriver. Hélas, on ne sait pas quand ce moment arrivera. Avec ma mère, on se dirigea vers la plage, vers les côtes sableuses. Je regardais les coquillages, l'eau turquoise de la mer... Quand, soudain je vis quelque chose... Arriver avec les vagues. Je regardais autour de moi et je ne voyais plus ma mère. Je me demandais où elle était passée. Enfaite, il n'y avait que cette "chose" qui m'intéressait. Je ne savais pas pourquoi. J'avais du mal à voir qu'est ce que c'était, à cause de l'écume. Quand, tout d'un coup je vis un visage. J'avais peur, car je me dis que c'était peu être un naufragé. Ou un mort, qui sait ?… Je n'arrivais toujours pas a voir la silhouette en entier. Mais, quand la vague s'arrêta, je vis le corps. Et, j'étais là, terrorisé. Je commença à chuchoter: "- Pa… Papa ?!" Puis à crier: "- PAPAAAAA!"
"- Ahhhh!" Je regardais autour de moi, et, je vis qu'enfaite, c'était un cauchemar. J'étais seul dans ma cabine, sur mon petit hamac. Je me dis que c'était bien un horrible rêve, qui était terminé. Mais, d'un coup, j'entendis un bruit, à côté de ma cabine. Je sortis alors de celle-ci, et je traversas le couloir. J'avais du mal à marcher la nuit, car quand je ne suis pas réveillé et qu'on est sur un navire, mes sens ne sont pas tous fonctionnels. Comme si j'étais un peu ivre. Au bout de l'allée, je vis 2 hommes, ou plutôt 3 hommes car un d'eux était allongé, au sol. Je ne compris pas tout de suite la scène, mais je restais caché, je ne savais pas si ces hommes étaient dangereux. En effet, je suis sur cette embarcation depuis tout juste 1 mois. Donc j'ai eu à peine le temps de connaître mon entourage. Je vis sur la table un papier. Et ça m'avait tout l'air d'un contrat de travail, ou un simple contrat.
J'entendis vaguement ce qu'ils disaient; "- Bon, écoute-moi bien. Tu as juste a signé ici, et c'est dans la poche !" Je vis l'homme à terre et je compris qu'il était comme drogué, saoul. C'était à peine si il arrivait à parler. Puis il prit la parole: "- Mais j'en veux pas, d'vôt' paplard... z'ai rien fais, moâ!" On entendait bien son accent d'ivrogne. "- Donc, mon gars, si je comprends bien tu veux mourir, c'est ça ? - Ahhh, mais nan! J'veux vivre, moâ. Mais, allez... Pour v'faire plaisir, j'vais zigner." Enfin, je compris. Je compris qu'il s'agissait d'un complot complètement infâme. Ils le gavaient de rhum roux et d'autres alcools pour en faire ce qu'ils veulent, et, dans ce cas-là, pour faire signer ce contrat. Ensuite, j'entendais des rires; "- Ben pas trop tôt! Est-ce que c'était compliqué ? Hein ?! Non! Maintenant on peut te prendre comme on veut 1 sac d'or. Et, tu sais que si tu racontes quoi que ce soit de tout ça... On te foutra au feu!" C'était atroce. Dès cette nuit là, je me dis qu'il valait mieux pour moi de quitter le navire au plus vite. En retournant me coucher, je sentis une main sur mon épaule. Je me retournas en sursaut, et je vis que c'était le quartier maitre, celui qui m'avait engager. "- Qu'est-ce qu'tu fous là, toi ? - Ah, hem... J'étais juste aller, aux... toilettes! - Mouais... Fais gaffe à toi, gamin! " Mon coeur n'en pouvait plus. Surtout quand cette main était posée sur mon épaule. J'allais pour me coucher, et je repensa à tout ça. J'en étais encore terrorisé.
Le lendemain matin, je vis l'homme qui était saoul, la veille. Il ne disait rien. Comme chaque matins, j'astiquais le pont et je regardais l'horizon. Ensuite, je vis le capitaine du vaisseau. Il faisait sûrement une annonce importante, car il ne sort pas souvent de sa cabine personnelle. "- Chers marins, écumeurs. Je vous annonce d'ors et déjà que dans moins d'une semaine, nous ferons une halte sur le continent, vers l'embouchure de l'Heimild, dans la contrée d'Aon. Vous pourrez en profitez pour aller dans une taverne, ou alors juste posez vos pieds sur de la terre ferme. Enfin, pour finir que ceux qui veulent se désister du navire, lèvent la main!
J'avais trop peur. Trop peur d'avoir quelque chose de suspect, et qui se montre à l'équipage. Je ne bougea pas. Enfin, le capitaine poursuivit:
"- Très bien, je vois que personne n'est prêt à rester sur la terre ferme. Messieurs, je vous souhaite une bonne journée."
Puis il partit, dans sa cabine. A faire je ne sais quoi. Les jours passèrent et, au bout de 6 jours nous arrivâmes sur le quai d'un petit village maritime. Tout le monde alla vers la taverne, à boire et à boire. Quant à moi, je partis loin, mais juste avant on m'interpella:
"- Eh! Petit! Viens boire un verre avec nous, tu verras ça t'fera point de mal. - Non… Merci, ça ira. - D'accord, comme tu voudras. "
Ils ne se doutèrent de rien, comme mon départ de Lig Ocolide. Avant de partir, je pris bien soin de prendre toutes mes affaires, voire un peu plus. Enfin, je marcha loin du village et des côtes, afin qu'on ne me retrouve pas.
RolePlay :
Ça fais maintenant 5 ans que je suis partis du navire. Je pense qu'ils ont dû comprendre mon départ non averti. Enfin, je n'espère tout de même pas. J'ai eu du mal à me trouver de la nourriture, car les gens du continent ont un mauvais oeil des ocolidiens. A cause de la piraterie, je pense. Enfin, tant que je suis en vie, ça va pour moi. J'avais parcouru pas mal de route, et je me suis rendu à la Capitale. Quand j'étais arrivé, j'étais émerveillé. La ville était si grande, ça change vraiment de mon village natal. J'entra dans celle-ci, et je regardais toutes ces boutiques, les forges, les marchés… Mais, je me dis que je devrais trouver un abri pour la nuit. J'allais pour voir une auberge, vers la place quand je vis des têtes que je connaissais déjà. J'avais un mauvais, très mauvais pressentiment. Je ne voulais et je ne comptais pas les croiser, même du regard. Je me tins à l'écart de leur groupe. Ensuite, je ne savais pas pourquoi mais je vis qu'ils cherchaient quelque chose, ou quelqu'un. Ils avaient le regard ailleurs. J'avais le coeur qui battait fort, comme la nuit où j'étais dans le couloir. Je me demandais pourquoi il me cherchait, et enfin je me remémorais quelque chose que j'aurais jamais du faire;
j'avais mis au jour leur complot, et je reçu une faible rançon pour cette sorte d'arnaque. Ils avaient mis au bagne pendant un an les deux hommes qui avaient conçus cette ruse. Et je ne pense pas qu'ils ont bien apprécié ce que je leur aie fais. Ils ont du découvrir que j'étais dans le coin. Comme la fois où on avait mis la main sur mon épaule, on mit la main sur les miennes, comme un enfant et son père, mais cette fois-ci c'est comme une victime et un assassin.
"- Les gars! Vous n'devinerez jamais qui j'ai trouvé..." C'était le quartier maitre, le même qui m'a fais peur la première fois. J'entendis des éclats de rire, comme si ils croyaient qu'il mentait. "- Non, franchement! Je l'ai retrouvé, ce p'tit morveux!" Les rires se tuent, et ils arrivèrent. "- Mais qui voilà... N'est-ce pas notre petit fugueur ? Hein ?! - J'crois bien. Dis, gamin, tu as reçu combien pour avoir dis not' complot ?"
J'étais prêt à m'évanouir. Dans la panique, je répliqua: "- Non, c'n'est pas moi! Vous vous trompez de personne! - Ah bon ? Moi, j'pense bien que c'est toi. Car, dans le doute vois-tu, on a tuer tout ceux envers qui on avaient comploté. - Mais je vous promets que je n'ai rien fais! - J'crois qu'on s'est mal compris… C'est toi le dernier survivant, ou plutôt la dernière personne -à par nous- qui connaisse ce qu'on a fait. Donc, tu vois, petit, on est pas très content de ce que tu as fais." Pendant un court moment, ils discutèrent ensemble.
"- Ça marche, emmène-le. - Où ?! Vous m'emmenez où ? - Ferme ton maudit clapet. " A ce moment là, ils me bâillonnèrent et ils m'attachèrent les mains. Je n'avais pas la force de me débattre. Après une demi-heure de marche, je regardais devant moi et je vis un navire marchand. Puis ils commencèrent à discuter avec le capitaine;
"- 20 pièces d'or pour ce morveux, c'est potable ? - Mhhh… On va dire que oui." D'un coup, je reçu un coup sur la tête et je tomba dans les vapes. Je me réveilla sans rien sur moi, juste avec les liens du cordage et quelques vêtements. Je regarda autour de moi et je vis d'autres personnes, qui étaient dans le même cas que moi. Je les questionnèrent un peu sur leur arrivée dans ce navire:
"- Vous êtes arrivés comment, ici ?!" Une voix assez faible me répondit: "- Ben... sûrement de la même façon que toi; vendu comme esclave." Jusqu'à là, j'avais tout compris. Enfin, presque tout compris. Et c'était à partir de ce moment que je compris le sens des 20 pièces d'or. Ils m'avaient vendu pour juste 20 pièces d'or. Enfin, après un court moment de réflexion, je me dis que pour ce que je leur ai fais, ça vaut ce prix.
Après quelques heures passées sur le navire, j'entendis quelqu'un arriver.
C'était un lieutenant. Il arriva et dit à tous ceux qui étaient avec moi: "- Vous avez intérêt à bien vous tenir jusqu'à Fort Lointain."
Historique
— est arrivé le 26 Août 0514 sur l'île, en tant qu'esclave. 
— a trouver du travail 4, 5 jours plus tard (fin août/début septembre) en tant qu'artisan du bois, chez messer Azer, dans l'Orme Altier."
"— apprend que le 15 septembre, dès qu'il aura fini une commande à 1 Esper de diamant celui-ci retrouva sûrement sa liberté."
"— devient mécontent peu après le 22 septembre, n'ayant toujours pas eu son affranchissement, et voyant que ses amis arrivés le même jour que lui sont libres."
"— a, suite à son mécontentement, n'a plus beaucoup de plaisir à travailler."
"—a retrouver la joie de travailler, et aussi un logement au quartier de Rivelame.
◊ est libre le 30 Octobre 0514! (Le jour de mon anniversaire IRL :3) 
◊ doit travailler pour rembourser son logement.
"◊ a fini de payer sa dette, et rejoint la famille Phareste.
