Utilisateur:Marzban

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     Marzban
Informations RP
Nom
Genre
Homme
Année de naissance
Rang
Esclave de







Métier
Métier
Compléments








Origines
Ville d'origine
Région d'origine
Nation d'origine
Informations HRP
Login Minecraft
Marzban
Pseudo
LenRenko Marzban


Âge IRL
21





Marzban


Nom : Marzban

Surnom: Marz'

Age : 21 ans

Taille : 1m62

Poids : 60kg

Religion : Culte des Images


Portait



Physique:

Marzban n'est pas très grand mais la chasse au bouquetin lui a forgé un corps svelte et athlétique. Il adopte souvent une posture droite et ancrée néanmoins, les nombreuses courses à travers les reliefs de Gahabni lui ont laissés une agilité naturelle et instinctive. Son teint mat aux reflets argentés rappelle ses origines manarades. Son visage est lisse et rond, surmonté d'une courte chevelure couleur ébène et arbore des yeux aux reflets bleus et une pilosité naissante. Comme de nombreux manarades, ses bras sont toiles pour de nombreux artistes tatoueur. Deux de ses tatouages sont facilement identifiables, l'un sur l'avant bras gauche, est la représentation de la mageneta d'Iedine du culte des images. L'autre, est un bateau surmonté d'un bouquetin, symbolisant son île natale et le souvenir de son père.


Moral:

Le caractère de Marzban s'est forgé sur les événements de son enfance et sur l'éducation familiale. Ses parents lui ont appris la franchise, la modestie et le respect des anciens, très ancré chez les manarades. Son séjour à Néhévand, ses différentes mauvaises rencontres et sa volonté d'apprendre l'ont rendu taciturne et diligent. Quand à son côté solitaire, il est apparut après à la mort de son père, préférant alors la solitude et le calme de la nature de Gahabni.



Intérêts et Goûts


Grille Arc.png La Chasse : Marzban porte un intérêt particulier à la chasse, activité qu'il a pratiqué sur Gahabni.

Grille Livre et Plume.png La Connaissance : Malgré ses origines modestes, Marzban porte un grand intérêt aux diverses connaissances du monde et plus particulièrement aux cultures et croyances de l'ancien monde.

Grille Carte.png Le Monde : Depuis sa plus tendre enfance, Marzban souhaitais faire le tour de l'ancien monde et découvrir de nouveaux horizons.


Grille Herbes Folles.png L'herbe à fumer : Bien qu'il soit né sur Gahabni où les cultures d'herbes à fumer sont légion, il en a toujours détesté la forme, l'odeur et l'utilisation que ses pairs en faisaient.


Divers


  • Lieux connus :
    • Bakar
    • Nehevand
    • Fort Lointain


  • Langues parlées :
    • Ocolidien
    • Manarade



  • Choix Métier

MarzbanChoix.png



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Relations


Amicales


Cordiales

Efkan

Discordantes



Chronologie


-An 495 : Marzban naît à Bakar, petite bourgade de Gahabni, île isolée de l’Archipel Ocolidien. D’un père caboteur et d’une mère serveuse dans l'auberge "Le Bouquetin Blanc", près du port. Deuxième fils de la petite famille Gorgô, Marzban grandit avec son aîné, Eskan, en passant la plupart de son temps sur les quais.



-An 500 : Le propriétaire de l’auberge prend Marzban sous son aile et commence son éducation. Il apprend ainsi l’histoire de Bakar, la faune, la flore et la langue manarade. Très jeune, Marzban calcule déjà le temps et cherche à l’optimiser, alternant entre éducation et loisir.



-An 503 : En côtoyant les écumeurs de l’auberge, Marzban se plait à écouter les histoires racontées par ceux-ci et développe l’idée de parcourir les îles ocolidiennes et même de découvrir monde.



-An 505 : Durant le Thermidor, Eskan et Marzban partent pour la première fois chasser le bouquetin gahabnite.

Eskan est victime d’un accident et perd sa jambe droite, cela marquera Marzban. Cependant, ils réussissent à tuer leur premier bouquetin.

Peu de temps après, lors du festival du Naufrage, Marzban se voit attribuer son premier tatouage manarade sur son bras gauche ainsi qu’une représentation de la mageneta d’Iedine sur le bras droit.



-An 507 : Le Nivôse de cette année persiste étrangement longtemps et le Thermidor semble faiblard, les plantations d’herbe à fumer sont ravagées. Les activités de l’île tournent au ralenti et la vie est rude. Les écumeurs se font rares et les auberges sont désertes, la petite famille doit alors compter sur les revenus de la pêche.

C’est vers la fin du Brumaire que le père de Marzban disparait lors d’une sortie en mer, devant subvenir à sa famille, il dût prendre la mer malgré les tempêtes et ne revint jamais. Marzban attendra son père durant des semaines. Suite à cet évènement, il devient plus calme et solitaire.



-An 509 : Marzban se fait à l’idée de ne jamais revoir son père et Eskan ne pouvant travailler à cause de son handicap, Marzban se met en tête de subvenir aux besoins de la famille. Il s’attèle à la tâche et commence à chasser les bouquetins pour revendre cuir, os et même la viande.

C’est durant la Manara que Marzban annonce à sa famille qu’il veut partir pour Nehevand à bord d’un navire d’écumeurs afin d’y trouver du travail plus rentable que la chasse.



-An 510 : Marzban se fait tatouer un « bouquetin sur un bateau de pêche » sur son bras droit en mémoire de son père et de sa famille avant de quitter Bakar au début du Thermidor. Il embarque sur un navire écumeur en tant que mousse et passe la plupart de son temps à nettoyer.



-An 511 : Malgré son enthousiasme, Marzban ne trouve pas de travail stable, enchainant les petits boulots à court terme. Cependant, il comble rapidement ses lacunes linguistiques en enchaînant les emplois, employeurs et les rencontres d’érudits. Il apprend ainsi le capitalin.

C’est à la fin du Thermidor que Marzban trouve les ennuis, le capitaine qui l’avait accueilli pour effectuer son voyage vers Nehevand lui demande de payer sa dette de voyage. Ne pouvant répondre à la demande, il se met sous la protection d’un employeur et travaille comme serveur dans une auberge.



-An 514 : Les saisons passent et Marzban travaille toujours pour l’aubergiste, il avait remboursé le capitaine et gagné un peu d’argent. Il profite de cet argent pour étudier dans les modestes bibliothèques et songe à retourner sur Bakar retrouver sa famille.

Il participe activement à la Fête de la pêche en décorant son embarcation aux couleurs du navire de son défunt père et contre toute attente, même seul il ne finit pas dernier avec comme trophée quelques cicatrices.



-An 515 : C’est au début du Thermidor que Marzban décide rentrer chez lui à Bakar. Il monte à bord d’un navire nommé « le Bouquetin de Gahabni », sans doute le destin qui le mena à son bord.

C’est lorsqu’il revint sur Gahabni qu’il apprend que son frère Eskan est mort la saison dernière d’une gangrène de sa jambe amputée, l’isolation de l’île et le peu de revenu que la famille avait ne lui ont pas permis de se faire soigner. Quant à sa mère, elle avait donné tout ce qu’elle avait pour le soin d’Eskan, allant même jusqu’à s’endetter auprès de nombreuses personnes et même d’écumeurs.

Marzban rachète d’abord les dettes de sa mère auprès du propriétaire de l’auberge, puis se remit de nouveau à chasser les bouquetins.



-An 516 : C’est durant la Manara que Marzban annonce à sa mère qu’il compte rester pour l’aider à payer l’ensemble de ses dettes, malgré son objection.

Il travaille ardemment comme serveur dans l’auberge, chasseur de bouquetins et autres travaux et rembourse petit à petit les dettes accumulées par sa mère. Et à chaque dette remboursée, il se fait faire un tatouage manarade pour la symbolique.

C’est au début du Brumaire que Marzban embarque à bord de ce qu’il croyait être un navire d’écumeurs afin de rembourser l’ultime dette de sa mère. Cependant, après quelques jours de voyage au large de Gahabni, il prend conscience de sa situation, il est mis aux fers et envoyé en fond de cale. Le capitaine lui annonce qu’il a été vendu aux esclavagistes par sa mère pour rembourser sa dette.



-An 517 : Marzban est isolé à Fort Lointain à la mi saison du Nivôse en attendant d’être vendu au plus offrant.


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Chroniques : Avant le Temps

« Cette cellule est froide, humide et sombre. Je ne peux rien voir de là, mais le vent, l’air … une forte odeur de mer.Je ne m’en remets toujours pas, vendu comme un objet par ma propre mère… Et dire que j’étais sur le point de rembourser toute ses dettes. Mais finalement, c’est fait non ? Si je suis ici, c’est que la dette est remboursée.Je n’arrive pas à savoir, serait-ce mon dût ? Mon destin ? Ou ma punition pour avoir abandonné ma famille ? Je venais juste de rentrer, avec de bonnes nouvelles et quelques sous en poche. Je me suis donné corps et âme pour rembourser les dettes et me voilà embarqué comme esclave…J’étais jeune et je voulais juste découvrir le monde, trouver de l’argent pour nous ! Je m’en veux d’avoir laissé Eskan dans cet état, peut-être n’aurai-je pas dû quitter l’île… Comme j’aimerais que tu n’aies jamais disparu en mer… Mais désormais c’est fait et je me retrouve là, après un voyage mouvementé… »


L'Ouragan


_ Hissez l’voiles, v’la qu’vient l’tempête !

Cette voix qui résonnait lourdement dans ma tête me faisait affreusement mal, j’avais perdu tous mes repères. Où suis-je ?

Le navire tanguait et malgré la brume devant mes yeux, je pouvais distinguer le gris du ciel et la pluie qui tombait fortement. Le vent se levait et avec lui, une forte odeur que la houle relevait. Autour de moi, il y avait des hommes, des femmes et des enfants, tous pieds et poings liés. Moi aussi, j’étais dans le même cas qu’eux. Je n’arrivais pas à me souvenir des évènements qui avaient lieu plus tôt. Je fus extirpé de ma transe lors qu’un éclair fendit le ciel dans un bruit assourdissant.

_C’va p’tit ? Me demanda l’homme à ma droite.

Il me fixait du regard et me montrait ses poings liés, il arborait de nombreux tatouages sur ses bras. Ses habits étaient étranges, déchirés et salis, j’ignorais depuis combien te temps ces gens pouvaient être ici et moi aussi.

_ Ji, Nais. Répondis-je instinctivement.

_ T’es l’gars de Bakar ! S’exclama un jeune individu un peu plus loin, avec un large sourire se dessinant sur son visage. Nous devions avoir le même âge.

Mais son sourire se retira aussitôt lorsqu’il vit par la petite ouverture, l’immense vague qui se levait au loin. Je pouvais désormais entendre les nombreux pas des hommes qui s’affairaient sur le pont et les ordres du capitaine dont la voix traversait le vent.

_ Déferlez l’grand’voile marin d’eau douce ! ‘Faut louvoyer face’au’vent ! Entendis-je tandis que le navire tanguait de plus belle.


On entendait les craquements du navire, les étirements du cordage et les vagues qui se brisaient sur la coque du bâtiment. Je n’eus à peine le temps de réfléchir que la houle nous projeta tous contre la paroi. C’est ce choque qui me fit retrouver la mémoire, j’étais à bord du navire pour rembourser l’ultime dette de ma mère. Le capitaine m’avait annoncé qu’en réalité, j’avais été vendu aux esclavagistes et me suis retrouvé ici, avec les autres.


Mes pensées furent vite balayées par le cri strident d’un homme sur le pont. Sur le pont, les pas se faisaient plus pressant et le capitaine proliférait des ordres à tout va.

_ Ecumeurs ! Affalez l’grand’voiles ! Hissez l’pavillon ! y’veulent l’navire !

Je ne comprenais pas grand-chose aux ordres du capitaine, des mots m’étaient totalement inconnus, néanmoins, je pus déduire que nous étions attaqués et cela, en plein milieu d’une tempête. Je regardais autour de moi, cherchant un endroit où me mettre à l’abri, mais l’état instable du bateau et ma situation rendait tout mouvement difficile.


_ Badak ! Lâcha l’homme qui était assis à ma droite un peu plus tôt. Il venait de se lever et sautillait vers l’escalier qui menait au pont.

_ Murahka ! Murahka ! R’viens ! Cria une femme dans le fond.


Mais l’homme fut de nouveau projeté contre la paroi à l’opposé avant d’avoir atteint l’escalier, sa tête cogna contre l’une des poutres soutenant le pont et il perdit connaissance tandis que du sang s’écoulait de son crâne. Le jeune ocolidien s’empressa de venir aux côtés de l’inconscient mais il me fallut seulement quelques secondes pour voir qu’il était libre de ses mouvements et tenait une petite dague entre ses mains. Il s’empressa de couper la corde qui entourait les poings et les pieds de l’homme au sol et en fit de même pour ceux qui le regardait.


_ Ou qu’ta trouvé ça ? Demanda la jeune femme lorsqu’il me libéra.

_ T’jours eût sur’moi. Répondit-il d’un ton enjoué et fier de lui.


La joie fut de courte durée lorsqu’un des hommes d’équipage descendit par l’escalier. Il semblait jeune lui aussi et était blessé d’une flèche à l’épaule gauche. Lorsqu’il vit tous les hommes libres son visage fermé se changea en un léger sourire.


_ V’z’etes libres, v’nez nous aider à maint’nir l’navire, on va s’faire saborder ! Lança-t-il aux individus qui le fixait du regard en les pointant du bout du cimeterre qu’il tenait en main.

J’hésitai un moment avant de me lever difficilement et me dirigeai vers l’escalier en me tenant à tout ce qui était à portée de main. Lorsque je fus devant l’escalier, je pus voir les flèches qui traversaient de part en part du navire et certaines venaient se figer dans le bois des mâts. Malgré la pluie battante et le danger, je grimpai lentement les marches et atteignis le pont.


Des corps gisaient sur le sol près des bords tandis que les marins courraient, tiraient, criaient et tentaient de maintenir le cap. Certains d’entre eux s’étaient équipé d’arc et d’épée pour faire face aux écumeurs, mais il ne fallait pas être expert pour voir qu’ils étaient bien moins nombreux et en mauvaise posture.


Nul ne fit attention à ma présence si ce n’est le capitaine qui m’avait repéré avant même que je ne dépasse des escaliers. Il me fixait du regard et semblait attendre quelque chose. Je me dirigeai donc vers la poupe tout en me tenant au pavois pour palier à la force des vagues.


_ Marzban ! S‘ta droite ! Tire sur l’corde ! Sa voix était à peine perceptible mais je compris que c’était à moi qu’il s’adressait.


Je tentai d’attraper la corde mais la pluie rendait la chose difficile. Après plusieurs tentatives, dans un effort surhumain je réussi à la tenir et tirai dessus avec force. Plus je tirais, plus je me sentais glisser vers le bord. Le vent s’engouffrant dans la voilure provoquait des soubresauts de la corde et m’entrainait rapidement vers le bord.


Alors que la corde m’entrainait jusqu’au bord du bateau, l’un des hommes de la cale vint m’aider et à, son tour, tira de toute ses forces. Mais ce qui troublait le plus n’était pas cette corde, mais le son du fer s’entrechoquant qui signifiait que les écumeurs étaient montés à bord.


A travers les cris des hommes, le bruit des combats et la tempête je pus capable d’entendre les ordres du capitaine, il fallait combattre. Les hommes qui me suivaient prirent rapidement les armes sans grande conviction. Je vis le jeune ocolidien, qui m’avait libéré, se battre puis tomber sur le sol. La peur et le doute commencèrent à m’envahir. Etait-il possible de s’en sortir vivant ? Pouvait-on gagner le duel ? Et même si l’on gagne, la tempête pouvait nous envoyer par le fond.

C’est un homme d’équipage qui me sortit de ma stupeur.

_ Tiens, v’la n’arc, n’a rien d’aut pour toi, d’brouille toi pour r’ster ‘vant.


Il me tendit un arc et quelques flèches, il disparut avant même que je n’eus le temps de dire quoi que ce soit. Je comptai rapidement le nombre de flèche et m’aperçut qu’il n’y ‘en aurait sans doute pas assez, cela me remémora la chasse au bouquetin sur Gahabni.


Je décochai faiblement une première flèche en direction d’un écumeur aperçu un peu plus tôt, mais c’était sans compter le vent qui envoya le projectile loin dans l’océan. Tandis que je m’apprêtai à décocher une seconde flèche, un craquement de bois et un claquement dans l’air détourna mon attention. Je me retournai pour voir alors qu’une forte douleur me vint dans le bas du dos, l’instant d’après, je vis le sol se dérober sous mes pieds et m’étalai lourdement.


Le Nouveau Monde


La chaleur du soleil m’extirpa lentement de mon sommeil, je tentai de me lever, mais la douleur était encore forte. Je m’adossai contre le bord et jetai un œil au navire. Les marques de la bataille et de la tempête étaient encore bien visibles. Certaines voiles étaient trouées ou déchirées, il manquait quelques cordes ici et là.

L’équipage s’affairait à nettoyer les débris, je constatai rapidement qu’il manquait quelques visages dont l’homme qui m’avait donné l’arc qui se trouvait encore à mes pieds. Il y avait aussi quelques prisonniers de la cale, brossant le pont.


_ Te v’la d’bout moussaillon ! T’a raté q’chose ! Ricana le capitaine. T’es qu’même commode com’gars ! D’mage qu’j’doive t’vend'e, mais c’le chass'-partie ! Me murmura-t-il.


Je n’eus pas grand-chose à dire, encore troublé par les évènements et par les paroles de l’ocolidien, je songeais à Bakar, son port et ses écumeurs qui y trouvaient refuge. Je me souvins de nombreuses histoires qu’ils me racontaient, leurs aventures et leurs batailles. Mais j’avais oublié qu’ils étaient bandits, voleur et hommes de méfaits.


La nuit commençait à tomber lorsque nous vîmes apparaitre une île au loin, c’est la première fois que je voyageais aussi loin de ma petite île natale mais c’est aussi à ce moment que je ressentis vraiment l’angoisse et la peur m’envahir, j’allais être privé de ma liberté.


_ V’la Fort Lointain com’y disent ! 'Parait q’c’est d’là qu’on r’joint le nouv’monde ! Lança le capitaine à ses hommes. Et c’là qu’j’vous dépose l’doulons ! Ajouta-t-il avant de me fixer du regard.


Le navire jeta l’ancre à la nuit tombée, je descendis accompagné d’une dizaine d’autres esclaves, nous fûmes alors enfermés dans ces cellules froides, humides et sombres, en attendant d’être vendus au plus offrant...



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Le prix de la Liberté



Crédits

Portrait : Ben Mowson - Prince of Persia (2008) Artwork