Utilisateur:Renault

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CaptainRenault



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Credimus in Arbitrio cum sanguine











Histoire

Avant Esperia

La jeunesse

Renault est né à Huratelon, et fut recueilli sous la demande de son père, dans la confrérie des phalangistes.

Depuis la jeunesse dans la confrérie, les vieux sages comme ils les appellent, leur apprirent à lire, et à écrire. Le talent du combat, de l'honneur et des mathématiques furent vite assimilés pour le jeune Chevalier, Renault, qui traça sa destinée à coup d'épée et de livres.

Cette éducation fit du frère Renault un homme au sens de l'honneur aiguisé et fin. Son défaut, la gourmandise. Cependant il n'a jamais été critiqué par ce perfide problèmes par ses frères. En revanche, une petite part de mégalomanie s'est développé à travers lui durant son enfance. Sa croyance et sa foi lui permis tout de même, d'effacer ces défauts.

Seul la confrérie des moines-chevaliers, les phalangistes, réussirent à allier religion, et chevalerie.

Le départ

Le soleil se lève, et les rayons commencèrent à envelopper le lit de paille dans le laquelle le frère Renault dormait encore.

Ce doux voile de chaleur réveilla doucement le moine qui se leva, comme tous les matins. Il sortit de sa chambre et circula dans les longs couloirs du monastère, réveillant, un à un ses frères. Une prière fut donnée quelques minutes après, comme tous les jours. Ensuite, chaque moines se dirigea vers sa fonction première.

Renault, lui, se dirigea vers la cours où il donna un cours aux novices. Ce jour la, ce fut un cours de théologie. Puis, il exposa philosophiquement les raisons de la vie au monastère. Le concept de la confrérie des phalangiste est de soutenir la croyance dans laquelle Dieu, "cultive" les hommes au gré de sa joie. Cependant, les phalangistes ne sont pas bornés quant a la vision du Dieu. Ils voient la religion comme une vertu, qui guide l'homme dans sa destinée.

Les élèves âgés d'environ 16 ans apprenait avec fierté ce que disait le frère Renault avec un calme impressionnant. Ce seront surement des futurs moines chevaliers, qui a leur tours veilleront au salut du monde.

Le matin passé, le déjeuner ce fit dans la grande salle commune. Puis, le grand sage, comme à son habitude se leva et fit une annonce. Il dévoila sa demande. Le frère Renault, accompagné de quelques moines seront envoyés dans la Capitale, pour établir une mission divine, d'ordre sacré.

Les murmurent enflammèrent la salle, tous les moines furent étonnés de cette nouvelle. Jamais depuis deux siècles, où les moines défendirent le Roi de Cartis, une décision comme celle ci fut prise au sein même de la communauté.


A Esperia

L'arrivée

Arrivé dans cette ville, il a été accueilli avec beaucoup d'honneur et d’enthousiasme par le gouverneur Utilisateur:Lexigg.

C'est ainsi qu'il fut nommé gérant de l'abbaye qui à été construite par sa demande.

Son accueil dut difficile, mais une fois arrivé, il travailla durement pour mettre en place l'abbaye, avec les moyens du bord offert par le gouvernement. Durant les périodes de trouble politique, Renault fut au coeur, et occupa pendant la terreur, le poste de consul a la sécurité.

Renault se jeta du haut du Sénat après avoir appris la folie de son amie, la seule qui lui restait après la terreur, Valiya.

Le Retour

L’Abbus tout le monde le croyait mort, suicidé du haut du sénat. Pour lui, cette chute volontaire fut une épreuve de sa foi pour l’Arbitrio, comme pour le juger de ses actions. Renault pensait que l’Arbitrio le punissait, en rendant folle et amnésique sa tendre amie Valiya. Il devait ainsi jauger la grandeur de cette punition par ce saut, en confiant sa vie à l’Arbitrio. Après cette chute, quand il se réveilla il se retrouvait caché dans la cave de l’abbaye, par son ami Fabrice qui avait suivi ses instructions en cas de survie. Il fut surpris d’apprendre que l’Arbitrio l’avait laissé en vie avec une séquelle qu’il n’oubliera jamais. Il était muet. Sa bouche était mutilée par le pavé qui l’avait réceptionné, aucun son n’en sortira. Seule l’écriture était pour lui un moyen de s’exprimer. Pour Renault, c’est un symbole d’honneur, que de lui retirer ce moyen de communication.

Ses quelques mois de convalescences cachés lui ont permis de réfléchir sur ses croyances et sur la société. Vivant comme un ermite à l’abri de cette population, il se nourrissait des plats que lui apportaient Fabrice et Ilesa, à l’abri des regards indiscrets. La nuit, il lui arrivait de sortir dans le jardin, malgré le lourd héritage de sa chute, caresser ses fleurs dans lesquelles il plaçait ses espoirs de guérison spirituelle.

Se faisait entendre un petit écoulement d’eau, probablement originaire de la roche poreuse. Renault était assis la, sur un petit duvet de laine que lui avait apporté Ilsesa la veille en raison de la fraicheur saisonnière. Une petite bougie exprimait une lueur qui réchauffait par un voile de lumière la petite crypte qui servait de cachette pour l’Abbus. Entre deux pierres se trouvaient des livres de prières qu’il avait mis tant de temps à écrire pendant son repos. Le dos contre le mur, ses mains en avant, il méditait. Il était peut-être temps pour lui. Les rapports journaliers de son ami Fabrice indiquaient que son retour devenait nécessaire. Ses mains se crispaient, il savait, que son travail jadis effectué serait peut être sans auteur pour certain, il savait, qu’il serait conspué comme auparavant, il savait que sa tâche serait âpre et difficile. Il savait que son handicap ferait de lui un mutilé public. Mais ces éléments ne faisaient que le motiver, accentuant son désir de vaincre les difficultés, son désir de servir l’Arbitrio.

C’était l’heure, il se levait, prenait sa robe pour se cacher du soleil que sa peau ne supporterait, et montait les escaliers en pierres qui le menait à la cour de l’abbaye. Il faisait beau, et le soleil radiait sur le jardin par ses éclats que l’Abbus percevait difficilement.



Amis

Ilesa, son amie, ancienne esclave, qu'il apprécie grandement par sa simplicité et sa gentillesse.


Valiya, son amie, il fut pendant un temps sa confidente. Elle était toujours la pour lui.


Kemelvor Kemaltar, rencontré en tant que gouverneur, Renault fut surpris d'apprendre à quel point cet homme savait vivre, dans sa vision. Ils s'entendent très bien lors des diners interminables qu'ils partagent.