Ciboulette : Différence entre versions

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Il en est de plantes, que l’on utilise quotidiennement, de fougères, que sans même en s’en rendre compte, l’on a toujours conçu comme un fait, une utilisation, un faire-valoir durant. Pourtant, guère se demande ce qu’il se prône en nos assiettes et remèdes.
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Sortant une de ses nombreuses encyclopédies où elle regroupe ses études, Leoplodine termina sa troisième chope de thé d’une traite, et écrivit, pour seul compagnon, un pot d’argile où reposait une ciboulette vivace mais au combien heureuse d’avoir échappée à la froideur de la Nivose.
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Je ne suis guère étonnée, voir même un peu déçue que l’on utilise encore quelques herbacées par coutume, ne sachant même rigueur tenue de leur nature. Prenons en exemple, la prochaine herbacée de notre étude, ciboulette vivace ou civette pour les plus érudits, famille des Amaryllidacées, se propageant et se cueillant à même les plaines Esperienne, nombreuse, nombreuses... Et pourtant, guère de possibilité de concrètement en cultiver... Une plante désireuse de rester libre choir de se mouvoir, un peu comme nous toutes et tous...
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Serait-ce le climat perdurant entre nos murs qui influenceraient ce facteur ? Seul l’Arbitrio peut nous le dire... L’herbacée semble se développer à point durant, au milieu même de la Brumaire, ne semblant guère perdurer lors des fortes chaleurs de Thermidor, ou alors sous divers arrosages quotidiens, ce qui représente une tâche certaine pour un si petit facteur.
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Chose intéressante, est le collet, nettement prononcé et cassant, permettant à la distinguer sans vergogne, à comparé d’autres fougères plus décoratives qu’appartenante. Les feuilles en sont en tiers, point perçues de denté à compara de ses congénères arbrisseaux, leurs formes hastées, les distinguant de leurs collègues de la même famille, les narcisses et les jonquilles.
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J’ignore si des utilisations médicales ou thérapeutiques sont envisageables par la suite, tout est il que l’herbacée en tant que condiment, reste une généralité bien ancrée au sein de nos queux. Qu’il en reste ainsi.
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La ciboulette, ou civette, herbacée de la famille des Amaryllidacées, est une plante poussant à travers les plaines Esperienne entourant la cité.
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Récoltable et propice durant la Brumaire, son corps frais ou séché, est utilisé quotidiennement même parmi la paysannerie pour raviver divers plats.
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Employée rigoureusement en cuisine, elle fait le bonheur des apothicairistes ou des soignants du fait de sa simplicité de préparation.
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[[Category:Flore]]

Version du 31 mai 2014 à 10:11

Buisson}}

Informations RP
Type Plante
Saison Brumaire
Biome
Plaine
Ancien Monde
Gyllendal
Greistal
















Découverte

Croquis d'un plant de ciboulette.


Il en est de plantes, que l’on utilise quotidiennement, de fougères, que sans même en s’en rendre compte, l’on a toujours conçu comme un fait, une utilisation, un faire-valoir durant. Pourtant, guère se demande ce qu’il se prône en nos assiettes et remèdes. Sortant une de ses nombreuses encyclopédies où elle regroupe ses études, Leoplodine termina sa troisième chope de thé d’une traite, et écrivit, pour seul compagnon, un pot d’argile où reposait une ciboulette vivace mais au combien heureuse d’avoir échappée à la froideur de la Nivose.


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Journal : Observation, expérimentation et résultat


Extraits des carnets de recherches de Leoplodine :

Je ne suis guère étonnée, voir même un peu déçue que l’on utilise encore quelques herbacées par coutume, ne sachant même rigueur tenue de leur nature. Prenons en exemple, la prochaine herbacée de notre étude, ciboulette vivace ou civette pour les plus érudits, famille des Amaryllidacées, se propageant et se cueillant à même les plaines Esperienne, nombreuse, nombreuses... Et pourtant, guère de possibilité de concrètement en cultiver... Une plante désireuse de rester libre choir de se mouvoir, un peu comme nous toutes et tous... Serait-ce le climat perdurant entre nos murs qui influenceraient ce facteur ? Seul l’Arbitrio peut nous le dire... L’herbacée semble se développer à point durant, au milieu même de la Brumaire, ne semblant guère perdurer lors des fortes chaleurs de Thermidor, ou alors sous divers arrosages quotidiens, ce qui représente une tâche certaine pour un si petit facteur. Chose intéressante, est le collet, nettement prononcé et cassant, permettant à la distinguer sans vergogne, à comparé d’autres fougères plus décoratives qu’appartenante. Les feuilles en sont en tiers, point perçues de denté à compara de ses congénères arbrisseaux, leurs formes hastées, les distinguant de leurs collègues de la même famille, les narcisses et les jonquilles. J’ignore si des utilisations médicales ou thérapeutiques sont envisageables par la suite, tout est il que l’herbacée en tant que condiment, reste une généralité bien ancrée au sein de nos queux. Qu’il en reste ainsi.



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Définition


La ciboulette, ou civette, herbacée de la famille des Amaryllidacées, est une plante poussant à travers les plaines Esperienne entourant la cité. Récoltable et propice durant la Brumaire, son corps frais ou séché, est utilisé quotidiennement même parmi la paysannerie pour raviver divers plats.

Employée rigoureusement en cuisine, elle fait le bonheur des apothicairistes ou des soignants du fait de sa simplicité de préparation.